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Under the Stamford Bridge

Matchbox : Chelsea-Bordeaux. 4-0. Le premier match des Girondins dans cette Ligue des champions 2008 s’est soldé par une défaite aussi lourde que prévisible.
Auteur : Rémi Belot le 17 Sept 2008

 

Buts : Lampard (15e), J. Cole (30e), Malouda (82e), Anelka (90e+1).


La nalyse

Dans son tableau de marche prévisionnel pour ce tour de poules de Ligue des champions, nul doute que Laurent Blanc avait refusé d’envisager de ramener le moindre point de Stamford Bridge. La démonstration de puissance du vice-champion d’Europe hier soir l’a probablement confirmé dans son jugement: il y a peu de chances que le rouleau compresseur londonien abandonne la première place à quiconque dans ce groupe A.

Asphyxie collective
Pourtant, hormis les cinq dernières minutes en forme de bouquet final (un but, deux montants), Chelsea n’avait pourtant pas fait preuve d’une incroyable maestria offensive: les deux unités d’avance à la mi-temps avaient ainsi été acquises sur les deux seules frappes cadrées de ces quarante cinq premières minutes – deux têtes à bout portant consécutives à de naïves erreurs de marquage, sur un centre et un corner adverse. En revanche, dans la maîtrise du ballon, les Blues avaient rendu une copie absolument parfaite, asphyxiant des Girondins incapables de sortir le ballon proprement en leur coupant les transmissions et en exerçant ce type de pressing qui reste inédit en Ligue 1…

À la pause, les Marine et Blanc n’étaient pas parvenus à apercevoir le casque molletonné de Petr Cech à moins de vingt-cinq mètres: seul un bon coup franc de Gourcuff, juste au-dessus de la barre transversale du serein portier tchèque, et deux frappes flottantes mais imprécises de Wendel étaient à porter au crédit offensif du onze bordelais.


Vitesse et précipitation
Menés 0-2 après quarante-cinq premières minutes stériles à tous points de vue, les Girondins n’avaient pour seul solution que de tenter, dans les quarante-cinq suivantes, de se rassurer un peu quant à la valeur de leur collectif. Concrètement, ce fut le cas.
Placés plus haut, et peut-être aidés par une équipe adverse désormais plus économe de ses efforts, Gourcuff et ses coéquipiers se décidaient à faire tourner le ballon, s’offrant même le luxe de chiper quelques ballons de contre sur des balles mal ajustées de l’arrière-garde bleue. Les tentatives de jeu rapide à terre et de combinaisons demeuraient pourtant frustrantes, la dernière ou l’avant-dernière passe étant systématiquement saccagée par un excès de précipitation ou une imprécision.

En face, Chelsea gérait, Petr Cech poursuivant tranquillement sa période de chômage technique. Le score aurait donc pu en rester là, offrant aux Français un digne retour en terres aquitaines. Mais une action de classe d’Obi Mikel sonnait le glas de ces (maigres) espoirs: le milieu Nigérian effaçait deux joueurs et transmettait à Lampard, lequel, d’une talonnade en première intention, lançait Malouda dans la surface. L’ex-Lyonnais expédiait le ballon au fond d’un belle frappe, aussi tendue que croisée, qui heurtait l’intérieur du poteau de Ramé.
Le quatrième but, en forme d’anecdote, scellait le sort de Girondins sévèrement ballotés en première période, et plus courageux en seconde… mais globalement trop faibles et timides pour espérer mieux que cette déroute finalement logique.


Un calendrier idéal…
Aussi cruel que soit le score de la rencontre, ce groupe n’en reste pas moins ouvert quant à la quête de la deuxième place qualificative. La surprenante victoire de Cluj au stade olympique de Rome brouille la hiérarchie du groupe. Ce résultat confirme à la fois la méforme du club italien et la dangerosité de son adversaire roumain, que les Bordelais auraient bien tort de sous-estimer. Pour autant, le calendrier girondin demeure idéal pour une relance: les trois prochaines rencontres les verront affronter la Roma à domicile, et Cluj en match aller-retour.
Au terme de ces quatre rendez-vous, l’équipe bordelaise serait bien inspirée de se présenter avec quelques points d’avance sur ses adversaires, à l’aube des deux dernières rencontres contre Chelsea et au Stade olympique de Rome.



