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Une martingale martiniquaise

Les Bleus ont remporté leur final contre le Costa Rica, après avoir été menés 2-0 et par le bout du nez. L'effort de France a payé.
le 10 Nov 2005

 

Ces dernières années, deux buts à remonter pour l’équipe de France, c'est arrivé aussi souvent qu’une réflexion intelligente d’un ministre de l’Intérieur : la dernière fois que les Bleus ont pris deux buts dans le même match, c’était en juin 2004 contre la Croatie (2-2). La dernière fois qu’ils ont été menés 0-2, c’était en février 2003 contre les Tchèques. Et la dernière fois qu’un adversaire a mené 2-0 à la mi-temps, c’était la Slovénie en avril 2000 (score final: 3-2 pour la France).
C'est donc un scénario slovène auquel ont eu droit les spectateurs du Stade Dillon. Avec du suspense, une équipe du Costa Rica douée pour la conservation du ballon et bien dotée en technique individuelle, et un finish à l’arraché – quoiqu’un peu chanceux (premier but hors-jeu, troisième but involontaire)... Il fallait bien ça pour amoindrir le lot de polémiques qui ont accompagné l'organisation de cette rencontre.


Le match
Probablement victime du caractère touristique et festif de leur déplacement, les Bleus sont passés à côté de leur sujet en première mi-temps, négligeant l'engagement minimal exigé par une rencontre internationale. Faute de quoi, ils présentèrent durant quarante-cinq minutes un visage inconsistant, laissant leurs adversaires prendre leurs aises et surtout inscrire deux buts. Le premier survient à l'issue d'un hors-jeu mal joué par la défense, laissant Saborio lancé dans l'axe tromper Barthez (14e). Le second est consécutif à une envolée grégorinienne du gardien, passant totalement au travers d'un centre que Fonseca propulse dans les cages d'une tête bien ajustée.
En guise de réplique, les Français n'offrent que quelques tentatives confuses — tête de Diarra sur corner (6e), frappe du gauche d'Anelka (9e), volée trop ambitieuse d'Henry sur un renversement de Malouda (11e), volée insuffisamment en retrait de Givet à la réception d'un coup franc (33e) — avant de hausser le ton dans le dernier quart d'heure. Après une récupération de Malouda, Anelka, bien lancé sur la droite, envoie son tir s'écraser sur le poteau de Porras Hidalgo (34e), puis celui-ci parvient à extraire le ballon de sa lucarne après une reprise de la tête d'Henry (ou Diarra?) juste avant la pause, à la suite d'un bon centre de Réveillère.

Tout change après la pause, d'abord parce que l'arbitre assistant se montre fort large avec Henry et Anelka, ce dernier n'ayant plus qu'à convertir l'offrande de son partenaire (49e). Surtout, l'implication des Bleus est enfin palpable, et les Ticos n'existeront quasiment plus après une belle occasion qui voit Saborio se jeter en vain sur un centre très dangereux (60e). Mais si la possession française est totale, avec un pressing enfin efficace, c'est surtout au cours des vingt dernières minutes qu'elle se concrétise vraiment. Govou place une grosse frappe qui met encore Porras en valeur (70e), Henry ne parvient pas à maîtriser un centre impeccable de Rothen (75e), mais Cissé met le gardien hors de position en reprenant subitement une passe de Dhorasoo (80e). La suite est à l'avenant, avec une accumulation de situations dangereuses et de coups de pied arrêtés: Govou commet un énorme ratage face au but (84e) après un coup franc détourné, et un joli enchaînement contrôle de la poitrine-tir en pivot d'Henry est détourné par Porras en corner. Sur celui-ci, le pied d'appui de l'attaquant d'Arsenal donne l'illusion d'une talonnade parfaite qui finit dans les cages (87e). À 3-2, les Français n'ont plus qu'à préserver ce score...


La nalyse
Bonne pour le moral, cette remontée du score ne peut masquer les insuffisances initialement constatées dans la récupération et l'animation – les deux domaines étant intimement liés. On peut toujours penser que l'absence de Zidane est la clé de ces manquements, mais l'équipe de France doit impérativement trouver les ressources pour jouer sans lui, d'autant qu'elle a fini par prouver, à Fort-de-France, qu'elle disposait de ces ressources face à une adversité relative. Avant cela, avec une activité insuffisante sur les côtés, elle a laissé Diarra et Dhorasoo se débrouiller pour donner du liant au jeu, ce qui n'a évidemment pas suffi, ni même pour contrarier le jeu des Sud-américains, lesquels se sont régalés avec des redoublements de passes et une bonne exploitation des intervalles.

