Sport et santé

Parce que si on aime bien le regarder dans le canapé, ça nous arrive aussi de le pratiquer...

albeur battu le 01/08/2016 à 14h54

Salut les gars, merci pour ces quelques minutes de rire salvateurs. C'est pour ça aussi que j'aime les CDF
romainusa le 01/08/2016 à 14h57

Je rebondis rapidement sur 2 messages postés plus tôt, ça fera une parenthèse sur vos remarques ironiques actuelles (ironiques mais très drôle , hein !)

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@ Baka in the sky with ballons qui a écrit :
@romainusa : bien d'accord avec toi sur la dimension mentale/psychologique, pour ma part, en plus de mon activité sportive, je me fais 3-4 séances d'étirements/assouplissements par semaine où j'en profite pour coupler ça à un peu de "méditation", c'est-à-dire que je réfléchis un peu à ma vie. J'aime bien faire ça le soir avant de me coucher, ça détend bien physiquement si la journée à été longue, et je vais généralement me coucher l'esprit plus léger.

--> C'est une bonne idée, ça. Me concernant, la « méditation » (je n'aime pas le terme mais je pense que tout le monde a une idée, même vague, de l'activité en question) je serais bien incapable de le faire tout en faisant des étirements. J'ai besoin de sentir mon corps lorsque j'en fais et la méditation me semble plus adaptée au repos, assis ou allongée mais sans bouger le corps. Après, bien sûr, chacun fait ce qui lui parle le plus.
En revanche, la « méditation » me vient plus naturellement lorsque je marche, une sorte de conscience lucide des choses et concentration sur le souffle, les bruits alentours, le mouvement du vent, ce genre de choses. En fait, et même si je n'aime pas courir, je pense que ce soit la course à pied ou la marche, sont des activités certes sportives mais aussi, au final, plutôt méditatives. Pour cela aussi, ces 2 sports ont toute leur utilité.

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Roger Cénisse
aujourd'hui à 22h57
... et ensuite que n'ayant que peu besoin de sommeil, je veille plutôt tard et vers le coup des 23h ou minuit je suis pris généralement d'une fringale et que parfois je craque (une pomme, un yaourt, une tranche de jambon). Et pourtant, je ne maigris pas. Je me maintiens aux alentours de ces foutus 93 kilos.

==> Ah, le sommeil, vaste sujet, que je maitrise encore assez mal mais passionnant.
Roger, que tu aies peu besoin de sommeil, c'est personnellement un truc qui me dépasse, j'ai besoin de mes 7-8 heures par nuit, sinon, je ne suis pas reposé et en forme. (bon, faire quelques nuits plus courtes, ça arrive aussi et ça passe. Mais pas régulièrement).
Tout cela pour dire, avez-vous déjà fait l'expérience de vous peser avant d'aller vous coucher et de remonter sur la balance au réveil ? Vous vous apercevrez que…vous aurez perdu du poids dans la nuit. Pas grand-chose, quelques dizaines de grammes voire centaines parfois. A quoi c'est dû, aucune idée parce que c'est en contradiction avec le fait établi dans notre société qui dit qu'être allongé à ne rien faire fait justement l'inverse, à savoir grossir (sédentarité = prise de poids). Or, dans le sommeil, on est sédentaire et pourtant on perd du poids.
Alors je ne dis pas de dormir 20 heures par jour pour retrouver un poids de forme, ce serait contre-productif pour plein de raisons. Mais, Roger et les autres insomniaques / noctambules, peut-être qu'en dormant plus, vous ferez l'expérience de cette perte de poids. (je ne suis pas en train de vous dire ce que vous devez faire, entendons-nous bien. Je partage juste un résultat constaté. Si votre peu de sommeil vous convient et, surtout, si vous ne pouvez faire autrement que de vous coucher tard et lever tôt, c'est votre choix. Je trouve l'idée du sommeil à effet d'amaigrissement très intrigante. Et puis, en plus de cela, le sommeil a des vertus plus variés, que chacun connaît tel rêver, se remettre en question, communiquer avec « l'invisible », stopper son mental / sa conscience, reprendre des forces, de l'énergie…)
Delamontagne est Belle le 01/08/2016 à 15h04

Le fait de perdre du poids en dormant est, je pense, simple à expliquer.
Tu n'ingères rien pendant pas mal d'heures mais ton système, même au ralenti, continue à fonctionner et donc à consommer de l'énergie qui est évacuée sous forme de CO2. Tu expires aussi de l'eau (voire tu transpires).
Logique de perdre du poids en dormant à mon sens.
Teixeira Encore le 01/08/2016 à 15h11

Et puis, si c'est de Christ dont on parle, ne surtout pas négliger la perte de bave.
greenflo le 01/08/2016 à 15h16

@romainusa

Ton post m'intrigue sur la partie sur le sommeil. Qu'entends tu par 'communiquer avec l'invisible' par le sommeil?

