Le Ballon d'Or (ne pas le réveiller)
Débats et polémiques sur cette fameuse parodie du Ballon de Plomb.
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magnus le 09/07/2023 à 13h46Il ne pouvait l'avoir qu'en étant naturalisé. C'est depuis Weah en 95 qu'un non européen de nationalité peut être lauréat.
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leo le 09/07/2023 à 17h08Le plus grand joueur galicien et peut-être le plus grand joueur espagnol de l'histoire. L'Architecte (le surnom que lui avait donné Di Stéfano) de la Grande Inter et de l'Espagne championne d'Europe 64, année où il n'est "que" 2ème du BO, derrière Law, alors qu'il remporte le doublé Euro-Coupe des Champions... Division des voix avec Amancio, autre galicien génial, lui aussi décédé cette année ?
Il continuait à commenter des matchs et à intervenir sur les ondes, avec son inimitable accent mi-gallego mi-italien et son humour très particulier.
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leo le 09/07/2023 à 17h29Arsenio Iglesias, l'entraîneur du Superdepor, est lui aussi mort en mai dernier, sale année pour le football de La Corogne (et le Depor continue en D3...)
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L'amour Durix le 09/07/2023 à 18h44Merci pour toutes ces précisions. Moi j'ai juste vu un tweet et j'ai voulu voir ce que ça faisait d'être Tonton Danijel.
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JeanBen le 09/07/2023 à 21h06Puskas n'a surtout jamais été ballon d'or
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Milan de solitude le 09/07/2023 à 21h15Çà alors... Merci de la rectification.
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Edji le 09/07/2023 à 21h37Ballon d'or créé en 1956, Puskas suspendu deux ans (l'UEFA, c'était vraiment mieux avant :-)) après sa fuite du régime coco jusqu'en 1958…pas aidé, le Major Galopant.
Mais en 1960, c'est carrément un scandale qu'il ne l'obtienne pas : quadruplé en finale de C1, pichichi, buteur encore en Coupe Intercontinentale…il gagne tout à 33 ans et se fait voler par le jury pour d'obscures raisons (pour partie politiques, probablement).
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Jah fête et aime dorer Anne le 09/07/2023 à 23h07Dire ça le jour de la mort de Luis Suarez, le vainqueur du Ballon d'Or 1960, le timing est malheureux (mais bon, si le Real n'avait pas perdu le championnat cette année au profit du FC Barcelone et si Di Stefano et Gento n'avaient pas été ses coéquipiers — la moitié des journalistes ne votant pas pour Puskas votent pour un de ses coéquipiers —, les votants n'auraient pas pu empêcher son titre, malgré les probables représailles politiques de certains pays, représailles qui si elles ont existé n'étaient pas suffisantes pour expliquer le sacre de Suarez).
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arnaldo01 le 28/10/2023 à 20h41Ce serait absurde de ne pas le donner à Bellingham lundi.
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Edji le 29/10/2023 à 13h20Plutôt à Zaïre-Emery.