En vous connectant, vous certifiez n'avoir jamais trompé votre club favori. Attention à ne pas confondre vos minuscules et vos majuscules.
Vous avez oublié votre mot de passe ?
Inscription
Vous avez oublié votre mot de passe ? Il reste un espoir ! Saisissez votre adresse e-mail ; nous vous enverrons un nouveau mot de passe. Cette procédure est quasiment gratuite : elle ne vous coûtera qu'un clic humiliant.
Nous vous avons envoyé un email sur votre adresse, merci d'y jeter un oeil !

CONDITIONS D'INSCRIPTION :

1. Vous devez nous adresser, via le formulaire ci-dessous, un texte (format .txt inférieur à 100 ko) en rapport avec le football, dont la forme est libre : explication de votre passion, anecdote, aventure, souvenir, essai, commentaire composé, portrait, autobiographie, apologie, réquisitoire, etc. Vous serez ensuite informés de la validation de votre inscription par mail. Les meilleurs textes seront mis en ligne sur le Forum.

2. Nous ne disposons pas d'assez de temps pour justifier les retards d'inscription ou les non-inscriptions, et ne pouvons pas nous engager à suivre une éventuelle correspondance à ce sujet. Merci de votre compréhension.

Nous avons bien reçu votre candidature, on y jette un oeil dès que possible. Merci !

Partager :

Raymond sauvé des zozos

Magie du football: moribond la semaine passée, Domenech a été reconduit à la tête des Bleus sous l'œil attendri de ses détracteurs... Que diable s'est-il passé?
Auteur : Pierre Martini le 17 Oct 2008

 

Mauvais communicant mais excellent stratège? Ou bien maître des astres? Les astres, peut-être: pour tenir, il fallait au moins avoir la conviction que la conjoncture cosmique exceptionnellement défavorable qui poursuivait les Bleus et leur entraîneur depuis Zürich allait subitement laisser sa place, à la 39e minute de Roumanie-France, à une période faste pour lui... Mais aussi une période appesantie par une actualité de crise, que l'on parle du football ou de la planète, et submergée par le tsunami des sifflets de France-Tunisie.


domenech_photo.jpg


Allez expliquer ça
Alors que la campagne contre Domenech convergeait vers ce 15 octobre, son issue a suscité une indifférence polie, et a même été acquise plusieurs jours auparavant. Comme si la polémique, poussée à plein régime durant tout l'été, était arrivée prématurément à court de carburant. Inutile de préciser que le phénomène profite à tous ceux qui, après avoir démoli Domenech, n'ont pas à dire pourquoi ils ne trouvent plus à grand-chose à redire à son maintien en poste. Allez expliquer ça aux collègues ou amis qui suivent le football de loin (c'est-à-dire encore de trop près), interloqués et énervés: "Mais enfin, je croyais qu'il était nul".

Le soufflé, gonflé à l'hélium, est retombé brutalement et la polémique s'est littéralement éteinte, mettant fin aux éditos incendiaires et aux réquisitoires enflammés: les plus virulents des détracteurs de Domenech, du Parisien à France Football, font même contre mauvaise fortune bon cœur (ou mangent leur chapeau). "On a suffisamment de problèmes et je pense qu'avec Raymond Domenech et avec cette équipe de France, on peut vraiment aller au bout", avait déjà capitulé Jean-Michel Larqué lors de Téléfoot, tandis que L'Équipe titrait, ce même dimanche, avec un singulier "Nous, on a aimé" qui déposait aussi les armes. Bixente Lizarazu ne s'en cache pas non plus: "Je vais passer d'un extrême à l'autre (...). Il est trop tard pour changer" (France Football). Une mi-temps trop tard.