Avec la reprise en main ultérieure, les enseignements sont toutefois positifs, même si l'on savait déjà que la sélection dispose d'un arsenal offensif presque trop riche, surtout depuis qu'Anelka est venu élargir la gamme des possibles. En se coltinant un football extra-européen, elle a engrangé de l'expérience, et testé quelques associations sur le terrain. On sait aussi où se trouvent les principaux chantiers de Domenech, à commencer par la définition d'une défense qui manque forcément de certitudes étant donnée l'ampleur des changements effectués (y compris au cours de cette rencontre).
Surtout, ces quelques jours de vie en commun arrachés au calendrier des clubs sont forcément bons à prendre, le caractère symbolique de ce déplacement, pour une large partie de l'effectif, ayant ajouté à l'intensité de ce séjour. L'année des Bleus se terminant samedi au Stade de France, il sera alors temps, non pas de dresser un bilan, mais d'entrer dans une nouvelle phase d'interrogation sur les perspectives mondialistes de cette équipe...


Les gars
Barthez n'a pas eu beaucoup d'interventions à effectuer, mais il a commis sa troisième erreur en trois matches, confirmant que son énième retour à la compétition n'était décidément pas le plus facile.
La défense a connu quelques flottements en première mi-temps, Thuram et Givet composant une charnière assez freestyle. À leur décharge, le premier but costaricain est survenu au moment où Abidal, blessé, n'avait pas encore été remplacé. Passé à gauche après la sortie du Lyonnais, Gallas n'y a pas plus brillé que d'habitude, toujours empêtré sur son pied gauche (qu'il a tout de même utilisé, exceptionnellement, pour exécuter un centre presque crédible). Revenu dans l'axe après la sortie de Givet et le passage à un trio défensif, sa carrière internationale ressemble toujours à une longue suite de sacrifices. Logiquement, le jeu offensif a penché à droite, où Réveillère s'est montré volontaire, allant à la percussion et ajustant quelques bons centres, en dépit de quelques complications dans ses choix.

barthez_superman
Le moment précis où Fabien Barthez perd un poing dans son duel avec Coupet.

Diarra a encore été un succédané crédible à Vieira, apportant son impact physique dans un entrejeu où les Ticos ont cependant surtout usé de leur vivacité, et tentant sa chance dans les airs sur les coups de pied arrêtes. Dhorasoo a effectué une prestation paradoxale, à son image. Laissé seul aux commandes par ses partenaires, son manque de prise de risque en première période a ensuite été compensé par son activité de régulation du jeu, sa recherche de percussion et de solutions offensives (il sert Cissé sur le but de celui-ci).
Malouda a lui aussi ouvert le mitigeur: actif et n'hésitant pas à aller au duel, il a encore fait parler sa maladresse récurrente. Wiltord, anonyme en début de match – comme les autres –, n'a pas été réellement décisif mais s'est montré précieux en soutien des attaquants.

Anelka a négocié son retour sans complexes, quitte à jouer les utilités pour Henry en décrochant beaucoup. Il n'a pas été très convaincant dans ce registre, avec trop de mauvaises transmissions, mais a été récompensé de sa disponibilité et de sa combativité par un but forcément utile à sa propre cause. Encore décisif, sur un coup de bol qui compense sa scoumoune depuis plus d'un an, Henry a confirmé son retour en grâce depuis septembre, étalant une grinta plaisante.

Entrés en jeu au cours de la dernière demi-heure, Rothen, Govou et Cissé ont apporté une fraîcheur qui a contribué au renversement de la situation. On retiendra que Cissé, plutôt réputé pour ses grosses frappes dénuées de finesse, a marqué sur un geste instinctif particulièrement bien senti.


Le match de TF1
La délocalisation a du bon : Arsène Wenger, risquant le claquage du cortex, n'a pas fait le déplacement, nous ménageant des vacances, et les deux permanents ont semblé plus décontractés qu'à l'habitude – le Larqué abandonnant au passage une partie de ses troubles obsessionnels compulsifs. Il a cependant souscrit à une de ses grandes habitudes : encenser sans mesure l'adversaire du soir, en se montrant dithyrambique pour un joueur en particulier (le tout au bout de dix minutes d'observation). L'heureux élu a été Gomez, enseveli sous les éloges et promis à un avenir glorieux. Justement, le RC Strasbourg cherche un attaquant comme joker, et le profil du Costaricain rappellerait celui de Chilavert aux spectateurs de la Meinau. Quant à son équipe, si elle s'est montrée habile, il semble difficile de s'enflammer pour elle au vu d'une prestation simplement honorable. Soit Larqué a oublié ce qu'est une équipe de haut niveau, soit il prenait vraiment le Costa Rica pour une équipe de pitres...

