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La Gazette de la L1 : 9e journée

Auteur : Alex Lagazette le 9 Oct 2013

 

 

Les résultats de la journée

Montpellier HSC 5 - 1 Olympique Lyonnais
Girondins Bordeaux FC 4 - 1 FC Sochaux
SC Bastia 4 - 1 FC Lorient
FC Nantes 3 - 0 Evian Thonon Gaillard FC
Lille OSC 3 - 0 Ajaccio AC
AS Monaco 2 - 1 AS Saint-Etienne
EA Guingamp 2 - 0 Stade Rennais
Toulouse FC 1 - 0 OGC Nice
Valenciennes FC 1 - 1 Stade de Reims
Olympique Marseille 1 - 2 Paris SG


 

 

Les gestes


L'amour d'ouverture de l'extérieur du pied de James Rodriguez offrant l’occasion du but de Yannick Ferreira Carrasco.
 

La tête smashée surpuissante de Pape Souaré sur corner, que rien ni personne ne pouvait empêcher d'aller au fond des filets.
 

Les multiples parades de Kossi Agassa à Valenciennes, et celles de Stéphane Ruffier sur les frappes du pied gauche de James Rodriguez.
 

La talonnade de Gianni Bruno le long de la ligne de touche qui trouve Krasic en pleine course: le Serbe file vers le but, enchaîne une feinte de frappe et un lob tout en finesse sur Fabien Audard.
 

Le coup de rein de Rolan suivi d'un centre millimétré et décisif pour Diabaté.
 

La frappe flipper laser “même joueur joue encore” de Roy “La Légende” Contout.
 

La feinte-hésitation de Diabaté qui met Pouplin sur le cul, suivie d'une pichenette digne d'un vrai attaquant.
 

Les missiles de Dias sur la transversale de Carrasso et de Boudebouz sur celle d’Audard.

 

 

 


"Mais j'ai pas peur de Zlatan, moi. Tiens, Marco, vas lui dire de se replacer de ma part. Ou plutôt non, dis-lui que ça vient de toi, ça passera mieux."

 

 

 


Les antigestes


Le combo clownesque contrôle du nez-coup de pied en retard de Thiago Motta, sur Valbuena dans la surface.
 

La réponse d'André Ayew en deuxième mi-temps, qui commet la faute la plus bête du monde sur Marquinhos dans le coin de sa surface, alors que le Brésilien partait vers la ligne de touche.
 

La remise malheureuse de Claude Dielna, probablement hypnotisé par les dribbles de Salomon Kalou sur l'aile droite, dans les pieds d'Idrissa Gueye pour le deuxième but lillois.
 

L'air-ciseau retourné de Rafael Dias, qui tentait d'intercepter le centre de Rolan, à l'origine du troisième but bordelais.
 

La "spéciale Mollo" de Yohan Mollo, qui préfère bouder et se prendre la tête avec Stéphane Ruffier plutôt que de se positionner cinq mètres plus loin, où son gardien le demande.
 

La sortie dite du saumon sauvage de Steve Mandanda sur l’égalisation parisienne.

 

 

 

 


Le FC Nantes tente de renouer avec son histoire en essayant de porter le ballon.


 

 

 

 

Les minutes


La minute lexicale d’Anne-Laure Bonnet

"Président [Aulas], j'ai des difficultés à savoir quels mots employer: une déroute, une débâcle, juste une défaite?"
 

La minute “Charles Billetterie” de Stéphane Guy
“11.786 spectateurs, pour un sommet de la Ligue 1, c’est pas ça qui remplira les caisses du club princier” (Canal+). Et du coup, sur Canal, la réalisation propose des matchs illisibles pour inciter les gens aller au stade, pas bête.
 

La minute “Championnat à l'envers” de Jean-Michel Aulas
"C'est une défaite extrêmement importante pour l'avenir du club." (beIN Sport repris par lequipe.fr)
 

La minute d’ouverture de la chasse de Rémi Garde
"J'ai vu un vestiaire abattu." (lequipe.fr)
 

La minute "Sébastien Patrick" de Yannick Ferreira Carrasco…
... qui célèbre son premier but en L1 en faisant le zizicoptére.


