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Euro qui, comme Ulysse...

Après quelques jours de compétition, ébauchons les tendances, baguenaudons d'un groupe à l'autre et gardons-nous bien de tirer des conclusions définitives.
le 17 Juin 2004

 

Est-ce l'absence de la Norvège? Sont-ce ces stades si beaux? L'Euro 2004 semble assez bien né après presque une semaine de compétition… Le jeu n'a certes pas encore atteint des sommets et aucune équipe, à part la Suède, n'a réellement survolé ses premiers rendez-vous. La faute à une certaine crispation tactique qui donne souvent raison au "contreurs" et ne laisse les rencontres se débloquer que sur des coups de pied arrêtés. Mais l'intensité a compensé ce déficit relatif de spectacle, et le bilan des premières journées est prometteur, au moins sur le plan du suspens qu'il ménage pour la suite. Bleu vif La victoire renversante de la France contre l'Angleterre a produit une onde de choc dont les effets secondaires ne sont pas tous complètement maîtrisés. Certains étaient certes prévisibles, à l'image de la multiplication des titres "Z comme Zidane", 3Zizou c'est fou" ou "Zidane le sauveur", au diapason d'une zidanolâtrie qui bat plus que jamais son plein dans l'ensemble des médias. On a le sentiment que la "magie" de l'équipe de France est tout à coup ressuscitée, en même temps que son potentiel de popularité. La présence de treize millions de téléspectateurs sur TF1 dimanche soir tendrait même à indiquer que ce potentiel n'avait pas été si diminué par 2002… Le paradoxe est qu'une défaite contre les Britanniques aurait assurément dilapidé ce capital et précipité l'équipe de France dans le désamour et les turbulences de polémiques technico-tactiques et "politiques". Évidemment, pour l'équipe elle-même, à part un 5-0, on pouvait difficilement rêver meilleure entame: si les difficultés ont été réelles, le dénouement permet d'accumuler un énorme capital de confiance. Tout juste peut-on s'inquiéter d'un excès d'émotion en tout début de compétition, et des désirs de revanche des Anglais, qui souhaitent désormais retrouver les Bleus en finale pour leur faire payer leurs chants de victoires dans le vestiaire. Ce n'est quand même pas leur faute si les murs sont mal insonorisés. Du gaz dans l'Euro Faire vivre pendant plusieurs semaines deux douzaines de joueurs aux ego très développés, ce n'est jamais simple. Si la plupart des équipes parviennent à maintenir les tensions sous le couvercle, certaines voient leurs soupapes voler jusqu'au plafond. Parmi les tragi-comédies qui ont émaillé la première semaine de la compétition, on retiendra notamment la faute diplomatique de Giovanni Trapattoni qui a un peu trop appuyé son hommage à Francesco Totti, ce qui a inévitablement froissé Alessandro Del Piero. À l'arrivée, les deux starlettes ont été plutôt médiocres lors du match contre le Danemark… Le Romain a dû en outre mener une enquête podologique afin de déterminer la cause d'une inflammation de sa voûte plantaire, pas franchement céleste lundi soir: après que les nouvelles chaussures fournies par son sponsor eurent été blanchies, les vraies coupables seraient ses chaussettes. L'irritation induite est peut-être également responsable de son crachat et de son tacle assassin du Romain ont fait assez mauvais genre. Alexander Mostovoï a été prié de quitter le bunker russe à la suite de ses déclarations désobligeantes sur la préparation physique de sa sélection. À bientôt trente-six ans, les jambes de l'ex-Strasbourgeois peinaient à suivre le rythme mais elle lui suffiront pour précéder ses coéquipiers sur le chemin du retour. Chez les Croates, l'ancien sélectionneur Blazevic a remis son képi pour critiquer son successeur Baric, qui ne saurait pas faire jouer son équipe… Côté portugais, ce sont les déclarations réitérées de Figo à propos de la naturalisation de Deco qui ont compliqué l'ambiance au sein de la selecçao. Le même genre de ressentiment anime Stefano Fiore, qui n'a pas apprécié l'intégration de Camoranesi, d'origine argentine, dans la sélection (à moins que ce soit son catogan qui est jugé indigne de l'identité capillaire italienne). Pas très classe, quoi qu'il en soit. Et voguent les drakkars Les scandinaves, eux, ne se prennent jamais la tête. Leur fraîcheur d'esprit leur permet de résister à la chaleur des stades portugais, à l'image du Danemark à Guimaraes qui a sérieusement compliqué la vie de la Squadra azzurra, au point de regretter un match nul plutôt heureux pour leurs adversaires, muselés par les excellents Laursen ou Poulsen et rendus inefficaces par le gardien Sörensen. Les Italiens peuvent se replier derrière la tradition de leurs débuts difficiles dans les compétitions internationales, mais ils ont intérêt à se réinventer un style de