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LA GAZETTE DE LA LIGUE 1 // ÉPISODE 3

Auteur : Le Feuilleton de la Ligue 1 le 25 Août 2009

 

Les résultats de la journée

Bordeaux-Nice : 4-0
Montpellier-Sochaux : 2-0
Monaco-Lorient : 2-0
Le Mans-Nancy : 2-1
Rennes-Marseille : 1-1
Lille-Toulouse : 1-1
Saint-Étienne-Boulogne : 0-1
Grenoble-Lens : 1-2
Valenciennes-Paris SG : 2-3
Auxerre-Lyon : 0-3



Les 5 gestes de la journée

• Le sombrero du talon réussi par Joris Marveaux, joyau de technicité un peu vain, le ballon finissant dans l'anonymat d'une sortie de but.
• La "Hernan Crespo" de Boumsong, qui en profite pour redonner un certain cachet aux couleurs lavalloises.
• La claquette réflexe de Douchez, qui dévie la volée placée à bout portant de Morientes.
• Le but de la semaine chorégraphié par les Harlem Globe Trotters toulousains M'Bengue et Braaten.
• La frappe de la semaine expédiée par Mater sous la barre de Coupet. Et Mickaël Landreau? Il en bave pas mal en rééducation, mais il se marre bien quand même, merci.


Les 5 antigestes de la journée

• Le mélange fibreux chaussettes-protège-tibia-chair, minutieusement prélevé par MBia sur Leroy, fort heureux de conserver l'usage de sa jambe après l'intervention du "Chirurgien de Yaoundé".
• Le crochet cafouillé par Mandanda au nez et à la moustache de Bangoura et Domenech.
• La double ration de gloubi-boulga servie par Bong et Ndy Assembe à Erding, rassasié.
• La faucheuse à retardement de Ducatel, juste pour humilier les Verts en les battant à Geoffroy-Guichard avec l'une des plus petites équipes de l'histoire de la Ligue 1 réduite à dix.
• La piteuse détente de Coupet, décalé sur le coup franc de Siaka Tiene. Ils auraient pu essayer plus tôt, ça aurait fait un super tube de l'été ça: "Coupet décalé, sur le coup franc de Siaka Tiene".



La bannette

L'humilité à la parisienne
"Ainsi engagée sur la voie royale du succès et de l'humilité, il ne peut rien arriver de grave en ce moment au PSG" (Le Parisien).

Le tautologue
José Anigo (om.net) : "On a résisté aux assauts rennais même si on a parfois fait le dos rond".

Le sursis à exécution
Alain Perrin (Le progrès) : "Il faut encore un peu de temps avant de remettre en question la direction et la gestion du club".

L'entraîneur à deux doigts d'avouer qu'il joue le titre
Laurent Blanc (girondins.com) : "Nous jouons les matches pour les gagner".

Le délit de sale goal
Didier Deschamps (sport.fr) : "Il faut être lucide et réaliste, c'est un point de pris sur la physionomie du match".

La hausse des prix locatifs sur le littoral
Philippe Montanier (rmc.fr) : "On s'est beaucoup dépensé mais encore une fois le moindre grain de sable se paye cher".

L'équipe qui a les mêmes excuses depuis trente ans
Alain Perrin (football.fr) : "On a eu un manque de réussite à l'image du poteau, il faut continuer à travailler".

L'équipe qui ne fait que la Coupe et la moustache
Frédéric Antonetti (yahoo.fr) : "Nous on ne s'occupe pas des favoris".

Le match au profit de Handicap International
René Girard (rmc.fr) : "Pendant quarante-cinq minutes, Stéphane Dalmat et Marvin Martin ont joué dans un fauteuil!"

Le ciseau retourné
Olivier Echouafni (lequipe.fr) : "Le premier but nous a coupé les pattes".

Les naufragés
Alain Perrin (football.fr) : "On ne peut pas reprocher aux joueurs de ne pas avoir mouillé le maillot".

Le joueur qui n'a pas trouvé son complément
Rod Fanni (foot01.com) : "Je suis déçu car on sentait qu'on maîtrisait quand même le sujet".

Le joueur al dente
Marouane Chamakh (L'Équipe) : "Personnellement, je finis le match carbo".

L'entraîneur qui se pose des questions que personne ne se pose
Pablo Correa (goal.com) : "Je me demande quel est le vrai Nancy".

