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Les Cahiers, numéro 12

De nouvelles rubriques, une page supplémentaire: les CdF s'enrichissent, avec ce "douze" dont nous vous dévoilons l'anatomie en images...
le 10 Jan 2005

 

Pour bien commencer l'année et poursuivre leur conquête de l'espace, les Cahiers s'étoffent, avec une nouvelle rubrique "Tabloïd", et une double page "Arrêts de jeu" pour traiter l'actualité dans toute la largeur de nos 54 centimètres… >> Tabloïd Dès la page 2, vous apprendrez ainsi, sur la foi d'une dépêche de l'Agence Transe Presse, que le quotidien Le Parisien est impropre à l'emballage alimentaire — selon une étude de l'AFSSA et de l'InVS. Pour sa part, le FFFDOP (Front pour un foot français débarrassé de l'OM et du PSG) vous invite à signer sa pétition en faveur de la dissolution de nos deux "grands" clubs afin de mettre un terme au véritable détournement de fonds auquel ils se livrent au détriment des vraies équipes de football. D'autre part, nos études ayant révélé que personne ne lisait le sommaire, nous l'avons soumis à un traitement un peu spécial.

>> L'audit de l'OM par Louis Acariès ne donnera peut-être pas tous les résultats escomptés, mais il aura au moins servi à mesurer l'ampleur des problèmes: c'est du moins ce qui ressort de ce document exclusif, que s'est procuré notre service investigation. En complément, l'audit de la Juve par Richard V. Malheureusement, nous n'avons pas pu nous procurer : > L’audit des mauvais départs du PSG par Christine Arron. > L’audit fiscal de l’AS Monaco par Florent Pagny. > L’audit de popularité de l’OL par Michael Schumacher. > L’audit de la galère strasbourgeoise par Gérard d'Aboville.

>> "Tenons-nous prêt pour affronter 2005", c'est le difficile programme de la page 5, avec: Nos vœux, les bonnes résolutions, ce qui ne changera pas et les questions que l'on continuera à se poser... >> Faut-il brûler les supporters ? La question se pose à la suite de la vaste campagne menée conjointement par les clubs, la Ligue et le gouvernement, après les incidents constatés en fin d'année. Ou plutôt, celle-ci: "Peut-on aborder la question sans sombrer dans le manichéisme consistant à prendre les Ultras soit pour des délinquants, soit pour les purs défenseurs de l'identité du football?" Toujours est-il que le règlement de la Ligue prive les Ultras de certains droits élémentaires, comme celui de la liberté d'expression, et fait des stades une zone d'exception où ne s'applique plus la loi commune... Selon la juriste que nous avons consultée, les associations pourraient même attaquer la LFP en justice, avec de bonnes chances de réussite. Enfin, la "criminalisation du supporter" à laquelle nous assistons sur fond de discours alarmiste n'a-t-elle pas pour but de précipiter l'avènement d'un football débarrassé de ses agités, au profit d'un public plus sage et plus rentable? Une évolution à laquelle les Ultras auront contribué en se montrant incapables défendre leurs propres intérêts...

>> 2004 : bilan, souvenirs et autres péripéties… Au cours d'une balade rétrospective et subjective, nous repassons l'année en revue : Monaco qui conquiert la France, les coupes d'Europe (presque) retrouvées, les deux côtés de la médaille grecque, la révolution libérale du foot français, Saint-Étienne qui reverdit, Lyon qui trace sa voie, la folle année de l'OM, le crachat nouveau geste technique, Nantes qui devient un grand club, la malédiction France Football, le chant du cygne du Real, le mythe Nouzaret, la fin de règne de Simonet... Le "Palmarès définitif" et le "Calendrier parallèle" complètent le tableau, avec une étude qualitative et quantitative du triste centenaire des Bleus. >> Aussi au programme : > La lente agonie de L'Équipe TV > Interview de l'écrivain Didier Daeninckx, qui évoque le Red Star, l'OM, les footballeurs héros de ses fictions, sa rencontre singulière avec Christian Karembeu... > Les 600 millions de l'esprit Canal. > L'explication des problèmes psychomoteurs des footballeurs avec leurs mains. >> Sans oublier : Les brèves, les Trophées du mois, les Lucarnes, les Niouzes of ze world, "Sur le site", la Revue de stress, la Photo, les Listings, les Mots du foot, l'Encyclopédie alternative, le Foot expliqué (à mon mec, cette fois), le Match des dream teams...

Réactions

  • antigone le 12/01/2005 à 12h41
    Je sais que j'écris mal, mon Syzzounet, mais c'est pas une raison pour mal lire.

  • Jamel Attal le 12/01/2005 à 12h49
    C'est surtout que qualifier Daeninckx de populiste, c'est un peu euh... Comment dire? Expéditif? Indû? Nimportnaouak?

  • Gabriel Fouquet le 12/01/2005 à 12h55
    A propos de populisme, j'ai relevé une coquille dans cet excellent #12, à propos des présidents "potentiels" de l'OM :
    "Brice Lalonde : Il est capable de changer de discours tous les six mois sans perdre la face".

    Je suppose qu'il faillait lire : "Brice Lalonde : Il est capable de changer de discours tous les six mois".

  • antigone le 12/01/2005 à 13h06
    bon, puisque décidément, on me batondanléroutise :

    lien

  • Syzzler le 12/01/2005 à 13h11
    Ah. Dont acte, Antigone.

    Une remarque : le destin du duo Bouchet/Diouf est étrangement comparable au duo Lalonde/Wechter.

    Duo soudé au départ, à travers un discours commun que les observateurs les plus critiques (ou réalistes) ont pu qualifier de déconnecté de la réalité.

