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Messieurs les Lyonnais, vous repasserez

Plutôt que de regretter un statut de mal-aimés qui s'explique pourtant assez bien, l'OL et ses supporters feraient mieux d'en prendre leur parti. Analyse d'un désamour logique.
Auteur : Étienne Melvec le 24 Avr 2006

 

Aux grandes années, le destin des Verts était d'être populaires, jusqu'à l'excès. Celui des Marseillais, de flirter avec les limites. Sans modération. Celui des Parisiens, de verser, à un moment ou un autre, dans le burlesque. Exagérément. Le destin des Lyonnais, c'est d'être... pas assez aimés. Jamais assez aimés. L'OL est toujours dans le moins, navigue dans l'en-deça. L'excès façon lyonnaise, c'est cette série inédite de titres, obtenus de manière de plus en plus "inexorable", selon le vœu de Jean-Michel Aulas qui qualifiait ainsi, il y a quelques années, la future consécration de son club. Une méthode qui n'encourage pas la fameuse "passion", même si elle ne l'exclut pas. Décréter ce déficit et en gloser est d'ailleurs particulièrement inintéressant, même si c'est très courant. Au moins postulera-t-on que même si les sondages accordent à Lyon la première place "dans le cœur des Français", il lui "manque" effectivement quelque chose. Après avoir abordé les aspects sportifs dans le numéro 25 ("Lyon: pas de génie sans bouillir"), venons-en à des éléments plus symboliques, c'est-à-dire à ces quatre carences élémentaires qui empêchent l'Olympique lyonnais…


Les histoires les plus courtes…
Les règnes stéphanois et marseillais furent presque aussi hégémoniques. Mais les procès faits à ces deux clubs ne furent pas de même nature. Aussi, plutôt que de chercher dans tel ou tel atavisme local les raisons de la spécificité de cet Olympique-là, on ferait mieux de considérer simplement son histoire. Un constat s'impose d'emblée: son ascension ne repose pas sur des antécédents très forts, même s'il serait idiot de lui nier toute mémoire. On peut ainsi souligner, sans lui faire injure, la disproportion totale entre son palmarès au 20e siècle et son parcours au 21e. L'armoire à trophées lyonnaise a sextuplé de volume en cinq ans...
Un véritable choc culturel qui implique que l'OL d'aujourd'hui n'a que lui-même pour modèle: pas seulement en raison de la singularité du modèle aulassien, mais aussi parce qu'il n'a pas de référent fort dans son propre passé.

Ainsi, émergeant d'un long anonymat relatif, le club n'a pas connu... la chute, tout simplement, celle qui confère à l'expérience d'un supporter toute la richesse d'une palette de sentiments qui incluent l'amertume, la déception, la nostalgie, les souvenirs enjolivés, etc. On comprend que les soutiens de l'OL ne soient pas très pressés de connaître ces affres, mais ils doivent alors accepter le regard des autres, qui n'est pas seulement empreint de jalousie mais aussi du sentiment qu'il manque quelque chose à ce club dont la grandeur – réelle – est trop récente dans un sport qui accorde tant d'importance aux souvenirs glorieux, aux certificats d'authenticité délivrés par les livres d'histoire, à l'épaisseur des souvenirs.

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Syndrome Anquetil
Gérard Houllier, ayant plusieurs fois recouru à la métaphore cycliste au cours de la saison pour évoquer les "séries de cols" que son équipe devait franchir, prenons sa roue. Pas pour évoquer la préférence supposée des Français pour les valeureux seconds au travers du mythe de Raymond Poulidor, mais plutôt pour rappeler que la contrepartie nationale de celui-ci, que son indispensable moitié, c'était Jacques Anquetil... Une machine à gagner froide et antipathique, encore plus que Merckx. Le problème est qu'en guise de référence importée de la petite reine, plutôt qu'un Anquetil qui savait tirer de ses victoires d'autres formes de reconnaissance, c'est Armstrong et son règne qui viennent à l'esprit. La Ligue 1 n'arrive même pas, en effet, à opposer un second sympathique au leader lyonnais, ne serait-ce que parce que Poulidor était régulier à la seconde place, lui, et que le duel passionnait les foules.

Résultat : il faut aux dirigeants et joueurs lyonnais répéter à quel point ce dernier championnat fut difficile à conquérir, qu'il l'a été "de haute lutte" – en dépit de l'évidence et sans convaincre, forcément. On touche là une des nombreuses ingratitudes du haut niveau: l'exploit consistant à s'y maintenir est énorme, mais mal reconnu, et la performance sportive n'est pas vraiment valorisée sous cette forme quasiment routinière.
Il manque donc à l'OL des rivaux sérieux et durables. Il lui manque donc d'avoir laissé échapper un ou deux titres – ce qu'on peut difficilement lui reprocher... Mais aussi de n'être pas aller porter ailleurs une flamme qui pouvait difficilement s'embraser dans le cadre étriqué de la Ligue 1.