Le coach vestimentaire
Guy Lacombe (lequipe.fr) : "Il y a beaucoup de progrès à faire dans la tenue du ballon".


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Tiens, Daniel Braaten nous rappelle une vieille blague.

Les tops

Le top FBI portés disparus
1. Gennaro Bracigliano (goal.com) : "Je n'ai pas reconnu mon équipe".
2. René Girard (rmc.fr) : "En première mi-temps, ce n'était pas nous sur le terrain".
3. Francis Gillot (rmc.fr) : "On n'a joué qu'une mi-temps. On a complètement disparu en seconde mi-temps".
4. Mathieu Valverde (goal.com) : "À Rennes, on s'est trompé, on est passé à côté, on n'y était pas".

Le top Run Baby Run
1. Gennaro Bracigliano (L'Équipe) : "Le Championnat, ce n'est pas un sprint, mais une course de fond".
2. Frédéric Antonetti (yahoo.fr) : "Le championnat est un marathon et il faut croire en nous et en nos chances".
3. Jean-Guy Wallemme (rmc.fr) : "Il faudra s'en servir dès samedi contre Rennes qui est une grosse écurie".



Les minutes

La minute Marouane Chamakh de Marouane Chamakh
"Il faudra attendre le 31 août pour être certain de mon avenir, mais la proposition de West Ham ne m'intéressait pas. Je reste sur ce que j'ai dit, à savoir que la balance penche largement en faveur de Bordeaux". (L'Équipe)

La minute onaniste de Patrice Laffont
"[Devenir président de l'OM], ça c'est vraiment mon rêve. J'avais même écrit une lettre à M. Robert Louis-Dreyfus, je n'ai jamais reçu de réponse. Je pense qu'il avait, le pauvre, autre chose à faire. Ce n'était peut-être pas complètement sérieux au niveau du management, mais au niveau de la notoriété et de la connaissance du foot, les Marseillais savent combien j'ai bassiné tout le monde à la télé avec mon amour de l'OM, j'aurais été plus médiatique que celui qui y est en ce moment. Au niveau de l'image, j'aurais été un président plus glamour que lui". (RMC)

La minute solidaire de Roland Romeyer
"Non, moi, je m'sens coupable de rien du tout; je m'suis regardé devant la glace encore ce matin (...) On a confié les clefs à des responsables, qui s'appellent donc, Vincent Tuong-Cuong, Directeur général, et qui s'appellent Damien Comolli, Directeur sportif". (Jour de Foot)


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Non, rien.


Le record débattu

Il y a des records dans le football dont on sait qu'il ne seront jamais battus. Les 13 buts de Just Fontaine en une Coupe du monde, les 299 buts de Delio Onnis, les 7 buts en un match d'André Abegglen (FC Sochaux le 25 Août 1935 contre Valenciennes FC) et de Jean Nicolas (FC Rouen le 1er Mai 1938 contre Valenciennes FC), ou les 4,51 buts de moyenne de la saison 1933/34.
Ces derniers mois, ce sont deux records qui sont tombés en L1. Marseille a interrompu sa série de victoires à l'exterieur après 9 succès consécutifs, Bordeaux poursuit un enchaînement inouï de 14 victoires, 16 toutes compétitions confondues. Et l'on parierait bien une pièce sur le fait que ces records là pourraient changer de main régulièrement dans les années à venir. L'écart entre les habitués de la C1 et le reste du monde se creuse à mesure que les droits télés se concentrent (1), et c'est la glorieuse incertitude du sport qui vacille.

gaz03_points.jpgPour voir le phénomène poussé à outrance, il suffit de regarder de l'autre côté de la Manche. La Premier League entretenant une relation prophétique avec le reste de l'Europe, on peut s'attendre à ce que d'ici quelques années, le champion atteigne l'ahurissant total de 90 points, comme Manchester cette année. Ou pire, qu'à l'image de Chelsea, le troisième accumule 83 points, à un point près le nombre de points gagnés par l'OL 2006, celui qui avait "écrasé" le championnat. L'an dernier en Premier League, le maintien s'est joué à 35 points. La recette pour un championnat prévisible est connue, et les cuistots qui dirigent la L1 sont fiers de leur toque.

(1) De 1 pour 2, le rapport entre les droits attribués au premier de la L1 et ceux attribués au dernier est passé à 1 pour 3, ce qui valut à Frédéric Thiriez cette déclaration pleine de bon sens: "Notre système de répartition est très proche de celui des Anglais: ça montre bien qu'il est bon".


