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Le diable était écossais

le 13 Sept 2007

 

Il y a des matches pour lesquels on se contenterait volontiers d'un "Rhaaa, putain" pour tout compte-rendu et toute analyse. Afin de s'épargner de fouiller dans une défaite à pas d'heure ou de subir la tentation d'ouvrir le robinet de bile à la manière de certains confrères... Surtout quand on a subi, en guise de voisin au Parc des princes, un crétin de l'espèce brailleuse qui nous a fait partager son expertise durant toute la rencontre au lieu de se contenter de murmurer ses consternantes analyses  à l'oreille de sa copine – plus à plaindre que nous, finalement – nous gâchant presque les chants écossais.

france_ecosse_parc.jpg


La nalyse

On ragera toujours de ne pas s'imposer face à des équipes qui refusent à ce point le jeu. Alors quand on perd... En pareille circonstance, les défauts d'une équipe sont jugés comme les causes de la défaite, et tous les reproches sont bons. Ainsi l'absence de meneur de vocation, Anelka n'étant qu'un substitut, aussi intéressant soit-il. La tendance des milieux offensifs à repiquer dans un axe encombré. Le profil incomplet de latéraux qui ne sont pas des joueurs de débordement ni de grands centreurs. Les lancements d'action laissés aux milieux défensifs.... Autant de facteurs qui peuvent expliquer un manque d'efficacité dans les trente derniers mètres. Mais peut-on avoir suffisamment de vivacité, d'inventivité et de technique pour passer neuf défenseurs et un gardien sans recourir à une bonne dose de chance? Cette dernière a cruellement manqué, avant de sourire, la garce, au onzième Écossais et au moment où le match se débridait complètement.

L’équipe de France a pourtant dressé un inventaire des différentes approches offensives possibles. En commençant le match assez bas et en se laissant presser, elle s'est créé des espaces offensifs et quelques coups à jouer. Les remontées de balle rapides de Ribéry et les belles orientations d’Anelka ont permis de s’approcher facilement des buts de Gordon. On n’attendra pourtant que cinq minutes pour voir le premier up and under écossais de la surface vers le rond central, et les hommes d’Alex McLeish finirent par reculer inexorablement, offrant à partir du deuxième tiers de la première mi-temps l’attaque-défense promise depuis des jours.

Combinant bien dans l'entrejeu, en passes rapides, les Bleus ont été moins inspirés à l’abord de la surface, avant de s'échiner vainement dans le jeu aérien. Et comme souvent lorsqu’on s’énerve devant ce genre de défense, ils se sont mis à frapper souvent et un peu n’importe comment – notamment par Malouda et Ribéry – au lieu de chercher des solutions de passe, par exemple vers Trezeguet qui se démenait tant qu’il pouvait dans les quelques centimètres carrés que lui laissaient les dix-sept défenseurs qui le marquaient. Le match a véritablement décollé vers la 55e minute, quand les défenseurs français se sont décidés à monter avec plus de conviction. La combinaison entre Diarra (petit pont), Ribéry (centre instantané en retrait) et Anelka était tout simplement parfaite, mais l'ancien Parisien frappait sur le gardien...
Quelques minutes plus tard, McFadden échappait à la vigilance de Vieira et Makelele pour adresser une frappe flottante qui trompait Landreau. Rapidement réorganisés en 4-2-3-1 avec un Ribéry plus libre au centre de l’attaque française, les Bleus ont donné tous les coups de hache qu’ils pouvaient dans le tronc écossais, sans réussir à l’entamer. Ce soir, ils en auraient peut-être mis trois si cela avait été le Brésil en face.

france_ecosse_parc2.jpg


Les gars

On guettait Landreau sur les ballons aériens, il en a eu peu à gérer, mais s’est imposé sur les quelques ballons chauds qui sont passés devant lui (dont un centre tendu de Mc Fadden – 45e). Difficile de dire s’il fait une faute de placement ou de main sur le but, le Teamgeist à serviettes hygiéniques d'Adidas étant probablement autant responsable de l’ouverture du score que McFadden.

Abidal a proposé beaucoup de solutions sur son côté et n’a pas ménagé sa peine. Comme le reste de l’équipe, il a eu du mal à faire le bon geste à l’approche de la surface adverse. Diarra a effectué un boulot défensif impeccable, sauvant la maison sur un contre écossais à la 58e minute, mais ce match a souligné des carences qui n'avaient pas été préjudiciables à San Siro: il n'a pas le bagage d'un latéral susceptible de déborder et de centrer.
Escudé a éteint quelques situations chaudes grâce à une belle autorité technique et physique dans sa surface. Il avait pour consigne de rester en couverture de Thuram qui a essayé de monter au-delà de la ligne médiane pour acculer les Écossais et faire monter le bloc bleu. Ses jaillissements sur les longs ballons écossais ont longtemps soulagé l’équipe, et sa sérénité fut précieuse lorsque les Bleus se sont rués à l’abordage.

