Foot et politique
Le fil politique est un fil du rasoir, alors évitons de nous y couper. Par ailleurs, n'oublions pas que son but est d'accélérer l'avènement du grand soir, un de ces quatre matins!
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Tonton Danijel le 20/04/2022 à 23h51Et bravo à Julien Pain (un de plus) pour avoir détricoté certaines affirmations de ce soir: lien
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Milan de solitude le 20/04/2022 à 23h59Macron est excellent dans cet exercice, un parfait premier de la classe. Il donne l'impression de travailler ce débat depuis cinq ans. Il a écrasé son adversaire dans le premier thème, le pouvoir d'achat, laquelle n'a sorti la tête de l'eau qu'avec la sécurité. Comment n'a-t-elle même pas pu placer la fermeture des lits d'hôpital ?...
Si la nouvelle formule permet de balayer de nombreux sujets, elle donne moins la place à la personnalité et au talent oratoire des candidats. C'était mieux avant.
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El Matheux d'Or le 21/04/2022 à 00h06Oui je suis tout à fait d'accord, je dis juste qu'on peut faire de la politique sans exceller dans l'art oratoire. Mais pour avoir accès aux fonctions suprêmes, c'est effectivement nécessaire.
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Manx Martin le 21/04/2022 à 00h08Reprenons les discussions sérieuses après cette triste expérience (j'avais de la peine pour Macron, obligé de "débattre" avec l'autre).
Je maintiens donc que Chirac beurrait des sandwiches entre 1997 et 2002. La seule trace d'obstruction dont je me souvienne et que je parvienne à retrouver, c'est en février 2001 quand il refuse de mettre le projet de loi sur la Corse au programme du conseil des ministres après avis négatif du conseil d'Etat.
Sinon, le président n'a absolument pas le droit, comme tu le dis, de "bloquer" des lois votées par le parlement. L'art. 10 l'oblige à les promulguer sous 15 jours. Tout ce qu'il peut faire, c'est demander une nouvelle délibération dans ce délai. Même en 2006 quand Villepin avait été contraint à abandonner le CPE, Chirac avait promulgué la loi avant de demander au gouvernement d'en proposer une nouvelle.
Sinon, en 1986, Mitterrand a refusé de signer certaines ordonnances de privatisation, le gouvernement Chirac ayant obtenu le droit (du parlement) de légiférer par ordonnances sur ce sujet. Mais la conséquence n'en a pas été l'abandon des privatisations : simplement, Mitterrand a forcé le gouvernement au débat parlementaire.
Vraiment, en cas de cohabitation, on bascule en régime parlementaire. Le PR est tout nu.
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fabraf le 21/04/2022 à 00h15La différence entre nous est que je considère que le problème de Le Pen n'était pas la forme (l'art oratoire) mais bien le fond.
Un peu comme un lycéen qui, bachotant à la dernière minute, se concentrerait uniquement sur les titres de chapitre sans lire le texte descriptif par manque de temps / d'envie / d'intérêt.
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fabraf le 21/04/2022 à 00h22J'avais en tête les lois sur les 35h qui avaient dû être bien détricoté et échelonné (de mémoire, extension au PME décalée à 2001 ou 2002) car Chirac ne voulait pas en entendre parler. Mais aussi le quinquennat qui a donné lieu au fameux marchandage de l'inversion du calendrier.
Tu as la réponse sur les cas que j'ai cité ?
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jeannolfanclub le 21/04/2022 à 00h27Hélas, cette gratuité des transports en commun que personne ne demande est souvent proposée en pure démagogie pendant les élections locales ou nationales. Mais bon pas trop longtemps, faut quand même pas déconner l'important c'est le prix de l'essence (qui est siphonnée) et le prêt contracté pour acheter la tuture.
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environ bâillonné le 21/04/2022 à 00h37Si Poutine avait de l'humour, il chargerait une banque de proposer des prêts à taux zéro aux consommateurs français pour des achats de véhicules diesel... que demande "le peuple" ? Et qui connaît le peuple ? A part Brice Teinturier...
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Özil paradisiaque le 21/04/2022 à 00h44Pendant ce temps Arsenal bat Chelsea 4-2, déprimé par les 3 défaites d'affilées précédentes j'avais opté pour le débat.
Choix pas si catastrophique au final car c'était de bien meilleure tenue que la dernière fois.
Les commentateurs diront sûrement qui a gagné mais je pense que pour des gens peu ou moyennement informé ça reste dur de démêler le vrai du faux dans la litanie de chiffres assenés.
Macron est tout de même impressionnant a ce jeu de balayer un ensemble de sujets et de sembler connaître chacun en détails, l'avantage d'être au manette.
C'est presque fini, pas de craquage dans la dernière ligne droite, Marine Le Pen n'est pas une personne qualifiée pour présider notre pays.
La seule assurance de ne pas l'avoir pour présidente c'est de voter pour l'autre candidat. Même si on ne l'aime pas.
C'est un choix binaire, ils sont 2 et 1 seul sera élu(e).
Il n'y a pas de non choix, on ne refait pas l'élection si l'abstention ou les blanc l'emportent.
On est tous adulte et responsable. Soit on pense que Marine Le Pen est plus qualifiée qu'Emmanuel Macron pour présider le pays et il faut voter pr elle.
Soit on pense quEmmanuel Macron est plus qualifié que Marine Le Pen pour présider le pays et il faut voter pour lui.
Il s'agit de l'élection du président de la Republique.
Nous avons l'occasion d'élire nos représentants a l'assemblée nationale bientôt avec de nouveau une pluralité de candidats au premier tour. Mais dimanche, c'est comme ça que fonctionne nos institutions, on élit uniquement le président et cela ne peut être que Le Pen ou Macron.
Alors faites votre choix et votez pour l'un des deux.
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pipige le 21/04/2022 à 00h46Vu sur TW :
"En vrai #MarineLePen est tellement nulle qu'on dirait qu'elle aussi elle fait #barrage au FN"