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DIAPORAMA : la 23e journée du championnat

Le Diaporama change de formule pour la reprise: moins de racontage, plus de chambrage. Les 9 matches au scanner à trou.
le 15 Jan 2001

 

Nantes-Auxerre: 1-1
Les buts :
45e Moussa Saïb lance Djibril Cissé à la limite du hors-jeu (bravo au juge de ligne), qui efface d'un grand pont Landreau sorti à sa rencontre, et tire une diagonale vers le but vide.
74e A quelques pas de l'angle droit de la surface, Eric Carrière tire un coup franc pour la tête de Viorel Moldovan, que le Roumain pique hors de portée de Cool.
Terrain : très souple (3 couches : caoutchouc, limon, boue, parsemées d'herbe en sachet).
Capacités techniques du terrain : amortis, contrôles de l'extérieur, ovalisation du ballon, ralentissement du jeu.
Mi-temps : la 2e, c'est-à-dire la nantaise, qui a vu les Canaris tenter d'imposer leur jeu de passes à la pelouse, avec de belles attaques, un peu trop axiales et souvent mal conclues. Le hold-up auxerrois n'aura cependant pas tenu, Moldovan arrachant une égalisation logique, mais insuffisante pour un leader.
Evidence : ce n'est pas le classement des buteurs qui préoccupe Eric Carrière.
Anecdote : Fabbri préfère les tribunes au banc, et certains supputent sur la validité de son passeport… Paranoïa, quand tu nous tiens.
En vue : Armand, Gillet, Moldovan, Carrière. Saïb, Cool.
Meilleur défenseur : la barre transversale (Da Rocha 19e, Moldovan 33e).
Divers : le comité d'esthétique capillaire des CdF décerne à Djibril Cissé son Prix de la créativité.

Saint-Étienne-PSG: 1-0
Le but, 51e :
Version parisienne : Guel, 52kg, ex-Marseillais, s'écroule dans les jambes de Rabé, alors que la balle était perdue. M. Duhamel emmêle ses propres pinceaux et siffle un déplorable penalty. Sanchez bénéficie d'une veine de cornu en voyant son tir presque détourné par Letizi.
Version stéphanoise : Ralenti par sa lenteur, Eric Rabesandrata commet une obstruction indiscutable sur Tcherissoua Guel. M. Duhamel oublie de sortir le carton rouge pour sanctionner ce geste en position de dernier défenseur. Sanchez ne laisse aucune chance à Lionel Letizi.
La synthèse : battus en agressivité par des Stéphanois auxquels il ne reste pas que le courage, les Parisiens l'ont été au score par un penalty discutable. Auraient-ils pour autant mérité le match nul?
Tactique : les Parisiens ne jouent pas tant qu'ils ne sont pas menés.
Disgrâce : Eric Rabesandratana, qui a perdu le brassard, son statut de titulaire, offre une occasion à Sanchez et est malheureux sur le penalty.
Volontaires mais insuffisants : Peter Luccin, Edouard Cissé.
Avance avant jugement : Saint-Étienne est à 10 points de Toulouse.
Synthèse : Wallemme et Garcia réussissent leur examen de passage, avec une équipe qui a toujours le moral et remportent trois points sur lesquels ils pourront compter… On a l'impression que c'est une opération commando qui les attend. Luis Fernandez voit du mieux à tous les matches, mais son équipe reste aussi pire. Une certaine impuissance et un début de spirale négative à enrayer très vite, sinon, dans quelle équipe anonyme arrivera Ronaldinho?

Marseille-Toulouse : 1-1
Les buts :
59e Sur un corner très bien tiré par Bruno Carotti, Nicolas Dieuze devance tout le monde de la tête.
76e Après une récupération de Gallas et Brando, Belmadi réussit un double une-deux avec Maurice (talonnade au deuxième relais) et, aux 18 mètres, place une frappe superbe dans le petit filet.
Le contexte marseillais : défaite 4-1 au Havre, annonce des pertes 99/2000 de 80 MF (255 sur les trois derniers exercices), Clemente contesté, Ingesson prêté à Lecce, Leroy en cessation de travail, organigramme toujours en chantier, etc..
Absences : Weah, Boksic, Anderson, Papin, Skoblar.
Synthèse : Après une bonne entame, les Marseillais laissent leurs adversaires se montrer dangereux et imposer leur jeu, dans une première mi-temps très faible. Les visiteurs profitent de la passivité des blancs pour ouvrir le score et glacer un Vélodrome déjà pas très virulent. La dernière demi-heure sera donc plus animée, mais l'égalisation sera le seul moment de grâce de la rencontre.
Observation : quand William Gallas aura joué avant-centre et gardien de but, il aura occupé tous les postes à Marseille.
Consolation : on voit mieux le jeu dans les tribunes que sur le banc, Robert.
Le bon côté pour l'OM : Belmadi est un bon joueur.
Le mauvais côté pour l'OM : Belmadi est son meilleur joueur.
Question : Clemente aussi va-t-il se sauver à la Real Sociedad?
Morale : le TFC devrait continuer à gagner ses points sur le terrain, plutôt que d'en chercher sur tapis vert.
Conclusion et projection vers l'avenir : Clemente doit reprendre la situation en main, s'il ne veut pas qu'elle lui échappe totalement. Il aura du mérite, tant l'environnement est incertain. Toulouse augmente son maigre capital-points, et regarde maintenant en direction de la Commission d'organisation des compétitions.

