Le cable réseau du serveur étant presque saturé, merci de ne vous connecter qu'en cas d'absolue nécessité de vous amuser. Attention à ne pas confondre vos minuscules et vos majuscules.
Vous avez oublié votre mot de passe ?
Inscription
Vous avez oublié votre mot de passe ? Il reste un espoir ! Saisissez votre adresse e-mail ; nous vous enverrons un nouveau mot de passe. Cette procédure est quasiment gratuite : elle ne vous coûtera qu'un clic humiliant.
Nous vous avons envoyé un email sur votre adresse, merci d'y jeter un oeil !

CONDITIONS D'INSCRIPTION :

1. Vous devez nous adresser, via le formulaire ci-dessous, un texte (format .txt inférieur à 100 ko) en rapport avec le football, dont la forme est libre : explication de votre passion, anecdote, aventure, souvenir, essai, commentaire composé, portrait, autobiographie, apologie, réquisitoire, etc. Vous serez ensuite informés de la validation de votre inscription par mail. Les meilleurs textes seront mis en ligne sur le Forum.

2. Nous ne disposons pas d'assez de temps pour justifier les retards d'inscription ou les non-inscriptions, et ne pouvons pas nous engager à suivre une éventuelle correspondance à ce sujet. Merci de votre compréhension.

Nous avons bien reçu votre candidature, on y jette un oeil dès que possible. Merci !

Partager :

Monaco décroche les étoiles

Un rocher (en fait, un astéroïde peuplé de petits princes) a fait voler en éclats une galaxie tout entière. Fêtons cette implosion dans les grandes largeurs.
le 7 Avr 2004

 

Il y a des soirs, il faut y croire et se planter devant son écran. On croise les doigts au début, on serre les fesses à la fin, et on assiste à un de ces exploits dont on se rappelle pour le restant de sa vie de fan de foot. Saint-Étienne-Kiev, Marseille-Milan, Bordeaux-Milan… Le football français doit-il échanger ces moments de bonheur en coupe d'Europe — certes trop rares mais d'autant plus extraordinaires — contre une de ces suprématies qui suscitent nos jalousies? L'AS Monaco a donc éliminé l'équipe que les médias ont inlassablement qualifiée de "meilleure équipe du monde". Visiblement, la clubométrie n'est pas une science exacte. La nalyse La sensation est d'autant plus grande que le résultat de ce match entre en résonance avec nos éternels complexes nationaux, avec le sempiternel verdict du déclin du foot français, et avec les complaintes de nos dirigeants sur les handicaps locaux. Certes, certains ne manqueront pas de dire que c'est grâce à sa fiscalité que Monaco a obtenu ce résultat… Sauf que c'est une ASM appauvrie par une quasi-banqueroute qui dispute cette saison exceptionnelle. Elle n'a ainsi pas fait de folies à l'intersaison, même si l'arrivée providentielle de Morientes n'est pas étrangère à l'extraterritorialité de la Principauté. Mais le club s'est surtout offert un luxe devenu rare dans l'hexagone, celui de la continuité. En conservant son effectif et son entraîneur, il recueille les fruits sportifs et humains d'une aventure que les joueurs ont tenue à poursuivre ensemble — grâce, aussi, à un marché des transferts rendu atone par la crise. C'est justement de ce côté-là qu'il faut chercher les raisons de ce qu'on peut déjà considérer comme un retour des clubs français à l'avant-scène continentale, parallèle à un retour de bâton économique qui tend à rééquilibrer les chances. Le Real Madrid est évidemment une mauvaise illustration, avec sa fuite en avant financière et sa politique de starification, mais comment ne pas penser que ce regain de performance est en grande partie due à la réforme de la Ligue des champions et son retour à une seule phase de poules? Avec son effectif réduit en quantité, Monaco a réussi à encaisser la charge physique de son calendrier, fût-ce en faisant l'impasse sur les coupes nationales… Cette victoire, dont on ne mesure pas bien le retentissement sur la planète football — mondialisation du Real oblige —, met un sacré coup de projecteur sur le club de la principauté et ses joueurs. Le mérite en revient aussi, pour une part indéniable, à Didier Deschamps. Le jeune entraîneur entame sa seconde carrière sur des bases élevées, et il associe une nouvelle fois son destin à celui du football français. Nul doute qu'il pense déjà à la demi-finale de la Ligue des champions...