Je rentre dans la catégorie de ceux qui s'endorment dès qu'ils s'allongent dans leur lit et ne se souviennent pas de leurs reves (sauf cas assez spécial où je suis actif, mais endormi, c'est assez long a expliquer et c'est pas le sujet). Donc je suis intéressé pour comprendre ce que je loupe/oublie pendant cette période.
romainusa le 01/08/2016 à 15h39

Ton explication est intéressante, TVBreizh, et tu as probablement raison dans ton explication.
Néanmoins, imaginons qu'un matin tu te lèves et, jusqu'au soir de la même journée, tu ne manges strictement rien. Donc, tu n'ingères rien pendant pas mal d'heures et tu continues de vaquer à tes occupations, au boulot devant ton pc ou devant la tv chez toi (mais pas d'activité physique) : Est-ce qu'au final tu auras perdu du poids durant cette journée sans manger ? (c'est une vraie question, je n'ai pas la réponse).
A mon sens, et encore une fois, bien que je fasses très irrégulièrement des journées de jeûne, je n'ai pas le sentiment d'avoir perdu du poids durant cette journée sans manger. (il faudrait que je fasses le test, en me pesant au matin et au soir, voir si perte de poids il y a)
Au-delà de ton explication (qui tient parfaitement la route, n'est-ce-pas), j'ai tendance à croire et peut-être à tort, que l'effet du sommeil sur le poids est plus complexe que ce que tu m'en décris)
snow le 01/08/2016 à 16h05

Bah, on brule des calories même en dormant.
Je crois que le corps brule 50 à 60 calories par heure de sommeil vu qu'il travaille pour faire fonctionner ses fonctions vitales.

Un heure de marche tranquille brule seulement 3 fois plus de calories qu'une heure de sommeil.
romainusa le 01/08/2016 à 16h11

@ greenflo, en effet, ce serait une « conversation » qui aurait toute sa place sur un autre fil (peut-être un fil sur la spiritualité, au sens très, très large du terme ?) mais vais tenter de te répondre.
J'insiste sur un point très important avant de continuer et je souhaite que tu (et les autres) le gardes en toi tout au long de ta lecture : tout ce que je peux écrire maintenant n'est qu'une sensation très personnelle que j'expose très brièvement ici et, surtout, ce n'est pas quelque chose qui peut se prouver, se démontrer, se justifier…avec des mots ou des symboles. J'essaie de mettre en mot certaines « idées » mais n'obliges personne non seulement à y croire et encore moins n'oblige qui que ce soit à creuser ces questions.
(et comme ce sujet, comme d'autres finalement touchant à la « spiritualité », a, à mon sens, un impact sur la santé, je me permets d'en écrire certaines lignes ici).

Déjà, pour commencer à tenter d'expliquer ce que je voulais dire par 'communiquer avec l'invisible' par le sommeil, il faut nous mettre d'accord sur un point. Si vous n'êtes pas du tout, à aucun degré que ce soit, en accord, même minime avec ce qui suit, je vous conseille fortement d'arrêter de me lire car ça engagerait un possible débat qui n'aurait pas sa place ici et en plus, ça pourrait déranger certains : ce point de départ, c'est d'être d'accord (même sans l'avoir « vécu » ou expérimenté soi-même) que le monde terrestre dans lequel nous vivons est empli à la fois de choses visibles (les êtres humains que tu rencontres et côtoies, la maison dans laquelle tu vis, l'arbre dans la forêt….) et invisibles. Et par invisibles, j'entends des entités que l'on ne voit pas avec nos yeux comme les choses précédemment citées mais que l'on peut, dans certaines occasions, percevoir, ressentir….
Ces entités dont je parle sont généralement traduites dans notre intellect / esprit / société par les mots « fantômes, esprits, âme des morts, anges, anges-gardiens, guides…. »

