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Diaporama, la 27e journée du championnat

Les 2-1 sont à la mode cette saison, ceux remportés à l'extérieur comptent double. Surtout pour Lens qui reprend ses distances avec les autres prétendants. Lucas, Rothen, Pédron, Cissé ont fait du mal aux filets…
le 24 Fev 2002

 

Montpellier-Lens: 1-2
Les Lensois se sortent bien de leur déplacement dans l’Hérault. Car malgré le résultat, la performance des montpelliérains a été finalement plus convaincante que la leur: la première période est ainsi marquée par de jolis mouvements collectifs des Montpelliérains, marqués du sceau d’une technique très probante. Cissé ou Mansaré font preuve de beaucoup de virtuosité, récompensée par un penalty sifflé après dix minutes de jeu pour une faute sur le deuxième. Las, Barbosa ne fait pas preuve d’autant de talent, et sa frappe de l’intérieur du droit finit très largement à droite de Warmuz. Les Nordistes procèdent quant à eux par des contres affûtés, et c’est sur l’un d’eux, à une minute de la pause, que Diouf place une frappe puissante en pivot, hors de portée de Riou.
La deuxième mi-temps est moins convaincante pour les hommes de Mézy, même si un contre de Mansaré fait passer un frisson dans le dos des leaders et de Stéphane Pédron, qui se rend coupable de deux fautes d’anti-jeu consécutives sur l’attaquant adverse. A la 65è minute, le même Pédron permet à ses coéquipiers de respirer un peu en envoyant une belle frappe des trente mètres dans les filets montpelliérains. Mézy décide de faire rentrer Doumeng, qui apporte une touche de fantaisie supplémentaire sur la pelouse. Néanmoins, les attaques des locaux restent trop désordonnées pour être dangereuses. A une minute de la fin, Mansaré s’aide de la main pour passer la balle à Fugier. L’arbitre laisse le jeu se dérouler, et le milieu de terrain montpelliérain expédie une sympathique volée dans la lucarne. Mais c’est bien les leaders qui engrangent trois points supplémentaires.

Observations
Si le public montpelliérain est si peu nombreux pour voir son équipe, c’est parce qu’il en a marre de voir des buts de la main à la dernière minute.
A Montpellier, on se console comme on peut d’avoir laissé partir Laurent Robert (cf. image de son frère, qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau)

Lorient-Troyes : 1-0
N'enterrons pas plus précocement les Lorientais que nous ne consacrons les Lensois, ou alors, laissons-les mourir de leur belle mort, comme en 99. Ils auront dû essuyer une série d'occasions de Boutal ou Loko en début de rencontre, sans parvenir à organiser le danger autour de la surface adverse. Ils essaieront ensuite de mettre le feu aux poudres par des frappes lointaines, mais le boulet de canon de Bouzin, qui s'est fait un look à la Töfting, et le corner direct de Keita s’avèrent infructueux du fait de deux bons arrêts de Cassard.
La seconde période voit enfin Feindouno, Darcheville et Keita interpréter des partitions d'attaquants. Après un joli geste technique, ce dernier voit ainsi sa frappe trop détournée pour connaître une fin heureuse. Mais c'est l'ex-Bordelais qui est gratifié d'une déviation malencontreuse de Svensson, qui finit au fond des filets. La récompense d'une belle prestation, qui fait entrer les Bretons dans la dernière demi-heure avec un précieux avantage. Leurs nouvelles tentatives, ne permettront cependant pas d’aggraver le score. Les hommes de Perrin doivent en revanche se remettre à gagner après trois revers consécutifs s’ils veulent recoller au peloton européen.

Observation
En gastronomie comme en foot, le Merlu à la mode Champenoise, ce n’est pas un plat très savoureux.

