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Les Cahiers du foot et les journalistes

Dominique Rousseau, qui écrit habituellement dans un célèbre quotidien sportif, a réagi à notre article Nicolas et les journalistes (encore un coup de Pierre Martini). Nous ne manquons l'occasion pas de lui répondre à notre tour et de marquer notre différence…
Auteur : Jamel Attal le 26 Jan 2001

 

Dominique Rousseau, dont la signature dans L'Equipe nous est familière, a donc pris la peine de nous envoyer un message à la suite de notre article sur l'incident Anelka.
D'abord, nous devons dire que nous en sommes flattés. À défaut de parler de nous, le quotidien d'Issy-les-Moulineaux nous parle! Plus sérieusement, Houbahouba (dans les réactions ultérieures) a raison de dire que D. Rousseau a un certain courage de venir s'exprimer en territoire miné, alors que ses confrères font comme si nous n'existions pas (et ils le font très bien). Et très sincèrement, nous lui en sommes reconnaissants. Nous ne voudrions surtout pas lui donner l'impression d'un guet-apens, mais l'occasion est trop belle de répondre à des arguments qui soulignent les années-lumière qui séparent les Cahiers du football de la presse sportive actuelle.

"Je viens de lire votre article et il appelle quelques réflexions. Je lis "les journalistes sportifs sont un espèce humaine particulièrement irritante". Bien sûr, bien sûr, le discours est plaisant mais je pourrais éventuellement m'amuser de la charge si vous ne tiriez pas la matière de votre site des journaux, c'est à dire de notre travail."
Ce discours ironique sur les journalistes sportifs est peut-être "plaisant", voire démagogique, mais s'il l'est, c'est d'abord parce l'irritation suscitée par les vedettes de la plume, du micro ou de la caméra est considérable chez les amateurs de sport et incroyablement sous-estimée par ceux qui en sont la cause. À la télévision par exemple, on a l'impression que nos commentateurs n'ont pas la moindre idée des sentiments qu'ils font naître chez leurs spectateurs, et donnent l'impression qu'ils se sentent aimés, voire admirés. Votre journal lui-même se donne souvent l'image du dépositaire unique et incontestable de la vérité sur le football. Nous-mêmes avons le sentiment d'être fréquemment de fâcheuses têtes à claques, comme nous le signifient parfois nos lecteurs.
L'accusation voilée de "tirer notre matière" du "travail" de nos confrères est plus ennuyeuse. Faut-il comprendre que nous vivons en parasites? Les Cahiers du football ne sont pourtant pas un site d'information, mais délibérément de commentaire, de satire, de critique, qui ne concurrence donc personne et qui par ailleurs ne tire aucun profit de son activité. Les médias "officiels" ont-ils un monopole sur l'information sportive? N'avons-nous pas le droit de nous emparer de l'actualité pour réagir, analyser, provoquer les débats et autant que possible, faire rire?
Ensuite, le football professionnel étant devenu un cirque médiatique de première grandeur, il va de soi que nous prenions comme objet le petit monde et le travail des journalistes spécialisés, et que nous leur faisions subir le même traitement qu'aux autres acteurs du "jeu". Et ce d'autant plus que nous trouvons le paysage journalistique sportif d'une désolante indigence, pour des raisons qu'exposent abondamment nos articles sur le sujet (voir notre riche dossier Les médias et les journalistes). Est-ce que les Guignols ou Charlie Hebdo "profitent" du travail des hommes politiques qu'ils caricaturent? Les journalistes sportifs "irritants" sont tout simplement notre fonds de commerce, avec d'autres catégories de personnages (dirigeants néo-libéraux, joueurs vaniteux, entraîneurs cinglés…).