Oum le dauphin a bouffé du Galactique.
Le match Foutredieu que cette première mi-temps est pauvre en espoirs et trompeuse pour la suite! Disputée sur un faux rythme, idéal pour que les Madrilènes jouent à leur main, avec cette capacité à accélérer et à faire la différence en deux ou trois gestes, elle produit l'impression que l'heure n'est pas aux exploits. À la 36e minute, on se dit qu'au moins le score est resté vierge. Une pénétration de Ronaldo et une jolie feinte de Guti plus tard, Raul laisse Roma sans réaction. Les Monégasques n'ont pourtant pas laissé leur part au lion puisque Giuly, Morientes ou Plasil ont failli profiter de fenêtres de tir, l'ex-Madrilène obligeant notamment Casillas à s'illustrer sur un coup franc indirect. Mais à la 13e minute, le tacle illicite de Roberto Carlos sur le petit numéro 8 a été suffisamment bien imité pour que même le meilleur arbitre du monde s'y laisse prendre. L'incident se produit juste avant la tranquille montée en régime des Merengue, avec pour coup de semonce un lob parfait de Zidane que Roma intercepte sur le chemin de sa lucarne. Figo semble alors parti pour reproduire sa performance du match aller, Raul rôde, Ronaldo glandouille gentiment et les répliques monégasques manquent de crédibilité… Jusqu'au temps additionnel. Tout part d'une mauvaise relance de Salgado, récupérée par Evra qui ajuste un long centre pour Morientes, lequel remise de la tête pour Giuly. La reprise de volée est spontanée et légèrement déviée par Roberto Carlos dans le petit filet. Le scénario catastrophe est enrayé. La reprise semble se dérouler sur l'élan de ces arrêts de jeu. Prso obtient un corner et sur le renvoi, Rothen parvient à servir Evra malgré un tampon de Zidane. C'est encore le latéral gauche qui délivre un centre idéal pour Morientes, dont le coup de tête est imparable. Mais les hommes de Deschamps reculent et la maîtrise n'a pas encore abandonné leurs adversaires. Pourtant, Ronaldo déchire une frappe puis ne parvient pas à couper les centres de Roberto Carlos, et Roma capte parfaitement un coup franc de Figo. Monaco entame alors une excellente période, autour de l'heure de jeu, obligeant leurs opposants à commettre des fautes et à céder à une certaine nervosité. Prso, auteur d'une très grande prestation, est remplacé par Nonda qui renforce les audaces de ses partenaires. Le match attend la minute numéro 66 pour basculer. Cissé s'arrache plein axe et décale Ibarra à droite. L'Argentin se fend d'une série de passements de jambe avant de déclencher une frappe tendue que Giuly détourne d'une talonnade dans les buts. L'atmosphère s'épaissit en même que l'exploit se dessine. Zidane vient s'empaler en pleine surface sur Rodriguez, Raul croit marquer mais il est hors-jeu d'un rien. C'est le chant du cygne pour le Real et les meilleurs coups seront désormais monégasques. La tête piquée de Nonda lobe Robert-Charles mais échoue sur le poteau. Beaucoup plus tard, dans les arrêts de jeu, c'est le tir d'Adebayor (entré à la place de Morientes) qui frappera l'équerre. Entre-temps, la seule grosse frayeur est venue d'une relance ratée de Roma que n'a pas exploitée Raul. Et au bout d'ultimes minutes bien maîtrisées, la dernière tentative de l'avant-centre, une volée désespérée au second poteau, s'envole en même temps que les illusions madrilènes. Moro vache Deux têtes magistrales de Morientes, à l'aller et au retour, ajoutent à la légende de ce match le récit d'une extraordinaire revanche pour le Madrilène, écarté par la politique maximaliste de Florentino Perez. La première a maintenu l'espoir pour la manche suivante, et la seconde a mis ses partenaires sur orbite. Toutes deux ont résulté de centres dans un paquet de défenseurs adverses, littéralement survolés par leur ex-coéquipier. Mais le coup d'éclat de la 48e minute de ce mardi n'a pas été un moment isolé, Nando s'étant libéré de la charge symbolique de cet affrontement qui l'avait (presque) fait passer à côté du match à Santiago Bernabeu. C'est même lui, alors que ses coéquipiers semblaient encore empruntés, qui a donné le ton en multipliant les gestes de grande classe en première mi-temps, avec un registre infiniment plus étendu que celui d'un simple joueur de tête, aussi impressionnant soit-il. Qui aurait cru, au moment où il débarquait à La Turbie, qu'il aurait plus de chances de disputer la finale de la Ligue des champions à Monaco qu'à Madrid? Mauvaise affaire