Le cable réseau du serveur étant presque saturé, merci de ne vous connecter qu'en cas d'absolue nécessité de vous amuser. Attention à ne pas confondre vos minuscules et vos majuscules.
Vous avez oublié votre mot de passe ?
Inscription
Vous avez oublié votre mot de passe ? Il reste un espoir ! Saisissez votre adresse e-mail ; nous vous enverrons un nouveau mot de passe. Cette procédure est quasiment gratuite : elle ne vous coûtera qu'un clic humiliant.
Nous vous avons envoyé un email sur votre adresse, merci d'y jeter un oeil !

CONDITIONS D'INSCRIPTION :

1. Vous devez nous adresser, via le formulaire ci-dessous, un texte (format .txt inférieur à 100 ko) en rapport avec le football, dont la forme est libre : explication de votre passion, anecdote, aventure, souvenir, essai, commentaire composé, portrait, autobiographie, apologie, réquisitoire, etc. Vous serez ensuite informés de la validation de votre inscription par mail. Les meilleurs textes seront mis en ligne sur le Forum.

2. Nous ne disposons pas d'assez de temps pour justifier les retards d'inscription ou les non-inscriptions, et ne pouvons pas nous engager à suivre une éventuelle correspondance à ce sujet. Merci de votre compréhension.

Nous avons bien reçu votre candidature, on y jette un oeil dès que possible. Merci !

Partager :

Restons classiques

Tribune des lecteurs - Dans une "entreprise classique", selon Jean-Luc Gripond, Mickaël Landreau aurait été viré. Soit, considérons donc le FC Nantes comme tel...

Auteur : Zil le 13 Jan 2005

 

 

Voilà l'entreprise FC Nantes, son patron Jean Luc Gripond, ses actionnaires Dassault (majoritaire) et Socpresse, ses employés administratifs et techniques (les joueurs) et leur représentant (surnommé capitaine), ses cadres (le staff). Son activité: le football. Ses clients: les supporters, qui payent un abonnement aux fins d'assister à un spectacle plaisant à ses yeux et techniquement efficace, au point de le porter, à terme, en leader du marché national du spectacle footballistique. À noter que ces mêmes clients s'impliquent parfois au-delà de l'achat des prestations de base (le spectacle), en investissant dans les produits dérivés qui, en plus de fournir une manne supplémentaire à l'entreprise, participent de son image de marque. Certains vont même jusqu'au bénévolat, apportant une aide humaine et matérielle afin de mettre les techniciens dans les meilleures conditions, valorisant par là-même le spectacle, activité principale.

 

Révolution managériale
Le décor est planté. Considérons le passé de l'entreprise qui a, par huit fois lors des quarante dernières années, terminé son exercice par un leadership technique, portant même son savoir faire sur le marché européen, se classant même il y a neuf ans parmi les quatre meilleures entreprises d'Europe sur ce marché bien spécifique. Considérons également son image de marque, bien que ce thème soit plus subjectif: savoir-faire technique (jeu à la nantaise), stabilité des cadres développant une stratégie maison (Arribas, Suaudeau...), politique réputée de formation, tant au niveau des ouvriers que des cadres.

 

Penchons nous maintenant sur la période juin 2001- janvier 2005. Nous partons d'une position de leadership, acquise quelques mois après l'arrivée de l'actionnaire SOCPRESSE, à l'époque majoritaire. Techniciens et cadres maison, position valorisante sur le marché européen, perspectives d'avenir avec un véritable capital humain. La nouvelle direction se lance alors dans une politique de développement marketing visant à rajeunir et moderniser l'image de marque. Création d'un site Internet sur la santé, organisation d'universités d'été, modification du logo de l'entreprise... D'autre part, la nouvelle direction tient à laisser son empreinte dans les méthodes traditionnelles du club, concernant les primes dévolues au personnel administratif notamment.

 

Quel bilan ?
D'un point de vue relationnel: une ambiance délétère, une rupture totale entre les différentes composantes de l'entreprise et la direction, le cloisonnement — qui entraîne la multiplication des clans, réseaux d'influence, et courants de pensée. Ceux-ci s'opposent, remettant systématiquement en cause le travail des cadres techniques. En témoigne une célébration des soixante ans de l'entreprise, muée en célébration des quarante ans en Ligue 1, à l'occasion de laquelle certaines figures brillent par une absence contestataire.

