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Une Bohême turbo

Ne lésinons pas sur la quantité pour couvrir ce France-République tchèque, en espérant faire mieux que les Bleus sur le plan de la qualité. Synthèse, nalyse, observations, images et prévisions médiologiques: on a tout mis sauf le jeu de mot sur Jankulovski.
le 13 Fev 2003

 

Le match Il s'est joué un peu vite, alors que l'affrontement peinait encore à prendre forme et que les visiteurs se montraient déjà fort empressés au pressing, faisant immédiatement reculer les Bleus. Ceux-ci purent tout de même placer deux ou trois banderilles, avec une rapide réplique de Koller, bloqué par Desailly à l'entrée de la surface. Complètement déconcentré par une perte de balle de Zidane, Ulrich Ramé opère une manipulation génétique fatale sur le tir lointain de Grygera, à la 7e minute. Sur le ralenti, on verra clairement le gardien bordelais hésiter entre la prise de balle et la claquette. La balle passera exactement entre les deux options. Le pressing tchèque devient ensuite totalement asphyxiant. Les Bleus butent sur un premier rideau défensif déchaîné et perdent tous les ballons joués vers l'avant, sans jamais créer de rupture. Les attaquants touchent un nombre raréfié de ballons et exploitables, et parviennent à peine à se retourner. La médiocrité des centres et les hors-jeux font le reste et leurs adversaires obtiennent l'exclusivité des occasions, survenant à intervalles réguliers sur les buts de Ramé, le plus souvent sous la forme de tirs à mi-distance ou de centres aériens. Il faudra attendre la 33e minute pour voir la première occasion des locaux, avec un tir croisé du gauche de Zidane, sur un mauvais renvoi de la défense, qui passe à côté mais qui marque le début d'une amélioration. Les Bleus pensent peut-être que le public les pousse, mais en fait il fait la ola. Quoi qu'il en soit, ils obtiennent leurs premiers corners, provoquent les fautes. Zidane reprend de volée son propre coup franc repoussé par le mur. Qui se souvient qu'il avait marqué de cette façon contre la Pologne, dans ce même stade il y a presque trois ans jour pour jour? À cinq minutes de la pause et à la suite d'une nouvelle progression sur le flanc droit, un centre insuffisamment renvoyé de la tête par Desailly échoit à Vachousek excentré aux seize mètres, dont la superbe reprise croisée du gauche frôle le poteau d'un Ramé resté immobile. Zidane y répond par une pénétration dans l'axe, conclue par une frappe trop enlevée. Pas son jour.