pour la plus grosse boutique du monde L'OVNI de Monaco-La Corogne n'est donc pas resté sans lendemain, il annonçait une capacité à atteindre l'exploit et à faire tourner en bourrique le foot espagnol, dont les aficionados connaissent désormais par cœur le banc et l'arrière-ban monégasque… Si les dirigeants madrilènes se décident à acheter des bons défenseurs, ils savent où faire leurs courses… Le débat sur la "véritable valeur" du Real vient de recevoir une étonnante réponse. Quand nous soulignions dans le numéro 3 des Cahiers du football que la valeur de cette équipe, avec ses déséquilibres a priori si criants entre l'attaque et la défense, ne se révèlerait vraiment qu'au cours de la phase finale de la Ligue des champions, nous ne nous doutions pas que ce serait l'ASM qui dirait la messe. Certes, il aura fallu que la réussite soit monégasque, avec par exemple ce but refusé à Raul à la 72e minute pour un hors-jeu plutôt mince, et que le scénario s'avère idéal. Mais le résultat final est parfaitement logique, comme en attestent les montants touchés à deux reprises ou le penalty sifflable sur Giuly en début de rencontre. Le paradoxe est que c'est l'étroitesse du banc madrilène qui été plus handicapante que celle des rouges et blancs, pourtant privés de pièces aussi essentielles que Squillaci, Zikos et Bernardi alors que seul Beckham, suspendu, manquait au casting adverse. Les déficits de ce Real ont été criants: ils désignent non seulement un secteur défensif aussi insignifiant que l'attaque est brillante, mais aussi une mentalité déficiente dès lors qu'il fallut aller chercher des vertus autres qu'esthétiques ou techniques. Bien organisés, combatifs, les Monégasques ont réussi à neutraliser leurs adversaires dans le "money time" d'une dernière demi-heure cruciale. Il ne reste désormais à la Dream Team madrilène que son championnat national pour ne pas sortir bredouille de la saison. Comme un vulgaire cador de championnat bulgare. Les observations en vrac > Ce soir, il manquait Diomède au Real pour marquer trois buts à Louis II. Mais quand on recrute à l’économie, on s’expose à ce genre de désillusions. > Le stratagème a parfaitement fonctionné : le public monégasque a endormi les Madrilènes en première mi-temps avant de se transformer en chaudron lors de la seconde. > Si Rainier survit à ce match, c’est qu’il prend la même came que Jean-Paul II. > Quelle tête a fait Aulas quand il s'est aperçu qu'un éventuel exploit de son équipe contre Porto passerait presque inaperçu? > La preuve que Collina est bien le meilleur arbitre du monde, c’est qu’il juge parfaitement les simulations de Zidane dans la surface de réparation. > Constat édifiant, une nouvelle fois : la défense centrale du Real manque de vitesse. Heureusement que Perez prévoit le recrutement d'Henry l’année prochaine. > Prendre un poteau sur une frappe d’Adebayor, c’est plus ou moins humiliant que de se faire faire un petit pont par Francis Llacer? > Roma avait tellement envie de se foutre de la gueule des joueurs du Real, qu’il a volontairement dégagé dans l’axe sur Portillo. > Raul ajuste une reprise du tibia au-dessus dans les arrêts de jeu. Quand on ne travaille pas suffisamment à l’entraînement, on le paye un jour ou l’autre. > Le problème avec les petits championnats, c’est qu’il est toujours difficile d’évaluer le niveau de ses leaders. > La soirée a vraiment été exceptionnelle : Thierry Roland a battu son record de petites annonces humanitaires. Lu dans le quotidien espagnol "Marca" "Grand club de capitale europ. échange mannequin blond, gde taille, léger accent brit., très peu servi, contre même modèle en version gaucher, avec maillot rouge et blanc. Pas qualifié pour les demi-finales de LdC s’abst." La nalyse de Luis Fernandez "Si j'étais l'entraîneur de Monaco, ce soir, j’aurais fait sortir Morientes à la mi-temps". La nalyse de Thierry Roland "Mon bon Jean-Mimi, le Real avec Makelele, c’était quand même autre chose". La question brillante d’opportunisme (garantie sans trucage) Pierre Peyronnet (TF1) à Zinédine Zidane : "J’imagine que ça vous fait plaisir pour Didier Deschamps?" Spéciale dédicace Merci à Stéphane Porato, grâce auquel notre correspondant permanent à Monaco, le légendaire Curtis Midfield, a pu assister à ce match exceptionnel sans payer le prix du marché noir monégasque et nous faire vivre en direct les concerts de klaxons de BMW dans la Principauté en délire.

