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Teenage kicks, day 27

Taylor invente le tacle à la chaine, et la gazette anglaise vous invite à monter en Bentley. En voiture!
Auteur : Gang of five le 28 Fev 2008

 

tk_cer_day27.jpg

Results

Blackburn-Bolton: 4-1
Liverpool-Middlesbrough: 3-2
Wigan-Derby: 2-0
Portsmouth-Sunderland: 1-0
Birmingham-Arsenal: 2-2
Fulham-West Ham: 0-1
Reading-Aston Villa: 1-2
City-Everton: 0-2
Newcastle-Manchester United: 1-5


Les cotes de la semaine

Pour le titre      
United (1) 1,84              
Arsenal (2) 2.38
Chelsea (3) 7
Liverpool (5) 142
Everton (4) 517  

Pour la relégation
Derby (20) 0.00
Fulham (19) 1,32
Birmingham (17) 2,93
Reading (18) 3,05
Bolton(16) 4,00

Cotes obtenues sur la moyenne des cotes Skybet, Unibet et Betwin.


La perf de la semaine

Sans doute pas l’équipe la plus sexy d’Angleterre, ni de près ni de loin... De même, pour ceux qui goûteraient les offensives échevelées, mieux vaut sans doute, en ce moment, supporter Villa ou Blackburn. N’empêche: la manière impitoyable dont les Toffees se sont débarrassés d’un de leurs principaux rivaux au City of Manchester Stadium, dans une rencontre au sommet dominée de bout en bout, permet a Everton de continuer à s’accrocher, semaine après semaine, à la quatrième place.


La lose de la semaine

On voit mal comment il serait encore possible, aujourd’hui, d’intituler un article "Pourquoi l’OM va perdre à Bolton", sans déclencher des crises de fous rires. En fait, on voit mal comment même écrire "perdre a Bolton" tout court, fut-ce en évoquant un club mosellan, tant les Wanderers semblent en difficulté cette saison. Une correction face à Blackburn – qui ressemble justement beaucoup a ce vers quoi tendait Bolton il y a encore trois ans –, et le spectre de la relégation continue de se rapprocher. Ce qui, en un sens, n’est que justice pour un club qui continue à faire jouer Ivan Campo.


Les cinq gestes de la journée

• La précision diabolique du pied droit multifonction de Kevin Davies qui, non content de propulser le ballon de l’égalisation au fond des filets à la sortie d’un contrôle de la poitrine, assure simultanément l’épilation au millimètre des sourcils de son adversaire au sol sans la moindre douleur.
• Le timing parfait, tant dans le saut que dans la trajectoire impulsée, de la tête arrière croisée aveugle de Joleon Lescott. Si on nous avait dit que Lescott émargerait a cette rubrique un jour…
• L’enchainement contrôle orienté dos au but en se retournant / centre sec et précis au deuxième poteau du Grenadin Jason Roberts, qui confirme les priorités défensives des Iles Vierges Américaines pour leur prochain match qualificatif pour la Coupe du monde 2010.
• La course rectiligne et effrénée le long de la touche de Morten Pedersen qui, une passe de trente cinq mètres plus tard, offre dès le coup d’envoi une première occasion de but à Blackburn.
• L’enchainement feinte de corps pietragallesque / centre millimétré de Cristiano Ronaldo en prélude au premier but mancunien. Bon, d’accord, c’était Habib Beye en face.


L’antigeste de la journée

 taylor_antigeste_1.jpg


La déclaration de la semaine

David Moyes, à propos de Yakubu: "Il n'a que vingt-cinq ans. Bon, OK, vingt-cinq ans nigérians, mais si c'est vraiment son âge, il a encore de belles années devant lui".


High Four

Voir Newcastle et vomir
logo_manchester.jpgNewcastle, c’est un peu l’Inter du pauvre. Forts d’un recrutement solide, les Magpies sont toujours bien placés aux pronostics d’avant-saison. Chaque année, on se dit que c’est peut-être la bonne… Le début du siècle présageait pourtant de beaux lendemains pour un club qui n’a pas connu le titre depuis 81 ans. Mais depuis trois ou quatre ans, on sait dès le Boxing Day que Newcastle luttera davantage pour son maintien.
52.291 spectateurs répondaient cependant présents à St James’ Park samedi après-midi. 52.291 fervents supporters qui ont vu leur équipe se faire manger par des Red Devils largement dominateurs. Rooney, Ronaldo et le revenant Saha ont fait le boulot. Quatre buts d’écart, donc, et dix sur le cumul des deux confrontations (6-0 à l’aller). Keegan n’a toujours pas gagné un match avec son équipe.


logo_chelsea.jpgLa concierge est dans l’escalier
Puisque Chelsea a préféré jouer (et perdre) la finale de Carling Cup (ex-Worthington Cup, ex-Coca Cola Cup, ex-Rumbelows Cup, ex-Littlewoods Challenge Cup, ex-Milk Cup – c’est dire un peu la classe mondiale), il est hors de question ne serait-ce que de mentionner les Blues cette semaine.