    Puis viennent les premières divergences, les premiers "perdages de face", et enfin la séparation, terrible, pitoyable, larmoyante et mouvante, matérialisée par le départ de l'un, manifestement le plus con, et le maintien plus que précaire de l'autre.

    L'OM, c'est autant le bordel que chez les faux-ex-écolos.

  • Jonathan Sifflercetrain le 12/01/2005 à 13h19
    pour ceux qui ont la flemme d'aller voir sur la page indiquée par antigone, le prix populiste, c'est ça :

    Le prix du Roman populiste est le seul prix décerné dans le monde des lettres issu d’un mouvement littéraire important aujourd’hui encore étudié à l’université : le populisme.

    Sans aucune relation avec la dérive du mot " populisme " dans le champ politique, ce prix récompense des œuvres ancrées dans la réalité sociale en montrant des personnages aux prises avec la société. Une veine avec laquelle ont renoué aujourd’hui bon nombre de jeunes écrivains et cinéastes.

    L’autre particularité de cette distinction est son nomadisme. En effet chaque année une ville de province accueille et dote le prix à l’occasion de sa Fête du livre.


  • Gabriel Fouquet le 12/01/2005 à 13h22
    Bon, on s'éloigne vraiment des CdF, mais pour éviter les amalgames Daeninckx/Lalonde, on peut quand même préciser :
    "Le prix du Roman populiste est le seul prix décerné dans le monde des lettres issu d’un mouvement littéraire important aujourd’hui encore étudié à l’université : le populisme.

    Sans aucune relation avec la dérive du mot " populisme " dans le champ politique, ce prix récompense des œuvres ancrées dans la réalité sociale en montrant des personnages aux prises avec la société. Une veine avec laquelle ont renoué aujourd’hui bon nombre de jeunes écrivains et cinéastes."


  • Gabriel Fouquet le 12/01/2005 à 13h22
    Merci Jonathan !

  • Gabriel Fouquet le 12/01/2005 à 13h50
    And now, something completely different :
    Il y a quelques temps, J-M Larqué a battu sa coulpe publiquement, après s’être fait réprimandé par des téléspectateurs footeux et physiciens, pour avoir parlé d’un ballon qui "prend de la vitesse après le rebond".
    L’auteur de la rubrique "les mots du foot" enfonce dans le clou, et cette question me laisse toujours aussi perplexe que Thierry Roland !
    Mes connaissances en cinétique sont très limitées, mais je me demande quand même si l’ami Jean-Mimi a vraiment bafoué les lois de la physique et si son impression ne peut que résulter d’une illusion d’optique.
    S’agissant des pelouses arrosées avant le match, le frottement au moment du rebond est moindre, et la déperdition de vitesse s’en trouve minimisée. Mais on ne peut évidemment pas constater d’accélération, pour un ballon frappé sans effet, à plat.

    La question me semble autrement plus épineuse pour les frappes "travaillées".
    Bien sûr, il est impossible pour un footballeur de donner autant d’effet au ballon qu’un pongiste n’en imprime à sa petite balle orange avec sa raquette (même un joueur de faible niveau peut donner à une balle de ping-pong des vitesses et des trajectoires après rebond qui obéissent à des lois cinétiques dont la formalisation doit être bien complexe, voire impossible).
    Néanmoins la vitesse de rotation du ballon, lorsqu’un coup-franc est tiré par Juninho ou Beckham par exemple, est réelle et non négligeable. Elle se transforme en vitesse de déplacement après le rebond, et peut compenser la perte d’énergie due au frottement de l’air (qui dépend de la direction et de la vitesse du vent ) et au frottement de la surface du terrain au moment de l’impact.
    Mais il faut sûrement aussi tenir compte du coefficient de déformation du ballon !

    Bref, même sans pouvoir mesurer précisément toutes les forces en action , il me semble indéniable que la vitesse du ballon après rebond dépend en partie de la vitesse de rotation qu’un footballeur peut lui donner par sa qualité de frappe. Il va plus ou moins pouvoir "fouetter" la balle en fonction de sa souplesse articulaire, comme le souligne souvent Larqué, admiratif des chevilles en caoutchouc de Juninho.

    D’où mes questions aux CdFistes plus calés que moi en physique (et/ou en foot) : Parler d’accélération d’un ballon de football après rebond, est-ce un vrai non-sens ?
    L’intuition de Larqué est-elle vraiment absurde d’un point de vue scientifique, ou s’agit-il plutôt d’une exagération bénigne, le phénomène étant improbable dans le cas d’un ballon de football, mais théoriquement concevable ?

    ( Nota : J’ai trouvé, sur un forum plus spécialisé sur les questions scientifiques que sur le foot, une discussion à ce propos. Un des modérateurs s’appelle Coincoin, et il s’y connaît visiblement en coup-franc platinien !
    lien )


  • Jamel Attal le 12/01/2005 à 14h24
    Antigone a un sens politique infiniment plus développé que Lalonde, puisqu'elle signale le "Prix populiste" de Daeninckx sans reconnaître que ce qualificatif (dans son sens péjoratif, qui n'est pas celui de ce prix littéraire) convient bien mal à cet écrivain. A moins qu'écrire dès 84 sur le 17 octobre 1961, par exemple, ne soit considéré par elle comme un preuve de démogagie...

    Mais bref, je trouve que Daeninckx, en idéalisant Marseille et en affublant le PSG de ses oripeaux usuels, tombe dans les pièges des clichés sur ces deux clubs. Ça ne suffit cependant pas à discréditer cet interview, ni son oeuvre.

La revue des Cahiers du football