Au milieu de terrain, Vieira fut très présent mais peu rayonnant, ne parvenant pas à faire le lien entre le milieu ou les attaquants, ni à franchir la première ligne écossaise pour faire des différences. Mancini aura au moins la satisfaction d’avoir eu raison: il n’avait pas deux matches dans les jambes. Embêtant, quand les trois-quarts des ballons passent par ses pieds. Il s’est assez facilement imposé défensivement… jusqu’au but de McFadden sur lequel lui et Makelele laissent deux bons mètres à l’Écossais. Le milieu de Chelsea, un peu comme lors de la finale de la Coupe du monde quand Vieira a dû sortir, s’est substitué à son capitaine dans l’animation du jeu. C’est lui qui fait la jolie passe piquée pour la reprise de demi-volée en pivot de Trezeguet, et a réussi un coup du sombrero en fin de match. Difficile de lui reprocher quoi que ce soit, à part cette seconde d’inattention.

À droite, Ribéry est entré tambour battant dans le match. Il a fait du Ribéry de bout en bout, et a parfois cherché à gagner le match tout seul. Mais il a péché dans la finition, comme on dit chez Citroën: surpris sur un centre tendu de Malouda (20e), il dévisse une bonne position du gauche (47e) puis manque un face-à-face en deux fois avec Gordon (54e)...  Une belle dernière demi-heure: omniprésent, il accélère, centre, varie les trajectoires, frappe, décale, s'emplâtre bien un peu à un contre six, mais restera comme le Bleu le plus dangereux et le plus percutant sur l'ensemble de la rencontre. Malouda, qui a retrouvé sa conduite de balle, a beaucoup tenté (notamment un tir tendu qui rebondit devant le gardien – 17e), centré (pour Ribéry, 21e), et joué en combinaison avec Abidal et Anelka... sans obtenir un rendement très significatif faute d'être parvenu à créer des différences plus nettes dans les duels.

Anelka a eu un gros volume de jeu et en se montrant très disponible, il a attiré beaucoup de ballons, faisant encore valoir son toucher, ses orientations intelligentes dans le jeu court, sa conservation de balle. On a longtemps attendu qu’il nous refasse le coup de Kaunas. Hélas, il tire sur Gordon à la 56e... S'il a eu le mérite de prendre le jeu à son compte, le résultat final incline à émettre un jugement plus critique: dans ce contexte bloqué, il n'a joué le rôle ni d'un accélérateur, ni d'un détonateur.
Trezeguet se procura la meilleure occasion de la première période (tir en pivot, 15e) et aurait pu être décisif lorsqu’il remit intelligemment le ballon à Ribéry dans la surface (54e) ou si celui-ci l'avait servi sur la première parade de Gordon... ou encore si Malouda avait repris spontanément son centre en retrait (63e). Mais la réussite fuit encore ce joueur qui n'a besoin que d'un minimum de gestes pour réussir ou rater un match. Faut-il lui reprocher d'avoir reçu si peu de ballons exploitables?

Quand il a fallu jouer le tout pour le tout (dans un certain désordre tactique), Nasri et Benzema ont fait ce qu’ils savaient faire, et l’ont fait avec un mélange d'envie et de maladresse.



Les observations en vrac

• Abidal a semblé se décomposer dès que Larqué a indiqué qu'il n'y était plus. Il est médium, si ça se trouve, Jean Mimi.
• Les tirs de Makelele devraient bientôt faire l'objet d'un couplet supplémentaire rigolo dans Flowers of Scotland.
• Aucun Lyonnais titulaire au coup d'envoi : Jean Michel Aulas saisit le TAS pour discrimination.
• Jean-Michel Larqué, en première mi-temps, a systématiquement annoncé "Bien tiré!" sur les corners envoyés sur Gordon. Du coup, il n'a rien annoncé du tout en deuxième mi-temps. Heureusement relayé par Gilardi, qui à la 85e, s'écrie "Bien tiré!" sur un corner à ras de terre au premier poteau.
• Thierry Gilardi : "L’équipe de France a un compte à régler avec les Écossais". Ces cons-là avaient des chardons dans la poche de leur short.
• Quand il fait une touche, Lassana Diarra a autant d'assurance qu'un quadragénaire en passe de perdre enfin sa virginité.
• On va enfin pouvoir regarder à nouveau sous les jupes des filles dans Paris sans craindre de mauvaises rencontres impromptues.



La vraie raison de la défaite

Pour galvaniser les joueurs, Raymond Domenech a fait lire à Philippe Mexès la lettre d'adieu de Jean Lefebvre.