Le pied de Gourcuff
Les innombrables griefs contre le sélectionneur se sont donc évaporés. Ne reste plus que le problème de la communication, finalement reconnu comme secondaire, malgré l'écart sur la "guillotine" et "l'odeur du sang" avant France-Serbie. Au moins, tout le monde a compris que Raymond ne changera jamais vraiment.
Bénédiction du zodiaque et considérations politiques mises à part, on a envie de croire que le reversement s'est produit sur le terrain. Non seulement par la grâce d'un retour au score inespéré, mais aussi avec une animation séduisante et des individualités en bonne fortune. Le sort a aussi voulu que le coaching du sélectionneur, si radicalement décrié depuis l'Euro, soit redevenu gagnant en deux matches qui ont "inventé" Gourcuff et exprimé un projet de jeu lisible par tous – jusque dans ses lacunes.

On ne s'empêchera pas de penser aussi que, le football étant largement irrationnel et jamais avare de coups de théâtre, tout a réellement basculé lorsque la frappe de Yoann Gourguff est allée se ficher sous la barre de Lobont, faisant se lever sans plus aucune arrière-pensée les "pro" et les "anti". Ce petit moment de pur bonheur surgi d'un pied audacieux avait de quoi, à lui seul, sceller la réconciliation nationale.

domenech_barre.jpg


On n'entend plus Dugarry
La Fédération, elle, s'est simplement aperçue que reconduire un sélectionneur avec un sursis, des consignes tactiques et un examen au bout de trois matches avait été une bien mauvaise inspiration, qui mit l'élu dans une fâcheuse posture préjudiciable à l'équipe de France. Dans l'élan de Constanta, le Conseil fédéral a en quelque sorte repris, cette fois fermement, sa décision du 3 juillet. Sur le score identique de dix-neuf voix pour et une abstention...

Le vote à bulletins secrets réclamé par les médias et les lobbyistes de France 98 n'y a donc rien changé, et même le rebelle Christian Teinturier a apporté son vote à ce plébiscite. Les soutiens initiaux de Jean-Pierre Escalettes, Gérard Houllier, Noël Le Graët, Pierre Repellini et Gervais Martel, président du Club France 2010, ont même été tardivement augmentés de celui de Frédéric Thiriez.
On ressentirait presque la hâte de tout ce petit monde à conclure la paix sociale avec le regret d'être allé un peu trop loin. Autre signe plus anecdotique de ce retour au calme: on n'entend plus Christophe Dugarry, pasionaria estivale, qui était de toute façon devenu inaudible depuis quelque temps déjà. Didier Deschamps, lui, peut prolonger son vœu de silence et méditer sur cette double occasion ratée.


L'essentiel est bien que Raymond Domenech puisse travailler en étant moins traqué, et surtout, qu'il ne soit plus au centre de l'attention. Réduire le sort de l'équipe de France à celui du sélectionneur a eu pour effet de transformer les rencontres qualificatives pour la Coupe du monde en absurdes "quitte ou double" faisant oublier l'essentiel: l'équipe sur le terrain. Celle-ci a en quelque sorte repris ses droits au cours de ses trois derniers matches, remettant le sélectionneur à sa place. À la fois à son poste de sélectionneur et sur le banc. Accordons à Frédéric Thiriez d'avoir bien résumé cette prise de conscience: "Mon souhait le plus ardent, c’est que l’on parle de l’équipe de France, pas du sélectionneur. Il faut dépersonnaliser l’équipe de France". Il serait temps.

Réactions

  • Diablesse Rouge le 17/10/2008 à 12h35
    funkoverload
    vendredi 17 octobre 2008 - 12h24

    Mmm... je suis pas d'accord. Il y a eu de nombreux articles sur ce site. Il y a eu aussi des interventions en télé (oui Direct 8 c'est une télé) ou radio de divers membres de la rédac' où la prise de position m'a toujours semblé très claire. J'ai toujours en mémoire une soirée où Michaël Grossman fut pratiquement la risée de Jézabel & Cie parce qu'il refusait de s'associer au dézingage en règle de Domenech (sa patience ce soir là fut admirable d'ailleurs).