 

D'un point de vue marketing, l'échec est cuisant. Le site Internet anonyme, des universités d'été qui ne déclenchent pas l'enthousiasme, un logo contesté, une image de marque brouillée. Les clients feront remarquer leur désolation devant le déplacement du logo, pour laisser la place du coeur à un sponsor...

D'un point de vue financier : un trou apparu au lendemain d'un exercice victorieux, suivi d'une campagne européenne dont on sait qu'elle fût fructueuse, et un déficit continuel, ayant toujours besoin de plus de financement, mais dont on commence à croire qu'il est chronique à défaut d'être avéré. En découlent des doutes sur la réelle implication des actionnaires, et l'emploi judicieux des bénéfices antérieurs.

D'un point de vue technique: perte totale de crédibilité nationale, d'efficacité et du savoir-faire maison, fronde des salariés. D'autre part, cette période se démarque par la relative et inhabituelle instabilité des cadres techniques, qui seront en janvier 2005 au nombre de quatre en quatre ans, alors même que les quatre derniers s'étaient partagé vingt ans de la vie de l'entreprise.

 

D'autre part, ces constats d'échec doivent être interprétés comme de récurrentes erreurs de recrutement, qui se répètent au niveau du technique. Associée à la vente des meilleurs éléments aux entreprises concurrentes, cette saignée de compétences humaines amène logiquement une décrédibilisation de la société, comme en attestent les affaires Danciulescu et Farias, voire la récente panique autour du cas Keserü.

 

Le nouvel actionnaire et les mutinés
Le cercle vicieux se referme au niveau des compétences avérées de la société FCN. Partie d'une place de leader national, placée sur le marché européen, celle-ci a rétrogradé d'un coup à la dixième place, puis la neuvième, la sixième, et se situe à mi-exercice 2005 en seizième position... Le marché européen n'est qu'un lointain souvenir, puisque ce sont trois ans de disette qui viennent de se succéder, les Tchèques se montrant cette année plus performants... Cela a au moins le mérite d'éloigner le spectre d'une délocalisation.

 

Voilà donc une situation brouillée, accentuée par l'irruption involontaire et inassumée d'un actionnaire majoritaire qui n'a aucune visibilité sur le marché, ni aucune perspective. D'autre part, à sa méconnaissance du secteur d'activité s'ajoute une ignorance totale de la culture propre à cette entreprise vieille de soixante ans. Logiquement, les employés placés en première ligne, en proie au doute, perdent patience, après quatre ans d'inefficience de la direction. Par la voie de leur représentant, voilà qu'ils s'expriment, dénoncent les insuffisances de leur encadrement.

La direction répond par des menaces de sanctions contre le capitaine, qui ne joue pourtant que son rôle social au sein de l'entreprise. Le plus invraisemblable dans cette affaire étant que les clients sont en immense majorité derrière les employés! Voilà donc ceux-ci qui se resserrent autour de leur porte-parole, menacent de grève tant que celui-ci sera sanctionné, approuvent son coup de gueule. Et une direction qui, pour calmer le jeu, coupe des têtes, rejetant la faute sur ces derniers.

 

Dans une entreprise classique, qui aurait vu en quatre ans son image de marque bafouée, son savoir-faire anéanti, ses clients manifester continuellement leur mécontentement, sa position stratégique chuter au niveau national, sa position internationale disparaître tout bonnement et enfin son recrutement tourner à la catastrophe, non seulement Mickaël Landreau n'aurait pas pu être licencié, mais le président ne serait plus en place depuis longtemps.


Retrouvez Zil et ses jaunes camarades sur diabolonantes.com.

Réactions

  • coolitzer le 16/01/2005 à 19h14
    Ce qui me sidère wiltordu (malgré tout le respect que je te porte), c'est que tu n'aies pas compris la spécificité nantaise. Je trouve que tu as parlé un peu vite comme ton président d'ailleurs, ce qui fait souvent dire des bêtises (malgré tout le respect, etc).