Bastia-Strasbourg: 3-1
Les Buts :
2e Camadini déborde à droite en amusant Valéry et Nalis, adresse un centre parfait pour Ljuboja qui marque de la tête.
39e Pierre Laurent pénètre côté gauche et centre pour la tête de Née, qui devance la sortie de Durand.
62e Consécutivement à un centre dans le paquet de Ferreira, Laurent dans la mêlée remet vers Lachuer qui reprend à 12 mètres. Son tir est détourné par Habib Beye dans le but.
90e Après deux occasions personnelles, Laurent est alerté par une longue ouverture de Patrick Valéry. Il élimine Njanka en repiquant vers le centre, pour placer une merveille de frappe enroulée du droit vers le petit filet d'Eggiman.
L'homme du match : Pierre Laurent, entré 20e minute, auteur de deux passes décisives et d'un but. En vertu de quoi nous augmentons sa note dans L'Equipe (6+1=7).
Fait du match : Antonetti expulsé pour un marquage trop serré sur le 4e arbitre.
Urgence première pour Strasbourg : un gardien.
Urgence seconde pour Strasbourg : un président, une équipe et un entraîneur.
La phrase bateau : Strasbourg s'enfonce un peu plus.
Variante : Strasbourg touche le fond.
Déconseillé: Strasbourg plonge (cela fait longtemps qu'il a plongé).
Info importante : Bastia remonte.

Monaco-Sedan : 1-0
Le but :
43e Le ballon échoit à Shabani Nonda aux 20 mètres. Il se décale en contrôlant et adresse une frappe croisée qui ne laisse aucune chance à Nicolas Sachy (en reportage pour Téléfoot).
Fait du match : Nonda a marqué un très beau but.
Info importante : Panucci n'est pas venu faire de la figuration
Synthèse : l'AS Monaco aimerait commencer maintenant une nouvelle saison, toujours avec Puel mais avec de nouvelles têtes, et en espérant que son passé si proche ne le rattrapera pas (affaire Contreras). Avec une, les Monégasques devront conserver l'élan de cette victoire significative contre Sedan. Les Ardennais espèrent au contraire la continuité avec leur année 2000, mais leurs qualités habituelles n'ont pas suffi à Louis II… Après trois défaites consécutives (incluant la coupe de la Ligue), et l'ogre calaisien arrive en Coupe de France.

Metz-Rennes : 2-2
Les buts :
26e Sur une longue ouverture de Meyrieu, Moreno devance une hasardeuse sortie de Lama, le ballon revient à Baticle qui place un tir tendu entre les défenseurs restants.
45e Corner de Gourvennec, Echouafi s'impose de la tête.
54e Lama frappe un coup franc dans ses 40 mètres, Chapuis oublié prend la profondeur et glisse le ballon sous Mondragon.
86e Un coup de rein de Jager oblige Echouafni à un tacle fatal. Sur le penalty, Meyrieu-pas-froid-aux-yeux s'offre une Panenka d'école.
Contexte lorrain : Muller viré, Kastendeuch écarté par Cartier.
Stat lorraine : toujours pas de victoire pour le FC Metz depuis le 28 octobre.
Stat bretonne : Lama, deux passes décisives.
La note triste : Moreno déjà sifflé
Consolation : les spectateurs de Saint-Symphorien ont vu des buts.
Conclusion : depuis le 29 novembre, le Stade Rennais est sur un rythme de champion, se retrouve à 3 points de l'Europe, et Paul Le Guen fait office de miraculé. Les Bretons s'offrent même le luxe de manifester une grosse déception après ce nul concédé dans les dernières minutes. Le Classement est toujours aussi terrible pour le FC Metz, à la tête du trio des relégables, décroché (5 points d'écart avec Marseille, 15e). Le club de Molinari joue gros cette saison.