On a aussi compté cinq bonnes minutes de discussion à la Nicolas le jardinier pour commenter les "feuilles épaisses" de la pelouse (gros plan à l'appui), qui n'avait rien des gazons anglais que l'on trouve en... métropole (sic). Visiblement, TF1 regrette l'expertise de Guy Roux.

Guerre civile ou pas, la chaîne Bouygues a, comme souvent, offert une tribune de choix à un ministre du gouvernement à la mi-temps. En détenteur du portefeuille de l'Outre-mer, c'est François Barouin qui en a bénéficié cette fois-ci, pour débiter des phrases venteuses. Aussi creux qu'une interview de joueurs.


L'action typique de Jean-Michel Larqué
70e minute. Henry temporise sur l'aile gauche, attendant le bon moment pour exécuter son centre.
– Jean-Michel Larqué : "Maintenant!"
Le ballon est contré par le vis-à-vis d'Henry.
– Jean-Michel Larqué : "Ah! Les Costaricains connaissent TOUT du football!"


Les observations en vrac
> Encore plus silencieux que le Stade de France : le stade de Fort de France.
> Lu sur les lèvres de Barthez après sa sortie ratée : "Il est retransmis en France, le match?"
> Si Domenech n’a pas choisi entre Coupet et Barthez pour le poste de gardien, c’est qu’il le garde pour William Gallas.
> Trezeguet n’a pas fait le voyage aux Antilles parce qu’il ne peut pas rester assis trop longtemps. Il nous ferait une allergie au banc de touche, peut-être?
> Les Bleus ont accepté de verser 30% de leur prime de victoire aux familles des victimes. Avec le reste, soit 18.000 euros, ils peuvent toujours essayer de s’acheter une image de types bien.

Réactions

  • lindo le 10/11/2005 à 22h03
    Un habitant du Costa Rica s'appelle un costaricain. Les deux plouks doivent lire le Larousse avant de commenter.

    Ce samedi, avec Klose en forme, Schweinsteiger inspiré et Ballack des grands jours, on risque gros un lendemain de 11 novembre.

  • fatro le 10/11/2005 à 23h48
    En effet, le Larousse indique bien que costaricain est bien l'ethnonyme de Costa Rica, pourtant costaricien qui n'y figure pas, peut être aussi utilisé... bref !
    Sinon, il faut dire que malgré les éloges exagérés de JML, le Costa Rica reste une bonne équipe, en coupe du monde 1990, ce petit pays s'est qualifié pour les huitièmes de finales, en se jouant de la Suède (2-1) et de l'Ecosse (1-0) qui avait sorti la... France en phase éliminatoire !
    Sinon en 2002, les Ticos ont accroché les Turcs (1-1) demi-finalistes et qui ont distancés les hommes de Guimaraes à la différence de but général...
    Coup de chapeau pour les Français malgré tout, car les Français jouaient à l'exterieur quelque part vu que la selection martiniquaise évolue dans la zone CONCACAF tout comme le Costa Rica (en Gold Cup 2002, le championnat de la zone, la Martinique avait été battu 2-0 par le Costa Rica au premier tour).
    Quant à JML, ses connaissances sur le foot international laisse à désirer : en parlant du Deportivo de Saprissa, il a oublié de dire que ce club va participer au prochain championnat du monde des clubs en 2005 (Saprissa a remporté la ligue des clubs champions de la CONCACAF 2005). Il a même omis de signaler, qu’un quatrième larron (Trinité et Tobago qui s’apprête à affronter Bahreïn ce week end) va peut être rejoindre les Etats Unis, le Mexique et le Costa Rica en Allemagne (il pensait certainement qu’il n’y avait que 3 qualifiés dans la zone). Ah oui, j’oubliais ! JML a commis une erreur de score : le Brésil s’était imposé 5-2 face au Costa Rica au premier tour du Mondial 2002 et non 4 à 2…Mais je n’ai pas crié « 5-2 ! 5-2 ! » devant mon écran, sachant bien sûr qu’il ne m’entendrait pas…

  • suppdebastille le 11/11/2005 à 01h20
    "fatro - jeudi 10 novembre 2005 - 23h48

    Quant à JML, ses connaissances sur le foot international laisse à désirer : en parlant du Deportivo de Saprissa, il a oublié de dire que ce club va participer au prochain championnat du monde des clubs en 2005 (Saprissa a remporté la ligue des clubs champions de la CONCACAF 2005). "

    Non il l'a mentionné.