American Idol
logo_liverpool.jpgÀ sa signature l'été dernier, les plus circonspects des supporters scousers s'interrogeaient sur la capacité de Fernando Torres, jeune poupon aux joues encore roses, à se frotter aux rugueux défenseurs britanniques. Malgré des stats élogieuses avec l'Atlético, il semblait un peu tendre et le risque était réel de le voir finir en chair à Taylor. Passé un temps d'adaptation relativement court et une petite blessure à l'automne, El Niño a apporté un démenti cinglant. Les seules questions qui tiennent encore sont:
1) Est-il plus fort que Owen ou Fowler, ou bien de la veine des Dalglish et Rush?
2) Quelle chanson à sa gloire sera à la hauteur du niveau de jeu de la nouvelle idole d'Anfield?

Sur le terrain, il a réalisé samedi son premier triplé en rouge. Deux premiers buts en trois minutes de folie, qui l'auront vu d'abord répondre à l'ouverture du score de Boro par Tunçay, au terme d'un enchaînement d'erreurs de part et d'autre. Puis en conclusion d'un magnifique mouvement collectif des Reds, petit condensé de football offensif. En deuxième période, son troisième but en pivot est superbe d'équilibre et de positionnement, l'Espagnol se jouant comme un renard de Wheater et Schwarzer.
Relevons aussi le côté joueur de Javier Mascherano qui tente un "je te tiens, tu me tiens par la barbichette" avec Jérémie Aliadière. Javier n'a pas ri mais prend une tapette quand même. Jérémie gagne un carton rouge.
Les Reds, pas encore au point individuellement et collectivement, se feront peur tout seuls sur des approximations défensives (inédite charnière Arbeloa-Hyypiä!) puis en fin de match quand Downing réduira le score en solo. Mais par intermittence, on aura vu quelques mouvements qui laissent penser que si Liverpool n'est pas guéri, il semble sur la voie de la rémission.


Un après-midi de chien
logo_arsenal.jpgIl y a des jours comme ça où rien ne va. Pourtant, après l'humiliation subie contre le rival Manchester United en coupe d'Angleterre samedi et la domination stérile contre le Milan AC mercredi en Ligue des champions, les Gunners espéraient retrouver le chemin de la victoire à Birmingham chez des Blues mal classés.
Les joueurs d'Arsenal vont cependant être cueillis à froid dès la troisième minute par le fameux tacle en retard de Martin Taylor, qui brise sur le coup la jambe d'Eduardo. Les images de l'action seront censurées par la réalisation anglaise, mais l'état de prostration qui caractérise alors les Gunners et le temps mis pour évacuer Edouardo ne laissaient planer aucun doute sur la violence du choc.
Même si on est loin de penser, comme Arsène Wenger, que ce type d'action s'inscrit dans une stratégie globale d'intimidation anti-Arsenal, on est en tout cas obligé de reconnaitre que ses Gunners finissent assez souvent en chair à canon, tant leur jeu fait de déviations courtes et rapides est en rupture complète avec le style de jeu plus physique qui a traditionnellement cours en Premier League.

Après la stupéfaction et malgré des Blues réduits à dix, les canonniers, incapables de se reconcentrer durant la première mi-temps, encaisseront un premier but sur coup franc par McFadden. Au retour des vestiaires, les joueurs d'Arsenal retrouvent un semblant de liant grâce à un tonitruant Théo Walcott, et mènent rapidement au score puis manquent plusieurs fois l'occasion de se mettre à l’abri. Mais alors qu'Arsenal contrôle le match et se dirige vers une victoire méritée, l'arbitre accorde un penalty sévère à Birmingham suite à une erreur d'appréciation de Clichy dans les arrêts de jeu. En sa qualité de bourreau attitré, McFadden ne manquait pas l'occasion de frustrer une nouvelle fois ses adversaires et transformait le penalty.
Au final, Birmingham réussi le tour de force d'imposer deux nuls aux Gunners, après le premier obtenu à l'Emirates, en ayant tiré cinq fois aux buts pour inscrire trois buts dans les deux rencontres alors que les coéquipiers de Fabregas auront dans le même temps frappé quarante-cinq fois pour le même nombre de réalisations.



