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Habitus baballe

Pour causer socio, éco, sciences-po, anthropo, histoire-géo, philo, épistémo, Adorno, filporno, Bernard Pardo...

  • Classico le 13/01/2022 à 15h42
    A la fin de mon patient travail sur le forum, j'aurai créé une armée d'heideggeriens hagards, et avec elle je dominerai le fil politique. Tu seras mon premier lieutenant, Balthazarathoustra.

  • Balthazar le 13/01/2022 à 15h44
    Tu connais ma réponse.
    lien

  • Red Tsar le 13/01/2022 à 16h49
    En vous relisant et en vous ruminant, je me dis qu'il y a peut-être deux choses à distinguer.

    * Vous avez (Classico, JSVB, l'homme du bus 58 ou 70...) une exigence de vérité qui est très noble et qui vous fait chercher le sens ''vrai'' de l'architecture générale de l'auteur. Quête difficile, car aucun, je suppose, n'a une pensée qui est restée la même du début à la fin. Encore une fois, attention : je ne dénigre absolument pas cela. Je pense même que c'est très beau et très utile pour la société à partir du moment où vous partagez vos résultats et vous le faites.
    * Mais pour d'autres personnes, plus qu'une quête de vérité, c'est une quête de sens qui nous anime. Comment faire société ? Comment vivre ? Comme aucune philosophie prête à l'emploi ne peut nous aider, on pioche, on butine, on rafistole comme on peut l'embarcation de notre vie. Est-ce si grave si, honnêtement et en conscience, on prend un bout de Nietzsche pour ajouter à notre mixture ? Et j'ai même envie de dire, est-ce si grave si une personne le fait sans comprendre que ce bout qu'elle a pris est mal compris ? Un exemple : en vérité, le stoïcisme ne peut rien nous apporter. Détacher l'éthique de la vision de la société des stoïciens ou de leur cosmologie est une trahison de la vérité du discours stoïcien. Mais si le stoïcisme remis à ma sauce m'aide à mieux vivre ? (au passage, big up à Pierre Hadot. Sa Citadelle intérieure, notamment, m'a énormément marqué).

    Je n'écris évidemment pas cela pour former deux champs hermétiques l'un à l'autre, sinon je ne serais pas là. Bien au contraire, je pense que les deux peuvent se nourrir. Mais il faut aussi concevoir que tout le monde n'a pas le temps d'avoir une lecture profonde de tous les grands auteurs et qu'on se retrouve pour l'essentiel à bricoler. Et au passage, je n'écris pas cela pour faire la leçon de quoi que ce soit à qui que ce soit, juste vous apporter le témoignage d'un néophyte.

    @Pascal :
    Je ne peux pas te répondre quant au biopolitique chez Foucault. Par contre, il est clair que depuis une dizaine d'années le concept fait florès dans les essais (de même que celui d'hétérotopie, du même auteur) : lien
    On le retrouve de manière explicite dans des travaux à visée globale, comme ceux de Dardot/Laval (plus dans La Nouvelle raison du monde que dans leur excellent dernier Le Choix de la guerre civile) ou de Barbara Stiegler (Il faut s'adapter). On le retrouve aussi, de manière moins explicite, mais assez nette, chez Boltanski, par exemple.
    Et puis on le retrouve dans des petits essais, comme, par exemple, celui de Crary sur le sommeil (24-7. Le capitalisme a l'assaut du sommeil) ou d'Yves Citton (L'économie de l'attention. Nouvel horizon du capitalisme ?)
    Ceci étant, j'ai l'impression que c'est comme le quinoa (ou les champignons dans Astérix aux Jeux olympiques) : chacun l'utilise un peu à sa convenance.

  • Pascal Amateur le 13/01/2022 à 17h03
    Merci Red pour les références.
    Pour le reste, j'ai le sentiment que ta réflexion est juste, dès lors qu'elle sort à proprement parler de la philosophie. Chercher un sens, sans doute – à relativiser doublement néanmoins.
    D'abord, car ce n'est pas le cas de tous, du moins peut-on ne pas céder au vertige de l'illusion qu'il y aurait un sens, sinon à poser une Explication à cela – qu'on l'appelle dieu ou autre ; et alors difficile de ne pas sombrer dans le rituel et une défense dudit principe. (Quitter la recherche du sens peut être une quête tout aussi fructueuse, la poésie permettant cette apesanteur, où la beauté menace).
    Ensuite, parce que ta recherche de sens se nourrira d'un a priori éminemment subjectif ; si tu pioches dans ce philosophe et non un autre, c'est qu'il t'aura interpellé – dès lors aura-t-il répondu à ta demande implicite, fondée sur ce que tu es déjà ; décroîtront ceux qui auparavant se diluaient dans l'accumulation d'objets par exemple – et une parole qui va en ce sens vient faire sens, eurêka. Mais de philosophie, je crois que cela n'en est plus, tout au plus tentative d'aboucher le dénuement humain.