L'Europe, l'Europe, l'Europe !
Ni équipe de coups, ni équipe de coupes – comme semble le confirmer ce contraste persistant entre des parcours impeccables dans les poules de la C1 et des éliminations qui paraissent toujours prématurées – l'OL a donc surtout échoué à sortir des sentiers battus du championnat pour enrichir son histoire d'une saison européenne exceptionnelle véritablement mémorable, ou encore pour agrémenter son palmarès d'un doublé national.
L'urgence à enfin décrocher un titre européen, ou du moins à vivre une épopée jusqu'en finale, se fait un peu plus vive chaque saison, sous peine de laisser la trace paradoxale, dans l'histoire, d'un profond sillon en France et de quelques éraflures en Europe. Imaginons un retour en force des rivaux français de l'OL: voyez le tableau si plusieurs d'entre eux en venaient à dépasser régulièrement le seuil de compétence européenne des Lyonnais... Déjà, en 2004, l'OM et Monaco lui avaient nettement volé la vedette avec leurs finales continentales.

Les dirigeant rhodaniens sont bien convaincus de cette nécessité, mais il ne se départissent pas de leur stratégie consistant à s'appuyer sur la certitude que le pompon finira par se décrocher tout seul, que le titre européen succombera inévitablement à leurs assiduités. Mais est-ce vraiment ainsi que l'on accède au toit de l'Europe ou que l'on entraîne des élans amoureux au travers du pays, transcendant les habituels clivages?


Un président à double tranchant
Comme nous le soulignions plus haut, l'OL n'a donc pas marqué les esprits au cours d'époques qui furent plus héroïques que celle qui a cours aujourd'hui – dont il est justement le pur produit. Si Jean-Michel Aulas fait ainsi l'unanimité pour sa gestion, non seulement son discours est aussi peu évocateur qu'un bilan comptable, mais en plus il joue constamment contre son camp en matière d'image, donnant aux détracteurs de l'OL leurs plus belles cartouches.
Ne s'étant jamais départi, en dépit d'une reconnaissance sportive croissante, d'une paranoïa et d'une aigreur de plus en plus déplacées et déplaisantes, il a en effet significativement contribué au désamour dont souffre l'OL – embarquant avec lui de nombreux supporters ne souhaitant pas se démarquer de "leur" président. On objectera que Roger Rocher, Claude Bez ou Bernard Tapie ne faisaient pas plus l'unanimité, mais ces trois-là possédaient une humanité particulière qui en faisaient justement des objets de passion... là où JMA est surtout un motif d'énervement qui peinera toujours – du moins tant qu'il agira comme un factotum du G14 et représentera une philosophie qui conçoit l'élite comme un cénacle exclusif – à incarner l'intérêt collectif du football français.


L'OL, qui a radicalement changé de statut depuis son sacre de 2002, doit assumer la domination qui s'est ensuivie, et les frustrations paradoxales qui l'accompagnent. Si tous les voyants économiques et sportifs sont au vert, si le club peut à juste titre compter sur des projets aussi essentiels que la construction de son futur stade, si aucun des quatre points évoqués ci-dessus n'est insurmontable, il doit s'attendre à ne pas rattraper tout de suite ces déficits structurels… À moins d'une révolution d'autant moins probable que le principe même de profonds bouleversements est très étranger à l'Olympique lyonnais. Il faut bien s'assumer tel que l'on est. Et attendre que l'histoire resserve les plats avec plus de justice. Messieurs les Lyonnais, vous repasserez!

Réactions

  • barbaque le 24/04/2006 à 16h02
    Je crains que ça ne fasse pas trop avancer le débat, mais moi qui suis assez sociable, je connais à Paris des tas de supporters marseillais, parisiens, bordelais, stéphanois... Mais pas un seul supporter lyonnais. Ceux que je connais sont à Lyon. Je vois tout le temps dans la rue des maillots et autres casquettes du PSG, de l'OM ou de Lens, jamais de l'OL.
    Voilà pour mon sondage perso.

    D'autre part, les discours que j'entends sur l'OL oscillent entre une admiration raisonnée pour leurs résultats et leurs joueurs et une franche inimitié pour leur président, mais je ne constate jamais la moindre enflammade, alors que les "débats" sur l'OM et le PSG restent d'une intensité (souvent comique) sans aucune mesure.