Metz-Bordeaux : 1-2
Bordeaux débutait le match avec une défense remaniée au trois-quarts, le jeune Erwan Faget faisant ses débuts en tant que titulaire en D1. Le quatuor arrière girondin est vite mis en danger par de nombreuses déferlantes messines: mais Job tire largement au-dessus, tandis que Jager trouve Ramé sur une frappe croisée. Les Messins baladent des bordelais pas très en forme, et sur une mauvaise passe de Faget, Proment assène une lourde frappe qui passe au-dessus. Mais les Lorrains ouvrent la marque en toute logique après la demi-heure de jeu: suite à un raté de Ramé sur corner et à un cafouillage dans la surface, Job expédie le ballon dans la lucarne. Seule une tête trop largement décroisée de Meriem inquiète Songo’o en première mi-temps.
Le début de la deuxième période voit à nouveau les hommes de Gress mettre la pression sur le but de Ramé. Mais à l’heure de jeu, les Girondins sortent de leur torpeur. Dugarry, au four et au moulin, porte le danger devant le but messin juste après avoir effectué un geste défensif de grande classe devant Baticle. A un quart d’heure de la fin, Costa, d’une superbe louche de l’extérieur du pied, ouvre un boulevard à Pauleta, qui lobe Songo’o. Et dix minutes plus tard, le Portugais talonne pour Dugarry, qui place un centre tendu repris victorieusement par Dhorasoo. Les Girondins remportent le match avec beaucoup de réussite: c’est finalement assez caractéristique des rencontres entre équipes de haut de tableau et relégables, mais cela n’ôte pas les doutes quant à leur capacité à jouer l’Europe. Cela dit, les doutes, les Messins en ont bien plus à revendre.

Observations
L’effet Gress, c’est quand Metz régresse ?
Anomalie : Bordeaux a la chance du champion.
Le pressing sur champ de patate par temps neigeux, ça a failli marcher pour les Lorrains.
Après un intermède international, Ramé a retrouvé son niveau des Girondins de Bordeaux.
Combien de buts Pauleta a-t-il marqué sur des lobs?

Rennes-Bastia : 2-1
On serait tenté de résumer cette terne rencontre par le coup de tonnerre de Lucas, à qui il reste à peine le temps de sauver son équipe en cette fin de saison, à défaut de sauver sa propre carrière en France. Sa frappe exceptionnelle est survenue à un moment critique, alors que les Bretons étaient menés d'un but, à quelques minutes de la mi-temps. Auparavant, Vairelles s'était obtenu un penalty, transformé à la 32e minute, manquant même le doublement du score par Manso, repris in extremis par Grégoire. Ce n'est pas que la seconde période ressuscita les deux équipes, mais chacune ayant besoin de points, il fallait bien y mettre un peu du sien. C'est encore une individualité qui fit la différence pour le Stade rennais, en la personne de Monterrubio, qui récupéra la balle en position défensive, remonta toute l'aile gauche et trouva d'un centre au second poteau Maoulida démarqué, qui n'avait plus qu'à ajuster. L'expulsion d'Essien n'arrangea pas les affaires des Bastiais qui parvinrent quand même à inquiéter des Rennais très peu sûrs d'eux, mais qui passent devant leurs adversaires du soir au classement.

Observations
Le Sporting renoue avec sa tradition des cartons rouges (11 cette saison)?
Pas de bol : pour une fois que Lucas marque un but magnifique des 25 mètres, il faut que Rothen marque le même de 30 mètres.
Précision : bien sûr, c’est parce qu’il est blessé que Pedros ne joue pas.

Monaco-Guingamp : 3-1
Afin de nourrir les minces espoirs d'Europe entretenus par Didier Deschamps pour mobiliser son groupe, les Monégasques n'ont pas attendu plus d'un quart d'heure pour que Nonda transforme (après avoir dû le retirer) le penalty obtenu par Bernardi après une grosse frappe de Marquez. Comme les penalties furent très à la mode pour cette 27e journée, M. Vileo remet sur ce plan les deux équipes à égalité en sanctionnant de la même façon un fauchage de Malouda par Sidibé. L'attaquant se fait justice lui-même. Les Sudistes ne profiteront pas de leur domination avant la toute fin de la période, Rothen transformant un ballon anodin à 30 mètres en missile sol-lucarne. Nonda double son score personnel à l'heure de jeu en profitant d'une ouverture de Domoraud (belle frappe croisée depuis le côté droit de la surface) pour boucler sans grand génie une victoire importante pour les ultimes ambitions de son entraîneur. L'EAG est passé sous la barre des relégables de la même façon que la frappe de Rothen, à grande vitesse, alors que son bilan à la trêve était très rassurant. L'impuissance tant offensive que défensive de l'équipe de Guy Lacombe a de quoi plomber l'évaluation de leurs chances de maintien.

