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La Gazette, numéro 17

Un numéro qui désapprouve les sempiternelles polémiques parisiano-marseillaises, regarde Tapie rêver de son impossible retour et s'interroge sur l'avenir de la Ligue et de son président Gérard Bourgoin...
Auteur : La chronique dédramatisée de l'actualité du ballon le 8 Nov 2000

 

Paris-Marseille, axe chiant
Il ne nous revient pas de porter des jugements de valeur sur les réactions à nos articles, mais ces derniers temps elles ont eu une fâcheuse tendance à dégénérer en pénibles et sempiternelles controverses entre "pro-PSG" et "pro-OM", y compris quand les sujets abordés n'avaient rien à voir avec la rivalité entre ces deux clubs. Les échanges sont restés courtois, ce qui est déjà une victoire, mais les protagonistes de cette guérilla devraient se rendre compte qu'ils fatiguent tous ceux qui la subissent depuis trop longtemps.
Les "débats" relancent toujours les mêmes discussions stériles sur un passé qu'il ne faut pas oublier (mais pas non plus mélanger au présent) ne suscitent que des comparatifs du type "qui pisse le plus loin?", des accusations gratuites et des protestations foireuses.
Notre inquiétude vient de ce que de nombreux forums abondent déjà de pénibles et dispensables polémiques que nous leur abandonnerions volontiers... D'excellentes contributions se trouvent un peu noyées, d'autres vraisemblablement découragées et c'est un peu dommage.
Il doit être possible de parler de l'OM ou du PSG sans rapporter toujours l'un à l'autre, les deux sujets devraient d'ailleurs être toujours soigneusement séparés. Ce sont effectivement deux clubs passionnants, et ils concentrent l'attention ici comme ailleurs. Lorsque l'un d'eux connaît des difficultés, il semble à ses supporters qu'il est plus violemment descendu que tout autre. Mais comme l'OM et le PSG nous ont chacun gratifiés de déboires allant du ridicule au pathétique, de périodes désastreuses et de comédies diverses, on a pu constater qu'en fait les médias s'acharnent avec aussi peu de scrupules sur l'un et l'autre. Pour notre part, nous regrettons que les Cahiers n'aient pas été en ligne lors de la saison 98/99: le PSG de Biétry nous aurait ainsi fourni plus de matière pour ricaner que celui de cette saison...
Cette invitation à entreprendre une thérapie anti-obsessionnelle est valable dès cette Gazette un peu provocante, qui parle forcément de Marseille!

Tapie toujours prêt (à rien)
Marseille ne fait pas peur à tout le monde. Daniel Leclerq s'est presque porté candidat, il est en effet assez fou pour tenter l'aventure dès demain. Mais surtout, et l'on se serait étonné d'un plus long silence, c'est le fantôme Bernard Tapie qui fait son offre de service. Pas n'importe où, puisque c'est dans un entretien accordé à La Provence qu'il répond aux appels pressants de certains supporters du Vélodrome.
Il précise les deux hypothèses de son éventuel retour à l'OM. La première est celle où "j'ai les moyens financiers, seul ou avec des partenaires, et je reviens à l'OM à 100% comme patron". Elle est évidemment nulle et non avenue: Tapie se retrouve aujourd'hui sur le sable, celui sur lequel son empire était construit. Économiquement il est redevenu un nain, et n'a pas grand espoir de rassembler un tour de table sur son nom. Il le sait bien, et enrage certainement du mépris dans lequel le tient Louis-Dreyfus, qui ricane à l'évocation de son prédécesseur. Tapie refuse donc l'hypothèse de devenir manager sportif, ce qui l'obligerait à être "l'employé de RLD". Reste le rôle de consultant auquel il pourrait encore prétendre: la seconde solution est que "Robert Louis-Dreyfus m'appelle pour me demander quelques tuyaux afin qu'on arrête de se moquer de sa gueule". En clair, l'actionnaire majoritaire est une buse, et moi je détiens toujours la science.
Difficile de ne pas prêter à Tapie le désir de renouer avec le club dont il s'est servi pour arriver au sommet de sa gloire médiatique. De son come-back dans le football, il avait déjà été question en juin dernier, avec de semblables propositions en direction de l'OM (voir Tapie: bluff et démagogie sur toute la ligne). Mais tant que Louis-Dreyfus est en place, il sait qu'il n'a aucune chance. Et si Louis-Dreyfus s'en va, il sait qu'il n'a presque aucune chance.