La minute H1N1 des Ultras Monégasques…
... qui crient "enrhumé" après chaque joueur lors de l'annonce de la composition de Saint-Étienne...

 

 

 

 
 

 

Le rébus officiel



[Réponse de la dernière fois : Basile Boli / Bacilles polis]

 

 

 

 

 

Les observations en vrac


Après OM-PSG, Cavani devance désormais Jallet et Van der Wiel dans la hiérarchie des arrières droits du PSG.
 

Deuxième derby perdu en une semaine pour Rennes, avec en prime l'avant-centre expulsé et deux joueurs sortis sur civière: apparemment, le cimetière indien sur lequel est construit le Stade de la Route de Lorient a un rayon d'action qui s'étend au moins jusqu'aux Côtes-d'Armor.
 

En protestant auprès de l’arbitre, Marco Verratti a obtenu le carton jaune qu’il s’apprêtait à donner à Matuidi.
 

Christophe Dugarry exorte les joueurs à “se surpasser”. C’est vrai que lui y parvient très bien à chaque match.
 

Quand il est abattu, Rémi Garde a la même voix que François Cluzet. Et il ne devrait pas tarder à paraître avoir le même âge.
 

Claudio Ranieri se fait chambrer par une partie des tribunes parce qu'il attend la 83e minute pour faire les changements qui s'imposent, avant de se faire acclamer dix minutes plus tard pour la justesse de son coaching qui a permis de gagner le match...
 

Débat sur le travail dominical : M. Turpin ne chôme pas, lui.
 

Christophe Dugarry nous apprend que la validité d'un penalty se mesure à la virulence des contestations. Donc, manifestement, yavépéno contre les Marseillais "qui n'ont pas beaucoup protesté". Et c'était plus discutable pour celui sifflé contre des Parisiens qui ont pressé M. Turpin durant cinq minutes.

 

 

 


"Attends, mais quel âge elle a, en fait, Mary Ingalls?"


 

Arrache et Maazou marquent, l’équipe de Jean Fernandez réussit un festival offensif: actuellement, la défense lyonnaise transforme le plomb en or.
 

Didier Deschamps remercie Steve Mandanda qui lui évite d'avoir à répondre aux questions sur la hiérarchie des gardiens en équipe de France.
 

Une équipe entraînée par René Girard n'est qu’à trois petits cartons jaunes de la première place au classement du fair-play. Une autre coachée par Jean Fernandez est deuxième attaque ex-æquo. Y a plus d'saisons ma p’tite dame.
 

Cette saison, le prix Patrick Kluivert du parachutage improbable sur les terrains de L1 devrait revenir au fumigène de OM-PSG.
 

Milos Krasic, Wahbi Khazri, Ryad Boudebouz... qui a dit que Furiani n'appréciait que les guerriers dépourvus de technique?
 

Quand Roland Romeyer a dit que l'un des objectifs de Saint-Etienne cette saison serait de finir devant Lyon, il n'avait pas prévenu qu'il s'agirait peut-être d'une lutte dans le ventre mou du classement.
 

Bel hommage de Benjamin à Bernard. Il faudra donner le nom de Mendy au prochain centre spatial qu’on inaugurera.

 

 

 

 


"Le mur jaune, l'OM qui joue comme des poussins, maintenant le crâne d'œuf. C'est soirée à thème ou quoi, les gars?"

 

 

 

 

 

Le Tulio de méli-mélo


Horizontalement
3. Désigne depuis peu tout membre de "la bande des Cahiers du Football". Mais aussi probablement l'ensemble des fonctionnaires, bobos, rastaquouères, sorbonnards, et usagers des transports en commun.
4. Quotidien espagnol qui prouve qu'il existe quelque part des journaux pires que l'Équipe.
7. Pays se trouvant autour de la 170ème place au classement FIFA, où Roger Milla a fini sa carrière.
9. Avertissement ou bizutage préféré des bidasses. Mais perso on préfère le simple avertissement.
12. Emblème du FC Porto lorsqu'il n'est pas mon Farid.
 

