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Etoiles et toiles

Non, ce n’est pas un forum sur le PSG, même si le titre aurait sans doute convenu, mais bien sur le cinéma, pour parler de tout ce qui touche de près ou de loin au septième art.

  • blafafoire le 07/10/2022 à 14h03
    Tu as donc oublié Denver...

    lien

  • blafafoire le 07/10/2022 à 14h06
    "ce qu'on comprend lors d'un flashback sur son enfance montrant sa mère de profil et en légère contre-plongée en train de préparer amoureusement un bouillon de ptérodactyle. (Mais je confonds peut-être avec Malick)."

    Non, ça c'est la pub Mousline ^^

  • vertigo le 07/10/2022 à 15h14
    Edit: Rien de tout ça dans le WSS de Spielberg, en revanche il y a des requins.

  • José-Mickaël le 07/10/2022 à 19h21
    Précision importante : ici WSS ne désigne pas les Waffen SS.

    (Vous allez trouver mon intervention inutile, mais je le fais pour m'exprimer : pour moi les abréviations abusives font perdre du temps, c'est agaçant. J'aimerais que vous les évitiez.)

  • Tonton Danijel le 07/10/2022 à 19h25
    C'est pas comme si c'était le sujet récurrent depuis 3 pages...

  • José-Mickaël le 07/10/2022 à 19h44
    Il y a d'autres sujets dans les trois dernières pages.

  • Cush le 07/10/2022 à 22h13
    J'avais loupé vos messages précédents sur West Side Story, du coup ça m'a donné envie d'aller voir des extraits du remake pour me faire une petite idée, et je suis tombé sur "America". Voici le compte-rendu du match entre cette version de 2021 lien et le merveilleux original de 1961 lien

    L'adaptation est fidèle, au moins musicalement puisque la musique et les paroles sont quasiment identiques, à l'exception d'un "Puerto Rico [...] let it sink back into the ocean", dont on peut comprendre qu'il soit passé à la trappe pour épargner la sensibilité portoricaine vu que c'est plus ou moins ce qui est promis à l'île avec le changement climatique.

    Il y a de jolies idées de mise en scène effectivement: les gars qui entrent simultanément dans le plan pour le remplir et déclamer "twelve in a room in America", ou les filles cachées dans les froufrous du marché. L'ensemble est aussi plus dynamique. La caméra bouge constamment, alterne les plans rapprochés et les plans larges avec beaucoup de fluidité, et les acteurs sont toujours en mouvement par rapport à l'original où la scène est cantonnée dans un seul lieu. Mais est-ce vraiment une amélioration ? Pas sûr.

    Parce qu'il manque l'essentiel: l'alchimie entre les personnages, le jeu du chat et de la souris entre garçons et filles, le mélange entre taquinerie, provocation, séduction, dans cette opposition entre deux visions du rêve américain qui ont chacune leurs arguments dans l'original, et plus vraiment dans cette scène du remake. En fait à vouloir faire bouger tout ce petit monde et les rendre prisonniers d'une chorégraphie qui leur fait parcourir tout le quartier, on perd une grande partie du caractère percutant des répliques.

    Et ça ne s'arrange pas avec la direction d'acteurs. Les gars sont terriblement falots et leurs remarques qui faisaient parfois mouche dans l'original (avec une acuité assez hallucinante pour l'époque, faut-il le rappeler) sont ici débitées mécaniquement et tombent complètement à plat. Il n'y a aucun enjeu narratif puisque les filles ont gagné dès le début, sans combattre, et on se demande bien quelle mouche pique Anita lorsqu'elle finit par rouler une pelle à son Jules qu'elle vient d'écraser sans pitié. Rita Moreno dans l'original finissait par l'emporter aussi, mais avec humour et autodérision, et une variété dans l'expression dont l'actrice de 2021 semble incapable. Bref, j'ai eu l'impression d'être dans un clip de Beyonce. Tant mieux j'aime beaucoup Beyonce, mais dans ce contexte et pour cette adaptation là, hmmmm, je sais pas.

    Résultat de cette finale de l'open de Puerto Rico: la scène du remake a quand même quelques atouts, et crée la surprise puisqu'elle échappe à la double roue de bicyclette qui lui était promise pour ne perdre que 6-1 6-1.

  • Jah fête et aime dorer Anne le 07/10/2022 à 22h43
    Ta comparaison me semble un peu vaine, car ce que tu critiques sont en fait des tonalités différentes du film, qui se retrouvent justement dans cette scène.
    Dans ces scènes, par exemple, dans l'original, si le caractère séduction/taquinerie est plus prononcé, le caractère social l'est bien moins. Les arguments des hommes sont justes, mais on n'y croie pas, et eux-mêmes n'y croient pas : ils sortent cela juste pour contrarier les femmes, par taquinerie ; ils aiment bien l'endroit eux aussi. Les femmes ont gagné dès le départ, vu qu'il n'y a pas d'opposition.
    Dans le remake, où la représentation d'un monde qui disparaît est bien plus importante, le côté social difficile est bien plus visible, que ce soit par l'environnement, mais aussi par des visions réellement antagonistes de l'Amérique entre hommes et femmes, visions qui se retrouvent dans leurs attitudes opposées. On pourrait dire irréconciliables, mais le plaisir d'être ensemble (traduit par la danse) permet tout de même cette réconciliation. Mais les femmes ne gagnent pas vraiment vu que les hommes ont aussi raison.

  • Tonton Danijel le 07/10/2022 à 22h54
    Ce qui donne aussi de la force à la version de Spielberg, c'est que son film est sorti juste après le mandat de Donald Trump. Ce qui donne aux paroles un autre sens: ce que disent les hommes n'est pas faux ou caricatural, c'est ce qu'ont pu ressentir les hispaniques lors des années précédentes.

  • Luis Caroll le 07/10/2022 à 23h06
    Clairement cette scène est mieux dans celui de 61. Il y en a d'autres pour lesquelles c'est l'inverse (va voir celle du commissariat)