Un spécimen de baleine bleue, surpris au stade de France au moment de reprendre de l'oxygène.
Les intentions sont évidemment plus affirmées à la reprise, avec notamment les entrées de Pires, Vieira et Trezeguet aux places de Wiltord, Makelele et Marlet. Mais la situation n'évolue pas profondément, la domination française s'installant sans résoudre sa stérilité offensive, même si les occasions sont plus appuyées. On ne frémira vraiment que sur une occasion de Trezeguet (au bout d'une belle action amorcée par Pires) ratée et en position de hors-jeu. Advient alors le second tournant du match, au moment où les Bleus semblaient pouvoir reprendre l'ascendant. À la 61e minute, Gallas, monté pour un corner, expédie au ras de la barre un ballon naviguant dans la surface. Sur la remise en jeu, quelques secondes plus tard, il est au tacle sur Baros, qu'il ne peut empêcher de doubler la mise. Le joueur de Liverpool, après avoir superbement éliminé Vieira, Pires et Petit, venait de s'ouvrir une brèche dans l'axe après un relais de Dostalek. Un peu assommés, les Bleus insistent pourtant dans le dernier quart d'heure, stimulés par l'entrée de Djibril Cissé, qui montre que Jacquet n'est pas gâteux quand il insiste sur la "percussion". Il se procure une série de positions de tir, mais ses frappes manquent de précision ou d'efficacité, comme lorsqu'il fait le plus dur en parvenant à se présenter seul devant Cech, mais déclenche une frappe de poussin. La meilleure circulation de balle ne permet toujours pas d'espérer concrétiser les phases offensives: les centres échouent immanquablement dans les pieds adverses, les passes ne sont jamais décisives. Pour l'anecdote, Pedretti et Silvestre font leur apparition sur la pelouse, Petit et Lizarazu recevant l'hommage saumâtre du public. La nalyse Côté système de jeu, il y aura peu de controverses à se mettre sous la dent, sachant que tout le monde a voté pour le "4-4-2" de Santini, qui ressemble pourtant si étrangement au 4-2-3-1 de Lemerre. C'est en fait un système hybride, qui voit Wiltord redescendre effectivement plus bas que Henry et participer à l'entrejeu, mais qui présente une dissymétrie qui a semblé se transformer en déséquilibre mercredi soir. Il n'est pas surprenant que la majorité des offensives blanches se développèrent sur le côté gauche des Français. L'insertion de Pires dans un rôle plus axial que Wiltord n'a pas significativement changé les choses. Non seulement le milieu de terrain a été totalement dominé par son homologue, mais les rares liaisons avec l'attaque ont été particulièrement difficiles, aussi bien dans l'axe que sur les côtés, d'où sont pourtant venues bon nombre de tentatives. Marlet n'a pas retrouvé le placement et les déplacements de ses dernières intéressantes prestations, Henry n'a pas eu le moindre espace à investir et ses courses les plus rapides ont eu lieu vers l'arrière. Les entrées en jeu, à part celle de Cissé, n'ont en rien changé la donne, ce qui fait un autre motif d'inquiétude. À l'inverse, l'évolution du score a permis à Karel Brückner de bénéficier à plein du maxi-coaching des rencontres amicales en faisant entrer des joueurs frais, prêts à exploiter les situations de contre… Il faut surtout saluer la victoire de la sélection tchèque, qui a parfaitement réussi sa prestation, avec un engagement irréprochable et un jeu vif et simple fait de passes courtes, de redoublements et de recherche rapide des attaquants. Beaucoup de disponibilité et très peu de déchet. Un milieu de terrain de grande classe avec Rosicky, Poborsky et Nedved et des individualités intéressantes comme le jeune Grygera (Sparta) qui n'a pas fait que marquer un but chanceux. Une belle équipe en fait. Les gars En disant que Ramé a fait une Letizi, on ne désigne pas une erreur technique quelconque (on appelle désormais ceci une Warmuz), mais une erreur grossière et fatale au score, commise en début de match par un gardien "remplaçant" en équipe de France. Cela fait vraiment mal au cœur pour le pauvre Ulrich, mais il y a fort à parier que sa faute lui vaudra la même excommunication que celle qui frappa son confrère parisien, un soir de mars 1998 en Russie.