  • Red Tsar le 13/01/2022 à 17h16
    Mais j'ai pas fini de bosser. Faut pas répondre comme ça, monsieur !
    Sur le sens, je suis d'accord avec toi. J'ai écrit ça par facilité, mais je ne crois pas qu'il y ait un sens à la vie. Mais face à ce constat, quel sens peux-tu donner à ton existence ? Peut-on vivre sans ?
    Et je n'ai plus la référence en tête, mais un petit livre m'avait beaucoup interpellé, trouvé chez un bouquiniste, donc probablement un vieux truc, qui opposait sagesse et philosophie.
    A mon niveau, je ne peux rien faire d'autre que de m'interroger !
    ps : d'accord aussi sur la recherche biaisée, mais je n'irai pas jusqu'à enfermer ça dans un déterminisme pré-déterminé (ouch) depuis ta naissance.

  • John Six-Voeux-Berk le 13/01/2022 à 17h51
    En réalité, je ne suis pas sûr d'être d'accord avec ton opposition vérité/sens appliquée à nos "usages" divergents, selon toi, de ces oeuvres.

    Quand il m'arrive de lire des philosophes (les plus "faciles" j'entends ; je ne peux accéder qu'aux plus littéraires : Hegel, Heidegger, Husserl, Wittgenstein, Aristote métaphysicien m'endorment littéralement : la contention d'esprit nécessaire à leur lecture excède mes capacités), je ne cherche pas de vérité : je cherche des concepts et je butine, faute d'avoir la capacité d'embrasser davantage.

    Mais si ces idées butinées ont une quelconque valeur, c'est le plus souvent qu'elles répondent à des questions, elles-mêmes articulées à d'autres questions que nous pourrions aussi nous poser ; or s'il y a une chose que l'on peut reconnaître à la plupart des philosophes, c'est bien de savoir tirer la pelote de leurs concepts et donc de tirer les conséquences de leurs premières réponses. (je crois que Nietzsche n'est pas vraiment une exception au fond ; et que ses contradictions n'en sont pas réellement ; et dans le genre cohérent, je l'ai déjà écrit jadis, mais les délires physiologiques de Descartes, quand il se débat avec son dualisme, sont pour moi source d'exaltation)

    L'un des plaisirs esthétiques que je trouve à la lecture des philosophes : c'est, en n'en ayant lu que quelques oeuvres, essayer d'imaginer leurs réponses à d'autres questions. Ce qui m'amène donc aux implications de tel ou tel concept que j'aurais pu faire miens, et qui se révèlent souvent porteurs de conséquences qui ne me conviennent plus. J'ai donc "mon" "Spinoza", bricolé, reconstruit, simplifié évidemment (que je peux essayer d'améliorer à la marge en lisant tel ou tel bouquin de spécialiste) : et c'est finalement cet objet, "la constellation", le "système", qui me semble exploiter au mieux les virtualités de l'oeuvre (plutôt qu'un bout de concept, séduisant, brillant, mais qui risque de paraître bien terne une fois extrait de l'oeuvre ; et surtout coupé de sa force de développement ; exemple arbitraire : isolée du reste de son oeuvre, la théorie du rire de Bergson n'est pas fofolle à mon avis ; quand on la rattache à sa conception de la durée, de la création, elle me paraît vraiment fascinante)

    On retrouve d'ailleurs cette cohérence chez les plus grands écrivains "littéraires", à la différence peut-être qu'eux hésitent moins à superposer des discours en apparence contradictoires par le miroitement de l'énonciation : ce qui explique d'ailleurs le tour ayatollesque de mes "opinions" sur tel ou tel. (Par exemple, je me délecte de Proust, mais j'ai la plus grande prévention contre le système qui permet ce type de délices - pour faire bref l'individu spectateur de sa vie, réduit à une passivité esthétique à peine sauvée par une hypothétique entreprise de création).

    NB : j'ai compris très tard que l'usage que je faisais des textes ne pouvait pas être compatible avec un travail universitaire sérieux ; et que l'enseignement secondaire/cpge était peut-être le seul lieu qui pouvait l'accueillir (mais c'est de moins en moins vrai avec la "délibéralisation" en cours du métier, les référentiels, les grilles et les "ressources" eduscol).

