Seuls 36% des internautes parviennent à saisir leur e-mail / password du premier coup. En feras-tu partie ? Attention à ne pas confondre vos minuscules et vos majuscules.
Vous avez oublié votre mot de passe ?
Inscription
Vous avez oublié votre mot de passe ? Il reste un espoir ! Saisissez votre adresse e-mail ; nous vous enverrons un nouveau mot de passe. Cette procédure est quasiment gratuite : elle ne vous coûtera qu'un clic humiliant.
Nous vous avons envoyé un email sur votre adresse, merci d'y jeter un oeil !

CONDITIONS D'INSCRIPTION :

1. Vous devez nous adresser, via le formulaire ci-dessous, un texte (format .txt inférieur à 100 ko) en rapport avec le football, dont la forme est libre : explication de votre passion, anecdote, aventure, souvenir, essai, commentaire composé, portrait, autobiographie, apologie, réquisitoire, etc. Vous serez ensuite informés de la validation de votre inscription par mail. Les meilleurs textes seront mis en ligne sur le Forum.

2. Nous ne disposons pas d'assez de temps pour justifier les retards d'inscription ou les non-inscriptions, et ne pouvons pas nous engager à suivre une éventuelle correspondance à ce sujet. Merci de votre compréhension.

Nous avons bien reçu votre candidature, on y jette un oeil dès que possible. Merci !

Partager :

Mangés à la sauce blanche

Vainqueur sur le score de 1-0, des Grecs bien organisés ont réalisé le coup parfait et sortent les Bleus de l’Euro 2004. Une conclusion à la fois triste et nostalgique pour une génération dorée.
le 26 Juin 2004

 