Le moment précis où Grégory Coupet a enfoncé une aiguille dans une poupée munie d'un grand nez.
La ligne défensive a tenu son rang, les deux buts (une bourde et un contre parfaitement mené) ne pouvant lui être imputés. Lizarazu s'est montré présent, avec quelques retours défensifs de grande qualité et un apport offensif intéressant, même s'il a eu du mal à créer le danger. Idem pour Thuram, dont la volonté et l'association avec Wiltord ont contribué à animer le couloir droit, malgré une qualité de centre toujours problématique. Desailly a été sobre, restant presque dans l'ombre d'un Gallas qui n'en finit pas d'étonner, plein de sang-froid et n'hésitant pas à prendre ses responsabilités. La faillite du jeu français résulta essentiellement de la faiblesse du milieu de terrain, totalement dominé par son vis-à-vis et en panne de solutions individuelles et collectives. Entre la 3e et la 7e minute, Zidane rata quatre passes faciles, la dernière étant l'aile de pigeon qui délivra la balle de but à Grygera… Le total frôla la dizaine lors d'une première demi-heure assez catastrophique. On l'a déjà vu en demi-teinte avec l'équipe de France, ou excessivement irritable (à Malte par exemple), mais il est rarement passé au travers de cette façon. Il est vrai qu'il a bénéficié de peu de soutien immédiat avant l'entrée de Pires, mais il a l'habitude de se tirer de telles situations. Le contraste avec ses prestations madrilènes nous a fait mal aux yeux. En termes de déchet technique, Petit et Henry ont également marqué les esprits. Le milieu de Chelsea a semblé étrangement perdu sur le terrain aux côtés de son rival, dans un de ses "matches sans" dont il est parfois l'auteur. Trop de pression, aux côtés de son rival madrilène désigné, qui n'a pas spécialement brillé non plus? Wiltord a su se montrer disponible, mais son activité incessante a trop rarement débouché sur un réel danger pour les Tchèques. En seconde période, Pires a montré de la bonne volonté et délivré de bons ballons, Vieira n'a pas fait de miracle, finissant même par s'énerver de l'hyperactivité de ses adversaires et Trezeguet restant pris au piège de la nasse. Silvestre et Pedretti sont vite entrés dans le match. Le match de TF1 Encore une composition d'équipe surréaliste de la part du service des sports, avec Zidane en milieu récupérateur et Petit en ailier gauche. Jean-Michel Larqué a trouvé sa victime trop tôt et elle était trop facile. Salaud : remontrer six fois l'erreur de Ramé. L'euphémisme de Thierry Roland : "Bonne intervention de Desailly qui s'est fait respecter au milieu du terrain" alors qu'il vient de dégager la cheville de Nedved en même temps que le ballon. Belle victoire de la volonté : TR pouffe mais ne dit rien au moment de prononcer le nom de Jankulovski. JML a arrêté de s'essayer à l'accent tchèque quand il s'est aperçu qu'il avait annoncé un deuxième but marqué par "Balloches". Les observations Personne n'a dit aux Tchèques qu'on n'est plus champions du monde? Confirmation : l'équipe de France a du mal sans Zidane. Il y a trop d' "Anglais" en équipe de France, ils ne savent plus ce que c'est le haut niveau. Sympa l'hommage de ses coéquipiers pour la 103e sélection de Marcel Desailly. Dommage pour les habitués du Parc des Princes qui venaient se consoler au Stade de France. C'est pas parce qu'il a les cheveux longs et un serre-tête que Pires doit commencer à tomber systématiquement et à faire des yeux de chien battu. Ramé a la même marque de gants que Guillaume Warmuz. Ferme la bouche, Benoît.