  • Classico le 13/01/2022 à 17h58
    Non non mais tu as raison, ce n'est pas grave du tout de "picorer" parmi les philosophes, au contraire même. Un type comme Bouveresse semble adhérer à la notion d'une vérité "en soi" de l'œuvre philosophique qui, un peu à la façon des idées platoniciennes justement, se tiendrait vraie en elle-même, extérieure aux subjectivités qui la saisissent. C'est une noble quête ; il y a des types qui consumment leur vie à rechercher la vérité définitive de tel auteur ; mais oui, c'est un truc de savant au fauteuil sombre, assis sous la croisée pluvieuse de sa bibliothèque, personne n'est obligé d'y souscrire. Et on peut tout à fait prendre les œuvres de philosophie comme des boîtes à outil où puiser librement.

    Maintenant, bon, chaque cas est singulier. C'est sûr que prendre la méthode nietzscheenne de décomposition des artefacts culturels pour lui faire servir un but littéralement opposé à tout ce qu'a écrit Nietzsche, c'est à dire un but moral au pire sens du terme chez lui - au sens du ressentiment victimaire et de la volonté de vengeance ; bah, ok, ça reste totalement possible (la preuve : ça marche), mais ca a quelque chose de vraiment cruel et ironique quoi.

  • John Six-Voeux-Berk le 13/01/2022 à 18h03
    Et je n'ai plus la référence en tête, mais un petit livre m'avait beaucoup interpellé, trouvé chez un bouquiniste, donc probablement un vieux truc, qui opposait sagesse et philosophie.
    ---
    Tu n'évoquerais pas le fonds de commerce de François Jullien, là ?

  • L'homme bus le 13/01/2022 à 18h15
    Tu surdétermines ce que je dis. Dire qu'il y a des interprétations plus ou moins vraies de Nietzsche ne signifie pas qu'il y a une architecture qui est restée la même toute sa vie. Il est clair que Nietzsche a évolué : par exemple dans Humain trop humain, le rapport à la science n'est pas le même que dans la suite de son oeuvre ; il en fait du scientifique un modèle de probité intellectuel par rapport au métaphysicien, avant de faire de la science une émanation de la métaphysique. Nietzsche évolue, en effet, comme tout le monde. Néanmoins, il y a bien un sens à dire qu'il est vrai que le rapport qu'entretien Nietzsche dans Humain trop Humain n'est pas le même que dans la suite de son oeuvre.

    De même, je pense qu'il y a des contradictions dans l'oeuvre de Nietzsche, qui ne sont pas due qu'à une évolution. Enfin, le "problème" des aphorismes, est de savoir quel est le point de vue. Dans un aphorisme, qui parle? Est-ce que Nietzsche dit ce qu'il tient pour vrai? Est-ce qu'il propose une interprétation sans s'engager dans la vérité de celle-ci? Est-ce qu'il donne un point de vue du faible, du fort? Etc... (Je dis "problème", pas au sens où ce serait un défaut, au contraire, mais au sens où cela rend plus difficile le travail du lecteur, d'une manière volontaire). Sans compter que Nietzsche manie volontairement l'ironie.
    Donc je ne pense absolument pas qu'on pourra dire un jour que l'on sait absolument ce que voulait dire Nietzsche ; il y aura toujours des interprétations concurrentes, qui peuvent sans doute se justifier. Mais cela ne signifie pas que n'importe quelle interprétation peut se justifier : si on peut par exemple se demander exactement le rapport qu'entretient Nietzsche à la science, car il est ambigu, il me semble impossible de dire que Nietzsche est un féministe égalitariste et utilitariste. Nietzsche dit clairement qu'il déteste le socialisme, critiquer l'égalitarisme, les femmes et l'utilitarisme, sans ambiguïté. Cela ne veut pas dire qu'un(e) féministe ne peut rien tirer de Nietzsche ; mais il/elle ne pourra pas dire qu'il est féministe, c'est tout.