Nous avons tous en nous la capacité médiumnique de ressentir ces entités, certains d'entre nous étant plus « sensibles » que d'autres et parviennent à les voir comme ils voient les choses visibles (je mets de côté les charlatans et autres idiots qui profitent de cela pour abuser les autres. D'ailleurs, ceux qui ont ces capacités n'en parlent généralement pas ou alors selon la confiance de la personne avec qui ils partagent).
Les personnes lambdas qui n'ont pas ces fortes capacités médiumniques ont la possibilité d'entre-apercevoir ou ressentir cet invisible par le biais d'autres moyens. Ce peut être par la « méditation », l'hypnose, le silence, un flash spontané venu d'on-ne-sait- où, un accident grave (fameuses «NDI » ou EMI en français) et bien d'autres. L'un de ces autres moyens est le sommeil.
En état de veille, notre cerveau (donc notre mental / esprit) fait sommeil de tout ce qui est lié à notre mémoire conditionné, notre éducation, nos expériences de la journée, nos traditions….Lors de la phase de sommeil où le cerveau est « éteint (je n'ai pas dit mort, juste « éteint »), il se peut, si lucidité et conscience en plein sommeil, de rencontrer, discuter, partager…des moments avec ces entités. La plupart du temps, si et quand cela arrive, nous ne nous en souvenons pas. (cela se travaille éventuellement, par le biais de sommeil lucide, qui serait, avant de s'endormir, de « demander » à son inconscient de rêver en toute lucidité pour la nuit à venir. Ca ne marche pas à chaque fois et encore moins les premières fois, ça demanderait une répétition et un « effort » régulier.)
Pour te répondre, donc, c'est ce que j'entendais par « communiquer avec l'invisible ».

Bien entendu, je tiens à le préciser, cela ne nous empêche pas de rêver. Je ne dis pas au-dessus que notre sommeil n'est lié QUE à l'invisible, non, non. Les rêves ne sont pas qu'une porte de communication avec l'invisible, à mon sens. Ceux-ci sont un moyen soit de trouver des réponses, soit de s'évader de son quotidien, soit de « purger » nos soucis et problèmes quotidiens…etc

J'ai essayé de faire court et clair mais c'est vraiment difficile de parler de ce genre de choses avec des mots et encore plus sur internet, sur un forum qui n'a pas vocation à cela. Donc, ne prenez surtout pas pour argent comptant ce que j'ai écrit et faites-en vous-même votre propre expérience, si tant soit-il que vous en ayez bien sûr l'envie.

Et vous aurez remarqué que j'utilise souvent les guillements pour certains mots. La raison est que la définition donnée à ces expressions ne sont, je pense, pas traduisibles par des mots, j'essaie de coller à ce qu'on en sait (à savoir très peu, finalement).

Mes excuses encore pour le pavé qui, peut-être, n'a pas sa place ici mais on me posait la question donc me sentais l'envie / le besoin d'y répondre, avec mes faibles capacités personnelles.

PPS pour greenflo : tu fais d'ailleurs une bonne remarque quand tu dis ne pas te souvenir de tes rêves : il m'ait arrivé de discuter du rêve avec des personnes qui me disaient ne jamais rêver (différent de « ne pas se souvenir »). Tout le monde rêve. Tout le monde ne se souvient pas des siens, c'est différent. (et si le sujet t'intéresse et que tu parviens, à l'avenir, à te souvenir de quelques rêves, il existe une méthode que je trouve très efficace, pour analyser et traduire ce rêve. (Car le rêve est aussi un message, parfois, que le monde invisible essaie de t'envoyer. Mais c'est un autre sujet. Smiley)
Christ en Gourcuff le 01/08/2016 à 16h18

romainusa
aujourd'hui à 16h11

Si vous n'êtes pas du tout, à aucun degré que ce soit, en accord, même minime avec ce qui suit, je vous conseille fortement d'arrêter de me lire

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Je ne sais pas ce qui suit, du coup je ne sais pas si je suis d'accord, du coup je fais quoi?

Parceque si je lis et que je suis d'accord, ça va. Mais si je lis et que je ne suis pas d'accord on fait quoi?
Comment je dé-lis le déjà lu?
Karim Ben Fantome le 01/08/2016 à 16h19

ORRG
aujourd'hui à 01h19

Je souhaitais justement avoir l'avis des vrais sportifs du forum sur leur fcm. Vraiment au dessus du chiffre théorique ?

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ORRG, je suis un peu en retard mais c'est mon cas. C'est la raison pour laquelle je n'utilise plus le cardio sur ma montre, il me rendait anxieux pendant les courses. Je pense avoir un niveau de cap correct, je vise toujours d'être dans les 5-10 premier % sur une course et des que je plafonne un peu, je vois facilement mon pouls atteindre les 200, alors que j'ai 31 ans et que ma FCM devrait être de 189… J'espère ne pas être un cas isolé.

Du coup, je ne sais pas si d'autres sont dans mon cas mais j'ai une solution : l'ignorer ! Un peu comme j'ignorais mes reçus bancaires le lendemain d'une soirée trop arrosée ou comme j'ignore les résumés des matches du SRFC chaque année quand ca tourne chocolat…