  • ESD.3 le 11/11/2005 à 10h45
    Flying Welshman - jeudi 10 novembre 2005 - 21h05
    Il tire clairement avantage de sa position, puisque c'est parce qu'il est devant le but qu'on lui donne la balle pour qu'il marque !

    Donc il faut le signaler hors-jeu à partir du moment où il marque. Si Henry marque tout seul, là faut pas siffler.

    Enfin bon ce que j'en dis...
    ----------------------------------------

    Je suis assez d'accord mais c'est un point de la règle qui n'est pas hyper clair. D'ailleurs Yepes avait mis un but validé dans les même conditions contre Nantes : il est hors-jeu sur la premiere passe mais pas sur la remise de Kalou.
    EN général les arbitres appliquent la règle : "on ne signale les hors-jeu que de celui qui reçoit la passe", et dans cette logique Anelka n'est pas hors-jeu.

    Ce qui, comme je l'ai déja dit, n'est pas une règle très honnête pour les défenses. Avec ce genre de règle Romario va pouvoir jouer jusqu'a 70 ans avec un ailier rapide a ses cotés en attendant le ballon devant les buts, pusiqu'il n'a plus à se replacer dans le jeu.

  • suppdebastille le 11/11/2005 à 11h07
    Cette régle c'est vraiment n'importe quoi, elle modifie d'ailleurs largement l'esprit du foot car tout doucement les attaquants vont s'y adapter puisqu'il n'est plus la peine de venir se replacer.
    Il suffit que le joueur qui récupère le ballon décale légèrement un partenaire qui part de derrière pour que tous les joueurs "hors jeu" soient remis en jeu.
    Je n'aime pas vraiment pas cette régle même si dans le cas de Yepes j'étais dans le "bon camp ".

    De toute manière sur le but d'Anelka, il n'y a pas vraiment de débat car Henry était peut être bien hors jeu lui aussi mais TF1 n'a pas été très généreux en ralentis sur cette action.

  • Flying Welshman le 11/11/2005 à 11h51
    Mais le but de Yepes n'était effectivement pas valable pour cette raison !

    Ca me paraît pourtant simplissime à juger : si le joueur qui était hors-jeu au départ finit par toucher la balle et participer au jeu, notamment en marquant, y a hors-jeu (un peu le principe de l'avantage quoi, on revient au début).

    Evidemment, y a débat sur combien de temps on attends avant qu'il ne soit "plus hors-jeu au début de l'action". On attend la fin de l'action, mais qu'est-ce que la fin de l'action, etc... Mais enfin, quand il marque sur le centre, c'est clair comme de l'eau de roche. Pour moi, la règle a un peu changé dans le bon sens, mais les arbitres assistants font toujours preuve de la même méconnaissance du jeu...

    Au rugby, ceux qui sont sur les lignes de touche sont aussi de vrais arbitres de champ de même niveau que celui qui officie au milieu...

  • suppdebastille le 11/11/2005 à 13h25
    On ne va pas relancer le débat mais le but de Yepes est valable car pas hors jeu dans un 2ème temps, je trouve cette règle stupide mais sur ce coup elle a profité au PSG. Je l'avais dit à l'époque.

  • CHR$ le 11/11/2005 à 23h40
    Flying > Hélas tu as tort depuis cette saison. Je dis bien hélas parce que ton explication me semble cadrer parfaitement avec l'esprit de la loi du Hors-jeu.
    Mais la directive de la Fifa sur l'interprétation à donner au hors jeu "passif" est très claire : désormais, seul le joueur qui reçoit le ballon peut-être hors jeu. Les autres attaquants ne le sont pas même s'ils participent ensuite à l'action. En clair, Anelka peut-être hors jeu de 15 bons mètres au départ de la passe pour Henry, si ce dernier n'est pas hors jeu (ce qui n'est pas le cas d'ailleurs il me semble) et que lors du centre, Anelka n'est plus hors jeu, le but est parfaitement valable.
    Et comme cela a été dit, on devrait bientôt voir des attaquants planter leur tente dans la surface avec cette interprétation saugrenue. Mais c'est actuellement bien la règle officielle.

  • Safet le prophète le 12/11/2005 à 21h01
    Règle officielle, oui, mais cela n'empêche pas certains arbitres de siffler des hors-jeu passifs, ce qui retire toute homogénéité à cette règle.
    Ca fait deux gros soucis à propos de ce point de règlement, ça devient grotesque.

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