jeu plus flamboyant, avant de défier la Suède vendredi à Porto. Les Jaunes seront d'autant plus décontractés qu'ils sont les auteurs d'une grosse sensation avec le 5-0 infligé aux Bulgares. On a pris conscience au Stade José Alvalade de Lisbonne que le trident offensif formé par Larsson, Svensson et Ibrahimovic pouvait faire très mal, très vite… La sélection suédoise est dirigée par deux sélectionneurs (Tommy Söderberg et Lars Lagerbäck), une curiosité qui se justifie, selon ce dernier, par la méthode managériale adoptée, nécessitant un dialogue constant : "Nous avons besoin d'être deux sélectionneurs. Ça prend du temps de parler avec vingt-trois joueurs!" (AFP). Le Portugal sur la corde raide Les vertus de la communication, c'est peut-être ce qui fait défaut aux Portugais, du moins sur le terrain. Écrasés par la pression lors du match d'ouverture, ils ne se sont que partiellement libérés contre la Russie hier soir, malgré le scénario idéal d'une rapide ouverture du score et d'un adversaire réduit à dix avant la mi-temps. Le but inscrit en toute fin de match par Rui Costa ne fera pas oublier les sifflets qui ont accompagné leur prestation en demi-teinte. La machine va peut-être finir par se mettre en marche — même si la "finale" contre l'Espagne n'offrira pas des conditions idéales — mais pour le moment, l'équipe locale ressemble à une addition d'individualités brillantes qui peinent à former un collectif cohérent. L'Espagne, justement, a d'abord justifié son statut de postulant au titre en disposant assez aisément de la Russie, avant de buter sur le Charybde grec. Il suffit d'ailleurs que Charles Biétry dise qu'une équipe est médiocre pour que celle-ci s'applique à le contredire. C'est ainsi que la sélection hellène a joué un drôle de tour aux Ibères en se rapprochant de la qualification pour les quarts, avec une égalisation fulgurante: une transversale d'enfer, un contrôle parfait de Charisteas et la balle filait sous le ventre de Casillas — le ventre étant toujours le point faible des portiers espagnols. La dernière journée du groupe A risque de faire une victime de prestige. L'Allemagne est le phénix de ces lieux Deuxième des trois grands sommets de ce premier tour (après France-Angleterre et avant Espagne-Portugal), l'affrontement entre l'Allemagne et les Pays-Bas n'a pas accouché d'une souris, même si aucune des deux équipes n'a atteint un grand niveau d'expression. Mais l'Allemagne, présente dans les duels et très bien organisée, a donné raison à ceux qui considèrent que les clichés sur la Mannschaft sont éternels. En face, l'équipe d'Advocaat a semblé faire resurgir ses vieux démons, avant de livrer une bonne deuxième période, plus ambitieuse et récompensée par un but de karatéka signé Van Nistelrooy. S'étant coltiné le marquage de Wörns pendant toute la rencontre, il a prouvé qu'il pouvait aussi marquer avec un défenseur littéralement sur son dos. Pendant ce temps, la République tchèque mène aux points. Rectification En fait, Laurent Blanc — consultant pour France Télévisions — va seulement égaler son record de "à partir de là", c'est son record de "Oui je crois que bon" qu'il va exploser. Opération caméscope À part ça, une compétition internationale, c'est toujours un grand moment pour les défenseurs de l'arbitrage vidéo, une tribune privilégiée pour crier au scandale dès que le monsieur dans la cabine est en position de certifier une erreur d'arbitrage, à l'instar de Christophe Josse, parti dans une diatribe de cinq minutes à la suite de l'expulsion du gardien russe contre le Portugal. Ni la mi-temps, ni Élie Baup (qui semblait vouloir défendre un point de vue plus modéré), ne réussirent à l'interrompre. Dans l'incident, personne ne remarque qu'il y a aussi une énorme cagade du défenseur qui fait la passe en retrait et une erreur du gardien dont la sortie hors de sa surface en position couchée l'expose à ce genre de mésaventure (c'est d'ailleurs un miracle s'il ne fait pas main, à deux millimètres près). Par contre, lorsqu'en fin de deuxième mi-temps un contact litigieux dans la surface portugaise s'acheva par la chute de l'attaquant russe, notre juge-arbitre sembla plus circonspect. Dans un tel cas de figure (une action indécidable, du genre de celles sur laquelle les "juges vidéo" devraient se prononcer), les décisions prises avec l'aide de la vidéo — dans un sens ou dans l'autre — donneraient lieu à des polémiques infiniment plus violentes que celles résultant d'une décision de l'arbitre sur le moment. Il y a au moins une raison d'être contre l'arbitrage vidéo: 100% des commentateurs sont pour. Pour toutes les autres, voir: Dossier arbitrage (1): la vidéo, un crime contre le football Dossier arbitrage (2): les solutions techniques Arbitrage et vidéo à bon escient Vidéo maton