Sur ce modèle de panneau des sponsors mobile, les bretelles sont habilement dissimulées sous la veste de survêtement du sélectionneur.
Prévisions médiologiques : les controverses à venir Le bilan 2002 de Santini était trop beau, privant la presse spécialisée d'enrichissantes polémiques, alors qu'une bonne défaite à problèmes entretient la flamme. On aura noté les sifflets (certes pas massifs) qui ont accompagné les sorties de Petit et Lizarazu. Un angle privilégié sera logiquement le procès des "anciens", Pires excepté, dont le retour a malheureusement coïncidé avec celui de la défaite. Il sera effectivement tentant de trouver une ressemblance entre l'impuissance de mercredi soir et celle de juin dernier, pour en conclure que la sélection a besoin d'un plus net renouvellement, quitte à enterrer certains glorieux anciens ou à les opposer aux nouveaux arrivants… On arguera notamment que la République tchèque était justement l'adversaire le plus sérieux auquel Jacques Santini a été confronté jusqu'à présent. Capable de renverser une situation contre Chypre, l'équipe de France n'est-elle pas encore fragile, avec des joueurs qui n'ont pas exorcisé le traumatisme du Mondial? Etc. Voilà grosso modo ce que l'on devrait lire dans les gazettes ces prochains jours. Le procès qu'on ferait en revanche volontiers, ici, c'est celui de la motivation des joueurs pour ce match amical, dans un contexte où les clubs renouvellent leurs attaques contre le calendrier des sélections. Le jour même, le G14 et le Forum européen des clubs menaçaient d'interdire à leurs joueurs de se rendre à la Coupe des confédérations. L'ironie fait que c'est ce malheureux mercredi intercalé dans une série invraisemblable de journées de championnat et de coupes qui sert de prétexte au lancement de la campagne (voir aussi la Gazette 85). Il ne s'agit pas d'insinuer que les internationaux limiteraient délibérément leur engagement, mais plutôt de se demander si, plus ou moins consciemment, la pression indirecte de leurs employeurs ne leur fait pas perdre un pourcentage de motivation décisif lorsqu'ils évoluent loin de leur club. Un syndrome des matches amicaux bien connu des Tricolores, mais qui épargne visiblement les internationaux tchèques. Après la Tunisie en août, l'équipe de France a peut-être simplement du mal avec les matches de reprise, et on l'attendra surtout lors de ses rencontres de qualification pour L'Euro, lorsque l'exigence de résultat devra aussi s'accompagner de progrès dans le jeu. Jacques Santini, pour y parvenir, devra certainement clarifier ses choix et mieux délimiter les contours de son effectif. Cette irritante défaite l'aidera-t-elle à avancer sur ce plan?

Réactions

  • tikko le 14/02/2003 à 12h21
    Comme le dit Zoher, on peut pas savoir ce qu'il ferait là ou là...
    Luccin a pas réussi à s'imposer à Marseille ou Paris, à priori, il marche à Vigo, bon ben de là à en tirer des conclusions bof

  • No Fun le 14/02/2003 à 12h22
    Il est grand temps pour Penneteau. Il fait gros match sur gros match avec Bastia, et s'aguerrirait (en termes d'expérience au contact de Barthez) en 2ème gardien de l'EDF.

    Sinon, j'ai parcouru le fil, et je suis d'accord avec certains. En tout cas, j'ai été consterné par Zizou et Henry. Pour Zizou, effectivement, on peut se dire qu'il a quand même le droit de rater un match de temps en temps. Mais j'entends ici et la que Zizou ne donnerait pas grand chose en EdF à cause de Santini qu'iil ne supporte pas. Et ça, ça m'inquiète plus.

    Pour Henry, il faut vraiment que quelqu'un lui dise qu'il a trop pris la grosse tête, le MELON même. Ca m'insupporte, notamment son attitude vis à vis de l'arbitre quand il est sifflé hors-jeu et qu'il tire quand même. La façon puérile et méprisante avec laquelle il ignore l'arbitre n'est pas digne d'un joueur de niveau international (alors que pas très loin de cette tribune, on juge très sévèrement Maradona - le meilleur joueur de tous les temps à mon sens - pour son attitude). Henry aussi est une référence pour les jeunes et son attitude suffisante sur le terrain (et non uniquement hors terrain, contrairement à Maradona) n'est pas l'exemple que je souhaite voir suivre (par mon fils, par exemple). Alors une bonne non sélection ou un statut de remplacement sur un match ou deux, au regard de son rendement en EdF, lui ferait à mon sens le plus grand bien.
    Ca permettrait de voir Cissé en titulaire (Marlet...? Je me demande encore).

