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Jean-Michel Aulas bute contre son camp

Une Balle dans le pied – En annulant la révolution de l’été dernier, Jean-Michel Aulas a réaffirmé son emprise sur l’OL, mais il ne résout pas la crise et s’aliène les supporters. 

Auteur : Jérôme Latta le 20 Dec 2019

 

 

Garder le pouvoir, mais perdre le contrôle : ce paradoxe pourrait illustrer la terrible année 2019 de l’Olympique lyonnais et de son président Jean-Michel Aulas. À la crise qui s’est installée depuis plusieurs saisons en a succédé une qui semble encore plus profonde.

 

Peut-être le dirigeant le plus emblématique du football français des trente dernières années a-t-il eu le sentiment d’avoir mystifié le monde en faisant mine, cet été, d’accomplir une révolution longtemps attendue. Mais c’est d’abord son propre monde qu’il a mystifié.

 

En mettant tardivement un terme au mandat de son entraîneur Bruno Genesio, mais aussi en nommant au poste de directeur sportif un ancien capitaine emblématique (Juninho), et à celui d’entraîneur, pour la première fois, un technicien étranger (Sylvinho), "JMA" avait pourtant envoyé le signal d’un changement de cap – assorti de la promesse d’une mise en retrait personnelle. (…) 

 

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Réactions

  • Sens de la dérision le 21/12/2019 à 19h53
    Mik Mortsllak
    aujourd'hui à 14h37
    Je ne suis pas sûr de comprendre: avoir moins de titres depuis 2012 que des clubs pas forcément réputés pour être très bien gérés est censé être positif ?
    ----
    C'était pour monter l'absurdité de l'argument puisque des clubs comme Marseille, Lille ou Nice n'ont pas plus gagné et que des "petits" clubs comme Strasbourg, Guingamp ou Saint-Étiennt ont gagné. Ça montre juste que gagner un titre, ça nécessite aussi de la chance.

  • outah le 23/12/2019 à 21h28
    @Mik Mortsllak : subir des pressions extérieures ne signifie pas s'y plier à chaque fois ; de toute façon les supporters peuvent avoir des demandes contradictoires.

    Aulas n'aurait jamais viré Génesio sans la pression des supporters, ni Silvinho ensuite. Peut-être que choisir Garcia fut une façon de réassoir son autorité. De plus, par le passé, on sentait bien que tout le cirque médiatique d'Aulas servait surtout à détourner l'attention vis-à-vis des joueurs et du staff et il affichait au moins un soutien de façade à l'un et à l'autre. Je ne l'ai pas beaucoup vu réagir pour Marcelo (avant le match contre Leipzig à Lyon).


  • Tonton Danijel le 24/12/2019 à 10h02
    Ah oui, je remercie Espinas pour ses réponses.

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