5 consolations pour l'AS Saint-Étienne

• Ça aurait pu être Boulogne-Billancourt et non Boulogne-sur-Mer.
• Le buteur aurait pu être Éric Cubilier et non Alexandre Cuvilier.
• Le match aurait été donné perdu 3-0 si l'envahissement de terrain avait eu lieu plus tôt.
• Boubacar Sanogo rappelle déjà Ibrahima Bakayoko, mais il est beaucoup plus jeune que lui.
• Il n'y a pas de nouvelle crise au sein du club, c'est la crise de la saison dernière qui est restée.



Les observations en vrac

• Ils sont bien gentils, les Bordelais, à enfiler les victoires comme des perles, mais ce n'est pas comme ça que le championnat va être relancé, bon sang.
• À en croire Xavier Giraudon et William Ayache au commentaire sur Foot+, quatre gardiens se sont succédé dans les buts montpelliérains en seulement quatre-vingt-dix minutes: Yourdrène, Jouardin, Jourdrène et Jourdren.
• La fin du mois d'août approche, et Hatem Ben Arfa n'est toujours pas rentré de vacances.
• Alain Perrin va encore être surnommé "passera pas l'hiver", et l'hiver arrive tôt dans le Forez.
• On peut savoir quel pari Olivier Rouyer a perdu pour qu'il s'inflige une séquence entière de Canal Football Club sur une action de Luyindula?
• Qu'est-ce que le Paris Saint-Germain va bien pouvoir inventer pour gâcher son bon début de championnat, cette fois?
• Un jour, le service des sports de Canal cessera le clonage pour se métisser. Alors, les joueurs d'origine africaine cesseront de s'entendre appeler Aime Bengue, Aime Bia ou Aime Vila pour retrouver leurs patronymes originels.
• Quand Bordeaux, Lyon et Marseille voudront bien arrêter d'envoyer des messages à la concurrence, on pourra peut-être enfin recevoir de nouveau notre courrier à l'heure.


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"Esprit, es-tu là? Si tu es là, manifeste-toi. Esprit, es-tu là? Si tu es là, manif... Oh, trop content de faire ta connaissance, esprit! C'était juste pour savoir si tu comptais revenir habiter le corps d'Hatem, genre cinq minutes par match, quand la conjonction astrale le permettra, sans vouloir te commander..."


Les mots du foot

Mevlut Erding l'a dit après Valenciennes-Paris: "Tout le monde adhère au discours du coach". L'occasion de revenir sur cette formule toute faite souvent à la fête.

Adhérer au discours de l'entraîneur – Consigne donnée par le capitaine de l'équipe lorsqu'il se transforme en directeur des ressources humaines chargé de faire appliquer la politique d'entreprise. Le joueur qui n'adhère pas risque de se détacher du groupe.

Exemple
"On a adhéré au discours de l'entraîneur, mais on n'a jamais décollé de la zone de relégation" (un joueur troyen).
Variantes
"Raymond Domenech nous a scotchés quand il a dit que Govou serait titulaire" (Patrick Vieira). "Juninho est un peu collant, parfois" (Alain Perrin). "Mon discours n'a jamais collé" (Jacques Santini). "Le discours de Le Dizet était tellement lisse qu'on a glissé jusqu'en Ligue 2" (Frédéric Da Rocha). "J'ai adhéré à l'UMP" (Paul Le Guen).

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Vu du forum : De l'éducation

=>> borianvis II – "Café Au petit Marseillais"
Réinventons l'exercice des comptes rendus de match, en revenant sur la performance individuelle des joueurs marseillais contre Rennes. Convoquons Jean-Jacques Rousseau pour qu'il nous livre ses appréciations.