Y a-t-il un président dans la Ligue?
Quatre après son élection surprise à la tête de la Ligue nationale, il est impossible de faire le moindre bilan de la présidence de Gérard Bourgoin. Si nous n'en attendions rien de bon (voir Bourgoin face au vent, toutes voiles dehors), nous ne nous attendions pas non plus à un tel statu quo. Car la seule véritable mesure a consisté à créer un "bureau" élargi, sorte de gouvernement créé par les instigateurs de l'éviction de Le Graët, un nouvel exécutif (Martel, Campora, Aulas, Bompard, Triaud, Talar et Proisy) qui donne les clés du pouvoir aux présidents de club du "clan Aulas" La Ligue aux mains des gros et des ambitieux).
Il faut rappeler que la faction qui a renversé l'ancien président n'a paradoxalement pas réussi à imposer son candidat, l'avocat André Soulier. Bourgoin n'était même pas un second choix, il est arrivé par la grâce de coups fourrés électoraux qui ont pris les Aulassiens à contre-pied. Personnage moins contrôlable et un peu mégalo qui a affiché son indépendance après le scrutin, il se retrouve dans une position inconfortable car il doit quand même son élection aux "putschistes" qui attendent désormais de lui qu'il applique leur programme.
Après des déclarations d'intention sur la nécessaire solidarité entre les clubs et celle de moderniser le football français (c'est-à-dire de mener une politique impliquant notamment de rendre aux clubs la propriété des droits télé), l'annonce de la rédaction d'un "livre blanc" à remettre au gouvernement... en septembre (!), on ne vit plus rien venir... Entre-temps, le séisme déclenché par la Commission européenne autour des transferts a fait surgir de nouvelles urgences, mais on ne peut pas dire que la Ligue se soit vraiment mise en avant dans la recherche de solutions dans ce dossier. Les dirigeants ont mené leurs démarches sans solliciter beaucoup l'instance nationale.
De son côté, le nouveau président connaît de graves déboires avec son empire industriel. Le groupe Bourgoin, présidé depuis six an par sa fille, a en effet déposé le bilan et est placé sous administration judiciaire. Ruiné, comme il le reconnaît lui-même, Bourgoin pourrait tomber sous le coup de procédures pénales relatives à sa gestion aventureuse. Dès lors, il sera question de sa démission prématurée, surtout si certains profitent des circonstances pour imposer un remaniement conforme à leurs intérêts. Mais après la crise politique de juin et juillet dernier, le foot français pourra-t-il assumer de nouvelles grandes manœuvres de couloir?
Et tant qu'à parler de retours dans cette Gazette, pourquoi ne pas évoquer celui de Noël Le Graët? Après avoir mûrement réfléchi et avoir réalisé qu'il fallait un vrai et solide politique à la tête de la Ligue, les clubs professionnels pourrait bien faire basculer la fragile majorité actuelle du côté du Guingampais, si celui-ci s'avisait de prendre une revanche précoce...

PS: il y a quelques jours, lors d'un séjour à Cuba (où il entretient de bonnes relations avec Fidel Castro et a encore quelques intérêts), la dernière lubie de Gérard Bourgoin a consisté à remettre aux médaillés olympiques cubains... une médaille, au nom de la Ligue nationale de football !

Réactions

  • Il principino le 09/11/2000 à 00h00
    Perpère est un homme qui cherche avant tout à faire du marketing, à faire du PSG un club "aseptisé". Le recrutement d'Anelka va dans cette optique. Pour une somme moindre, le PSG aurait pu s'offrir Hasseilbank, par exemple. Perpère a décidé d'acheter au-delà du prix du marché un joueur certes bon et prometteur - pas pour autant aussi efficace qu'Hasseilbank -pour faire venir et/ou consommer un public un peu plus jeune et métissé: là est le danger du foot-business, non seulement dénaturer la "gratuité" infantile du football mais aussi plus concrètement nuire à l'efficacité sportive. Voici un autre exemple de gangrène dans le club de mon coeur, la Roma: Cappello est un homme de marketing de par sa carrière dans le groupe Mediaset (Berlusconi). Il a réussi à convaincre le président Sensi, vieillard sénile et richissime, à acheter Nakata dans le but d'exploiter son image au Sud Est Asiatique sur le modèle Man U. Notre ami Nakata se voit obliger de jouer dans un rôle de milieu défansif-relayeur alors qu'il est un pur n°10. En effet: au poste de meneur,se trouve Totti, idole des supporeters et intouchable. Résultat: pour la Roma, une déficience dans la récupération du ballon durant l'année 2000. Merci le foot-business! Perpère ne peut se permettre d'aller jusqu'à ce genre d'extrémité parce qu'il existe encore en France un semblant de bon sens chez les journalistes et certains dirigeants, chose ayant disparu dans ce sinistre cirque qu'est devenu la Seria A depuis la monarchie absolue des présidents des grands clubs et la quasi-absence de pouvoir réel pour la fédé italienne.

