Feuilles de match et feuilles de maîtres
Qui a dit que football et littérature étaient incompatibles ? Voici le forum où vous pourrez parler de vos lectures récentes et anciennes, liées ou non avec le ballon rond.
Un conseil de lecture ? Une bonne librairie ? =>> "You'll never read alone", le Gogol Doc: http://bit.ly/11R7xEJ.
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Franco Bas résilles le 25/05/2022 à 11h43En effet, c'est plus tard, après le "Sceptre d'Ottokar", dans "Le Secret de la Licorne", qu'on découvre que les portefeuilles des Dupondt, volés par Aristide Filoselle portent le nom des Dupondt, mais proliférants, comme autant de masques... On ne peut donc pas tomber dans ce panneau !
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Julow le 25/05/2022 à 12h11Oui mais attends, là, non, enfin... Je veux bien que Tintin invente leurs noms, mais ils reprennent l'invention à leur compte, jusqu'à revendiquer (indignés, souvent) leur -d ou leur -t, donc, ta théorie, ça marche comment ? Ils tiennent avec un sérieux terrible, enfantin, à cette invention ludique de Tintin, qu'ils ont fait leur ?
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Franco Bas résilles le 25/05/2022 à 12h31Il est vrai que, pour se désigner mutuellement, les Dupondt utilisent plutôt le terme "collègue" et que ces quasi homonymes se montrent très attachés à la consonne qui les distingue. Ainsi, dans "Les 7 boules de cristal" : « Allô, docteur Simon ? Ici Dupont. Non avec un t. Comme Théodule. » - « Allô, la Sûreté. Ici Dupond. Non avec un d, comme Démosthène. »
Je me plaçais sur un plan symbolique : Tintin les fait pour ainsi dire définitivement exister comme Dupondt, alias faussement passe-partout pour des quasi sosies et de vrais jumeaux.
[Edit : Et bien entendu qu'ils tiennent à cette nuance d'abord parce que l'un n'est pas l'autre, et ensuite parce que cette identité d'emprunt est la garantie de leur anonymat de membres de la police secrète, au départ.]
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Julow le 25/05/2022 à 12h51Waaaah l'autre, hé ! « Je me plaçais sur un plan symbolique » !!
On dirait mon père.
Catholique de gauche. Le truc névropathe.
« Papa, c'est des histoires vraies, dans la Bible ? » « L'enfer, ça existe ? »
« Euh... c'est à prendre sur le plan symbolique ».
Du flan, ouais !
(si au lieu de « marquer » on avait eu « tordre » comme verbe, pour les nouvelles, j'vous aurais fait un machin sur les cathos de gauche, un truc merveilleux, auto-dissolvant)
Edit : bon, donc, "névropathe" ça veut pas dire ce que je voulais dire, je voulais dire "névrogène", enfin, "qui provoque de la névrose", mais je laisse, c'est joli.
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Franco Bas résilles le 25/05/2022 à 13h02"C'est bien ce que nous disions : tout cela est d'une simplicité enfantine !" ("Le Sceptre d'Ottokar", page 43)
Mes salutations à ton père, que je ne suis pas.
Différitude et similence...
(A propos des problèmes de langage chez les jumeaux et de la cryptophasie qui affecte légèrement les Dupondt : lien Et toc.)
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L'amour Durix le 25/05/2022 à 13h05Qu'est ce qui est pire : les cathos de gauche ou les gâteaux de coach ?
(Après si ça se trouve, c'est un très bon pâtissier)
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Balthazar le 25/05/2022 à 13h07Ah ouais, tu traites ton père de névropathe ? Et quand ta mère t'agace tu lui dis : "zob" ?
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Julow le 25/05/2022 à 13h12Pas du tout, je qualifie le catholicisme de gauche de névrogène. Na.
Mais que cela ne t'empêche pas de nous parler de ta mère et de ton, enfin, de ton vit.
Sans saveur ?
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Franco Bas résilles le 25/05/2022 à 13h29Cette gauche chrétienne est molle (ok ,contrepèterie facile, j'arrête), et tu ne peux plus la voir en peinture (lavis sans saveur ?), mais elle est le sel de la terre, et la vie sans saloir, c'est triste comme sa vie sans la voir...
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Balthazar le 25/05/2022 à 13h31Tu m'as l'air obsédé par les zones névrogènes...