    Alors c'est sûr qu'il est bien difficile de sortir de la perception subjective, mais je propose cette conclusion de compromis : il y a un nombre significatif de gens qui estiment que l'OL ne suscite décidément pas beaucoup de "passion".
    Alors, l'OL est-il victime de clichés injustes ou bien ceux-ci témoignent-ils d'un état de fait qui peut s'expliquer par des causes relativement objectives (comme celles exposées dans l'article)?

  • Gusiño le 24/04/2006 à 16h03
    En tant que grand spécialiste du dénigrement de l'OL et de son président, j'aimerais apporter ma pierre à ce noble édifice.

    Tout d'abord je tiens à féliciter la rédac pour avoir remarquablement exprimé le ressenti que peuvent avoir les supporters de clubs "historiques" du championnat, face aux chanceux admirateurs de l'OL. Je tiens à soulever aussi certains points qui à mon sens sont à ajouter à cet argumentaire.

    Le football a subi ces dernières années de profondes réformes. La nouvelle formule de la ligue des champions et l'arrêt Bosman ont considérablement modifié la donne. Auparavant seul le club champion était assuré de disputer une phase de poule Européenne et donc d'engranger des revenus importants. Difficile de compter de façon régulière sur une recette aussi aléatoire. La deuxième place menait à la coupe de l'UEFA, qui certes était alors plus médiatisée qu'aujourd'hui mais qui restait une épreuve à élimination directe. Bref, ce sujet a déja été maintes fois développé.

    L'arrêt Bosman a également changé la donne, en proposant aux clubs une liberté de recrutement pratiquement sans limite. Pour recruter, il faut de l'argent.

    Conséquence : les clubs qui ont réussi à parvenir au haut niveau à ce moment précis, et qui font preuve d'un minimum de gestion rationnelle, ont de fortes chances de pouvoir s'y maintenir. Ce nouveau système leur fournit un revenu et une liberté de mouvement sans précédent.

    Mais, non content de cet avantage concurrentiel, le stratège qui préside à l'OL s'est assuré d'un poids décisionnel imortant au sein de la ligue nationale de football.
    Qui mieux que l'avocat du CEGID pour défendre les intérêts de l'OL là où, entre autres, se joue la répartition des droits de diffusion (dont l'importance a également considérablement augmenté), l'élaboration des calendriers ou la nomination des arbitres ?

    L'ensemble de ces facteurs extra-sportifs ont peu à peu offert à l'Olympique Lyonnais un avantage concurrentiel démesuré, sans précédent.

    Inévitablement, cette somme de facteurs extra-sportifs dont bénéficie l'OL et sur lesquels repose en grande partie sa constance au haut niveau ne sont pas de nature à améliorer sa popularité parmi les amoureux de sport.
    D'autant que la supériorité de l'OL ne s'exprime qu'en championnat. L'épreuve se jouant sur la durée d'une saison, les gros budgets ont forcément un avantage plus conséquent qu'en coupes. Le titre se joue souvent sur le banc de touche, et dans la manière de gérer les périodes de "casse", où les titulaires sont blessés ou en-dessous.

    En clair, l'OL est pour moi une machine de guerre économique bien huilée. Mais mon sentiment de passionné de football, c'est que Lyon a toujours eu davantage la culture de l'andouillette et de la q'nelle que celle du football, du vrai jeu de football.



  • Alexis le 24/04/2006 à 16h03
    CHR,

    caro ne parlait pas du jeu de l'équipe. Mais des joueurs. Individuellement. Sur et hors terrain.

    Enfin, je crois.

  • Clivier1 le 24/04/2006 à 16h05
    On l'a surement évoqué dans le flot de réactions qui tombent depuis cette nuit, mais n'oublions pas aussi qu'aussi bien St Etienne que l'OM etaient les uniques representants de la France en Coupe des Champions.

    Et ca poussait (notamment, pas que) la France a etre derriere son porte etendard en Europe.

    Je me souviens du journal de France 2 (?) présenté par Bruno Masure qqs mns avant la finale de Bari. Masure avait fini son journal avec des écharpes de l'OM autour du cou, et un gadget qui fait "clapclap" dans la main, aux couleurs de l'OM, et en criant "Allez l'OM"!!

    Aujourd'hui, un tel truc est impensable. La "haine" pour les autres clubs que le sien OU le trop grand amour que l'on a pour le club que l'on supporte sont bien trop important aujourd'hui.

  • CHR$ le 24/04/2006 à 16h06
    houba > je ne suis pas tout à fait d'accord : à l'époque des verts de 70 ou de l'OM de 90, ces clubs étaient réellement au même niveau que les tous meilleurs. Ce qui n'est pas le cas de l'OL actuellement, même si ponctuellement il peut rivaliser.
    C'est d'ailleurs l'objet des dossiers actuels d'Aulas (Stade, Bourse).