bentley_TK27.jpgDécouverte : David Bentley

C’est écrit, l’Angleterre va remporter la prochaine Coupe du monde. Elle a enfin résolu le douloureux problème de la succession de l’irremplaçable toucher de soie qui avait anime son flan droit durant la dernière décennie. Finies, les bouffées de dépression sévère a la vue des prestations d’un joueur aussi invisible et triste que sa ville est ennuyeuse et triste (Stuart Downing); finies, les crampes d’estomac consécutives à l’impression de s’être fait survendre par une émission de téléachat une supposée perle qui a débuté une trentaine de matches en trois ans (Shaun Wright-Phillips); finies enfin les irrépressibles envie de destruction de l’écran HD devant les prestations benarfesques millésime 2006 de joueurs programmés pour échouer à la sortie de tentatives d’action illisibles (Jermaine Pennant). David Beckham est mort (c'est à dire qu'il vit a Los Angeles), vive David Bentley.

Bentley est un paradoxe. Balle au pied, son talent de provocation allié à sa légèreté et sa fraîcheur font merveille. Le gamin fait penser à un autre disparu mancunien: c'est une sorte de Lee Sharpe qui aurait réussi. À l'opposé, il gère sa carrière avec intelligence et un sang-froid reptilien. Hors du terrain, Bentley est aussi fantaisiste que Didier Deschamps.


Congestion chez les Gunners
Faisant rendre gorge au mythe tenace selon lequel le plus grand entraineur alsacien du monde, obsédé par le scouting de nouvelles perles de treize ans moldaves ou centrafricaines, ne formerait pas de joueurs anglais, Bentley est issu de l’académie d’Arsenal, qui lui donnera sa chance très tôt (seize ans en FA Cup). Problème: à cette époque, le club nord-londonien est saturé de milieux excentres talentueux. Malgré leurs cheveux blancs, Pires et Ljungberg continuent alors de marcher sur l'eau. D'autant qu'Alex Hleb est en passe de faire découvrir au monde éberlué sa magnificence.

Plutôt que de subir le syndrôme McManaman et de croupir éternellement sur le banc à cause d'une concurrence exacerbée, Bentley choisit – à l'inverse de Wright-Phillips – la solution assumée du départ. D’abord en prêt a Norwich (sous les couleurs desquels il reste a ce jour l’unique joueur de l’histoire à avoir passe un triplé au United de Ferguson), puis en transfert définitif dans une équipe qui lui va comme un gant. Blackburn est en effet un cocon idéal pour Bentley, pour sa recherche constante de la construction offensive et de l’élaboration de ses circuits préférentiels sur les cotés.



Tout au plus regrettera-t-on une tendance marquée à assumer la dimension "gestion prévisionnelle de ma carrière" qui le conduit à refuser à la dernière minute, et à la grande fureur de son coach (de toute manière réputé pour être en permanence en colère), sa sélection pour une phase finale en équipe des moins de 21 ans, de manière a pouvoir gérer la saison suivante, voire son entrée programmée en A. Mais encore une fois, pour la grâce d’un jeu aussi épuré (Dennis Bergkamp à vingt ans) et d’un talent aussi évident, l’Angleterre doit pardonner. Et se laisser éblouir.



utaka_tk27_1.jpgAncien combattant: John Utaka

C’est une bonne situation, ça, joueur de football?
"Mais vous savez, étant Nigérian mais être humain avant tout, je ne crois pas qu'il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Moi, si je devais résumer ma vie, aujourd'hui, avec vous, je dirais que c'est d´abord des rencontres, des Gervais Martel, des Emmanuel Cueff qui m'ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j'étais seul chez moi, au Qatar. Et c'est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée. Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, l’aile de pigeon, le retourné acrobatique, parfois on ne trouve pas le bon gardien en face, je dirais le Damien Gregorini qui vous aide à marquer et à avancer.

Alors ce n'est pas mon cas, comme je disais là, puisque moi, au contraire, j'ai évolué aux côtés d’un Alain Rochat ou d’un Dagui Bakari. Et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie, car j’ai failli y rester. Et finalement, quand beaucoup de gens me disent aujourd'hui "Mais comment fais-tu pour être aussi irrégulier?" eh bien je leur réponds très simplement, je leur dis: "C'est ce goût de la paresse", ce goût donc, qui m'a poussé autrefois à signer deux triplés successifs, à Gerland et contre Lens, et qui m’a encouragé cet été à entreprendre un transfert à Portsmouth, mais demain, qui sait? Peut-être simplement à me mettre au service de Jermaine Defoe, à faire le don, le don de soi".
(© Edouard Baer)



hopital_TK27_1.jpgScary Monsters (and Super Creeps)

Il y a l’art et la manière de faire un tacle. Il y a les jolis tacles, ceux qui sauvent l’équipe d’un but probable, ceux qui offrent la possibilité d’un contre, ceux qui donnent de l’air. Et il y a les autres, ceux qui blessent, ceux qui exposent à des sanctions, ceux qui amènent des coup francs dangereux.