    Aligner deux - trois passes, ce n'est PAS jouer à la nantaise !!! Il faut arrêter avec ça, Lyon en est loin encore. Et du jeu à la Nantaise (je n'aime pas non plus cette expression, car elle est tellement réductrice) on n'en a pas vu depuis 95, y'en a quelques bribes dans les matches de 2000-2001 (le but d'Olembe contre l'OM par exemple). Hier les jaunes en ont fait ressentir les prémices par moment, mais ce n'est pas pour autant à l'ordre du jour

    Quant aux jeunes du centre, là encore, regarde ce qui se fait. Bien sûr y'a Bergougnoux, Ben Arfa et consors, mais y'a toujours eu (Gava, Maurice et leurs potes). Tu oublies un peu vite Toulalan, Faé, Drouin, Keseru, et j'en passe. Le centre vit encore, rien n'est fini.

    Désolé de te décevoir, mais les jaunes sont encore là, ce club a toujours eu une vie cyclique, mais il revient inlassablement, et ça ne va pas tarder. Ça n'enlève rien à Lyon, qui est le porte drapeau du foot français, et l'un des plus convaincants depuis bien longtemps, mais une culture ça prend du temps à se construire.

    Bon qui a fait dévier ce fil sur Lyon ? ^^

  • paulo les gaz le 16/01/2005 à 21h16
    il me semble que celui qui a fait dévier le sujet est un supp parisien...

    Mais je pense que cet article dépasse le cadre nantais et va dans le sens d'une inquiétude générale (que je rejoindrais de la dérive sécuritaire ou de la notion de foot comme un "spectacle")... C'est à dire, le développement de la L1 comme s'il s'agissait d'un marché d'entreprise comme les autres...

    Je pense que ce danger est important, surtout pour ceux qui voient avant tout le foot comme un plaisir (c'est à dire presque tout le monde ici ou du moins je l'espère). De plus à mon avis le danger réside dans une "anglicisation" (ca se dit?), avec des matchs à 60€ en virages (j'adore les graphiques de 0.80€ comparant le prix moyen des billets en France et en Angleterre pour montrer le retard de la France)...
    Ainsi, le foot deviendra une vraie entreprise du spectacle mais aucun problème ne sera reglé. Les Fafs ne recruterons plus dans les stades mais dans les bars, les hools ne se taperont plus dans les stades mais dans les bars ou dans la rue (toute ressemblance avec l'Angleterre...) Et le foot français ne sera pas meilleur puisque ce qui fait la différence avec la réussite du foot anglais ce n'est pas l'argnet ou les impôts mais bel et bien la distinction entre le sportif (le manager, les joueurs...) et le business (le président).

    Alors que ceci n'existe pas en France. En france, un président incompétent en foot (et la liste est longue) rend son équipe incompétente. Alors, Wiltordu, je suis désolé de te contredire, mais en 87, quand Aulas arrive à la tête de Lyon, il n'y connait rien de rien (il n'aime que le basket)... Mais il a le truc de récupérer des gars qui s'y connaisse (Lacombe, Domenech...) pour lui filer un coup de main et de s'occuper du sportif. Depuis, cela ne change pas, quand Aulas parle de foot, soit il ne dit rien (je suis content, je suis pas content) soit il parle de ce que les gars chargés du sportif lui ont dit.

    Bref, je pense que Lyon n'est pas forcement un exemple à suivre, car un peu particulier (je vois mal un président à Paris pouvoir rester en plance dix ans sans ramener de titre) mais n'est pas non plus "l'horreur du foot business" que les détracteurs passionnés veulent nous faire croire. Je dirais que, à l'image de sa ville, l'OL est un mélange étonnant de fric et de coeur, de froideur "bourgeoise" et de passion intérieur (je deviens lyrique j'arrête!). En clair, Aulas et Lyon ont réussi à faire le lien entre l'organisation à l'anglaise, le jeu (qu'on peut qualifier de latin, fait de technique et d'accentuation du milieu de terrain) et une ambiance à la française, avec des virages de plus en plus dynamiques et importants, mais quand même sous contrôle. Cependant, cet équilibre est précaire et surtout difficilement exportable dans des clubs avec un passé glorieux.