Mandanda : "Après de longues angoisses, au lieu du désespoir qui semblait devoir être enfin mon partage, j'ai retrouvé la sérénité."
Bonnart : "La jeunesse est le temps d'étudier la sagesse; la vieillesse est le temps de la pratiquer."
Diawara : "C'est un excellent moyen de bien voir les conséquences des choses, que de sentir vivement tous les risques qu'elles nous font courir."
Heinze : "Ainsi nous tenons à tout, nous nous accrochons à tout..."
Taiwo : "Il faut rougir de faire une faute, et non de la réparer."
Cissé : "Il n'y a pas de véritable action sans volonté."
Abriel : "Avec d'autant d'esprit, il eût pu réussir à tout ; mais l'impossibilité de s'appliquer et le goût de la dissipation ne lui ont permis d'acquérir que des demi-talents en tout genre."
Cheyrou : "A quoi bon chercher notre bonheur dans l'opinion d'autrui, si nous pouvons le trouver en nous-mêmes ?"
Ben Arfa : "Au lieu de soulager mes maux, je n'ai fait que les augmenter en m'exposant à votre disgrâce, et je sens que le pire de tous est de vous déplaire."
Brandao : "Ce sont les grandes occasions qui font les grands hommes."
Niang : "Cet être qui veut et qui peut, cet être actif par lui-même, cet être enfin, quel qu'il soit, qui meut l'univers et ordonne toutes choses, je l'appelle Dieu."
Mbia : "Il faut parler tant qu'on peut par les actions, et ne dire que ce qu'on ne saurait faire."
Morientes : "Avant de songer à détruire un usage établi, on doit avoir bien pesé ceux qui s'introduiront à sa place."



L'envers du championnat

Le début de saison enchanteur de l'AS Saint-Étienne se poursuit dans l'allégresse de Geoffroy-Guichard, qui se remémore les grandes heures de 1983/84, la saison de l'accession en Division 2 qui avait suivi tant d'années de disette au plus haut niveau. Les hommes d'Alain Perrin démarrent même mieux que leurs légendaires aînés, dont la copie était entachée d'un point après la troisième journée. Les Verts font d'autant plus forte impression qu'ils surmontent l'imposant obstacle qui se dressait sur leurs terres, l'épouvantail boulonnais, en dépit d'une supériorité numérique qui n'a pas été en mesure de contrarier le sort.


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Incapable de contenir son enthousiasme alors que trois petites journées se sont à peine écoulées, le public stéphanois vient chambrer les infortunés visiteurs.
Le week-end prochain, les Boulonnais frotteront une fois encore leurs ambitions à un cador de ce début de saison, l'AJ Auxerre, qui réussit pour l'heure l'exploit de devancer les Verts au classement, lesquels seront au cœur du choc de la prochaine journée face à Grenoble, un autre cador de l'été.

Réactions

  • Jean-Noël Perrin le 25/08/2009 à 12h11
    Une réaction par rapport à l'éventuelle "premierleaguisation" de la L1 : je ne suis pas sûr que l'évolution, en terme de total de points, de ces deux dernières saisons, soit uniquement due à une différence de répartition des droits TV. Je crois que d'autres équipes ont déjà eu des effectifs aussi bons (par rapport à ce qui constituait la norme en D1/L1 à l'époque) que ceux de Bordeaux et l'OM ces deux dernières saisons tout en se ratant lamentablement, je pense forcément à Paris, Monaco ou l'OM des années 2000. D'autant que le nombre de points atteint par les grosses équipes n'est pas si monstrueux que ça, y compris par rapport aux années 90 où la L1 était à 18 clubs ce qui modifiait forcément le total (d'ailleurs mettre la saison 01-02 dans le tableau, c'est oublier ce détail...).

  • Cyril trolle... le 25/08/2009 à 15h29
    Il n'y a pas que la répartition des droits télés qui est en cause dans l'instauration du big 4 et d'un éventuel gros 3. La participation régulière en ligue des champions est aussi un facteur aggravant. Comme le précise Jean-Noël, le PSG et Monaco, notamment, ont raté le bon train. Idem en Angleterre où Newcastle et Leeds ont payé au prix fort leurs dérives financières, et Everton (comme Toulouse il y a 2 ans) a aussi raté une opportunité de perturber l'ordre établi en ne passant pas le tour préliminaire il y a 5 ans (date d'apparition du big 4).

    Maintenant, le big 4 est tellement bien installé que seule une équipe à gros budget comme City peut les perturber (Martin O'Neil fait des miracles, mais Aston Villa n'a pas un banc assez large pour tenir tout un championnat). Le hic, c'est que même pour tous les millions du monde, peu de joueurs ont envie d'évoluer dans un club qui ne participe pas régulièrement à la Ligue des Champions...

  • arnaldo01 le 25/08/2009 à 16h45
    Et meme si ils arrivent à finir quatrièmes, ils devront jouer un tour préliminaire où ils ne seront pas tete de série. Et c'est pareil pour tous les clubs anglais et aussi pour tous les clubs francais hormis l'OL, l'Om et les girondins.
    Je pense donc que si l'OL, l'OM et les girondins finissent aux trois premieres places cette saison, ce sera partie remise chaque année jusqu'à ce que la LDC change de formule.