"Il est probablement temps de se rappeler qu’entre la descente des Champs-Élysées et la sortie de route sur une départementale portugaise, la plus forte probabilité reste celle d’un parcours interrompu dans les matches couperets qui succèdent aux poules", prophétisions-nous dans l’édito de notre numéro 7. Ainsi, hier soir, les Bleus se sont donc inclinés 1-0 en quarts de finale de l’Euro face à de surprenants Grecs, comme ça ne leur était plus arrivé depuis 1996. La déception est forcément immense pour un groupe qui semblait être reparti sur de bonnes bases après l’échec coréen. Et cette défaite, contre un adversaire qui n’avait pas la renommée des Pays-Bas ou du Portugal, suscitera probablement bien des commentaires acerbes de la part de la presse spécialisée, qui ne manquera pas de souligner que les Bleus ont manqué à leur statut, ou qu’ils se sont peut-être vu trop beaux... On cherchera des responsabilités chez les uns ou chez les autres, dans le coaching de Jacques Santini, la méforme des joueurs, l’état de la pelouse ou la mauvaise préparation… Nous nous contenterons pour ce soir de rappeler, comme en 2002, que ce genre de défaites sont aussi le lot de toute compétition de haut niveau. Quelles que soient les raisons de cette élimination, cette dernière marque en tout cas la fin d’un cycle. Celle de la génération "Zidane" née au niveau le plus élevé huit ans plus tôt en Angleterre. Plus qu’en 2000, avec les départs de Blanc et Deschamps, plus qu’en 2002, avec ceux de Petit et Dugarry, 2004 sonne ainsi le glas des aventures footbalistiques de la bande des trentenaires : on ne sait pas encore quels seront ceux qui quitteront le navire dans les jours qui viennent, mais de Thuram à Lizarazu, en passant par Desailly ou Barthez, la liste est longue des cadres susceptibles de tirer un trait sur plus de dix ans de carrière sous le maillot bleu. Le futur sélectionneur, qui ne sera donc pas Jacques Santini — il avait annoncé son départ avant le début de l’Euro — repartira sur de nouvelles bases. A l’image de ce qu’avait dû réaliser Aimé Jacquet en 1994… Comme il y a dix ans, le public français devra s’habituer à de nouvelles têtes, à de nouvelles méthodes. Redécouvrir l'équipe de France ou la laisser à ses véritables aficionados. Les Bleus sont morts, vive les Bleus. La brève nalyse Perdu par la plus petite des marges, ce match est finalement assez représentatif du parcours des Bleus depuis leurs débuts dans la compétition le 13 juin dernier: moins brouillons que face à la Suisse, mais aussi moins combatifs que contre les Anglais, ils ont en revanche été constants dans leur incapacité à accélérer le jeu, à donner du rythme, à percuter la défense adverse. Les occasions les plus dangereuses ne sont donc pas venues de mouvements en passes courtes, comme ils nous en avaient donné l’habitude depuis de nombreux mois, mais par des centres ou des frappes à mi-distance. En face, les Grecs, solides et généreux, ont répondu présents durant tout le match, sans trop reculer comme avaient pu le faire les Anglais au Stade de la Luz, mais sans le génie qui avait habité les Croates pendant une vingtaine de minutes à Leiria. Dangereux sur coups de pied arrêtés, ils ont en revanche abusé des longs ballons. Paradoxalement, leur (superbe) but est intervenu dans la phase la plus prometteuse des Bleus depuis le début de l’Euro portugais: une entame de deuxième mi-temps faite d’engagement, marquée par une grosse pression sur le porteur du ballon et par une présence constante sur le but grec. Las, une succession de fautes défensives françaises, et un superbe enchaînement grec (un quasi-coup du sombrero, un centre parfait, une tête puissante dans la lucarne) ont douché l’enthousiasme retrouvé des Bleus, qui ont ensuite baissé de pied… sans, cette fois, obtenir le coup de pied arrêté salvateur qui aurait pu leur permettre de revenir à la marque comme lors des rencontres précédentes. Il est à noter que pour une fois, les Bleus n’ont pas eu l’imposante possession de balle qu’on leur connaît habituellement : en ce sens, les Grecs, particulièrement joueurs, n’ont pas usurpé leur victoire. Les gars Dans les cages, Fabien Barthez a commencé par un arrêt étrange : sur un coup-franc grec ressemblant comme deux gouttes d’eau à celui de Zidane contre la Croatie, le portier marseillais a dû maîtriser un ballon sans grande vitesse qui avait décidé de venir s’écraser sur son poteau gauche. Le stade a d’ailleurs cru un instant — mais à tort — au but. Le reste du match a été propre, avec des interventions sûres et un but encaissé sans réellement pouvoir s’opposer à la tête de Charisteas. Derrière, c’est probablement Lizarazu qui a été le plus sollicité : très volontaire dans son couloir gauche, le petit Basque a essayé d’apporter du jus et du tranchant aux offensives bleues. Une performance plutôt réussie, avec un excellent centre sur la tête de Henry en première mi-temps, et une percée incroyable dans la défense grecque en seconde, qu’il aurait peut-être dû conclure d’une frappe du droit. Il a malheureusement été mystifié par son vis-à-vis sur le but grec (un petit lob précédent un centre parfait). Dans l’axe, Thuram et Silvestre ont montré une certaine fébrilité en début de match, le second oubliant par exemple de récupérer le ballon sur une relance de Barthez. Mais dans l’ensemble, leur match a été efficace, même si les deux joueurs commettent une énorme faute de marquage sur le but de Charisteas, seul au point de penalty. A droite Gallas, a été propre, mais victime du penchant naturel des Bleus à jouer côté opposé. Il a par ailleurs souffert de la comparaison avec Thuram, lorsque ce dernier, en toute fin de match, est venu apporter son grain de sel dans le couloir droit, délivrant un centre parfait sur la tête de Henry à trois minutes de la fin du temps réglementaire. Il a sans doute manqué un spécialiste dans le couloir droit pendant la compétition… La paire de milieux récupérateur, très affairée, a alterné le bon et le moins bon. Dacourt a néanmoins semblé très limité techniquement, et mal à l’aise dans son positionnement, tandis que Makelele, plus efficace, a connu du déchet dans ses transmissions. Les deux compères ont par ailleurs réalisé un nombre de fautes beaucoup trop important, ce qui a eu pour conséquence de hacher le jeu. Que dire de Zidane, si ce n’est que l’idolâtrie dont il a été l’objet depuis le début du tournoi était évidemment déplacée, comme nous l’avions déjà indiqué dans nos parutions précédents... Perdu sur le terrain, en manque d’inspiration, le Madrilène n’a jamais réussi à créer des décalages, a perdu plusieurs ballons, et a même abusé des tentatives d’éliminer ses adversaires en solo. Une performance dans la lignée des trois précédentes, en pire, puisque cette fois, il n’a pu apporter son toucher de balle sur les coups de pied arrêtés. Pires, très bon en début de match, comme à l’accoutumée, a apporté la vitesse qui faisait défaut à son acolyte du milieu de terrain. Souvent à gauche, un peu à droite, il a essayé de multiplier les provocations, mais s’est éteint progressivement… comme à l’accoutumée. Enfin, en attaque, Trezeguet a été fidèle lui-même dans cet Euro : transparent, il n’a strictement rien apporté au collectif français, même s’il a semblé plus enclin à travailler la récupération et le pressing que lors de ses précédentes sorties. Ne lui jetons tout de même pas trop la pierre (la presse — et les Guignols — s’en chargeront sufisamment) et n’oublions pas ce que la France doit à son goleador d’origine argentine… Quant à Henry, il a été volontaire, se repliant plusieurs fois pour essayer de partir de loin (une position qui lui avait réussi contre la Suisse), frappant au but sans réussite. Le gros point noir reste évidemment cette imprécision dans le jeu de tête (une par mi-temps): le Gunner n’en aura pas cadré une seule du tournoi, après ses ratés contre les Helvètes lors du précédent match. Les remplacement consécutifs au but grec ont été intéressants : Saha, très vif, a une fois de plus montré en quelques minutes que son apport au groupe et ses qualités techniques pouvaient être positifs pour les Bleus. Wiltord et Rothen, moins en vue, ont essayé d’apporter le déclic sur les ailes. En vain. Les observations > C’est quand même rafraîchissant de retrouver le Zidane de 1996 > En fait ce n’est pas Trezeguet qui a joué l’Euro, mais Deivid, l’attaquant brésilien des Girondins de Bordeaux. > L’an prochain, Djibril Cissé va pouvoir défier Thierry Henry dans le championnat anglais au challenge du nombre de buts marqués de la tête. > Personne dans le public n’a hurlé "Santini démission !" > Silvestre aurait peut-être dû commettre une erreur grossière en défense, au moins ça réussissait aux Bleus. Les titres auxquels vous avez échappé Les Grecs fritent les français Dellas, ton univers impitoyable Naufrage à la Grecque Kafes un peu trop court L’Hellène s’égara Le Gyros phare L’Alvalade des gens heureux