"Je crois comprendre que, selon vous, des supporters pourraient légitimement avoir envie de frapper des journalistes, mais les joueurs n'en auraient quand même pas le droit. Là, la distance devient carrément dandysme irresponsable".
Non, la formulation de la phrase de l'article est peut-être maladroite, mais vous-même aviez certainement compris: si "quelques supporters peuvent s'imaginer, à la lecture d'un article, en venir aux mains avec son auteur", ce n'est que par imagination. Pierre Martini excluait par avance l'hypothèse d'une rencontre entre ces deux catégories, et condamne bien sûr toute exaction de ce genre.
Cette précision faite, sur le fond du problème, l'article est suffisamment acerbe à l'égard de Nicolas Anelka pour qu'il n'y ait pas d'ambiguïté concernant la stupidité de son geste. Notre ton est volontairement provocateur, alors plutôt que de crier à la liberté de la presse qu'on assassine (d'une simple gifle), notre rédacteur a saisi cet incident lamentable pour aborder les rapports de dépendance réciproque entre joueurs et journalistes, c'était là le sujet de son texte.
Jamais "frapper un journaliste [ne nous a donc] semblé plaisant ou en tout cas explicable", en aucun cas nous n'avons "banalisé" une violence que nous dénonçons systématiquement par ailleurs (et dans le football, il est des violences malheureusement bien plus banales). Simplement, nous ne pouvons nous empêcher de penser que ce fait divers est plus comique que véritablement tragique, qu'il est plus dommageable à l'image d'Anelka et du PSG qu'à la liberté de la presse. Il faut relativiser et dédramatiser d'urgence. Nous n'avons exercé que notre liberté d'ironiser, et c'est peut-être ce qui pose problème, tant l'ordinaire du journalisme sportif témoigne d'une impressionnante absence de sens de l'humour et de capacité de distanciation (ainsi, Didier Roustand croit en avoir, ce qui indique la gravité de la situation). Le moindre écart fait alors l'effet d'une provocation, et nous voilà bien vite transformés en "dandies irresponsables", prêts à mettre bas un pilier de la démocratie.
Dans l'histoire, c'est à Nicolas Anelka qu'il faut enseigner les principes de la liberté de la presse et des obligations que crée le statut de joueur professionnel. Et il y a du boulot.

"Dans un football qui clame aujourd'hui la logique du fric et de la lèche pour ses acteurs, le risque pour ceux qui, comme à l'Equipe, réclament de vraies réponses à de vraies questions est de plus en plus grand".
. Nous voulons bien croire que la rédaction de L'Equipe abrite quelques idéalistes naïfs (on nous qualifie souvent comme tels, alors ils ne peuvent que nous être sympathiques, surtout s'ils dénoncent " la logique du fric et de la lèche"), mais la pensée que le fleuron du Groupe Amaury puisse être à la pointe de la critique et de l'investigation est un terrible aveu de la très relative virulence de notre presse spécialisée. La réponse de Dardevil dans les réactions, drôle et amère à la fois, résume si bien le malentendu considérable qui existe entre nous, que nous nous permettons de la citer intégralement:

Merci à M. Dominique Rousseau pour cette perle à graver de toute urgence sur le fronton du 4, rue Rouget-de-Lisle, 92793 Issy-les-Moulineaux:
"L'Equipe : le journal qui réclame de vraies réponses à de vraies questions".
Alors voici en vrac quelques questions que le journal du sport et de l'automobile à dû malencontreusement oublier en cours de route...
-"Faut-il persister dans l'organisation annuelle d'une course sur deux roues rongée par le dopage?"
-"Dans ce cas précis, éthique journalistique et intérêts commerciaux font-ils bon ménage?"
-"Faut-il fusiller les entraîneurs de foot, en prenant le risque de les voir remporter un peu plus tard la Coupe du Monde ou l'Euro?"
Voilà quelques questions parmi d'autres.
Pour finir, M. Rousseau cette question pour vous : Peut-on parler de liberté de la presse quand, depuis 40 ans, un journal règne quotidiennement et sans partage sur l'analyse sportive?