  • Yoop2804 le 17/10/2008 à 12h46

    Diablesse Rouge
    vendredi 17 octobre 2008 - 12h35
    funkoverload
    vendredi 17 octobre 2008 - 12h24

    Mmm... je suis pas d'accord. Il y a eu de nombreux articles sur ce site. Il y a eu aussi des interventions en télé (oui Direct 8 c'est une télé) ou radio de divers membres de la rédac' où la prise de position m'a toujours semblé très claire. J'ai toujours en mémoire une soirée où Michaël Grossman fut pratiquement la risée de Jézabel & Cie parce qu'il refusait de s'associer au dézingage en règle de Domenech (sa patience ce soir là fut admirable d'ailleurs).
    -------
    Mouais, mais y a eu l'article juste avant l'Euro où la rédac s'étonnait que RayDo soit pas plus remis en cause dans les médias avec la sélection (à moins que j'en aie gardé un souvenir erroné). J'ai parfois l'impression que l'idée c'est de dire le contraire des autres médias et que si les autres médias changent d'avis, la rédac change d'avis aussi pour continuer à dire le contraire, c'est un truc qui me gêne parfois un petit peu...

  • Takinho le 17/10/2008 à 12h46
    Bon coach ou pas, RayDo a montré qu'il les avait bien pendues en ce début d'année et que derrière sa prétendue arrogance se cache un mec passionné et déterminé face à un chantier énorme qui a pris quatre ans de retard, à savoir la création d'un fonctionnement de l'équipe de France qui lui permettrait de ne plus avoir à dépendre d'un joueur de classe mondiale (Kopa, Platini, Zidane).

    En 2004-05, c'est ce qu'il s'est attelé à faire avant le retour de Zidane, Tutu et Maké et il avait connu les mêmes difficultés durant les éliminatoires (série de matches nuls). La débâcle de l'Euro est en partie dû au report de ce chantier et RayDo a reconnu qu'il a commis une erreur en ne communiquant pas à ce sujet. S'il était l'homme à même de conduire ce chantier en 2004 et qu'on considère que la problématique est la même, pourquoi ne serait-il pas l'homme de la situation aujourd'hui ?

    Ses 11 ans chez les Espoirs ont montré sa capacité à intégrer des joueurs à un groupe et les élever au niveau international (Henry, Pires, Trezeguet pour ne citer qu'eux) et ses derniers mois ont montré qu'il avait de la personnalité et sa capacité à faire des choix dans un contexte ultra-défavorable.

    Bref, avec un projet technique ambitieux et cohérent et un staff compétent, je ne vois pas ce qui pourrait empêcher Domenech de faire ce qu'a réussi Aragones avec l'Espagne (trouver une identité de jeu, une équipe équilibrée, un groupe soudé et performant, hein, j'ai pas dit "jouer comme l'Espagne").

  • Diablesse Rouge le 17/10/2008 à 13h00
    Yoop2804
    vendredi 17 octobre 2008 - 12h46

    Pas vu ça comme ça, mais peut-être que j'interprète mal aussi... L'article dont tu parles disait, selon moi, que depuis Jacquet 98, les sélections successives n'avaient pas été l'objet de beaucoup de contestations (sans le regretter) et que finalement, peut-être que le supporter lambda que nous sommes tous a peut-être enfin compris que la sélection, c'est quand même mieux que ce soit celui qui en a la charge qui la fasse.

  • olerouge le 17/10/2008 à 13h15

    Diablesse Rouge
    vendredi 17 octobre 2008 - 13h00

    Pas vu ça comme ça, mais peut-être que j'interprète mal aussi... L'article dont tu parles disait, selon moi, que depuis Jacquet 98, les sélections successives n'avaient pas été l'objet de beaucoup de contestations (sans le regretter) et que finalement, peut-être que le supporter lambda que nous sommes tous a peut-être enfin compris que la sélection, c'est quand même mieux que ce soit celui qui en a la charge qui la fasse.