Réactions

  • les soup dragons le 26/06/2004 à 05h47
    l'Equipe qui joue sa réputation (depuis bien avant le 13 juin) a perdue contre une équipe qui joue...
    ben, l'Euro quoi!
    Silvestre n'aura donc pas sorti sa gourde pour attaquants et spectateurs assoiffés. Les remaniements de positionnement n'auront rien apporté de neuf et d’utilisable. Un Rothen pour rien, et un Marlet pour rien non plus, même pas en bouc émissaire (heureusement pour lui). Il avait raison, rien à prouver.
    Les Bleus auront attendu la magie sans avoir préparé de potion, égarant la formule quelque part. Et Astérix occupé de porter la flamme olympique tandis que les Hellènes envahirent le camp avancé de Lisboa. Dépourvus de jeu(x), on a vu sur le terrain des hommes de mythe sans exploits.
    Les joueurs qui engendrent un certain culte de l’individu doivent maintenant relayer le projecteur à la primordialité du collectif. Retour aux bases.
    C’était bon, c'était si beau, mais on continue.

  • El mallorquin le 26/06/2004 à 08h11
    "Je suis persuadee comme on la vu en fin de matche qu en commencant en 4 5 1 on gagnais ce matche".
    Ouais, comme avec le 4-5-1 de Lemerre en Asie ? ;-)

    Sinon, Plum', tu as oublié de copié/collé la suite, sur la fixette des Cahiers. Sois pas modeste comme ça. ;-)

  • loubet le 26/06/2004 à 09h05
    JPdarky! :)))))

  • ouais.super le 26/06/2004 à 09h09

    Certes, ce match perdu est décevant, mais, à ma grande surprise, l'amertume qui suit habituellement le coup de sifflet final après une défaite a duré très peu de temps.

    Pourquoi ? Sans doute à cause de ce sentiment diffu qu'on est bel et bien arrivé à la fin d'un cycle, au creux d'une vague, et qu'ainsi, si le présent n'est pas spécialement rose, l'avenir nous donne à nouveau de bonnes raisons d'espérer.

    Car finalement, comme le soulignait quelqu'un un peu plus haut, on a eu notre lot de victoires depuis 6 ans. A tel point que gagner des matchs et des compétitions était devenu la moindre des choses pour la plupart de nos compatriotes, le suspens étant seulement de savoir par quel écart de buts la France allait humilier ses adversaires, et combien de roulettes Zidane allait passer à des opposants ébahis par tant de classe bleu-blanc-rouge et black-blanc-beurre.
    Hormis bien sûr l'épisode coréen, que tout le monde s'accordait à considérer comme un simple accident.

    Mais l'EdF était bel et bien sur le déclin depuis deux ans. La longue suite de matchs amicaux gagnés assez facilement (quoique) contre des adversaires de seconde zone avait depuis occulté cette réalité : Excès de confiance, jambes vieillissantes, créativité en baisse, adversaires surmotivés connaissant par coeur les joueurs de l'EdF, bref, la France n'avait plus, c'est maintenant une certitude, la meilleure équipe du monde.

    Et c'est finalement un motif de satisfaction à plusieurs titres :

    - Nous ne serons désormais plus favoris pour les compétitions à venir. La France est devenu "battable" aux yeux de tous par presque n'importe quel adversaire motivé et bien organisé. De quoi aborder les compétitions avec moins de pression.

    - Beaucoup de joueurs vont partir pour laisser la place à des jeunes largement aussi talentueux que leurs aînés, et sans doute nettement plus vifs, rapides, créatifs et motivés.

    - Les "cadres" restant vont devoir perdre leur melonite aigüe, faire preuve d'humilité.

    - Ca emmerde TF1 et tous les sponsors arrogants de l'EdF (et des autres grandes équipes de stars qui sont tombées comme des merdes lors de cet euro : Italie, Espagne, Angleterre, Allemagne...). La vue de leurs campagnes publicitaires va revêtir désormais un profond effet comique.

    - On va peut-être nous lâcher avec tous les clichés de "la bande à Zizou"

    - La route vers la CdM 2006 promet d'être beaucoup plus intéressante et imprévue.

    - On ne verra plus Desailly en interview.

    - On aura peut-être une chance de voir mon rêve d'enfant se réaliser : battre l'Allemagne en Coupe du Monde chez elle, ce qui me permettrait d'exorciser Séville.

    - J'aime bien le jeu de la plupart des équipes qui restent en lice pour cet Euro. Les matchs qui restent devraient être bons !


    Bref, voilà, la page est enfin tournée ! Je suis maintenant impatient qu'on commence les éliminatoires de la CdM 2006, avec une équipe profondément remaniée et rajeunie, qui nous fera peut-être de nouveau rêver comme on su le faire leurs aînés.




  • loubet le 26/06/2004 à 09h17
    Ouais super, pour l'Angleterre, on ne peut pas dire qu'ils sont tombés comme des merde, ils ont joué eux. ils sont sorti avec les honneurs après un match fantastique.