Réactions

  • ouais.super le 07/04/2004 à 11h34
    Giuly a incontestablement marqué de TRES gros points hier soir, que ce soit aux yeux de Santini ou du reste de la planète football.
    M'étonnerait qu'il reste en France bien longtemps celui-là. A moins qu'Aulas le rachète à prix d'or grace à l'introduction en bourse de l'OL ;-))
    Plasil est également une révélation, excellent à mon goût. En plus, avec son visage de poupon, les autres doivent pas se méfier de lui alors qu'il est redoutable.
    Ibarra a également montré de très belles choses, même s'il aurait sans doute pu éviter le coup du foulard pour faire un centre un peu plus soigné. C'est le sang latinos qui a parlé !

  • Capitain Rai le 07/04/2004 à 11h35
    merci aux monégasques pour cette exceptionnelle 2e mi-temps.

    bravo à tous que votre états d'esprit aille vers les gones pour leur victoire de ce soir.

    wenger smble touvhé par le syndrome du larqué-platini: tout aigri.

    je souhaite à l'asm de taper maintenant la nouvelle banque anglaise du foot avant le milan en finale.

  • axgtd le 07/04/2004 à 11h35
    "- Je pense avec agacement à tous ces journalistes qui nous ont bassiné à dire que Monaco s'était fait "écraser" à l'aller"

    Je pense que c'est plus dû aux 4 buts encaissés qu'au nom de l'adversiarel. J'ai souvent constaté que pour les commentateurs, l'aspect plus ou moins "écrasant" d'une victoire n'est pas lié seulement à la différence de buts.
    2-0, c'est une victoire
    3-1, une large victoire
    4-2, une victoire écrasante
    8-3, un balayage monumental bien plus ridiculisant que n'importe quel petit 5-0...

  • CHR$ le 07/04/2004 à 11h49
    lien > ne te laisse pas abuser par les borborygmes de Larqué : le coup du foulard d'Ibarra était le geste idoine, vu qu'il lui permettait de centrer de son bon pied (le droit) plutôt que du mauvais. C'est exactement ce qu'expliquait Edmilson au sujet d'un centre du même genre.
    Alors bien sûr, Larque ça l'énerve de voir des joueurs réussir des gestes qu'il aurait été incapable de faire et il nous sort un monument du genre :
    "On n'est pas dans un match amical, là, alors il faudrait peut-être ne pas faire trop de jolis gestes techniques."

