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Manger (autre chose que) la feuille

L'ultime fil culturel : celui de la gastromonie. Parce que si la France n'est pas un pays de football, c'est au moins celui de l'art culinaire.

Le doc est ici

  • Jah fête et aime dorer Anne le 10/10/2020 à 00h29
    Gouffran direct
    09/10/2020 à 21h01
    Je parle bien de partir de la fève de cacao, la rôtir,
    -----------------------

    Moi, je la mange après cette étape.

  • Delio Onnisoitquimalypense le 10/10/2020 à 18h05
    Jah fête et aime dorer Anne
    aujourd'hui à 00h29

    Gouffran direct
    09/10/2020 à 21h01
    Je parle bien de partir de la fève de cacao, la rôtir,
    -----------------------

    Moi, je la mange après cette étape.
    ----------------------
    Farpaitement. Des fèves justes grillées, en compagnie des noix et amandes émerveilleront vos invités à l'heure de l'apéro (oups, voilà le style Figaro madame qui me reprend).
    Et j'en ai oublié mon usage le plus régulier des fèves : dans du rhum arrangé, en compagnie de vanille et sucre roux. Macération très longue d'un an avant de déguster ; en broyant grossièrement les fèves après torréfaction, ça devrait accélérer le processus (test en cours) ; une fois la bouteille vide, les fèves ramollies par le rhum sont parfaites pour les cakes.

  • blafafoire le 10/10/2020 à 18h40
    Question : vous les trouvez où vos fèves ?

  • Delio Onnisoitquimalypense le 10/10/2020 à 19h02
    blafafoire
    aujourd'hui à 18h40

    Question : vous les trouvez où vos fèves ?
    ________________
    Mes premières, ramenées par un ami du Sénégal. Puis en épicerie, mais qualité décevante. Et depuis deux ans, dans un magasin de produits malgaches à 15m de chez moi. Nettement plus chères, mais de très grande qualité (Gouffran, le cacao malgache est loué par de nombreux gastronomes, tu as testé?)
    Sinon, les épiceries en ligne en proposent de toutes sortes et toutes origines, l'avis de Gouffran sera plus éclairé que le mien. Et certainement dans les magasins bio.

  • Gouffran direct le 12/10/2020 à 05h02
    J'achète mes fèves de cacao en vrac.
    Le vrac au Canada a du s'adapter à la pandémie.
    Au début on devait attendre dehors avant d'être appelé dedans et un/e employée/e allait remplir les sacs selon nos instructions.
    Là c'est plus libre, mais ya une limite de 3 clients à tout moment.
    Donc j'arrive avec mon plan de bataille, je ne flâne pas. Bim, boum, je rentre, je sors.

    Sinon ya des magasins en ligne aux États-Unis ou au Canada (DelicaciesValley, Chocolate alchemist)

    Le cacao malgache m'a été recommandé très récemment et j'ai prévu d'en commander pour cet automne si j'en trouve du bio ou commerce équitable.

    Sinon j'évite les fèves de Côte d'Ivoire car elles sont récoltées, séchées et transportées par de nombreux enfants piégés dans une forme d'esclavage moderne et même parfois enlevés au Mali et au Burkina Faso pour être exploités dans des exploitations cacaotières.

    Je ne cherche pas à culpabiliser qui que ce soit, c'est juste mon choix.

  • Hyoga le 12/10/2020 à 10h38
    Savez vous où je peux trouver des informations sur les réglementations nationales en terme d'élevage ? J'ai pas e'vie de bouffer de la viande aux antibiotiques, mais l'étiquetage local n'impose pour ainsi dire rien. Donc je sais pas si le bœuf australien ou le porc canadien, ça va (outre le bilan carbone ignoble).

  • beltramaxi le 12/10/2020 à 10h52
    Tu aimes le goût des hormones de croissance ?

  • M.Meuble le 12/10/2020 à 14h08
    Le boeuf australien a un accent imbitable. C'est très pénible le repas avec lui.

  • fireflyonthewater le 12/10/2020 à 14h27
    Hyoga
    aujourd'hui à 10h38
    J'ai pas e'vie de bouffer de la viande aux antibiotiques, mais l'étiquetage local n'impose pour ainsi dire rien.

    Une fois indique, tu vas changer d'habitude alimentaire (notamment si tu prends ds des resto a emporter style chinois)

  • Delio Onnisoitquimalypense le 25/10/2020 à 17h00
    Pour fêter dignement l'apogée de la saison des courges, voici une association qui ravit mes papilles : courges-épinards-pois chiches. a réaliser avec la butternut ou la bonne vieille courge musquée, qui a l'inconvénient de rendre plus d'eau mais dont le goût plus relevé résistera mieux aux variations épicées.
    Un oignon ciselé à faire revenir dans de l'huile d'olive (soyez généreux sur la quantité d'huile, seule matière grasse de la recette), puis on jette les morceaux de courge, on sale, on poivre, on rajoute les herbes à disposition (le bouquet garni laurier/thym/persil fonctionne très bien). Après une certain temps de cuisson, on rajoute les épinards grossièrement hachés (pour la grossièreté, on en a normalement constitué un stock au moment de l'épluchage de la courge). Quand c'est bien mou, c'est cuit ; seule "difficulté" : gérer son feu et son couvercle pour ne pas avoir trop d'eau rendue à la fin.
    Variation maghrébine : avec du cumin et de la coriandre moulue, qu'on fait dorer très doucement dans l'huile avant d'ajouter l'oignon. Avec du piment ou de la harissa, ça nous donne la variation tunisienne.
    Variation marocaine : Un bâton de cannelle à chauffer avant l'oignon, puis en même temps que notre alliacé, un peu de gingembre émincé, puis du miel quand la courge commence à rendre son eau.
    Variation péninsule indienne : On remplace l'huile d'olive par de l'huile de coco (chère mais délicieuse et rigolote : elle fige en dessous de 25°C), on ajoute de la poudre de curry, et de la coriandre (en bouquet pendant la cuisson + ciselée au moment de servir).