Verticalement
1. "Les bras m'en tombent, on a un gars qui met toute la défense du champion d'Angleterre à la rue et on ne lui redonne pas sa chance en Bleu..."
2. Nouveau métier de Stéphane Guivarc'h.
5. Désigne l'infraction la plus grave au regard de la loi, ou un coup franc joué trop vite à la 90ème.
6. Il signe ses relance plein axe d'un Z qui veut dire...
8. "It's a f***ing [...]"
10. Nourriture pour riches. Ou ballon donné par un caresseur de gonfle, type Pirlo.
11. Équipe où évoluent cette année Sydney Govou, Stéphane Dalmat, et le dernier vainqueur du Ballon d'eau fraîche.

 

 

 


"L'apport offensif de Toifilou Maoulida? Euh, j'peux pas vous chanter un morceau d'I Muvrini à la place?"

 

 

 

 

Turpin dans le goulet


Récemment, on a pu croire, parfois, en une amélioration: des commentateurs qui se réfèrent à la règle et pas à l'idée qu'ils s'en font, le bénéfice du doute laissé à l'arbitre, le rappel que c'est lui qui décide ou que sa décision est forcément affaire d'interprétation. Et puis il y a eu ce OM-PSG dont, absurdement, Clément Turpin a été consacré comme l'acteur principal alors qu'aucune de ses décisions n'a été scandaleuse et qu'il a eu un match difficile à gérer. Les deux penalties sifflés étaient parfaitement justifiés malgré les délires de Christophe Dugarry selon lequel le fait pour l’arbitre d'être soi-disant loin de l'action aurait invalidé celui contre André Ayew – alors que son placement était conforme compte tenu de l'action précédente, et que son assistant a très bien pu l'informer. Oui, l'expulsion de Thiago Motta peut légitimement être considérée comme sévère. Mais dans la rhétorique anti-arbitrale ordinaire, "sévère" est implicitement considéré comme inique.
 

L'idiotie du débat est résumée par l'esclandre fait autour de deux cartons jaunes parfaitement anecdotiques mais pas volés, qui a donné lieu à un défilé de lieux communs sur les arbitres français, et dont des médias majeurs ont fait leur grain à moudre: un sondage sur lequipe.fr dont la démagogie (infinie) est inversement proportionnelle à l'effort de pédagogie (nul), un “Spécial arbitrage” dans l’émission J+1 de Canal+, censée être le haut de de gamme de la chaîne, des talk-shows qui “débattent” encore de cette non-affaire 48 heures après le match, etc. Les arbitres continuent de servir d’exutoire à la médiocrité des médias spécialisés, dont les plus patentés représentants ont besoin de répandre le crétinisme pour assurer leur propre règne.

 

 

 

 

 

Les images de la semaine


Un plan de métro représentant 150 ans de football anglais, ça redonnerait presque foi dans le tube londonien.


Un documentaire d'une heure et demie sur le "mur jaune" de Dortmund, c'est tellement bon que ne pas parler allemand n'est pas un problème.


Quand un quotidien fait sa une sur les Ultras, on sait que ce n'est pas L'Équipe.

 

 

 


A priori, l'Europa League sur Kinect, c'est pas évident.

 

 

 

 

 

Sur les Blogs des Cahiers


Deux équipes favorites qui se rencontrent d'emblée en Ligue des championnes: PSG-Tyresö, présentation des forces en présence sur Ni Buts Ni Soumises.


Martyn McFadden n'a jamais rien fait à Mickaël Landreau. En revanche, il est l'éditeur du plus primé des fanzines anglais, A Love Supreme... Très courtisé, c'est à Teenage Kicks qu'il a accordé le privilège d'une interview.


Le Bayern de Guardiola est peut-être né à Manchester: analyse d'un transfert de compétences autrement plus important que celui de Gareth Bale au Real, chez les Dé-Managers.
 