Réactions

  • Océane le 17/06/2004 à 15h16
    Rien à voir avec la vidéo mais hier celui qui m'a encore bien plu c'est Ronaldo le Portugais. Je ne comprends pas qu'il ne commence pas tous les matchs.
    Et y a t-il un Portugais dans la salle qui peut m'expliquer pourquoi Scolari ne fait pas jouer ensemble dés le début Rui Costa, Figo, et Deco???
    C'est totalement incompréhensible quand on voit le talent de ces 4 là.
    Il fait partie d'Al Qaida Scolari?

    Oui, il a fait un grand match le père Ronaldo hier soir. Quel extérieur du pied sur le but de Costa !!!
    Sur le fait qu'il ne commence pas les matchs : peut être Scolari prefere-t-il le garder pour tuer le match (comme hier) ou renverser une situation difficile ? Peut-être qu'il estime préférable d'apporter de la fraicheur à l'équipe en cours de match ? Ce qui a plutôt réussi, jusque là... On verra ce qui se passe contre l'Espagne, car les prestations de Simão pourrait permettre à Cristiano de débuter.
    Concernant, Deco, Rui Costa et Figo, ensembles sur le terrain, le débat existe au Portugal depuis la naturalisation de Deco et sa première selection. Deco et Rui Costa, peuvent-ils, oui ou non, jouer ensemble ? Les matchs de préparation ont montré que les deux artistes se marchent sur les pieds lorsqu'ils jouent cote à cote. Ou alors, tu "exiles" Deco sur un coté, laissant à Rui Costa le rôle de milieu axial. Mais dans ce cas, tu vois jouer l'ombre du cousin de Deco, un peu perdu sur le terrain et repiquant systématiquement dans l'axe. Deco a besoin de bouger, d'être libre sur un terrain. Et, jusqu'à preuve du contraire, avec Rui Costa, ça ne marche pas

  • loual le 17/06/2004 à 15h26
    Océane
    " Mais dans ce cas, tu vois jouer l'ombre du cousin de Deco, un peu perdu sur le terrain et repiquant systématiquement dans l'axe. Deco a besoin de bouger, d'être libre sur un terrain. Et, jusqu'à preuve du contraire, avec Rui Costa, ça ne marche pas"

    C'est pas ce que j'ai vu hier. Ils ont fait une action somptueuse, à la 63 eme minute je crois, qui est vendangée par Figo il me semble. Les portugais auraient tout intérêt à les faire jouer ensemble. Enfin...si ils veulent gagner l'Euro. Moi ce que j'en dis..
    C'est pas plutôt Scolari dont l'association avec les (bons) joueurs de ne marche? Ca me rappelle trop le débat Giresse Platini ce genre d'ânerie.

  • Océane le 17/06/2004 à 15h27
    Autre chose loual : tu m'expliques la référence à Al Qaida lorsque tu parles des choix de Scolari, steup ?

  • Océane le 17/06/2004 à 15h38
    Ce genre d'âneries... lol loual.

    Loual, les tentatives d'associer Rui Costa et Deco n'ont jamais été couronnées de succes. Qu'est-ce que tu veux de plus ?
    D'autant plus qu'après la prestation du Portugal de Deco, hier, avec Figo et Simão, mais sans Rui Costa, je ne vois pas pourquoi Scolari devrait se faire des noeuds au cerveau !!! A part : qui va remplacer Simão ?
    Et tu crois qu'il va modifier son schéma pour UNE action réussie ??? Si Marlet réussi un centre à 10 minutes de la fin ou claque un but, tu le mets titulaire à la place de Trez ou Henry ? Quelle ânerie...