  • marco le 09/11/2000 à 00h00
    Un peu mince, non ? Parce que Hasselbaink, à mon avis il serait pas trop venu, à choisir entre chelsea et paris.
    Les attaquants de ce niveau préfèrent des championnats un peu meilleurs que les nô lien
    Le meilleur possible était anelka parce qu'il voulait retourner dans sa ville. Si en plus cela aide le club à vendre des maillots, tant mieux, mais ce n'est pas la raison
    pour laquelle paris l'a acheté.

    On ne va pas se plaindre de vendre des maillots quand meme, à l'époque de marseille tous les gens avaient des maillots JPP et personne ne s'en plaignait, fort heureusement.
    Avoir des stars en France, c'est plutot un point positif, à mon sens en tout cas.

  • Il principino le 09/11/2000 à 00h00
    Quand j'ai dit Hasseilbank, ça pouvait être aussi Larsonn, Palermo, Angel, Wiltord (surtout lui). Enfin, un type qui marque 5 ou 6 buts dans toute une saison ! Le plus inquiétant est le peu de but que marque notre sympathique sprinteur en D1, championnat où les grands attaquants se font rares voire inexistants. Non, un club sensé n'aurait pas acheté Anelka pour 220 MF. Il en vaut la moitié. Pour revenir sur les maillots: voir L'Inter jouer en orange, le PSG en argent, ça me choque en tant que manque de respect pour l'histoire des clubs. D'ailleurs, Perpère ne cherche pas à vendre des maillots, mais plutôt des abonnements Canal-Noos-Vivendi et du Pay-per-view. Vive Moratti et Loulou Nicolin!

  • Vicky le 09/11/2000 à 00h00
    1)El Principino, si Perpère a fait venir Anelka pour attirer un public "jeune et métissé" et même si ses raisons sont mercantiles, je ne vois pas où est le problème, bien au contraire (sauf pour un sympathisant du Front National).

    2) Concernant Tapie, il est intéressant de voir à quel point il divise encore l'opinion et déchaîne les passions. Or, Tapie n'est ni un Dieu ni un monstre. ZZ, tu estimes Tapie pour ce qu'il a fait pour l'OM. Tu oublies que ceux qui nous font rêver ne doivent pas être les présidents des clubs mais les joueurs. Ce n'est pas Tapie qui était sur le terrain, ce n'était pas lui l'entraîneur. Et même pour le recrutement, il avait ses conseillers !

    Bizarre, les supporters de l'OM ne lui en veulent pas d'avoir précipité l'OM en D2 (évidemment, seule la justice est fautive pour eux). Même si je ne doute pas de son amour pour le football, l'OM était surtout pour lui un moyen d'asseoir son pouvoir. Ne disait-on pas de lui qu'il briguait la Mairie de Marseille ? Moi, je préfère encore Perpère à Tapie car si les deux font ou faisaient des affaires grâce au football, au moins le premier ne la ramène-t-il pas sans arrêt dans les médias. "Sympathique charlatan, Tapie?" Qu'en pensent tous ceux qui ont perdu leur travail à l'époque où il rachetait des entreprises ? Bon, c'est vrai, Tapie n'est pas non plus un monstre, et je le préfère encore (et même de loin) à Berlusconi. Mais personnellement, je n'aime pas les grandes gueules et les arrivistes. Quand on sait que Tapie a été chanteur, homme d'affaires, animateur télé et radio, acteur au théâtre et au cinéma, politicien et président d'un club de foot, on se dit que seule la gloriole intéresse ce type là.

  • wonder... le 10/11/2000 à 00h00
    sympathique charlatan tapie? c est certain chez les ouvriers de wonder et la vie claire...on remercie dieu d avoir envoyé vider les caisses des entreprises pour sponsoriser le football..(et le cyclisme pr la 2eme...)...en allant d un pas joyeux à l' ANPE..!

  • trappes en force le 10/11/2000 à 00h00
    même si le montant est faramineux..faire venir anelka est en plus d une bonne nouvelle pr le tristounet championnat français....un lien necessaire pr faire le lien entre paris et ses banlieues afin de profiter de ce vivier exceptionnel (de henry..à anelka..en passant par les cissé..les domi...)


    bravo perpere...