 

 

 

 

Le 4-5-1 de Just de La Fontaine


Soulignons-le

 

S'il devait s'agir d'accabler
Il y avait vraiment le choix:
Marseillais et Lyonnais qui choient...
Sochaux et VA ensablés...
 

Mais loin d'enfoncer une équipe
Ou un arbitre invectiver
En mode Jean-Michel Larqué,
On préfère avoir pour principe
De trouver où positiver:
 

33 buts ont été marqués!

 

 

 

 

 

Le rébus facile




[Réponse de la dernière fois : Kevin Monnet-Paquet / quai - vigne - Monet - pas quai]

 

 

 

 

 

Le coin fraîcheur


Victor Hugo Montano, après son deuxième but personnel, encourage le public de Montpellier à applaudir son passeur, Rémy Cabella.
 

Le stade du Hainaut draine plus de spectateurs avec la réception de Reims qu'avec celles du PSG et de l'OM.
 

Laurent Blanc : "Je ne discute jamais les décisions arbitrales, ça ne sert à rien. Une fois qu'il a pris sa décision, elle est irrévocable." (Canal+) Certes, voir Laurent Blanc dans le coin fraîcheur, ça peut piquer les yeux et, certes, c'est plus facile d'être classe quand on gagne... Mais par rapport à tous les Olympiens (Baup en tête) qui parlent de compensation et à tous les joueurs parisiens qui contestent le rouge de Motta, Lolo a les mots justes. C'est pas le Pérou, mais c'est déjà pas mal.
 

Ezequiel Lavezzi, au moment de sa sortie après le carton rouge de Motta, tape dans les mains et encourage Rabiot alors qu'il venait de faire une demi-heure épouvantable techniquement.
 

Rémi Garde enjoint à ses joueurs d'aller saluer les supporters ayant fait le déplacement malgré la déroute du jour.


La banderole des supporters lyonnais en soutien à Casti, jeune supporter montpelliérain grièvement blessé à l'œil par un tir de flashball en septembre 2012, exhibée et tenue haut pendant le but de Lacazette.

 

 

 

 


Allégorie d'une saison du Stade Rennais: descendre au classement et finir la queue entre les jambes.

 

 

 

 

Les immanquables de la semaine


Il y a les immanquables, et puis il y a ceux qui vont manquer. Imanol Corcostegui est contraint d'abandonner Rue89 Sport, mais ne part pas sans laisser d'héritage: "28 ans, dont cinq de journalisme sportif : mon testament provisoire". L'occasion de saluer la qualité du travail accompli, et la parenté de celui-ci avec avec la conception du journalisme "sportif" défendue par les Cahiers du foot, dont si peu de "vrais" médias nous ont semblé aussi proches. Heureusement, Clément Guillou continuera de porter ce flambeau, lui qui cette semaine a signé "Une seule solution pour la Fifa: priver le Qatar de Coupe du monde" et "Antidouleurs : les pilules qui ont envahi le football". Nos salutations à celui qui arrête, nos encouragements à celui qui poursuit.


"De la responsabilité d’un club et de ses supporters", ou la mise en sommeil du Roazhon Celtic Kop de Rennes (lire aussi leur communiqué) vue par Sylvain de Stade Rennais Online.


La "Psychanalyse du supporter lensois", c'est forcément chez Moustache FC – rénové plus vite que Bollaert et sans financement public, ni exotique.


"Soixante-six ultras mettent en demeure le PSG et la Préfecture de police de Paris", tandis que le Collectif SOS Ligue 2 poursuit la Ligue en justice... La question est: combien de temps mettra-t-on les supporters en dessous des lois?

