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Ligue 1 : homogène, pas de plaisir ?

À lire sur Une balle dans le pied: singulièrement resserré, le championnat de France est-il pour autant aussi nul qu'on le prétend? Essayons de mettre en relief les données du problème.
Auteur : Jérôme Latta le 13 Jan 2011

 

La première moitié du championnat de France a été marquée par une importante rotation des leaders: sept formations ont pointé en tête, aucune plus de quatre journées consécutives. Ce turnover a permis aux médias de célébrer avantageusement et successivement les "retours" de Toulouse, Saint-Étienne et Rennes, mais une fois le tour de Brest venu, la tonalité a changé. Beaucoup d'observateurs ont en effet estimé incongrue la présence d'un promu à un tel rang, et surtout y ont vu un nouveau symptôme de la médiocrité de la Ligue 1, invoquant un autre constat: le classement est très resserré puisque dix-neuf équipes se tiennent en seize points seulement, et entre le 12e Lorient et le premier Lille, il n'y a que sept marches... On remarque ainsi qu'aucune formation n'a dépassé les 50% de victoires, et qu'aucun des leaders provisoires – malgré d'importants passages à vide pour certains – n'est décroché, ni d'ailleurs l'Olympique lyonnais.

La suite sur Une balle dans le pied et, sans attendre, le Classement en relief inter-européen:

cer_europe_cdf.jpg


une_balle_dans_le_pied.jpg

Réactions

  • José-Mickaël le 13/01/2011 à 22h34
    Argh, faute de frappe qui change le sens de la phrase... Je voulais écrire, bien sûr :

    Du genre « OK on n'a pas gagné, mais on a tenu le 0-0 et l'important c'est de pas prendre de but »

  • Vieux légume le 13/01/2011 à 22h40
    C'est évidemment extrême, mais normalement, l'équipe qui reçoit est supposée gagner le match.
    Donc si tu te déplaces, tu perds, d'où le 3-0-3-0.

    Mais une victoire équivaut a trois matches nuls tout de même, la prise de risque est mathématiquement souhaitable.


    Après, je conçois que cela puisse paraître comme risqué pour une équipe comme Arles-Avignon, mais toujours est-il que leurs résultats, pour le moment, ne sont pas vraiment en leur faveur.

    L'histoire aussi. Parce que quitte a descendre, autant le faire après avoir essayé quelque chose, parce qu'en se "contentant" de bien défendre, faire comme les autres surtout, vu que t'es moins fort et équipé, bah a la longue tu vas couler.

    Je constate d'ailleurs que les équipes ont de plus en plus de mal a gagner leurs matches chez eux.
    Jusqu'au début des années 90, aucune équipe du championnat n'avait un bilan négatif a la maison. Parfois, la lanterne rouge, mais c'était la seule.
    Après ça, on a longtemps gardé les relégués comme seuls vilains petits canards perdant plus souvent chez eux qu'ils ne gagnaient.

    Sauf que depuis 4-5 ans, on est carrément passé a 6 équipes, voire 7 ce qui fait quasiment le tiers du plateau. Surtout quand on a que 4 équipes qui marquent plus d'1.5 but/match a la maison, c'est très faible, ça pourrait fortement faire penser que les équipes sont incapables de déjouer leur adversaire de façon régulière...c'est dommage, parce qu'il est évident que faire déjouer, c'est bien aussi, mais seulement ça, ça suffira pas.




  • Vieux légume le 13/01/2011 à 22h44
    Tiens, bien vu les déclarations vantant les mérites défensifs d'une équipe.
    J'ai pas de problème avec les propos des entraîneurs qui félicitent leur défense etc...

    Seulement, si tu n'essaies pas vraiment d'envoyer un minimum de jeu et que tu perds ton match, il te reste quoi comme motif de satisfaction et de base sur laquelle t'appuyer ?

  • Hurst Blind & Fae le 14/01/2011 à 00h03
    C'est peut être de l'angélisme de tomber dans l'excès inverse.
    Tous les entraîneurs, y compris les plus offensifs, affirment que la première base d'une équipe c'est sa défense. Ils sont même beaucoup à dire qu'une bonne défense libère les attaquants. Rien d'étonnant à ce qu'ils commencent par insister là dessus.

  • Sens de la dérision le 14/01/2011 à 07h25
    Vieux légume
    jeudi 13 janvier 2011 - 22h40
    L'histoire aussi. Parce que quitte a descendre, autant le faire après avoir essayé quelque chose, parce qu'en se "contentant" de bien défendre, faire comme les autres surtout, vu que t'es moins fort et équipé, bah a la longue tu vas couler.
    ----
    Je joue toujours l'avocat du diable, mais chaque année ou presque, il y a une équipe qui "joue" et qui flirte avec le relégation (Boulogne l'année passée ?).
    Je réfute aussi le fait que jouer défensif c'est se "contenter" alors que là aussi l'entraîneur aura tenté quelque chose. Je ne vois pas tous les matchs de L1 (et loin de là), mais je serais très étonné que les entraîneurs jouent le nul à chaque match.

    Pour résumer mon avis, je repense au Werder qui était tombé contre Lyon. Ça jouait, ils ont pris 3-0 chez eux (contre le cours du match certes). Au retour, ils ont été obligés de jouer de nouveau : ils ont pris une nouvelle tôle (avec un but de Berthod).

  • Vieux légume le 14/01/2011 à 15h54
    @HBF : Qu'ils commencent par bosser sur la défense, c'est normal. Ce qui me chagrine un peu, c'est la tendance a délaisser franchement l'attaque.

    @SDLD : On va pas prendre un cas en particulier, mais en considérant les forces et faiblesses de la majorité des équipes du championnat, leur incapacité d'adaptation générale, sortir ne serait-ce qu'un peu du moule doit pouvoir te faire gagner quelques points...

    Jouer défensif, c'est pas se "contenter", évidemment, il n'y a pas de valeur, offensif c'est pas mieux que défensif, et de toute façon, mieux vaut trouver un équilibre, par contre, en regardant les matches depuis 2-3 ans, j'ai franchement l'impression que s'ils ne jouent pas le nul, ils cherchent surtout a prendre moins de buts que l'adversaire. Alors qu'ils auraient les moyens de faire autrement, ce qui après quelques mois, a la vue de résultats, ne peut pas être pire.

    Deux observations basiques, le nombre de joueurs "utilisés", pleinement dans l'action, dans une situation défensive...et celui qui est a proximité de la surface pour conclure une action. Je dis pas que les 10 joueurs de champ devraient être là, mais le nombre est bien souvent limité a 3, alors qu'un ou deux joueurs de plus, ça ferait une différence énorme a long terme.

    Sur un autre point, prenons les relances, la construction depuis la défense, combien de solutions au porteur du ballon ?
    Je vois rarement plus d'un joueur qui sollicite le ballon ou qui soit en appui et libre de présence adverse, l'adversaire n'est pas aveugle et saura réagir. Il n'y a pas de déstabilisation de l'adversaire, on cherche simplement a faire monter la balle le plus loin possible de son but.

    C'est comme si on acceptait pas que pour marquer faut aussi pouvoir se dénuder un peu.

    (Evidemment que Brême a complètement foiré sa confrontation, mais en fermant plus le jeu, vu leur défense, ils ne seraient pas passés. Autant y aller a fond.)

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