  • litteulced le 26/06/2004 à 09h27
    Encore d'accord avec lien (décidemment, ça fait 2 fois en une semaine, plus rien ne tourne rond en ce moment)...
    Presque heureux que ce soit arrivé pour repartir sur des bases assainies qui me (re)donneront l'envie de supporter cette équipe, de la pousser, de m'exciter devant leurs matchs et non pas de trembler devant la médiocrité de leurs prestations, d'essayer de décrypter la cohérence de leur jeu, bref de ne prendre du plaisir à aucun moment !
    L'important également dans ce qui va se passer bientôt, c'est que le futur sélectionneur (quel qu'il soit) insuffle de l'enthousiasme à cette équipe bordel ! mais égagelement qu'il est le courage d'avoir une attitude proche de celle du Jacquet de 94, prendre des décisions douloureuses (type exit Cantona) tout en s'appuyant sur des joueurs ayant prouvé leur constance à ce niveau (Thuram, Vieira, Gallas-dans-l'axe...) et en renouvelant conséquemment l'effectif. Puisqu'il semble bien que, cette fois, une grosse partie de l'effectif soit en bout de course.

    Au fait, vous êtes sûrs que Dessailly va bien prendre sa retraite ?





    Nan, là je déconnais hein.

  • litteulced le 26/06/2004 à 09h28
    Pardon pour les fautes

  • loubet le 26/06/2004 à 09h55
    litteulced? On est sûr de rien. Desailly parle de 2006 ce mâtin dans l'équipe en disant " on va préparer..." ou qque chose comme ça.

    Je suis sûr qu'ils vont s'accrocher les "cadres" (quelle horrible expression à bannir à jamais). ils vont s'accrocher au navire et il faudra des nerfs au prochain sélectionneur pour leur donner des grands coups de pied sur les mains pour qu'ils lachent prise .

  • L'ours Bob le 26/06/2004 à 10h03
    C'est quand la date du futur selectionneur ? (Un conseil à la DTN, prenez en un de "couillu" qui fasse le ménage)
    Un selectionneur capable de dire oui au retour de Micoud, d'Anelka, d'appeller Mendy, Evra, etc. Enfin bon, on peut se dire qu'on est parti pour 10 ans de disette avant l'éclosion d'un grand numéro 10. Je connais un joueur à Bologne qui va bientôt devoir porter un lourd fardeau sur ses épaules...

  • Capitain Rai le 26/06/2004 à 10h14
    bien triste soirée que celle d'hier soir car plus que la défaite qui devait arriver un jour (il n'ya que rolland qui croyait que l'on pouvait gagner éternelement) c'est la manière qui est en cause.

    -une défense sans cesse changée.
    -un arrière droit qui est un défenseur central.
    un central qui joue en club sur l'aile depuis 3 ans et dont l'unique intervention sur son aile de prédilection aurait du amener le but sans une tête de niveau pupille.
    -un milieu sans aucune cohésion.
    - un zizou inéxistant durant tout l'euro (dans le jeu car je ne compte pas ses coups de pieds arréter ou sa tête) et qui devra comprendre un jour que les roulettes c'est joli jean mimi mais ça n'apporte rien au jeu surtout quand tout le monde est averti.
    -des attaquants qui ont un melon plus gros que le marcel.
    - henry travaille t-il son jeu de tête .

    le plus triste dans tout ça est le manque de hargne sur le terrain et l'envie de se battre jusqu'au bout, à part les vieux lizarazu et thuram(enfin sur la fin).

    le seul point positif est que silvestre fini meilleur passeur (quoi les passes à l'adversaire ne compte pas).

    si après ça il n'y a pas de ménage et de renouveau dans les joueurs et l'organisation on y comprendra rien.

    ps: l'argument comme quoi toutes les adversaires sont très méchants et défendent sans cesse est du niveau cours de récré, ils vont pas vous regarder jouer sous pretexte que vos êtes des mythos du beau jeu.

    je continuerai a soutenir l'edf sans cesse si au moins elle à des joueurs qui en veullent et pas seulement pour toucher un gros chèque en fin de compet.

La revue des Cahiers du football