    Sur le reste : je vais préciser ce que je veux dire quand je parle de probité et de recherche de vérité. Quand Bouveresse reproche à Foucault un manque d'honnêteté et de probité intellectuelle, il ne lui reproche pas de s'être trompé. Il lui reproche de volontaire tronquer les textes de Nietzsche, pour en donner une image défaussé. Foucault n'est pas un amateur : c'est un professeur de philosophie. Si quelqu'un lit Foucault pour comprendre Nietzsche, il doit penser que Foucault est de bonne foi lorsqu'il présente Nietzsche. Si Foucault dit expliquer Nietzsche, mais qu'en réalité il l'interprète d'une façon volontairement erronée, pour le faire coller de force à ses propres thèses, il trompe ses lecteurs sur la marchandise.
    Cela n'a rien à voir avec une personne qui par curiosité intellectuelle lirait Nietzsche, et en livrerait une interprétation erronée. Cette personne est de bonne foi, et commet une erreur (si par exemple elle lit Nietzsche et est persuadé que Nietzsche est un socialiste). L'éthique intellectuel que défend Bouveresse est une éthique professionnel du philosophe si je puis dire. Quand on s'adresse à un philosophe, on doit s'attendre à ce qu'il essaie de nous dire des choses qu'ils pensent être vraies. Si tu lis une personne qui se prétend spécialiste de Nietzsche, et qu'il disait un jour qu'en réalité il n'avait jamais lu Nietzsche, il aurait bien commis une faute ; ou s'il disait avoir manipulé ses sources, etc...

    Pour prendre ton exemple du stoïcisme : si ta compréhension erronée du stoïcisme t'aide à mieux vivre, et bien tant mieux! Mais si ensuite tu deviens professeur de philosophie, que tu approfondis ta lecture des stoïciens et que tu te rends compte que ta première interprétation était erronée, mais que malgré tout tu continuais à la professer en faisant croire que tu es fidèle aux écrits stoïciens, on pourrait t'en vouloir.

    Le but n'est pas d'être élitiste : que chacun lise Nietzsche ou les stoïciens, très bien! Mais quand on se prétend philosophe, cela entraîne des gens à faire confiance à ce que l'on dit, et il est normal d'exiger que les philosophes soient au moins honnête et fassent bien leur travail. La philosophie est une discipline intellectuelle, et en un certains sens n'est pas différentes des autres sciences ; 'l'objet est certes différents, mais de la même façon qu'on peut attendre d'un bon sociologue de la probité et de la rigueur intellectuelle, on doit en attendre d'un philosophe.

    On pourrait aussi se demander à quoi sert, pour un philosophe, de faire dire à Nietzsche ce qu'il n'a pas dit : n'est-ce pas une façon de vouloir se servir de l'aura de Nietzsche pour impressionner et se prémunir de la critique, cad une forme d'argument d'autorité?

    Et pour conclure (ça m'a l'air décousu mais tant pis) : qu'on se serve d'une interprétation erronée de Nietzsche dans d'autres domaines (sciences sociales...) n'est pas forcément grave ; mais on ne peut pas reprocher à quelqu'un de dire que cette interprétation est erronée. Cela ne signifie d'ailleurs pas que les arguments déployés sont faux ; cela signifie seulement qu'il est faux de les attribuer à Nietzsche.

  • John Six-Voeux-Berk le 13/01/2022 à 18h37
    Plusieurs remarques d'amateur :
    - Foucault sait assez bien ce qu'il fait a priori : quand il invente le syntagme "fonction-auteur", il montre bien qu'il se désolidarise (peut-être à bon compte) de l'usage habituel des textes. C'est évidemment trompeur pour la plupart d'entre nous, mais de son côté, il a annoncé la couleur, ou du moins l'a pensée.
    - pour ce qui est du devoir professionnel du "professeur de philosophie", j'ai le sentiment sans doute naïf que tu le définis davantage comme celui d'un "historien de la philosophie" que comme celui d'un "philosophe". Oui, en effet, on doit attendre un minimum d'exactitude d'un professeur de philosophie qui doit transmettre des connaissances fiables ; mais, j'ai le souvenir d'un autre enseignement de philosophie, qui prétendait d'abord apprendre à penser (note que je suis le dernier à penser que connaître la pensée des grands philosophes s'oppose à ce projet ; et en revanche, je vois bien que le projet "apprendre à penser" était bien souvent un simple prétexte pour ne pas travailler) et pour lesquels les auteurs étaient justement un appel à la pensée, plutôt que le support principal de leur enseignement (c'était dans le prolongement des grandes synthèses partiales de Deleuze).

    En lettres, on a connu quelque chose de vaguement similaire avec l'imposition des méthodes "narratologiques" et "rhétoriques" : du coup, les "lettres" devenaient enseignables et étudiables de manière normée (c'est très rassurant pour tout le monde : élèves que l'on nourrit, professeurs qui peuvent se reposer, inspecteur qui ont enfin des normes un peu plus objectives, etc.), on disait adieu à l'impressionnisme, mais... on y a souvent perdu les textes.