    >>C'est surtout qu'en 98, la presse était tombée sur Jacquet. Pam, pas de bol, il a gagné. Répit, euphorie, même si Lemerre a eu droit aussi à quelques critiques (je me souviens d'un papier où l'Equipe faisait dire à des joueurs sous couvert d'anonymat "on a la meilleure équipe du monde avec le plus mauvais sélectionneur du monde). Pam, on regagne. Alors, on ne dit plus rien. L'EDF va gagner la Coupe du Monde 2002, on est trop forts. Premier tour. Santini arrive, on déroule en qualifs, on va gagner l'Euro, défaite contre la Grèce en quarts. On taille Santini après et on promet qu'on ne s'y fera plus prendre dans les rédactions.

    Domenech débarque à son tour, avec ses petites blagues. Sur le coup, l'Equipe adore. Quelques anciens s'en vont, d'autres mènent la fronde (Pirès, l'ami des médias, et Barthez entre autres).
    Les résultats sont moyens, alors on ressort l'artillerie lourde et Domenech en prend plein la gueule. Caramba, encore raté ! On est en finale d'une Coupe du Monde où RayDo a passé le plus clair de son temps à se foutre de la gueule des questions convenues des journalistes (mention spéciale au "est-ce qu'on ne devrait pas jouer comme le Brésil" -"Jouer en jaune, pourquoi pas, il faut voir avec la Fédé").

    Alors, on le laisse peinard pendant deux ans, pour ne pas passer pour des imbéciles. Manque de bol, c'était le moment d'en profiter pour se faire plaisir car l'Euro est un échec retentissant.
    La situation se tend, le conflit entre pro et anti Ray prend des proportions incroyables. Mais les joueurs semblent soudés autour du sélectionneur et un semblant d'équipe paraît se dessiner. Alors, l'Equipe et le reste des journalistes qui répète son discours (pour la plupart), préfèrent attendre de voir.

    Si on va en AFS et qu'on y fait un bon parcours, ils pourront dire "On a vu dès l'automne 2008 qu'il se passait quelque chose dans ce groupe".
    Si on se plante, ils diront "depuis le début, on a dit que c'était un tocard. Lynchons-le !" Gagnant-gagnant, en quelque sorte.

  • Teddy le fondu le 17/10/2008 à 13h39
    Ben moi je suis vraiment déçu qu'il n'ait pas été dégagé. Il pollue toute l'approche de l'équipe de France, et la personnalisation ce n'est pas près de s'arrêter.
    Et ses résultats sont mauvais, pas moyen, mauvais.
    Après 3 matchs dans un groupe qui est facile, l'edf a seulement 5 points, une défaite contre la grande équipe d'Autriche, et un nul contre une équipe de Roumanie qui semble vouloir ajuster son niveau à celle de son équipe de rugby. Le tout avec 6 buts encaissés!
    Le tout venant après un euro mauvais.

    Ça fait un peu trop à mon gout dans un activité ou l'efficacité prime sur le reste (enfin d'habitude).

    Et puis non, le virer maintenant n'était pas impossible compte tenu que le prochain match officiel est dans 5 mois, cela laissait largement le temps à quelqu'un de s'installer.

    Espérons que la FFF va, discrètement, renforcer l'encadrement tactique comme elle a commencé de le faire avec Boghossian.

    Peut-être que l'edf se qualifiera pour la CM, mais je doute qu'il ait la capacité de construire une équipe vraiment compétitive qui puisse affronter les grandes nations.

  • Jean-Noël Perrin le 17/10/2008 à 13h59
    Teddy le fondu
    vendredi 17 octobre 2008 - 13h39
    Ben moi je suis vraiment déçu qu'il n'ait pas été dégagé. Il pollue toute l'approche de l'équipe de France, et la personnalisation ce n'est pas près de s'arrêter.
    ----------

    Comme le dit assez bien l'article, la personnalisation de l'Équipe de France et l'approche des matchs sous le seul angle "Domenech va-t-il ou non dégager" est bien davantage due aux médias qu'au sélectionneur lui-même.

    Après, autant je n'aurais pas été contre son départ après l'Euro (deux ans de matchs relativement chiants pour un résultat nul), autant je trouverais assez contradictoire de le virer maintenant alors qu'on lui a fait confiance après l'Euro et après la défaite initiale en Autriche et que, sur le plan du JEU, la France commence à retrouver un semblant d'allant offensif comme on n'en avait plus connu depuis... depuis quand au fait ?