Observations
Un maillot jaune, ça ne suffit pas à transformer des Bretons en Nantais.
Guy Lacombe : "Je crois que les joueurs n'avaient pas totalement conscience du danger". Là ça doit être bon.
"Raducioiu, Bierhoff, Jugovic : parfum de Coupe du Monde à Louis II" (C+). Un parfum un peu éventé, alors…

Auxerre-Nantes : 2-1
L'AJA est dans une bonne période, après la récupération de son entraîneur et celle de ses Africains. Cissé lui aussi est de retour et il renoue avec la réussite. Sa frappe est suffisamment détournée par Yepes pour tromper Landreau. Moldovan ne s'en laisse pas compter et égalise rapidement d'un coup de tête à la réception d'un coup franc excentré de Quint. Avant la pause, Cetto sera expulsé, quittant prématurément son poste de latéral droit et laissant les probabilités passer dans le camp de ses adversaires. Leurs contre-attaques resteront vaines mais les Nantais semblent en mesure de faire échec aux ambitions des Blancs, qui feront tout de même la différence sur une action à controverse. La balle ayant été sortie pour permettre à Da Rocha d'être soigné, les Auxerrois, inattentifs ou mal intentionnés, jouèrent la touche qui revint à Jaurès dont le centre en profondeur permit à Arnaud Gonzales, joker entré à la place de Kapo, de marquer contre des Nantais légèrement énervés. Assommés, ils subiront les derniers assauts bourguignons sous une pluie battante, mais le score en restera là.

Observations
Les Auxerrois ont de nouveau le vent en poupe (depuis qu'ils ont de nouveau Guy Roux au cul).
C'est Yepes le chat noir.
Jeunes, beaux, bons… mais pas très fair-play.
Les Auxerrois n’ont pas compris que Da Rocha avait mis la balle en touche volontairement parce qu’il était blessé. Il a vraiment l’air si maladroit que ça avec ses pieds?

PSG-Sedan : 3-0
Okocha, Alex, Aloisio... En l'absence de Ronaldinho, Fernandez a tout de même titularisé ses vedettes auxiliaires, avec un Fiorèse un peu redescendu sur le flanc droit, histoire d'innover encore à la 27e journée. Ce quatuor lança quelques alertes sur les cages de Regnault durant des premières minutes à l'avantage de leur équipe, mais Henri Camara eut aussi son occasion, perdant un duel contre Letizi, de retour après l'intérim spectaculaire de Jérôme Alonzo. C'est peut-être le vrai meilleur joueur de l'effectif parisien qui ouvrit la marque. Non qu'Arteta l'ait personnellement mérité, mais parce qu'il transforma le penalty offert par M. Hamer, dont la potion est difficile à avaler pour un Elzéard sévèrement expulsé sur le coup (d'autant que son tacle a pris le ballon avant de prendre les pieds de Fiorèse). 25 minutes de jeu, et les Parisiens mènent devant des Sedanais réduits à dix et qui doivent se réorganiser en perdant un attaquant (Celdran sorti, ne resteront que N'Diefi et Camara). En plus, leur capitaine Satorra doit sortir sur blessure... Autant dire que le PSG peut dérouler et que sa charnière El Karkouri-Déhu n'est pas excessivement inquiétée en seconde période, même si le pliage du match a été assez tardif. Aloisio reste malheureux: Alex l'oublie à l'entrée de la surface pour placer un tir croisé insuffisant. Sur le corner qui suit, sa tête piquée met en difficulté le gardien, mais c'est Alex qui profitera du centre ajusté par Fiorèse sur le renvoi. Cissé conclura la soirée par une frappe de toute beauté. Paris arrive enfin à gagner au Parc (trois victoires de suite).

Observations
La stratégie consistant à gueuler sur l'arbitre, ça marche toujours, mais pour le match d'après.
Alex a été remplacé trois minutes après avoir aggravé le score. Ça lui apprendra à marquer des buts.
Stambouli a laissé Poueys sur le banc pour rendre hommage au coaching de Fernandez?

Sochaux-Lyon : 2-1
Pas vu, pas couvru.