  • Il principino le 10/11/2000 à 00h00
    Je ne critique pas le fait de vouloir faire venir un public jeune et métissé au parc, mais la façon de le faire. Ce club et ses dirigeants ne souhaitent qu'exploiter ce nouveau public. Quand aux présidents, aux dirigeants, ce sont eux qui font les équipes, sauf en cas de managing à l'anglaise. Leur rôle est aussi important que les lien Personnelement, je préfère Moratti, ce brave homme qui se ruine pour sa collection Panini Inter, que Perpère, proconsul d'une multinationale. Moratti et même Aulas aiment leur club parce que leur destin et leur ambition sont liés. Perpère pourrait aussi bien s'occuper de Canal+ cinéma: d'aileurs, je suis sûre qu'il préfère le cinéma à la pelota.

  • bob le 10/11/2000 à 00h00
    Il principino, tu te permets de juger de l'état d'esprit des présidents de club, mais ce sont aussi des entreprises qui doivent faire rentrer du pognon! Quant à dire que Aulas Moratti ou un tel aime son club car sa carrière y est rattachée, c'est avoir des peaux de banane devant les yeux. Ils aiment leur personne avant tout et tout ce qui peut l' lien
    Vert75, nos titres sont peut être vieux mais ils ont le mérite d'exister. De plus, à cette époque, je n'étais pas de ce monde mais les verts soulèvent toujours une magie.
    Il suffit de regarder l'affluence des stades. Ils font venir autant de monde que l'OM ou le lien
    Ensuite, il a été écrit que les supporters des "petits club" crachaient sur ces 2 clubs! C'est faux, mais nous ne sommes pas tenu pour autant de les apprécier! En France, la liberté de pensé est encore libre et supporter L'om ne veut pas dire mafieu ou le PSG ne veut pas dire Facho pour autant. Quant à ne pas apprécier un club ne veut pas dire lui cracher dessus. Il est par ailleur dommage que les insultes envers les équipes visiteuses volent plus facilement que les encouragements vers son é lien
    Regardez le comportement des supporters de Rugby, sport de brute soit disant mais où tout les supporters sont mélangés sans le moindre incident et où il existe encore un respect de la personne et des opinions!

  • ravachol le 10/11/2000 à 00h00
    Pour revenir sur le PSG et sa politique marketing et son recrutement il me semble, au contraire de certains, que l'unique facteur sur lequel Perpère s'est appuyé est la perenité sportive et financière du lien
    Primo, achetez des joueurs comme Dalmat et Luccin assure au club une revente d'ici 2 ou 3 ans (le plus tard possible j'espère) avec une plus value non né lien
    Deusio, faire venir Anelka fait vendre des maillots (on en a jamais autant vendu que cette année) et rapporte pas mal de pognon au club, pognon qui peut permettre l'amortissement des 220 patates d'ici 1 an ou 2 en constatant que les supporters qui se rendent dans les boutiques PSG n'achètent pas que des maillots mais aussi d'autres produits estampillés lien
    Tercio, le fait de faire venir ce genre de joueur d'origine parisienne ou métissé redonne à Paris une identité qu'elle a toujours eu du mal à imposer auprès des jeunes de banlieue. Et se sont eux les futurs supporters qui viendront garnir les tribunes du Parc dans les années à lien
    En résumé plus d'argent donc plus de bon joueurs et plus d'identité donc plus d'envie et de passion autour du PSG.

  • seriousman le 10/11/2000 à 00h00
    Arghhhhhh... mes propos auraient ils été mal interprétés ?
    On me reproche d'avoir dit que les supporters des "petits" clubs
    crachaient sur Paris et Marseille. D'accord, les termes étaient mal choisis. Je ne parlais pas de réactions agressives, ni rien, mais juste du fait qu'on a l'impression qu'un certain nombre de ces personnes regrettent
    l'argent investi, par exemple par Paris, trouvent cela honteux ou je ne sais quoi, et s'en plaignent, alors que ce serait plutot bon pour le foot lien
    Donc Bob je suis désolé que tu aies cru que je portais atteinte à ta liberté de penser... tu as le droit de ne pas aimer paris, marseille ou les deux, mais il me semble que l'on devrait se rejouir de leurs efforts financiers plutot que de les
    villipender. C'etait tout ce que je voulais lien
    Le foot et l'argent sont de toutes manieres aujourd'hui trop liés pour faire machine arrière, à moins de vouloir d'un championnat du niveau du suisse..

La revue des Cahiers du football