Et PAF, dans la lucarne !

Nous sommes des enfants de Tele Santana.

Pascal Amateur le 15/08/2021 à 14h06

Je pose cette question là car c'est de la télé : je constate que dans les pubs russes et polonaises sont mis en scènes comme acteurs des handicapés mentaux. Est-ce le cas dans les pubs françaises ? (trisomiques en l'occurrence)
theviking le 15/08/2021 à 22h46

Hyper rarement, des handicapés physiques non plus n'apparaissent pas, ou alors il faut que ça ait un lien (pour les prothèses audio par exemple), ou que le gars soit connu pour autre chose (je pense à Jamel qui avait du apparaître dans des pubs)
Tonton Danijel le 15/08/2021 à 23h17

Il y avait Pascal Duquenne, qui dans la foulée du succès du "Huitième jour" avait participé à une célèbre campagne de publicité pour un opérateur téléphonique ("Cet homme est différent... Il paie son forfait moins cher").
khwezi le 16/08/2021 à 00h33

Aux US on a eu "Speechless" et ses x Saisons (je regardais gentiment) qui mettait dans ses premiers rôle un handicapé moteur. Le casting etait très bon, y compris l'acteur handicapé.
Pascal Amateur le 16/08/2021 à 07h30

Merci. J'ajoute que j'ai été étonné, toujours dans une pub, de voir deux femmes se tenir amoureusement la main, à la télé polonaise. Promis, la prochaine fois je m'attaque à un stream hongrois et à ses réfugiés McDo.
Dehu Sex Machina le 19/08/2021 à 22h43

Pour amateurs d'humour British, il y a Ghosts (2019, 19 épisodes de 30mn, lien). Un jeune couple hérite d'une vénérable demeure hantée par des fantômes facétieux et déjantés. J'ai frôlé le pipi.
Mik Mortsllak le 19/08/2021 à 22h50

Dehu Sex Machina
aujourd'hui à 22h43

Pour amateurs d'humour British, il y a Ghosts (2019, 19 épisodes de 30mn, lien). Un jeune couple hérite d'une vénérable demeure hantée par des fantômes facétieux et déjantés. J'ai frôlé le pipi.

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Il aurait été plus sage de faire une pause (désolé).
Danishos Dynamitos le 03/09/2021 à 08h35

Je suis entrain de regarder la série allemande « Dark », saison 1.
On m'a dit que c'était savamment mené au début puis que ça part en cacahuète.

Mais la je suis à l'épisode 6 et j'ai remarqué deux énormes incohérences, je m'interroge sur la façon dont la série a été conçue…
OLpeth le 03/09/2021 à 09h51

Sur insistance de ma chère et tendre, on a vu la 1ère saison de Motherland, une uchronie qui se déroule dans notre monde actuel, légèrement différent parce qu'au lieu d'avoir été cramées en masse, les sorcières de Salem ont fait un pacte avec le gouvernement américain : on combat dans vos guerres et vous nous fichez la paix. Conséquence, les pays se font la guerre par sorcières interposées, qui invoquent des tornades, le feu, peuvent détruire par la voix (coucou Dune), soigner, voler, etc. Quand une organisation terroriste (le Spree) se met à décimer des civils pour "libérer les sorcières de leur joug", la situation part en sucette.

On suit 3 ados qui entrent à l'académie militaire de Salem pour faire leurs classes et doivent faire équipe, aux caractères un poil stéréotypés : la timide un peu nunuche et pleine d'idéaux que la vie de caserne va déniaiser, la surdouée issue de la haute qui méprise d'abord ses coéquipières avant de les aimer à la vie à la mort, et la forte tête qui s'en laisse pas compter et qui cache un pouvoir gigantesque.

On est en plein dans les clichés de la série pour adolescente. Le plus, ça se passe dans un univers relativement original, dont la géopolitique pourrait être intéressante pour peu que ça soit traité avec finesse (ça en prend pas vraiment le chemin). Le moins, et c'est pas moi qui le dis c'est madame, c'est que la série renverse les clichés machistes dans une tentative féministe post #Metoo complètement pétée. Il n'y a quasi pas de persos masculins (ce qui est normal vu la série, c'est pas le problème) et le peu qu'on voit sont complètement "objetisés". Il y a une section d'hommes spécialement entraînés qui débarquent lors de la fête de Beltaine, qui est un jour très important pour les sorcières. Celles-ci doivent coucher avec un max de gars pour recharger leur énergie via le sexe, et elles se transforment en nymphos qui traitent les mecs comme de la viande, les gars ayant été entraînés à exaucer tous leur désirs. Ce renversement des clichés, pour immédiatement satisfaisants qu'il puisse être (ha vous voyez les mecs ce que ça fait d'être traités comme de la bidoche sans cervelle !), abaisse les femmes au niveau des mecs, pas très malin.
Dans le même registre, les gradées de l'armée des sorcières se comportent exactement comme les clichés de leurs homologues masculins : ivresse du pouvoir, autoritarisme, mépris des classes inférieures et des civils, esprit de corps borné...

Je suis clairement pas le public cible mais ça se laisse regarder, même si on voit tout venir d'assez loin quand même. Et on peut s'amuser en passant à démonter la vision un peu couillonne des scénaristes sur le féminisme et le terrorisme, ça distrait.
Sens de la dérision le 03/09/2021 à 10h22

Petite série sympathique vue sur Netflix : I'm not okay with this qui a pour intérêt d'être adaptée d'une oeuvre de Charles Forsman à qui on doit le roman graphique The end of the f***ing world lui aussi adapté sur Netflix.
I'm not okay with this est une mini-série de 7 épisodes qui suit une ado un peu paumée à la recherche d'elle-même. Oui ça a l'air un peu bêbête comme ça mais je n'ai pas envie de trop dévoiler le pitch. On retrouve un peu le ton de The end of the f***ing world avec une jolie BO. Bref ça le fait pas mal.