    Tu soulignes le nombre de buts encaissés, mais était-ce possible autrement avec l'absence de défenseur de grande classe (Thuram retraité, Sagnol blessé, Gallas en méforme et blessé, Mexès se transformant en tireur de maillot contre l'Autriche) ?

    Évidemment que Domenech a sa part de responsabilité dans notre départ moyen (je ne dirais pas "mauvais" vu qu'on progresse sur le plan du jeu), mais le virer ne serait pas la solution miracle vu notre réservoir de joueurs et surtout ce serait ridicule vu les décisions prises en juillet et en septembre...

  • The man with no name le 17/10/2008 à 14h11
    Je me suis promis de ne plus lui reprocher sa communication (pied-de-nez, louvoiements et même de langue de bois, tout le répertoire du coach moyen y passe, un talent oratoire indéniable en plus) depuis une interview pathétique de Christian Ollivier sur RTL, 2 jours avant France-Serbie. 20 minutes sur l'hypothétique avenir de Ray sans un mot sur l'adversaire, la tactique, l'état de forme, Autriche-France balayé en quelques secondes... Evidemment, Ray se braqua dès la 2è question, de mémoire : "je vous pose une question dont je connais déjà la réponse, hein, mais serez-vous toujours le sélectionneur des Bleus pour le match de mercredi". Que voulez-vous répondre de sensé à une question aussi idiote...

    L'avantage avec le maintien (réellement définitif ? Parce qu'une vieille défaite bien pourrie en Lituanie en Mars, et l'odeur de sang sera sûrement plus forte que jamais) de Doménech, c'est que maintenant, on s'intéressera peut-être uniquement au terrain ... Et ce ne sera pas forcément d'ailleurs à son avantage : des choix de joueurs très discutables, coaching rarement décisif, une équipe qui réagit plus qu'elle n'agit, etc. les sujets de discussion ne manquent pas.

  • Qui me crame ce troll? le 17/10/2008 à 14h21
    The man with no name
    vendredi 17 octobre 2008 - 14h11
    Et ce ne sera pas forcément d'ailleurs à son avantage : des choix de joueurs très discutables, coaching rarement décisif, une équipe qui réagit plus qu'elle n'agit, etc. les sujets de discussion ne manquent pas.
    ----
    Très discutables? Il a essayé à peu près toutes les charnières centrales possibles, avec toujours des bourdes des défenseurs (faut que je refasse la liste ou bien?). Il a eu le nez fin avec Govou, Ribéry, Gourcuff. Coaching rarement décisif? Oui peut-être, mais combien de coachings sont décisifs? Il n'a pas la chance d'avoir Trezeguet/Wiltord (bon OK Trezeguet OK!) sur le banc.
    Et puis suis-je le seul à considérer que même à l'Euro, contre l'Italie, c'est passé près et ça s'est joué à un cheveu que l'EDF se qualifie pour la suite? A une blessure et un carton rouge?
    Certes les anti-Domenech diront que la qualification n'aurait pas annulé la Roumanie.

  • Jean-Noël Perrin le 17/10/2008 à 14h26
    The man with no name
    vendredi 17 octobre 2008 - 14h11
    coaching rarement décisif
    ------

    Sauf lors des derniers matchs : intégration réussie de Gourcuff dont la sélection n'était pas évidente au regard de la concurrence, changement tactique et changement de joueur décisifs contre la Serbie (positionnement côté gauche d'Henry et but d'Anelka), nouveau changement tactique à la demi-heure contre la Roumanie qui se solde par un retour au score.

    Pour les choix de joueurs, à part la paire de milieux défensifs, je n'ai pas grand-chose à lui reprocher (le cas Mexès souffrant de son non-match en Autriche).
    Pour l'équipe qui réagit plus qu'elle n'agit, là OK.

La revue des Cahiers du football