Les gonzes

Bordeaux doit-il s’acheter une défense? Hier soir, la différence de niveau entre les latéraux girondins, Jurietti (à droite) et Placente (à gauche) et ceux des Blues n’était pas vraiment à l’avantage des premiers. Trop lâche au pressing sur les centres de Bosingwa, la nouvelle recrue argentine a ainsi permis à Chelsea d’ouvrir le score dès la 15e minute, même si le latéral partage la responsabilité de cette ouverture du score avec la défense centrale bordelaise.
Que dire d’ailleurs de cette dernière, dépassée une première, fois, donc, sur cette tête de Lampard, puis à nouveau en difficulté sur celle de Joe Cole… 1m75 au garot ? Laissé sur le banc au profit de  Planus, le joueur de tête Henrique a dû apprécier.

Au milieu, Diarra et Fernando ont sévèrement cravaché pour essayer d’offrir des munitions à leur section offensive. Souvent brouillons, et mis sous pression par le milieu adverse, ils ont mis une bonne mi-temps pour trouver enfin un rythme digne de la compétition dans laquelle ils sont engagés.
Gourcuff
a pour sa part surnagé dans ce match, mettant sa finesse technique et sa vision du jeu au service de son équipe: mais Wendel et Gouffran, trop limités tant en vivacité qu’en technique, n’ont jamais su profiter de ces bons ballons pour accélérer le jeu et faire la différence.

Chamakh
, seul en pointe, a fait ce qu’il a pu avec les quelques rares ballons qu’il a eu à grignoter. Victime de plusieurs fautes, il a donné quelques coups francs à ses coéquipiers, mais également un peu manqué de discernement sur les (modestes) contres qu’il a initiés.

Les remplaçants Cavenaghi (pour Chamakh), Obertan (pour Gouffran) et Ducasse (Fernando) se sont mis au diapason du niveau de leurs prédécesseurs.



Les guys

Globalement, la défense des Blues n’a pas eu beaucoup de travail à réaliser. Elle a néanmoins su être présente quand il le fallait, en particulier pour réaliser une pelletée de petites fautes malines: la demi-douzaine de coups-francs obtenus ainsi par les Girondins ont tous fini dans les tribunes ou dans le mur londonien.

Au milieu, Obi Mikel a été impérial, réalisant en prime une action superbe sur le troisième but des Blues. On a également retrouvé le Malouda de l’OL dans le couloir gauche: présent physiquement (il est plusieurs parvenu à faire passer Jurietti pour un Bidibule), il a fait preuve d’une grosse activité par ses appels, et marque un but plein d’adresse technique.

L’autre frenchie de la soirée, Anelka, en a plusieurs fois manqué devant Ulrich Ramé, avant de finalement parvenir à transpercer ses filets dans le temps additionnel. Quant à Joe Cole et Lampard, outre leurs buts, ils ont donné le rythme au milieu anglais.



Les observations en vrac

• Qui a dit qu’il n’y avait pas de spectacle avec les équipes françaises en Coupe d’Europe?
• On a retrouvé le Malouda de l’OL, qui a dû être content de retrouver l’Alou Diarra de l’OL.
Yoan Gouffran, qui disait avant la rencontre "avoir signé à Bordeaux pour jouer ce genre de matches" a-t-il changé d’avis deux heures plus tard ?
• Ricardo Carvalho qui se prend un petit taquet par Franck Jurietti: la Ligue des champions, c’est vraiment le haut niveau dans tous les secteurs du jeu.



Les titres auxquels vous avez échappé

• Four feet under
• Quatre pour le prix de deux
• London Couling

Réactions

  • PlazaAthenee le 18/09/2008 à 15h33
    C'est juste que je trouve ce débat largement usé, en gros on navigue entre une vision pessimiste (celle que tu défends) et une vision optimiste qui s' argumente autour de la glorieuse incertitude du sport (Porto 2004).

    Reste ton idée de petite coupe pour petits clubs tristes mais elle existe déjà. C'est la coupe UEFA. Avec les résultats français qu'on connait.









  • Alexis le 18/09/2008 à 18h02
    trevize découvre le foot.

    Cette position de victime reflète tout ce qu'il y a de navrant dans l'esprit du foot français. Frileux, ennuyeux et techniquement et tactiquement pauvre.

    L'argument de l'argent est sans conteste (avec l'arbitrage) celui qui bat tout les records en matière de victimisation, au nom de la sacro-sainte loi de la "réalité".

    Mais alors que l'on m'explique : on joue le championnat à fond pour se qualifier pour la LdC. Une fois qualifiés, on la joue sans trop de démener, histoire de ne pas perdre de forces en championnat dans la lutte pour une place... en LdC la saison suivante. Magique. Et l'argent du premier tour permet l'achat d'un joueur correct, pour espérer en bon 1/4 de l'UEFA une fois rippé de la LdC. Un simple 1/4 mais pas plus pour garder des forces pour le sprint final dans la course à la LdC.