  • ricardo tubbs le 14/02/2003 à 13h21
    Luccin ne s'est pas imposé à L'OM, c'est une blague ou quoi?
    T'oublie la saison 98/99 de feu qu'il a fait ensuite la saison d'apres et l'eviction de Courbis il a été l'un des seuls à surnager du marasme olympien, quant à son expérience à Paris il est tombé sur un entraineur qui est en train de prouver son immense compétence, mais à part ça, il n'a fait que s'imposer dans une des écuries les plus performantes de la Liga ces 6 dernières années, c'est rien comparé au FCSM où évolue l'immense Pédretti.
    Quant à Frey, pour répondre à EL M, certes je le vois évoluer dans L'EDD MAIS aussi dans les emissions consacrées au Calcio sur les chaines italiennes, et je peux te confirmer qu'il fait partie des meilleurs à son poste en Italie.
    Moi je parle de valeur intrinsèque, maintenant peut être que Landreau et Pedretti sont moins caractériels et peuvent intégrer l'EDF sans bousculer une certaine hierarchie.

  • tikko le 14/02/2003 à 13h40
    Je suis d'acc avec toi pr dire que Luccin est très bon mais on peut pas vraiment dire qu'il est laissé des souvenirs impérissables à marseille ou paris.. quelqu'en soit les raisons, entraineurs ou autres
    Je suis aussi 100% ok sur luis qui fait déjouer tous les joueurs qu'il a sous ses ordres depuis qu'il est revenu. C'est triste.
    Qd il était venu à Bordeaux, Luccin, je pensais bien qu'il allait vite intégrer l'EDF, malheureusement pr lui, c'est jamais venu..
    Enfin, c'que j'en dis, c'que j'en pense

  • baygonsec le 14/02/2003 à 14h17
    ah bon, Luccin a été "tué" par fernandez ? Je pensais pourtant que c'est Bergeroo qui l'avait recruté...

  • loustic is back le 14/02/2003 à 14h20
    Gilliatt, pourrais tu faire un effort STP pour ne pas écrire en langage raccourci !
    Pour ceux qui ne fréquentent pas les chattes, c'est illisible, surtout en pavé ! Merci

  • ricardo tubbs le 14/02/2003 à 14h24
    Loustic quand tu parles de "chattes" s'agit il de "pussy"? :-))))
    excusez-moi c plus fort que moi.

  • Gilliatt le malin le 14/02/2003 à 14h35
    Loustic: ok désolé, je vais faire un effort.
    Ricardo: je n'ai pas envie de polémiquer sur Luccin, tu as ton avis, je le comprend, mais je ne le partage pas. Sinon, je ne dis pas que Pedretti va être le futur Dechamps, je dis que ce qu'il a un potentiel encourageant. (comment ça ne veut rien dire, cette phrase?). Et que sur sa tranche d'âge, c'est le seul Français à son poste à ce niveau, je veux bien t'accorder que le susdit niveau ne représente pas encore grand-chose sur le plan international. Et surtout, - c'était là où je veux en venir- , que ça fait PEU DE JOUEURS POUR ASSURER LA RELEVE à ce poste ô combien crrucial!
    Sinon c'est vrai que plein de joueurs "Espoirs" n'ont jamais confirmé par la suite -pour diverses raisons- Paille, Savinaud...(pour moi le "meilleur" reste Barrabé, champion d'Europe espoir).

  • ricardo tubbs le 14/02/2003 à 14h44
    On est d'accord sur un point, je l'ai d'ailleur argumenté sur le forum que la France va dans quelque temps souffrir d'une carence de milieux def à fort potentiel quand Petit et Makelele ne seront plus là.
    C'est bien que l'on essaie Pedretti mais j'aimerais tellement que l'on teste Luccin (même si ce dernier est assez arrogant). Ce serait bien de le formater dès maintenant à l'EDF que de l'intégrer (par obligation) quand ce dernier rejoindra un top team européen et créer un certain ressentiment.

  • christelou le 14/02/2003 à 19h56
    Frey est la coqueluche des italiens...et surtout des italiennes ! (christelou-qui-savoure-petit-à-petit-ss-jeu-de-mots-parce-qu'elle-l'aime-bien-petit-une-saison-de-vérone-de-Tim-Parks-voir-sujet-littéraire :-))

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