Reparlons encore de la liberté de la presse, ou plutôt de cette liberté que la presse ne prend pas de provoquer MM. Aulas, Perpère ou Darmon (plutôt qu'un jeune à problèmes ou un sélectionneur qui s'exprime avec difficulté), de "provoquer" la vérité sur le dopage, le G14 ou les faux passeports. Quelle courageuse enquête menée sans relâche par des journalistes d'investigation intraitables nous a révélé l'affaire en cours?!! Nous pouvons avoir l'impression que les policiers, les douaniers et les juges nous informent hélas bien mieux que les journalistes sur les réalités du sport-business. Il est vrai qu'il est difficile de "vendre" un produit et d'être libre d'en dire ce que l'on veut. Au fait, quelle "vraie question" Sébastien Tarrago allait-il poser à l'attaquant parisien?

Notre "défense" a fait un procès un peu général des journalistes sportifs, que vous-mêmes avez défendu globalement. Précisons qu'aucun de vos articles ne nous a jamais posé problème, et répétons que nous sommes sensibles au fait que vous ayez engagé le débat avec nous. Votre corporation n'est toutefois pas toujours défendable, et en particulier, nous n'énumèrerons pas les griefs que nous avons pu accumuler à l'encontre de votre journal (un jour, nous mettrons en ligne nos articles de la saison 97/98 sur l'équipe de France…). Comme beaucoup, nous entretenons avec L'Equipe une relation "d'amour et de haine", comme le sont toutes les relations de dépendance… Mais il faudrait un livre entier pour l'évoquer.
Nous nous mettons bien entendu à votre disposition pour tout droit de réponse que vous souhaiterez publier sur nos pages. Transmettez nos amitiés à Sébastien Tarrago.

Réactions

  • Vilain le 26/01/2001 à 00h00
    Je n ai decouvert les cahiers du foot que tres recemment, sur les conseils d un ami et je dois avouer que j aprecie enormement le decalage de ton et le contenu des articles proposes. Neanmoins etant un fidele lecteur de l Equipe depuis de nombreuses annees et vivant desormais a l etranger dans un pays qui ne dispose pas de quotidien sportif, je tiens a preciser que l Equipe a deja le grand merite d exister et meme si parfois quelques articles peuvent paraitrent insipides, il ne faut pas oublier que remplir un quotidien avec uniquement de l information sportive ne doit pas etre tous les jours une tache evidente. Je regrette egalement les autopromotions caracteristiques, par des couvertures surdimensionnees en periode de Paris-Dakar ou de Tour de France, mais encore une fois l Equipe existe et c est deja un merite essentiel. L apparition de nouvelles alternatives grace a Internet a permis de diversifier l information et c est tant mieux, mais personnellement, je trouve les deux sont parfaitement complementaires, non ?

  • houbahouba le 26/01/2001 à 00h00
    pour Plusloinque...


    Ok désolé j'avais pas vu le second degré! D'ailleurs ça m'étonnait un peu après ta fine analyse!

  • Amazigh le 26/01/2001 à 00h00
    oh Croisé "tu m'as enlevé les mots de la bouche" comme on dit chez nous mais quel plaisir de lire des vérités! Avant l'Equipe était en positiion de force pourquoi parce que ses journalistes débitaient leurs conneries (même leurs analyses des matchs étaient fausses la plupart du temps j'avais toujours l'impression de ne pas avoir vu le même match qu'eux!) sans que personne ne réagissent: pas de forum, pas de rubriques aux réservés aux lecteurs, rien...mais là, et c'est surement ça qui a poussé Monsieur Rousseau à réagir, les articles des CDF sont lus par un grand nombre de personnes mais surtout il y a la réaction des lecteurs parce qu'après tout c'est nous qui sommes au centre de tout, et ce n'est pas votre article qui a fait mal à l'Equipe mais les réactions sinon mr Rousseau vous aurait royalement ignoré alors sans vouloir faire de la lèche je dis merci aux CDF de publier nos articles sans censure parce que je ne suis que rarement d'accord avec vous meme si tout est écrit avec pertinence!

  • Guilmour le 26/01/2001 à 00h00
    Sans vouloir m'inscrire en porte-à-faux de vous tous, pour moi les CdF ne sont absolument pas opposés à l'Equipe, ils sont complémentaires, je lis les deux quotidiennement et je peux ainsi avoir, facilement une bonne analyse du PFF (Paysage Footballistique Francais).