Le match en trois questions

• Dans L'Équipe, Trezeguet aura-t-il une note inférieure ou égale à la moitié de celle de Heymans contre l'Argentine?
• Raymond Domenech a-t-il déjà répondu à la question d’un journaliste sans prendre une seconde pour hausser des épaules avant?
• Regretter la qualité de centre de Sagnol quand on a huit gaillards d’1m90 qui campent dans la surface adverse, est-ce bien raisonnable, Thierry?



Le gros chat noir (et on reste poli) de la soirée

Thierry Gilardi, 45e minute : "Vous voulez que je vous redonne le moral? Il y a eu quatorze confrontations entre la France et l'Ecosse jusque-là, jamais, jamais eu de match nul".


henry_gilette.jpg
"Vous vous êtes encore rasés sans moi?"


Le match vu du forum

=>> Rigoboum Song - 23:38
Et sinon, les gars, c'est quand Écosse-Italie que je le regarde pas ? Deux équipes qui campent dans leur moitié de terrain en faisant griller des saucisses dans le rond central, ça va être sympa. Bon, de toute façon, je pourrais pas le regarder, je viens de péter ma télé à coups de masse...



La question du soir

Au cours du match, Thierry Gilardi profite d’un mauvais contrôle d’Abidal pour expliquer qu’il a mal digéré le fraisier préparé pour son anniversaire, deux jours plus tôt. Quel autre prétexte ridicule peut-on imaginer pour placer cette information nulle?
 
1. La reprise en volte-face de David Trezeguet nous laisse babas.
2. Sur les phases offensives, l’entraîneur écossais essaie de faire monter les Blancs.
3. McFadden passe son temps à donner des tartes.
4. On est comme deux ronds de flan devant la performance de Landreau.
5. On se demande si Lassana Diarra a déjà trempé le biscuit.



La vérité inavouable

Un Écossais, de près, ça chante faux.



Les titres auxquels vous avez échappé

• "J'ai mis McCulloch à l'envers"
• "Coup de grigou au Parc des pinces"
• "Une croix sur la qualification"

Réactions

  • barbaque le 13/09/2007 à 18h13
    > Je Brille Cassé
    On tourne en rond. Remonte le fil, relis l'article ou l'analyse d'Angel Marcos et dis-moi qu'un mec qui donne deux passes potentiellement décisives et se procure la meilleure occasion de la première mi-temps, sans jamais cesser de faire des appels, fait un match aussi indigent que Henry samedi soir.

    Le truc, c'est vraiment que vous le trouvez mauvais, quoi qu'il fasse. Difficile de vous en blâmer, c'est ce quand même l'opinion dominante.

  • Je brille Cassé le 13/09/2007 à 18h42
    BB : Super, effectivement tu dois avoir raison, je sais pas ce qu'est le football et j'ai pas vu les matchs. Ensuite, je te parle pas de Malouda, je te parle de Trez. J'avoue ne pas avoir le souvenir pour Malouda de toutes ses prestations. Il m'a néanmoins semblé qu'il apportait quelque chose à l'équipe quand il est sur le terrain. Je préfère en rester là avec toi.

    Barbaque : peut-etre que j'ai inconsciemment un sentiment d'amoureux déçu avec Trez, en tout cas je l'aimais beaucoup mais ça a changé.
    Effectivement, il réussi deux passes dans le match qui auraient pu s'avérer payantes. Mais je trouve ça très faible au regard du nombre d'occasions de la France quand le match a commencé à s'emballer. Je trouve par exemple que Nasri a plus montré en 10mn sur le terrain que Trez dans le match. Normal me diras-tu car son role est plus de construire le jeu. Certes (te répondrais-je) MAIS Trez m'a paru très inutile dans son role de campeur de surface, très statique, bloqué sur ses appuis. Sa reprise est dificile mais pas plus dangereuse que celle de Maké au final (bien tiré d'ailleurs mais mal cadré). Il a surement fait des appels que je n'ai pas vu à la télé (et annoncé par Wenger parait-il, je ne voyais pas le match en France). Là le problème pourrait être de cohésion avec ses partenaires qui n'arrivent pas à jouer avec lui (j'ai pas d'explications). Enfin, ses appels étaient quand même limités je suppose. Jamais à la retombée du ballon lors des centres aériens (pourtant il doit avoir un bon jeu de tête et un bon placement non?), c'est pas que de la faute de ses partenaires je crois.

    Au final, je ne veux pas faire de Trez le responsable de quoi que ce soit mais je l'ai trouvé effectivement aussi inutile que Henry contre l'Italie.
    Mais il semble que j'ai pas vu les matchs.

  • Je brille Cassé le 13/09/2007 à 18h43
    J'ai lu l'article de Angel Marcos dont le lien a été donné, et j'ai lu tout le fil (mais bon je suis censé bosser au fait).