Troyes-Lille : 2-1
Les buts :
9e Murati décalé par D'Amico, efface Hamed et enroule son centre. Boutoille surgit au deuxième poteau.
70e Plein axe, Saïfi sert Goussé en profondeur, qui pique son ballon au dessus de Wimbée.
76e Servi par Hamed, Rothen adresse un centre à ras de terre, que le genou de Cygan propulse dans ses propres cages.
Synthèse : les Lillois ont eu l'occasion de prendre le large lors d'une première mi-temps qu'ils ont dominée. L'ESTAC, revenue dans le match a su forcer son destin avec ses habituelles qualités de réalisme. 7e victoire à domicile, 7e but pour Goussé. Le LOSC n'est pas tout à fait prêt à assumer les exigences de son rang actuel.

Guingamp-Bordeaux : 1-1
Les buts :
2e Rodriguez, le long de la touche côté droit centre vers Fiorèse qui reprend du droit au premier poteau, devant Roche et Legwinski.
78e Bonissel pénètre en crochets sur le flanc gauche de l'attaque, centre au deuxième poteau pour Vairelles qui remet de la tête à Dugarry, lequel n'a plus qu'à pousser le ballon d'un intérieur du gauche.
Retour : Dugarry.
Arrivée : Vairelles
Action du match : passe décisive de Vairelles pour Dugarry.
Synthèse : revenus au score à un quart d'heure seulement du temps réglementaire, les Girondins ne s'en consoleront pas, après avoir autant dominé des Bretons trop repliés après leur précoce ouverture du score. Les Hommes de Baup ont peiné à se montrer dangereux en première période, avant de hausser très nettement leur niveau en seconde. Ceux de Lacombe vont aggraver leur réputation de frilosité, le coaching local se limitant à ajouter un cinquième défenseur. Un point gagné pour l'EAG?

Lens-Lyon : 0-0
Dans un match où le score est resté plus vierge de buts que de polémiques, ce sont surtout les fautes qui se sont multipliées (61!), dans un état d'esprit douteux, à l'image de ce baiser de Diouf à Deflandre, pas franchement amoureux.
On laissera donc en l'état nos commentaires sur un match qui n'a pas honoré le standing présumé de ces deux clubs…

Réactions

  • le nihiliste le 16/01/2001 à 00h00
    les crétins pas les cdf

  • SLY le 17/01/2001 à 00h00
    OH les gars du calme !!!

    Si je pose la question pour Palermo c'est autant par humour de circonstance que pour ma culture!
    Merci pour l'info (et aussi l'histoire des 3 générations) maintenant je suis rassuré.

    Enfin, je trouve ça limite mais bon, code de la nationalité Italien , on peut rien y faire de par chez nous...

    quant à Antisly: mon meilleur pote est marseillais (de coeur), je lis régulièrement un des mags de l'OM (lequel ? Ca dépend des mois, de celui qu'il achète), je rigole bien et OUI, je sais à peu près ce qu'il se passe là-dedans, et OUI, bande de petits marseillais, quand on passe son temps à crier partout qu'on est les meilleurs un jour il faut assumer toutes ses conneries et en ce moment c'est un festival sur la Cannebière pas besoin d'y être pour le constater, sauf si bien sûr, l'AFP, Sportal, etc... sont tous des menteurs, eux aussi font parite du complot?


    Sur ce, rendez-vous à Lescure, comme tous les ans...


    A+


    SLY.

  • Kel Walker le 17/01/2001 à 00h00
    Principino : du calme, desole pour le champagne, j'ai moi meme des origines italiennes, pour autant, je n'en supporte pas la squaddra, le pain que je mange, c'est celui du boulanger du coin...

    Cependant, la n'est pas le probleme, cette histoire de naturalisation c'est une belle connerie, y a qu'a regarder notre societe, aujourd'hui, les frontieres sont en train de disparaitre, l'identite nationale lien
    C'est pas grave on peut s'en passer...
    bref, le foot part en vrille...

  • Il principino le 17/01/2001 à 00h00
    Désolé les gars, mais je suis assez attaché à mes origines et je n'ai jamais eut à souffrir de mes origines françaises en Italie - c'est vrai que Milan est assez francophile -comme ici je dois supporter encore quelques clichés imbéciles sur les Italiens. J'ai été élevé dans le respect de mes origines et de celles des autres, ça me choque et m'irrite tout comme les Italiens qui ont mal supporter la première semaine de juillet et se permettent de cracher sur la France. Ce système de naturalisation italien peut paraître particulier mais vu la dégénèrescence du pays, du sang neuf ne ferait pas de mal; mais je constate que la France avec Trézèguet a fait la même chose. D'ailleurs, si vous vous amusez à regarder la composition de l'Espagne et l'Italie durant les 60s, vous verrez Schiaffino (Argentin) entre autre chez les Azzuri et Di Stefano et Puskas de l'autre côté des Pyrennées. Ce système de bidonnage de nationalités est assez ancien et assez modéré dans le foot. Il me semble que dans le basket et le volley, il est bien plus répandu.

La revue des Cahiers du football