À en croire Martin Taylor, son tacle devait préalablement se ranger dans la première catégorie: "[Il] est inflexible sur le fait qu’il n’y avait pas d’intention méchante dans le tacle et est très affecté par la gravité de la blessure d’Eduardo", indique le communiqué du club. La position de Birmingham n’est pas surprenante. Leurs propos ne peuvent donc pas constituer une preuve de bonne foi. Interrogeons-nous alors sur le sort de la victime, qui révélait avoir eu "un trou noir" après le choc : "Je pardonne Martin. (…) Je sais qu'il ne l'a pas fait exprès. J'étais horrifié quand j'ai vu ma jambe au début et je me suis demandé comment tout cela finirait. Mais je reviendrai". Même son de cloche chez Slaven Bilic, sélectionneur de la Croatie et privé de son meilleur buteur pour l’Euro: "Taylor est un joueur fair-play et il voulait jouer le ballon. Un autre jour, Eduardo aurait pu recevoir un tacle plus violent et s'en sortir indemne. Mais samedi, tout est allé de travers et Eduardo sait que Taylor ne l'a pas fait exprès."

Aucune mauvaise intention
Mais si l’indulgence est de mise chez les Méditerranéens, un Rhénan avait le sang chaud après le match: "Le tacle était horrible et ce gars-là ne devrait plus jamais jouer au football. (…) Vous ne pouvez pas accepter cela sur un terrain de football. (…) Eduardo est un garçon fantastique et le voir dans une telle douleur et voir sa jambe avec cette forme a été terrible pour les joueurs". À froid, il est revenu sur sa réaction: "J’estime que mes propos envers Taylor sont excessifs. (…). Il n’avait aucune mauvaise intention et est très affecté par la gravité de la blessure d’Eduardo". Un retournement de veste digne d’Éric Besson.

Toujours est-il que le joueur souffre d’une double fracture tibia-péroné et qu’il lui faudra environ neuf mois pour revêtir à nouveau le maillot des Gunners. Dès lors, comment punir Martin Taylor? La punition automatique de trois matches suspensifs doit-elle être alourdie? "La blessure d'Eduardo donne l'impression au tacle d'être mauvais, mais on voit des tacles de la sorte presque toutes les semaines", reprend Bilic. Si on suit sa logique, le tacle était donc correct sous prétexte qu’il est devenu banal. Cruel sort pour le Croate…
Certains s’accordent à dire que Taylor ne devrait plus rejouer tant qu’Eduardo lui-même n’a pas refoulé un terrain. D’autres prônent une punition mesurée. La FA tranchera ces jours-ci.

Réactions

  • Tricky le 02/03/2008 à 22h02
    pavlovitch
    dimanche 2 mars 2008 - 10h24
    @ rom's, mon pauvre ami tu es à côté de la plaque. La Premier est non seulement le meilleur champonat européen à l'heure actuelle, mais elle est d'ores et déjà supérieure en qualité de jeu, spectacle, et technicité, à la Champion's League. Portsmouth en Ligue 1 se qualifierait sans problèmes pour la LdC et ridiculiserait sans doute Lyon en confrontation directe. Quant aux meilleurs joueurs anglais, ils jouent de plus en plus en dehors des gros clubs, mais ça ne les empêchera pas de former une des meilleures sélections pour les prochaines compétitions internationales. Bref, le championnat anglais est au-dessus des autres, résigne toi. Et passe le message à tes potes.
    ---------
    Le probleme de la caricature, c'est toujours la mesure.

  • rom's le 02/03/2008 à 22h32
    > Tricky

    Assez d'accord au final (sur Lee Sharpe, quoi). Disons que pour moi trop de références tue la référence. Parce que réussir à citer Downing, Pennant, Wright-Philllips, Sharpe, Beckham, Pires, Ljunberg, Hleb, Bergkamp, McManaman et même Deschamps pour situer le niveau, le style, l'historique et l'évolution de la carrière d'un joueur comme Bentley (qui est pour moi un très bon Espoir du foot anglais, mais (donc) probablement pas un futur crack mondial), ça me paraît un tantinet exagéré.

  • Tricky le 02/03/2008 à 23h18
    OK pour le name dropping.

La revue des Cahiers du football