  • brice170 le 13/09/2007 à 18h56
    "Surtout quand on a subi, en guise de voisin au Parc des princes, un crétin de l'espèce brailleuse qui nous a fait subir son expertise durant toute la rencontre au lieu de se contenter de murmurer ses consternantes analyses à l'oreille de sa copine – plus à plaindre que nous, finalement – nous gâchant presque les chants écossais."
    Plusieurs remarques à la rédac.
    J'étais, au Parc, braillard (même vulgaire et insultant, et pourtant je sais que c'est mal), et avec ma lien m'envoyer un mail perso de vos places pour vérifier si je dois me sentir concerné?
    En outre je ne vous trouve pas cohé lien 15000 écossais braillards, complètement raides à la bière et ne comprenant que dalle au foot, ça vous plaît.Les mêmes en France c'est des beaufs infréquentables.
    Pour rappel utile à destination d'un canard de gauche: le foot est un sport populaire, pas un sport de polos Ralph Lauren, de costards italiens, de gens bien élévés et propres sur eux, de jeunes cadres dynamiques (ingénieur informaticien , je suis...), sinon sur certains matchs on se ferait autant chier au Parc qu'à Rolland Garros.

    Ensuite , sur ce que j'ai vu du match, plusieurs problèmes cumulés amènent au désastre:
    * Il existe quand même des gardiens qui auraient sorti le tir écossais même si Landreau a fait qq autres interventions solides
    * Malouda à été vraiment mauvais de mon point de vue
    * Abidal très moyen aussi d'où un côté gauche assez pourri (facile à dire mais j'aurais aimé voir Evra dans ce contexte)
    * Viera bléssé , ne peut pas se projeter en avant et faire mal dans l'axe AVANT d'écarter (sinon il nous attendent tranquille)
    Plus génaralement j'adore le 4-4-2 mais avec un milieu en losange parce que sinon ca fait 4-2-2-2 avec des malouda-ribery hyper excentrés et un trou béant si les défensifs ne se projètent pas vers l'avant
    * en 4-4-2 il faut que les 2 attaquants jouent au foot et participent au match;Or trézéguet,il joue pas au foot il pmarque des buts : quand il essaie de jouer c'est pivot, contrôle raté et ballon qui s'échappe, puis perte de balle ou ralentissement du jeu.
    Lui il faut qu'il soit seul en pointe et comme Il ne prendra pas la place d'Henry, qui lui refuse de jouer sur le côté gauche à la place de Malouda je pense que le débat est clos...

    Sinon Ribéry et Makélélé ont été bons je trouve.
    Dernière remarque: pour les corners en fin de match, nous étions 6/7 au max dans la surface pour 11 écossais. pouquoi Thuram n'est il pas monté? il n'y avait personne à couvrir et pas grand chose à perdre?Je comprends pas trop là...

  • ravio le 13/09/2007 à 19h02
    brice170
    jeudi 13 septembre 2007 - 18h56
    J'étais (...) avec ma copine. (...) ingénieur informaticien , je suis...),
    ---
    Ça colle pas...

  • brice170 le 13/09/2007 à 19h05
    "ingénieur informaticien , je suis..".
    c'est pas moi, c'est le titre d'une chanson qui circule sur le web...par ce que il y abeaucoup d'ingénieurs infomaticiens qui se la petent jeunes cadre dynamique maintenant...

  • ravio le 13/09/2007 à 19h07
    Au temps pour moi, dans ce cas.

  • eskimo le 13/09/2007 à 19h07
    brice170
    jeudi 13 septembre 2007 - 18h56

    Pour rappel utile à destination d'un canard de gauche: le foot est un sport populaire, pas un sport de polos Ralph Lauren, de costards italiens
    -----
    ouais enfin on a dit qu'on arretait avec les italiens là, y en a marre !!

  • Forez Tagada le 13/09/2007 à 20h05
    > Brice170
    Tu fais une corrélation qui suggère que le degré de connerie serait inversement proportionnel à la qualité des vêtements, c'est-à-dire que plus on est d'une CSP élevée, moins on braillerait de conneries? Hum...

    J'ai fréquenté toutes les catégories de tribunes et je peux te certifier que le connard brailleur n'est la spécialité d'aucune: il y en a partout. Peut-être même plus dans les latérales... Mes souvenirs les plus pénibles sont d'ailleurs liés à deux tribunes où les places étaient particulièrement chères.
    Inversement, je dirais que les brailleurs de populaire sont beaucoup plus drôles.

  • kiki2mars le 13/09/2007 à 20h08
    Apparement pour battre la France en ce moment il suffit de se mettre une tunique blanche et ciel et ne pas jouer (pas con les écossais, ils ont maté le rugby)

    Par conséquence l'OM pourrait facilement battre l'EDF 1-0 avec un but de Matt Moussilou.



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