  • Qui me crame ce troll? le 25/08/2009 à 16h55
    Est-ce qu'il y a un Gross Drei en Allemagne? Est-ce qu'en Italie c'est un Grande Quattro? Bon je sais qu'il y a l'histoire de la Juve et de Milan qui gâche un peu tout... En Espagne, c'est un Grandos (oui je suis nul en espagnol) Quadro, je n'ai pas l'impression.
    Donc ce n'est pas parce que ça marche en Angleterre et vaguement en France que c'est le cas partout. Si?

  • Jean-Noël Perrin le 25/08/2009 à 16h58
    Pas sûr que l'OM et Bordeaux auraient été tête de série s'ils avaient du jouer le tour préliminaire. En regardant le classement européen, je crois même qu'ils auraient plutôt du affronter un "gros", sauf coup de chance au tirage. Et pas sûr non plus qu'une équipe comme Paris ou Lille (en particulier ces derniers qui ont rarement été en-dessous de ce qu'on attendait d'eux en Coupe d'Europe) soit nettement en-dessous de ces deux équipes sur ce point-là.

  • Jean-Noël Perrin le 25/08/2009 à 17h03
    Je répondais à arnaldo.

    Et +1 sur Quim'cram'c'troll, l'équation "dans chaque pays il y a un Big x, avec x qualifiés pour la C1" est relativement fausse en dehors de l'Angleterre et peut-être de la France dans les années à venir. Bon faut dire que le nombre de qualifiés pour la C1 dans les autres pays que les cinq premiers au classement UEFA a pas mal changé ces dernières saisons avec la progression de la Russie et de l'Ukraine, la chute libre des Pays-Bas...

  • Hurst Blind & Fae le 25/08/2009 à 17h10
    En Italie, la Juve l'Inter et Milan y sont, en Espagne c'est Real, Barça, Séville, j'ai plutôt l'impression que les Big X se forment progressivement, et que c'est à partir de 3 ou 4 qualifs consécutives qu'on devient indélogeable. Ce qu'a réussi Séville, la Roma s'étant écroulée dans une situation comparable.
    Comme dit arnaldo, si on a le même trio en tête pour la 3e année consécutive, on sera en voie de solidification quasi-définitive.

  • arnaldo01 le 25/08/2009 à 17h11
    OM : 50.1 pts (aurait été tete de série)
    FCGB : 42.18 pts (aurait été premier non tete de série, c'est pour ca que j'ai dit qu'a partir de l'an prochain ils seraient tous les trois tete série grace à leur participation de cette année)
    PSG : 37.18 pts
    LOSC : 33.68
    DOnc si les parisiens ou lillois finissent troisieme du championnat, ils seront loin d'etre tete de serie.
    Pour ce qui est des autres pays (allemagne, italie, espagne), les clubs vont plus loin que les notres en coupe d'europe donc si ils ratent des éditions de la LDC (milan, bayern, roma cette année), ils sont encore dans les deux premiers chapeaux et ont donc une plus grande chance de se qualifier pour les 8èmes et ainsi faire des très bons parcours.

  • Gouffran_du_collier le 25/08/2009 à 17h18
    Il me semble que , la juve revenue, on retrouve un shéma où Milan, Inter, Roma et Juve mènent la danse...
    L'Espagne c'est particulier, parce que dérrière Barça et Réal, c'est un peu cyclique entre Villaréal, La Corogne, Athlético ou Valence...
    Tout ça pour dire que dans tous les championnats , même en Allemagne, y a les mêmes 4 à 6 équipes qu'on retrouve en Ldc chaque année, ce qui n'empêche pas une surprise de temps en temps...
    La seule différence de la premier league, c'est l'écart entre le Big4 et les autres mais sinon...
    Je vois plutôt d'un bon oeil le fait qu'un gros 3 ou 4 se dessine en Liguain (je dirais sûrement pas pareil si je n'étais supporter de l'un de ces clubs), rapport à la Coupe d'Europe surtout...

  • Gouffran_du_collier le 25/08/2009 à 17h20
    Hurst m'a devancé...
    Sinon je remplace La Corogne par FC Séville... Ca évite à mon message d'avoir cinq ans de retard...

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