 

 

 

 

 

La bonne enseigne


Les causes de la gastro du gardien de l'équipe de France, qui aurait causé ses erreurs contre la Biélorussie sont toujours mystérieuses, mais on tient peut-être une piste: celle des boulettes de viande de cette boucherie à Valence. Les Espagnols seraient donc dans le coup, mais on peut s'estimer heureux que Lloris n'ait pas subi de contrôle antidopage ce soir-là. (merci à sydele pour cette BE)

 


Merci à Beau 6, Brian Hainaut, Cebrik Jecluse, forezjohn, Gabriel Heinze Sergent García Rafa Márquez, Gouffran direct, Jean-Manuel Tetris(te), Justin Bibard, Lasth, Lucho Gonzealaise, Mama, Rama & Papa Yade, Mik Mortsllak, Moravcik dans les prés, nikoselstokos, Paul de Gascogne, Rabais cendre à Tana, Rolfes Reus, Simone for nothing, syle, Vasy Mollo pour leurs contributions. Le rébus officiel est de Kireg, le rébus facile de Pascal Amateur, le Le Tulio de méli-mélo de Nadine Zamorano, le 4-5-1 de Just de La Fontaine de Gilles Juan. Les lucarnes sont issues de l'Alterdiaporama et leurs auteurs sont Tonton Danijel, Toaster Fritz, Cris The Light, Pascal Amateur, Mama, Rama & Papa Yade, bolkonsky et MinusGermain.

 

Réactions

  • Tonton Danijel le 09/10/2013 à 12h14
    SPOILER Rébus facile

    xTieum78x
    aujourd'hui à 11h48

    Il me semble que tu as trouvé le prénom. Il te reste à trouver le nom de famille.

    Un indice: regarde bien l'image. Tu as une identification d'un personnage, il te faut identifier le deuxième (marqué d'un point d'interrogation). En sachant que le texte est en Anglais.

  • Pascal Amateur le 09/10/2013 à 12h16
    ///// SPOIL RÉBUS FASTOCHE /////

    Oui, oui, c'est essentiel de remarquer ça : the text is in English !

  • Full Metal Caennais le 09/10/2013 à 12h27
    Y a vraiment un nom de joueur qui fini par schtroumpf?

  • Pascal Amateur le 09/10/2013 à 12h33
    Mais non, il faut schtroumpfer le schtroumpf du Schtroumpf (dans la schtroumpf).

  • xTieum78x le 09/10/2013 à 12h38
    Merci Tonton , i got it !

  • Full Metal Caennais le 09/10/2013 à 12h44
    Je voulais écrire un à-peu-près avec le rébus officiel, histoire de sortir une bêtise et en fait je me rend compte que mon à-peu-près c'est la réponse. Je suis marri.

  • Kireg le 09/10/2013 à 12h57
    @Full Metal Caennais

    Es-tu sûr de ta réponse ? La solution me semble être exactement le nom du joueur... avec, certes, une prononciation très lente.

  • PeMiPau le 09/10/2013 à 13h10
    Je dois vraiment être mauvais, car même avec les z'indices, je ne trouve pas le rébus facile...

  • Licha Sauvage le 09/10/2013 à 13h21
    "Le stade du Hainaut draine plus de spectateurs avec la réception de Reims qu'avec celles du PSG et de l'OM."

    Autant ça ne m'étonne pas avec le PSG, vu que depuis que les assos de supporters ont été dissoutes, la tribune visiteurs est souvent aux trois quarts vides quand Paris se déplace... autant ça me surprend qu'il y ait eu moins de monde pour voir l'OM que Reims, vu que c'est le seul club (avec Sainté dans pas mal de stades) à remplir intégralement le parcage visiteur. Et la plupart du temps, cet "enthousiasme" se poursuit dans les tribunes latérales...

    Du coup, contre Reims, alors que VA restait sur 7 défaites consécutives, qu'est-ce qui explique une affluence supérieure à la réception de Marseille ?

  • Matu-Verratti-Vieira-Touré-Clément-Cearà le 09/10/2013 à 13h23
    Le difficile me prend la tête. Je le voix mal terminer par paresseux. J'en conclus que c'est le rêveur, mais il n'y a aucun nom de footballer qui me vient à l'esprit.

La revue des Cahiers du football