Observatoire de la violence dans le football

• suppdebastille le 05/09/2019 à 13h38
  "lotbur
  
  aujourd'hui à 07h22
  
  Dans le cadre de la lutte contre le racisme, magnifique sortie de Lilian Thuram : « Il est nécessaire d'avoir le courage de dire que les blancs pensent être supérieurs et qu'ils croient l'être »
  On progresse..."
  
  Comme pour BenArfa, hier je ne pensais pas qu'il avait vraiment dit cela malheureusement là on est dans un sujet sérieux et c'est bien triste.
  La LICRA vient logiquement de le rappeler à l'ordre.
  
  

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• liquido le 15/09/2019 à 17h53
  Ce petit clip est bien foutu
  
  lien

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• BoblaFlamb le 17/12/2019 à 10h46
  Donc en Espagne - comme ailleurs je pense - les cris de singe, les insultes homophobes, ça passe mais traiter un joueur qui ne cache pas sa sympathie pour l'extrême-droite antisémite de "nazi" justifie l'arrêt d'un match.
  
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• Mevatlav Ekraspeck le 17/12/2019 à 13h07
  Il joue au FC Mélanchon?

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• Mevatlav Ekraspeck le 17/12/2019 à 13h09
  Il joue au FC Mélenchon? (En respectant l'orthographe, ça n'en rend pas la vanne meilleure ou moins indigne...)
  
  Je rajoute le Real de LePen pour faire bonne mesure...

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• liquido le 29/02/2020 à 19h45
  Les footballeurs savent se montrer solidaires. Sélectivement.
  
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• San-Antonio le 20/10/2020 à 14h13
  Une agression de plus chez les amateurs, cette fois contre une jeune arbitre de 19 ans : lien
  Le récit est édifiant et les insultes écrites noir sur blanc - sans les classiques et hypocrites "***" - retranscrivent bien le climat de violence dans lequel certains arbitres évoluent. Et puis ça a le mérite de ne pas edulcorer ce qui s'est passé.
  
  Lien trouvé via une brève de L'Equipe ou Alain Sars avoue avoir appris l'affaire... dans les médias : lien

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• Utaka Souley le 20/10/2020 à 14h33
  Effarant. Quelle bande de tarés !

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• impoli gone le 20/10/2020 à 21h53
  Parler de "dirigeant" et "éducateur", comment dire...

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• CHR$ le 20/10/2020 à 22h02
  Autre temps, autre mœurs :
  "Le 10 décembre 1924, l'Olympique [l'équipe dont Violette Morris est la capitaine] mène par trois buts à zéro en deuxième mi-temps avant que l'équipe adverse ne ramène le score à trois-un par un tir fracassant. Un spectateur excité s'en prend à Violette Morris et lui crie : « Hé ! Grosse vache ! tu l'as pas vu passer çui-là ! faut le remuer ton gros cul ! ou alors tu l'ménages pour Popaul ! Y'en a qu'aiment ça les culs de salope ! ». Mortifiée par ce but encaissé, furieuse de n'avoir pu arrêter son adversaire, elle ne fait qu'un bond jusqu'à la lice où se cramponne l'autre, hilare. D'un crochet très sec à la pointe du menton, elle l'envoie aux pâquerettes avant qu'il n'ait eu le temps d'esquiver."
  
  Rapporté par Raymond Ruffin dans "La Diablesse. La véritable histoire de Violette Morris."
  
  À l'époque, les sportives étaient souvent omnisports et Violette Morris a pratiqué la boxe autant que le football.

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