Etoiles et toiles
Non, ce n’est pas un forum sur le PSG, même si le titre aurait sans doute convenu, mais bien sur le cinéma, pour parler de tout ce qui touche de près ou de loin au septième art.
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JauneLierre le 04/11/2021 à 11h35Autre réalisateur qui sait vous plonger dans son univers sans que l'on y comprenne toujours tout (mais ce n'est pas bien grave) : Peter Greenaway. Meurtre dans un jardin anglais (The Draughtsman's Contract) et Triple assassinat dans le Suffolk (Drowning by Numbers) notamment
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Eric Sikh Aura le 04/11/2021 à 12h16Je ne sais pas si ça colle exactement, je n'ai pas encore vu le film, mais ça me fait penser à La Jetée
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Radek Bejbl le 04/11/2021 à 12h40Ne regardant quasi aucun film je ne suis pas certain que mon ressenti soit pertinent mais, sans qu'on puisse qualifier ça de pures expériences sensorielles, j'ai aimé voir Cosmopolis et Only God Forgives pour l'ambiance sans particulièrement apprécier le propos.
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Tonton Danijel le 04/11/2021 à 13h13Wes Anderson semble pas mal rentrer dans cette définition...
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Sens de la dérision le 04/11/2021 à 13h15La jetée, c'est presque exactement le contraire : beaucoup de récit et finalement assez peu de cinéma entant que tel (si cinéma veut dire mouvement de la caméra).
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Eric Sikh Aura le 04/11/2021 à 14h06OK, je pensais que c'était assez expérimental dans l'image
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Sens de la dérision le 04/11/2021 à 14h14En fait, l'image c'est un ensemble de photographies. Donc, pour moi, je dirais que c'est assez difficile de le classer en tant que cinéma. Mais ça reste un film quand même.
Tu peux le regarder sur Youtube.
lien
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theviking le 04/11/2021 à 14h18C'est expérimental dans le sens où le film est une succession d'images, de photos si tu veux, avec un commentaire.
Edit : doublé par Sens de
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Jah fête et aime dorer Anne le 04/11/2021 à 17h09Ben, pour moi, Mullholland Drive et Inland Empire, malgré des similitudes, ne sont pas dans la même catégorie.
Mullholland Drive est un récit classique compréhensible immédiatement (la seule spécificité étant l'inversion de la forme par rapport aux conventions), et ce récit est encore au cœur film.
Inland Empire, je ne dis pas qu'il ne raconte rien (après tout, l'Homme à la Caméra raconte bien quelque chose aussi), mais que les morceaux qu'il raconte deviennent vraiment prétextes à des morceaux de cinéma, au point que l'on ne fait même plus semblant à faire une histoire-globale-prétexte.
Bref, je dirais qu'Inland Empire est là où Lynch va le plus loin, presque débarrassé des conventions cinématographiques, mais qu'effectivement c'est une tendance que l'on retrouvait déjà dans ses films précédents.
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Jah fête et aime dorer Anne le 04/11/2021 à 17h42Mais pour Only God Forgives (plus trop de souvenirs de Cosmopolis), l'ambiance et les symboles participent au propos, non ?