  • eskimo le 17/06/2004 à 16h24


    une parenthèese pour la vidéo sur carton rouge : dans certains cas c'est aussi un climat qui permet de donner le carton, par exemple la notion de faute intentionnelle
    or la vidéo ne permet pas de décider quant à l'état d'esprit du fauteur, ca se sent sur le terrain ca et là l'image devra encore être interprétée

    sinon on peut envisager une autre formule : un ou deux recours possibles par match pr chaque capitaine d'équipe avec carton jaune pour le plaignant si la vidéo montre que l'arbitre avait raison ou un truc comme ca
    ca sera marrant ca renforcera le côté contestation des décisions arbitrales :)

    un autre point sur l'arbitrage : que penser de cette idée de plus ne plus dans l'air du temps de ne plus mettre de carton rouge pr les fautes ds la surface lorsqu'il ya deja peno sauf agression caractérisée : donc silvestre et james pas de rouge par exemple (ce qui fut le cas mais critiqué)

  • loual le 17/06/2004 à 16h34
    Océane
    "Autre chose loual : tu m'expliques la référence à Al Qaida lorsque tu parles des choix de Scolari, steup ?"

    J'ai cru discerné une forme, déguisée, d'attentat contre l'Euro la façon quà Scolari de faire jouer de tels supers joueurs.
    On en a bombardé pour moins que ça.

  • loual le 17/06/2004 à 16h35
    discerner; toutes mes confuses.

  • loual le 17/06/2004 à 16h47
    "Loual, les tentatives d'associer Rui Costa et Deco n'ont jamais été couronnées de succes. Qu'est-ce que tu veux de plus ?"

    Un coach qui les fasse jouer ensemble. Franchement je vois pas où est le blème sur ce coup.
    Quand je te parle de la querelle Platini associé à Giresse c'était les même arguments; et qu'est ce qu'on fait d'untel et qui va être le patron et gna gna gna tout ça.
    Franchement c'est délirant de se priver de ces joueurs.
    Je n'ai pas trouvé qu'ils apportaient de la confusion dans le jeu des Portugais en jouant ensemble. Bien au contraire. Avec en plus Ronaldo à gauche ça devrait être une bombe atomique cette équipe.


  • Cruyff le 17/06/2004 à 16h55
    Les règles du football sont claires, ça tout le monde en convient. Et pourtant elles ne sont pas toujours appliquées par les joueurs ET les arbitres, et ça, chacun l'a aussi constaté et déploré. Cela a été comme d'habitude le cas dans le match d'hier avec un arbitre qui expulse un joueur pour une main au minimum non intentionnelle , voire imaginaire.
    Alors pourquoi ? Quelles sont les raisons de ce paradoxe ?
    Pour les joueurs, il est évident que le gain potentiel découlant d'une tricherie est sans commune mesure avec le civisme qu'on pourrait leur prêter, mais ça c'est aussi vrai dans tous les aspects de la vie civile.
    Pour les arbitres , il s'agirait plutôt d'une incapacité à pouvoir controler l'ensemble des éléments d'un système comprenant 25 participants ( eux inclus ) étalés sur 5000 m2 et dans des conditions de mouvement permanent. Car après tout ce ne sont que des hommes eux aussi. Il serait donc charitable de leur accorder un soutien logistique en rapport avec l'importance des rencontres et de leur audience ( i.e. le nombre de paires d'yeux braquées sur eux ). Cela pourrait être un recours à la video sur demande du capitaine d'une équipe se sentant lésée, avec par exemple deux recours possibles par match et une peine accrue en cas de tort du requérant.
    Mais si on peut concevoir que les vieilles croutes du Board soient bornées au point de ne pas vouloir déroger à un conservatisme digne des ouailles de Saint-Nicolas-du-Chardonnet , la position de certains "spécialistes" ici laisse perplexe , d'autant qu'aucun argument sérieux n'est jamais avancé pour étayer un rejet de la technologie qui gère pourtant déjà de A à Y le football d'aujourd'hui.

  • ouais.super le 17/06/2004 à 16h59
    Un bon point pour toi eskimo, le carton rouge n'est pas forcément donné pour des raisons rationnelles. Donc la vidéo serait inadaptée à certaines situations. Mais dans d'autres cas (Makélélé qui simule à Chelsea contre Monaco et qui entraine l'expulsion de je ne sais plus quel joueur monégasque), Dédé aurait pu demander la vidéo sur ce carton rouge qui, à mon avis, aurait du coup été annulé, voire même retourné contre le simulateur. Ce qui permettrait de réduire d'un seul coup drastiquement les actes de simulation. Comme on peut les voir à l'entrainement sur cette petite vidéo (factice, mais bien faite) :
    lien


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