  • coolitzer le 16/01/2005 à 22h43
    Voilà, c'est ce que je voulais dire... lol bravo paulo

  • wiltordu le 17/01/2005 à 01h30
    Moi aussi c'est ce que je voulais dire ....re lol.
    En fait c'est en Hand qui s'y connaissait le JMA.

  • paulo les gaz le 17/01/2005 à 01h36
    j'me disait bien que c'était pas le basket...

  • CHR$ le 17/01/2005 à 10h11
    Tiens cet article m'avait échappé.

    "coolitzer - dimanche 16 janvier 2005 - 19h14
    Bon qui a fait dévier ce fil sur Lyon ? ^^"

    Je pense que c'est ça :

    "tetejaune - vendredi 14 janvier 2005 - 02h21
    Ca me fait de la peine d'ecrire ca mais quand je vois les joueurs aseptises de Lyon, je me sens devenir supporter des verts, c'est quand meme triste."

    Ce qui innocente en partie "un supp parisien", qui n'a fait qu'en rajouter une (grosse) couche.

    Sinon pour revenir dans le sujet, je ne me joins pas au concert de louanges parce que je trouve l'article assez mauvais (mais sans volonté de nuire de ma part).

    Autant l'idée de pousser à l'extrême la comparaison "dans une entreprise classique" est une vraie bonne idée, autant je suis déçu par sa réalisation.
    D'une part parce que je ne suis pas convaincu par certaines comparaison foot-entreprise, en particulier sur les résultats, voire parce qu'il n'y a pas vraiment de transposition faite au monde de l'entreprise (sur les transferts en particulier),
    mais surtout en fait pour la conclusion :

    Les entreprises où un nouvel actionnaire arrive sans connaître le métier en question, ni la culture de l'entreprise, remplace tous les cadres, change la philosophie de la maison et coule les résultats, il y en a légion.
    Et dans ces entreprises, si un employé l'ouvre (surtout s'il est délégué syndical), en général on trouve vite un moyen de le dégager. Et la fin de l'histoire, c'est surtout que l'actionnaire finit par se débarasser de l'affaire en essayant d'en tirer le plus possible, ce qui est en général incompatible avec un avenir radieux à court terme de l'entreprise.

    Et ramené au club de football FC Nantes, c'est un scénario plus que probable : désengagement de Dassault après retour aux bénéfice obtenu en dispersant tout ce qui peut avoir un peu de valeur dans le club.

  • jonaldo le 17/01/2005 à 14h20
    Paulo, un peu plus et on se prendrait a aimer l´OL a la lecture de ton post. Tres bonne explication en tout cas. Tu as oublié de mentionner un autre personnage tres performant a Lyon : le préparateur physique. Car votre équipe a un physique nettement au dessus de la moyenne de L1. Il n´y a qu´un pas entre cette remarque et la calomnie, je ne le franchirai pas.
    Ah tiens, si, je l´ai franchi.
    Bon, pour revenir a ce qui nous intéresse : effectivement, c´est un supporter de Nantes qui a fait dériver ce fil vers l´OL (bouh, vilain tetejaune). Mais est-ce surprenant ? Je suis supporter nantais et je comprends cette réaction. Nous sommes jaloux de la progression de l´OL ces dix dernieres années, que l´on qualifie (a raison, mais bon, les résultats sont la) de "conséquence d´un froid calcul". Et c´est la qu´en tant que supporters nantais, on se permet de remuer le couteau dans le beurre blanc. Car en matiere de calcul, on ne peut pas dire que nos présidents successifs aient réussi a construire des équipes solides sur le long terme (Qui sait ce que l´on aurait fait en CL 1996 avec Loko et Karembeu, par exemple). On a pourtant eu quelques générations dorées, mais le club s´est révélé incapable de conserver les meilleurs joueurs. On va dire que c´est plus facile de mobiliser des investisseurs dans le football dans une ville d´1 million d´habitants que dans une de 350 000 (ne m´engueulez pas, j´évalue ces chiffres a avec le célebre pifometre de Superdupont). Soit.
    Mais il y a dix ans, l´OL patissait (aucun rapport avec la patisserie, et désolé pour láccent circonflexe, inconnu des claviers d´ici) d´une réputation bien moins bonne que le FCNA. Ce dernier allait finir champion de L1 avec une seule défaite au compteur, Lyon deuxieme. Le FCNA gagnait, a la fin de cette saison-la (a Gerland, faut-il le rappeler), son septieme titre, tout en ayant enthousiasmé les foules par un jeu tres agréable a regarder.