    Par contre les sites d'informations brutes tels que Yahoo Foot ou F365 ne présentent pas beaucoup d'intérêt, car je fais parti de ces gens qui pensent qu'il doit y avoir un lien entre l'info et le public, que cette information doit être étudiée, analysée et reformée (mais pas déformée) et que ceci est le role des mé lien
    C'est pourquoi je félicite les CdF qui apportent un point de vue réellement différent et souvent drôle (ex:"Toshack est reparti avec les points") sur les événements footballistiques qui restent dans l'absolu, et il ne faut pas l'oublier, plutôt anecdotiques. Je les félicite également car je n'arrive toujours pas à savoir qui ils supportent!!! (et c'est assez rare pour des journalistes sportifs)

  • pmt le 26/01/2001 à 00h00
    Cher Guilmour, je ne suis pas tout à fait d'accord avec toi sur Yahoo Sport. Pour ma part, j'apprécie beaucoup plus les Cahiers du Foot mais Yahoo offre un condensé d'actualité de plusieurs sites (et bcp de l'AFP) ce qui me permet d'éviter de claquer 4,90 F/jour + 6 le lundi et le dimanche ou 10 le samedi avec un supplément que je lisais jamais... De plus, c'est par leurs liens que j'ai découvert les CdF. Et puis, ils sont quand même plus précis que les autres sites de Ragots en tous genres qui pululent. A part ça, bravo aux CdF et à Dominique Rousseau qui s'est montré au dessus du lien Autre précision sur laquelle je me suis déjà exprimé, FF et l'Équipe appartenant au même groupe de presse, j'ai souvent remarqué des articles et interviews trop proches pour ne pas être louches... partageraient-ils les mêmes plumes?

    Enfin, pour finir sur cette réaction bric-à-brac, une des réactions évoquait récemment le manque d'aspect positif dans les CdF en ce moment: il y a aussi des choses réjouissantes dans ce championnat... Vivement le prochain diaporama!

  • spaceman le 26/01/2001 à 00h00
    Je pense franchement que les CDF sont appréciés et lus tout de même par beaucoup de monde (à quand des stats) car je crois que le bouche à oreille marche pas mal, et même sur Yahoo il y a un lien CDF - c'est d'ailleurs comme ça que je les ai connus. Ils sont appréciés car nous avons une multitude de sources d'info concernant le foot, c'est même devenue une vraie auberge espagnole, nous avons le loisir de choisir et si nous revenons quotidiennement sur les CDF c'est bien parce que l'on peut comparer avec les autres médias et je suis persuadé que nous sommes une très grande majorité à lire aussi l'Equipe. CDF anti Equipe ? Je ne crois pas mais je ne dirais pas complémentaires, ils ne traitent tout simplement pas des mêmes sujets. Et franchement je ne suis absolument pas surpris que les gars de l'Equipe vous (NOUS !) lisent.

  • le nihiliste le 26/01/2001 à 00h00
    Désolé, je vais être long...Les journalistes sont des hommes comme tout le monde. Donc comme partout il doit y en avoir des pourris, opportunistes, arrivistes, paparazzistes, etc... tout comme il y en a qui font consciencieusement leur boulot. Simplement il serait bon que ces derniers arrêtent de prendre la défense des premiers qd ils se sentent attaqués à travers eux. D'accord, c'est un schéma simpliste que je décrit là. Ce que j'apprécierais c'est que des journalistes reconnaissent qu'il est facile de brandir le spectre de l'atteinte à la liberté de la presse dékisonpacontent... La vraie question est: EST-CE QUE LE FOOTBALLEUR EST UN HOMME PUBLIC (COMME LES HOMMES POLITIQUES) si oui, le grand Nicolas doit être puni. Si non qu'on foute la paix à ceux qui ont décidé de plus parler aux médias. Personnelement je pense qu'un footbaleur, c'est sur le terrain qu'il doit montrer l'exemple. Anelka n'est pas un joueur haineux sur le terrain, il est pas spécialement truceur par rapport à tant d'autre. Mais on sait d'où il vient...Une giffle? ça aurait pu être pire. Je pense qu'en aucun cas un journaliste n'a le droit d'exiger d'un footballeur une interview (à la différence d'un homme d'état qui doit rendre les comptes de l'argent public) sauf si ce dernier est exécrable sur le terrain et donc qu'il ne joue pas son role vis à vis de la société. Le sport, c'est sur le terrain, avant tout. Aller taquiner un type sachant qu'il vous déteste ça peut aussi CREER des pblmes, donc de l'info. Je dis pas que c'était le but de M. Tarrago (loin de la, j'ai pas revu les images, he he) mais on sait que ça existe dans le monde d'aujourd'hui. Aussi je m'abstiendrai de juger Anelka (surtout s'il a la bonne idée de pas marquer ce samedi contre Lens).