  • zoher le 07/04/2004 à 11h59
    Bravo à Monaco pour ce superbe match et pour l'émotion qu'il a engendré.

    Autrement, sur le coup du foulard de Ibarra je pense que si il l'a fait c'est que c'était pour lui la meilleur possibilité de faire un bon centrre car dans la situation dans la quelle il était il avait trois solutions:
    -coup du foulard, c'est l'option qu'il a choisi ,difficle techniquement mais il a déja montré qu'il savait faire, il n'a donc pas pris plus de risque que ca, avec comme résultat un centre plutot pas mal même si il y avait personne à la réception du ballon.
    -centré du pied gauche la meilleur solution si on est capable de centrer de se pied quand on est droitier, ce que peut de joueurs sont capable de faire et visiblement Ibarra n'en fait pas parti.
    -enfin se replacer sur son bon pied avec l'assurance de faire un bon centre, mais le risque de voir un défenseur revenir et contrer ce centre.
    Donc en conclusion je pense qu'Ibarra a choisi la bonne solution, n'en déplaise à Jeanmimi, qui a, en plus, de mérite d'être esthétique.

  • zoher le 07/04/2004 à 12h01
    Je sais y a gros point de dix minutes, mai ma lenteur m'a encore joué des tours.

  • ravio le 07/04/2004 à 12h01
    n'empêche que sur ce coup, Ibarra (qui soit dit en passant a réalisé un match de très au niveau) aurait tout de même été mieux inspiré de faire un petit "raz-de-terre" à Giuly démarqué au point de péno plutôt que de tenter un centre au deuxième poteau... mais, bon, ch'suis pas chef, hein...

  • ESD.3 le 07/04/2004 à 12h06
    Ouais, moi j'ai trouvé ça excellent, le coup du foulard d'Ibarra. D'ailleurs je l'espérais même plus tôt dans la rencontre, histoire que les Galactiques cherchent plus à gagner le concours du beau geste que le match.
    Mais bon a mon avis, Ibarra il a un faux passeport argentin, ou alors il est pas défenseur, parce qu'il ressemble pas du tout a un défenseur argentin classique (Heinze, Samuel, Pochettino; Simeone et Almeyda par extension...). D'ailleurs il n'est pas toujours rassurant défensivement, mais par contre il est très joueur et très adroit, d'ailleurs je me suis dit hier soir "Tiens "Robert-Charles" boit la tasse face a lui et Giuly, ca doit pas lui arriver souvent de tomber sur des nains ausi rapides que lui".

    Sinon, c'est bien le vrai Rothen qui a joué hier soir, celui qui veut aller à l'Euro, pas son frère qui avait joué au match aller.

    Enfin, Plasil m'a tout l'air parti pour devenir un des meilleurs milieux défensifs dans très peu de temps, avec sa technique et son activité.

  • ouais.super le 07/04/2004 à 12h09
    Sur le coup du foulard, c'est vrai que c'est peut-être justifié, bien difficile de savoir.
    Sur ce coup là, à la décharge de Larqué, il semble qu'Ibarra ait le temps d'ajuster un centre traditionnel, et que cette prise de risque (parceque c'est quand même plus difficile à réussir qu'un centre classique) ne soit pas forcément justifiée. Et à l'arrivée, son coup du foulard n'a pas trouvé d'attaquant monégasque, et on peut donc penser qu'il n'est pas partit exactement là où il aurait voulu.

    Ah ! Si Bietry avait commenté, il aurait su exactement ce qui se passait dans la tête d'Ibarra, lui... ;-)

  • hobbes le 07/04/2004 à 12h09
    RAAAAA ignorance maudite.
    Pouvez vous m’expliquer a moi pauvre inculte du ballons rond ce qu’est le “coup de foulard” ?

La revue des Cahiers du football