    Alors forcément, quand on compare les joueurs évoluant dans les deux équipes a l´époque et celles d´aujourd´hui, on ne se pose pas la question de savoir qui a fait preuve de "froid calcul".
    Je crois que les supporters nantais qui fréquentent ce site ne regrettent pas que le FC Nantes ne soit pas devenu la vitrine du foot-business a la francaise.
    Tout le monde a conscience que le club pourrait etre a une toute autre place aujourd´hui, sans avoir développé de FCNA-coiffure (malgré le lobbying de Piocelle a une époque).
    Alors en tant que supporters d´une "certaine idée" (je sais, cela semble arrogant mais il faut parfois sembler arrogant pour défendre des idées, pas un supporter lyonnais ne pourrait dire le contraire;-) ) du foot, on se permet de vanner un peu ceux qui nous semblent éloignés de ces idéaux. Meme si on sait pertinemment qu´on aura pour réponse :"On s´en fout d´etre populaires, on est champions depuis trois ans, on est les meilleurs, l´OL est aimé a Lyon, et on est l´équipe la plus populaire chez les 7-14 ans, etc."
    C´est pourquoi je salue ta réponse, paulo les gaz. Parce qu´a chaque fois que j´ai donné des coups de griffe a l´OL sur ce site (oui, ca m´arrive, quand je suis de mauvaise humeur), je n´ai eu pour réponses que :
    -"Ton post est un ramassis de clichés"
    -"Tu es vraiment un comique"
    -"Depuis quand Nantes n´a rien gagné?"
    Et j´en passe. Mais d´arguments, point. Sauf une fois, ou shev passait par la, et qu´il a expliqué son point de vue, qui n´était pas le mien, mais qui avait le mérite d´etre développé et de ne pas donner dans l´invective.
    Bon voila, j´acheve ce gros roman sans intéret (et sans accents graves et circonflexes ni cédilles, je me répete) destiné a saluer l´argumentaire de Paulo.
    PS : désolé de ne pas avoir recentré
    la conversation sur un terrain plus nantais.


  • axgtd le 18/01/2005 à 09h18
    Bon, la vraie question est celle-là :
    Qu'est-ce que Dassault va couler en premier, le FCNA ou le Figaro ?

    J'aurais bien une préférence...

  • Lee le 18/01/2005 à 11h00
    Il faut se souvenir que, à part Lyon, Nantes est la dernière équipe à avoir gagné le championnat.

    Pour revenir à l'article et aux réactions, je trouve que la comparaison Club-Entreprise est bonne. D'ailleurs je trouve que la comparaison Club-Famille est hors sujet dans les clubs dépassant la DSR et la comparaison Club-Association ( francaise ) est peu crédible avec les clubs amateurs.

    Peut-être faut-il trouver encore une autre comparaison, ou bien même ne pas en cherchant en admettant que le Club de L1-L2 a un statut foncièreement à part ?

    Dans tout les cas je trouve une comparaison très évidente entre le FCNA et une Entreprise, c'est le flou qui planne autour des :
    - responsabilités,
    - rémunérations,
    - subordination,
    - flexibilité,
    - stratégie ( objectif ) à court, moyen et long terme,

    J'ai beau lire des organigrammes et des discours de présisdents, chaque année tout est chamboulé.

  • Lee le 18/01/2005 à 11h02
    Erratum pour éviter le non-sens :
    " la comparaison Club-Association ( francaise ) est peu crédible avec les clubs PROFESSIONNELS. " et pas amateurs.

    Pour les fautes d'orthographe, débrouillez-vous ;)

La revue des Cahiers du football