    Dardevil a expliqué dans le forum de l'article en question la réaction de M. Bureau aprés la victoire en 98. C'est sidérant de voir comment les journalistes et les footeux sont pas sur le même pied d'égalité. Petite nuance: Il est vrai que certains joueurs s'engraissent pas mal (dont Anelka). Mais au risque de se répéter, Jacquet n'avait plus qu'a changer de pays si on l'avait pas gagné cette CM. Ce lynchage vis à vis d'un type qui ne les a jamais ignoré (sauf qd ils avaient dépassé mille fois les bornes) explique peut-être pourquoi des gens comme Anelka ou Wiltord ne leur accordent aucun intérêt aujourd'hui. Moi je croyais pas en Jacquet et en son équipe. Mais bien avant le début de la CM j'ai été écoeuré par son sort et il m'est devenu sympathique...voire hilarant parfois. Maintenant, je lis l'Equipe magazine et suis souvent satisfait (notamment par rapport à ce qu'on lit dans les journaux locaux).
    Simplement, faut pas pousser, y'a certains journalistes "chiens de garde" qui s'auto-accaparent de ces missions, on croit réver...

  • Fair Play le 26/01/2001 à 00h00
    Je vais être moins long que mon prédécesseur.
    Didier Roustan? Journaliste sportif?

  • chris109 le viking le 26/01/2001 à 00h00
    Meme si Jacquet et son sous fifre ont gagne des titres, je crois qu'ils n'y sont pas pour grand chose. Ils se sont appropries la victoire alors que c'est le talent des joueurs qui est la principale raison (plus une chance fabuleuse, but en or, penalties, but dans les arrets de jeu). Bravo a l'Equipe d'avoir place Jacquet a l'endroit qu'il merite (franchement, composer une equipe avec les joueurs qu'il avait a sa disposition, meme moi j'y arriverais, c'est pas pour autant que je suis un bon entraineur)

  • julien le 26/01/2001 à 00h00
    Contre l'argument de la lien

    Les détracteurs de l'EdF, nous opposent souvent le même discours: la France a depuis 4 ans des couilles en or!
    Mais arretons nous 2 lien
    Les parades de barthez contre l'italie ou le portugal (en particulier) n'ont rien avoir avec la chance. Avoir de la chance c'est avoir un sort favorable. Le sort est une décision liée au hasard. Or Barthez ne promenait pas son chien quand le ballon lui a percuter la main. Non, il était justement là pour arreter les offensives adverses. Il a rempli son lien
    C'est pareil pour Raul, qui rate son péno. La responsabilité en revient au coach et au joueur et non pas a la chance! Raul ne brille pas par son efficacité aux pénos pourtant le coach lui a fait confiance (au lieu de Mendieta): Responsabilité du Coach. Raul n'a pas de mental et la fou dans les tribunes. C'était prévisible.

    En Quoi marquer a la 93 min et t-il plus chanceux qu'a la 51 min? L'arbitre annonce 4 min d'arret de jeu. Donc faut etre attentif pdt encore 4 min. toldo ne l'a pas été.


    Bref, qu'on arrete de dire n'importe quoi. Il n'y a pas de chance dans le foot! A part peut etre si une balle déviée heurte les deux barres et la tranversale avant de rebondir sur le gardien, puis retouche les 3 barres et entre de 2 millimetres dans les buts...

La revue des Cahiers du football