    Que l'on m'explique aussi la tactique suivante : blinder la défense et serrer les fesses pour espérer par le plus pur des hasards atterrir une fois dans la surface adverse et réduire le score, histoire de ne pas rentrer à la maison la valise pleine. Bordeaux 2008 est au moins la 10e équipe française à tomber dans le panneau. Le prétexte ? De toute manière on a paumé, quoi qu'on fasse. Alors pourquoi au contraire ne pas jeter tout son courage et toute son audace dans la bataille ? Je trouve cela bien plus navrant d'en prendre 4 en misant tout sur la défense face à une équipe qui ne semble même pas forcer plutôt que d'en prendre autant en ayant tout tenté.

    En lisant trevize, j'ai cru un moment être renvoyé sur le fil VIP il y a 4 ou 5 ans...

  • funkoverload le 18/09/2008 à 18h24
    Mon pauvre Alexis trevize découvre peut-être le foot mais toi tu sembles découvrir le match.
    Dire deux fois sans sourciller qu'on a joué la défense à Chelsea est assez drôle, bien que cela frise plutôt l'indécence.
    On peut ne pas être d'accord avec trévize sans pour autant raconter n'importe quoi.

  • trevize le 18/09/2008 à 19h32
    ParisHilton
    jeudi 18 septembre 2008 - 15h33
    Reste ton idée de petite coupe pour petits clubs tristes mais elle existe déjà. C'est la coupe UEFA. Avec les résultats français qu'on connait.

    pourquoi "petite" et pour clubs tristes ? C'est du foot, quoi, c'est pas non plus holiday on ice ou bigard à bercy ! Bon bien sûr, si vous voulez des paillettes avant toute chose, je comprends mieux.
    -----
    Alexis
    jeudi 18 septembre 2008 - 18h02

    trevize découvre le foot.
    -> ben non justement, c'est que j'ai sans doute connu un autre temps, où même qu'il y avait trois coupes d'europe et pas de coupe de la ligue, tu te rends compte ?

    ---
    Mais alors que l'on m'explique : on joue le championnat à fond pour se qualifier pour la LdC. Une fois qualifiés, on la joue sans trop de démener, histoire de ne pas perdre de forces en championnat dans la lutte pour une place... en LdC la saison suivante. Magique. Et l'argent du premier tour permet l'achat d'un joueur correct, pour espérer en bon 1/4 de l'UEFA une fois rippé de la LdC. Un simple 1/4 mais pas plus pour garder des forces pour le sprint final dans la course à la LdC.

    ---> voilà, tu as tout compris au foot Alexis. Et on sera obligés de continuer comme ça tant qu'on aura des clubs qualifiés en LdC.

  • Qui me crame ce troll? le 19/09/2008 à 09h40
    Apparemment, ce n'était pas si difficile de voir ce match puisqu'il y a un compte-rendu et pas sur OL-Fiorentina.

  • Alexis le 19/09/2008 à 11h12
    trevize,

    tu souhaites donc voir l'UEFA créer une coupe d'Europe taillée sur mesure pour les clubs français parce que tu estimes que la LdC est trop difficile pour nous ? Pour ma part, je trouve que c'est une conception du sport un peu étrange.

    Dans ce cas, pourquoi ne pas songer à une coupe d'Europe pour les Luxembourgeois et le Liechtenstein, par exemple ?

    Toute compétition sportive regorge de candidats qui ne pourront jamais (sauf exception) la gagner. Et alors ? Pourquoi Grenoble s'est-il arraché pour monter en L1 puisqu'il sait qu'il ne boxe pas dans la même catégorie que l'OL, le PSG, Bordeaux ou Marseille financièrement et techniquement, et surtout, qu'il ne gagnera jamais la L1 ?

    Je suis malheureux de comprendre à travers ton discours que le terrain n'a plus d'importance. L'essentiel semble être les calculs d'épicier à plus ou moins long terme qui permettent de conserver un équilibre financier, sans autre forme d'ambition, surtout pas sportive.

    Dans ces conditions, je ne comprends définitivement pas quel peut être l'attrait du sport pour un spectateur/supporter/observateur.

    (funk, pardonne-moi car je me trompe peut-être, c'est vrai, mais j'ai comme dans l'idée que Bordeaux a joué avec un système renforcé au milieu pour consolider le bloc défensif et a présenté un projet de jeu bien plus prudent qu'à l'accoutumée. Impression faite sur un long résumé du match et les déclarations même de Blanc avant et après le match)

  • trevize le 19/09/2008 à 13h53
    Alexis
    vendredi 19 septembre 2008 - 11h12

    Alexis, je ne veux pas d'une coupe taillée sur mesure pour les clubs français. Je veux une coupe d'Europe qui respecte une certaine équité sportive. C'est-à-dire pour laquelle l'écart entre les chances de chacun de l'emporter au final ne soit pas démesuré, comme c'est le cas aujourd'hui en LdC.