  • barbaque le 24/04/2006 à 16h07
    >> axl
    Qu'un match se joue à très peu de choses, on est d'accord. Mais que plusieurs matches du type quart de finale de C1 tournent tous de la même façon pour un club donné, même dans un sport aussi aléatoire que le foot, c'est à mon avis significatif de quelque chose, en d'autres termes d'un "manque" quelconque.
    De même que la chance qui a béni les Bleus 1998-2000 témoignait également d'un "plus" impalpable mais bien réel.

  • djay le 24/04/2006 à 16h10
    Bon, qq remarques en vrac:

    * La ray d'Ac peut bien parler de ce qu'elle veut, je suis preneur, meme si ca parle de l'OM, du psg ou de la L1. Vous esperez quoi ? Une dissertation sur la physique des plamas ?

    * Chepuki a dit ""Lyon, tout le monde s'en fout", c'est le meilleur moyen de se rassurer et de continuer à vivre dans la douce illusion qu'il suffit d'une bonne saison pour que tout reparte comme avant." en parlant de l'OM et du psg... Refuser de croire que c'est le cas me parait particulierement presomptueux ou alors tu m'expliques pq pour une finale de coupe de l'UEFA a retenu la repiration de plus d'un million personne dans le sud avt de declencher des larmes ? ou comment tu remplis un stade un jeudi a 17h pour une demi finale de coupe nationale et comment le vendredi soir y'a plus de places dispos a la vente pour la finale. "douce illusion", ca me parait un peu decale comme terme. Peu importe la raison en fait, je crois qd meme qu'il ne faut pas grand chose pour redemarrer, le nier est abherrant. Mais on s'en fout. C'est pas le sujet de l'article.

    * Je connais au moins un lyonnais qui me rabats les oreilles avec les sondages sur la cote de popularite de l'OL a chaque fois qu'il y en a un. Je pense pas que ce soit le seul.

    * C'est quoi cette blague sur Poulidor ? Vous pensez que les Francais aiment que les losers ? Juste comme ca, vous pensez qu'on a plus aime l'OM en 91 ou en 93 ? Pq Marseille et StE sont aimés alors ? Pq y'avait il plus d'un millions de personnes sur les champs en 98 et 2000 ? Peut qu'on aime les second par defaut non ? Peut etre qu'on aimerait etre premier plus souvent, mais bon qu'a defaut on crache pas sur une medaille d'argent ?

    Finalement, moi je m'en fous que la redac fasse un article de plus sur Lyon, j'aime tjs autant. Et s'il ne doit plus y avoir qu'un seul lecteur des articles du site, ca sera moi ! Vous lisez le titre comme moi, si ca vous interesse, lisez, sinon passez. Mais si ca ne vous interesse pas pcq c'est ecule, pourquoi lire et qui plus est reagir ?

  • Clivier1 le 24/04/2006 à 16h12
    Gusiño - lundi 24 avril 2006 - 16h03

    Inévitablement, cette somme de facteurs extra-sportifs dont bénéficie l'OL et sur lesquels repose en grande partie sa constance au haut niveau ne sont pas de nature à améliorer sa popularité parmi les amoureux de sport.
    *********

    Une autre chose: on compte qui parmi les amoureux de ce sport?
    - Les ultras de chaque équipe?
    - Les abonnés de chaque club?
    - Le type qui va au stade 6/7 fois par an?
    - Le type qui aime juste le foot parce que ca le fait vibrer mais qui va beaucoup moins loin que nous (meme si j'ai l'impression qu'on recule avec ce nouvel article) et est juste là pour apprécier les performances d'une equipe, son jeu, sans se soucier si Jean-Mimi porte des santiags dorés ou si les verts ou l'OM ils ont fait déjà mieux?

    Parce que je veux pas vous faire de la peine, mais une majorité de francais qui aiment le football se retrouve à mon avis plus dans la derniere catégorie que dans la premiere hein!

  • luckyluke le 24/04/2006 à 16h14
    On n'est pas obligé d'aller au stade pour aimer le foot, non plus.

  • Clivier1 le 24/04/2006 à 16h16
    luckyluke - lundi 24 avril 2006 - 16h14
    On n'est pas obligé d'aller au stade pour aimer le foot, non plus.
    ********

    Oui mais si tu vas au stade, ne serait-ce que 5 fois par an voir ton équipe jouer, c'est que tu es déjà qq part supporter. Et peut etre donc moins enclin à supporter et etre ébloui par une autre équipe...

La revue des Cahiers du football