    "Toute compétition sportive regorge de candidats qui ne pourront jamais (sauf exception) la gagner".
    ---- >Tout est dans le (sauf exception). Le problème avec la LdC dans sa formule actuelle, et surtout le système de poules d'entrée de jeu, ne permet pas ses exceptions. Cette 1ere phase demande une telle énergie aux clubs - ne serait-ce que pour bien y figurer - que, pour ce qui est des clubs français, ils le paient en championnat durant la première partie de saison.
    Les yeux ouverts, il faut admettre que si l'UEFA a supprimé les éliminations directes lors de ce premier stade de LdC, c'est bien pour protéger les plus gros clubs d'une éventuelle surprise, et éviter de perdre trop tôt ces "gros clients" qui génèrent tant de retombées médiatiques.

    Regarde les résultats des matches de mardi et mercredi, et imagine-les en match aller d'un système à élimination directe. On est quasi assurés de perdre la Roma, Lyon, Eindhoven... La Juve n'est pas rassurée, Arsenal n'est pas à l'abri, MU et le Werder s'inquiètent, et même le Barça pourrait disparaître. Qualifiés ? Cluj, la Fiorentina, l'Atletico Madrid, et pourquoi pas Kiev, Villareal, voire Famagouste ! Sauf que dans ce système LdC, les gros seront quasiment tous là au sortir des poules.

    Pour conclure en répondant à ton "Je suis malheureux de comprendre à travers ton discours que le terrain n'a plus d'importance", le terrain reste le plus important pour moi. Sauf qu'en LdC, je ne pense pas que ce soit le cas. Le plus important, c'est le banc de touche, c'est la diffusion TV, c'est les "affiches exceptionnelles" à proposer au chaland, c'est les paillettes, c'est le tiroir-caisse.

    Un dernier point : le patron pétrolier d'un club anglais (city je crois) a proposé environ 150 millions d'euros pour acheter un joueur. pour l'heure, les autres clubs disent que "ce n'est pas raisonnable". Jusqu'au jour où l'un d'eux dira : "ok, je signe où ?" Et on sera encore monté d'un cran dans cette sorte de guerre aux armements.

  • trevize le 19/09/2008 à 14h07
    J'oubliais une chose : quel peut être l'attrait d'un sport quand tu sais qui ne gagnera pas à la fin ? La "glorieuse incertitude du sport" est bannie de la LdC justement parce qu'elle apporte trop d'incertitudes vis-à-vis des investisseurs. Après tout, c'est normal : quand tu achètes un joueur 40 millions d'euros, tu as intérêt à aller jusqu'au bout pour rentabiliser.
    Franchement, de savoir qui de Madrid, Munich, Manchester, Chelsea ou Arsenal va gagner la LdC, ça ne m'intéresse aucunement.

    L'ambition ? Tu as entendu un président de club français, ou un entraîneur, dire en début de saison "on vise la victoire en Ligue des Champions ?". Moi, non.
    Alors on peut toujours dire qu'on y va pour apprendre, pour progresser. Mais là, on a une jurisprudence lyonnaise bien établie : après huit ans de présence , toujours pas une demi-finale ! Où est l'apprentissage, la progression ?

  • rom's le 19/09/2008 à 14h23
    Dynamo Kiev
    Valence 2 fois
    Bayer Leverkusen
    La Corogne
    Porto
    Monaco (club presque français)
    Villareal

    En demi-finale ou mieux depuis 10 ans. Des exceptions, il y en a peu, moins qu'à l'époque bénie des tours à élimination directe d'entrée de jeu, mais il y en a. Toujours avec des équipes qui jouaient un foot offensif.

  • FPZ le 19/09/2008 à 14h34
    On stigmatise les phases de poule, mais une fois les matches à élimination directes arrivés, la donne ne change quasiment pas :

    L'an passé, les Anglais ne représentaient que 25 % des 1/8 de finalistes (normal, il y avait que 4 clubs !), mais 75 % des 1/2 finalistes.
    Et encore, le seul éliminé (Arsenal) l'a été par un autre Anglais (Liverpool)

    On pourra changer à l'envi les formules, c'est pas ça qui augmentera les chances des clubs français en C1 (ou néerlandais ; ou portugais ; etc.)
    "Sauf exception", évidemment...

La revue des Cahiers du football