Lille-Marseille : 2-0
Dans une rencontre très accrochée (surtout par les maillots), il faudra attendre la 25e minute pour voir un danger porté sur un des buts, celui de Runje lorsque Bassir qui avait pris tout le monde à revers sur le côté droit de la surface, fut repris par un tacle d'urgence de Tuzzio. Suivra alors une meilleure période des Lillois, qui prirent le risque de se déséquilibrer un peu au lieu d'attendre les Marseillais en alertant les attaquants par de longs ballons. A la demi-heure, Tafforeau adresse un centre qui trouve Bassir, lequel place une très bonne tête mais Runje se détend sur sa gauche pour enrayer l'ouverture du score. C'est une action très semblable qui fait accorder à M. Layec, pour un accrochage de Jurietti sur Bassir à la réception d'un nouveau centre de Tafforeau. Ça va polémiquer grave, mais en attendant, Cheyrou (s') exécute.
L'entame lilloise au retour des vestiaires est intéressante, mais elle ne crée pas tellement plus de situations chaudes et les Marseillais se montrent un peu plus à leur avantage dans la construction du jeu. Ce sont pourtant leurs hôtes qui penseront faire le break, quand Bassir, échappé à la réception d'une ouverture de Cheyrou, manquera son duel face à Runje, Bakari ensuite ne parvenant pas à rabattre le ballon contré dans le but vide. Dix minutes plus tard, Sterjovski, non signalé hors-jeu, efface Runje par la gauche mais Dos Santos sauve sur sa ligne. Privés de Andre Luiz, les Blancs se montrent tout de même supérieurs techniquement, mais ils semblent loin d'avoir les moyens d'inquiéter la défense lilloise, à peu près irréprochable. Il faut croire en une ouverture sur coup de pied arrêté, et effectivement, Wimbée doit s'employer sur une tête plongeante de Fernandao, consécutive à un coup franc excentré. Tandis que les Lillois reculent progressivement, Swierczewski aura encore une position de frappe plein axe, mais son ballon ricoche sur le mauvais côté du poteau. Le public acclamera enfin le coup franc très raté d'Olembé, juste avant, pour conclure la soirée, de rendre un hommage plus positif à Bakari qui sur un dernier contre

Observations
Le coup de savate dans la gueule n'est sanctionné que d'un jaune maintenant?
Cygan comme Roche : la percussion de gardien par son défenseur se généralise.
Runje doit être fatiguant pour ses défenseurs.

Réactions

  • El mallorquin le 25/02/2002 à 03h58
    Moi je suis assez d'accord avec Gabisu (pour une fois). J'ai trouvé Montpellier très bon, même si Lens l'a également été dans son registre . Mais techniquement, ils sont quand même sympas les montpelliérains.
    Cela dit, je ne trouve pas que le résumé des Cahiers soit particulièrement à charge contre les Lensois, ils parlent de contres affutés pour eux et d'attaques désordonnés pour Montpellier, pas de quoi fouetter le chat de Gabisu !
    ;-)

  • bato le 25/02/2002 à 04h39
    Même si Jurietti tourne la tête et fait semblant de rien il empêche bien Bassir de sauter en le tenant par le maillot. C'est ce que l'arbitre voit de là ou il est. Maintenant, Bassir dans son dos a peut être retenu jurietti aussi. Enfin quand on l'a interviewé il a pas fait le malin, vu qu'il avait quand même commis une faute.

    Conclusion: Bassir/Alfonso même combat....

  • medifel le 25/02/2002 à 04h59
    Ce qui me dogoue c que Jurietti touche 700 000 balles alors que Dos Santos que 280 000...

    Aprés va te demander d'ou viennent les problèmes de vestière...

  • Fan de Kaba le 25/02/2002 à 06h19
    Ou as tu vu que Moreira jouait dans le même registre que Pires???

    Moreira est placé en pointe cette saison, pour exploiter a plein sa vitesse sur les contres et les appels en profondeur en général.

    Pires n'évolue pas dans ce registre, jusqu'à preuve du contraire!

    Moreira sur sa saison mériterait par son adresse devant le but, sa technique, son envie, une chance en équipe de France (peut etre plus que Cissé qui a un role a jouer avec les Espoirs!)

  • ibrahima bakayoko le 25/02/2002 à 07h20
    Franchement j'ai encore la K7 du match et Jurietti touche une demi-seconde le maillot de Bassir, il n'y a rien et au contraire c'est le ptit marocain qui fait faute, d'ailleurs quand l'arbitre siffle on voit Bassir avec la main crispée sur le maillot de Jurietti, c'est limite ridicule

  • bato le 25/02/2002 à 08h14
    eh ben regarde encore une fois : au moment ou il fait semblant de regarder ailleurs, il tire le maillot de Bassir (au moment ou il saute) EN CROYANT LE FAIRE DISCRETEMENT.
    Vous allez finir par regretter Leboeuf......

  • ZZ le 25/02/2002 à 08h19
    Bato, je suis désolé de te contredire mais, au vu du ralenti de C+, il semble que la première faute soit commise par Bassir...
    Mais, bon, je préfère faire confiance à l'arbitre...

  • bato le 25/02/2002 à 08h25
    je reste sur ce que j'ai dit et de toute facon au lieu de pleurer les marseillais feraient bien d'essayer de marquer un but.
    Quand on accepte les penaltys "litigieux" pour (cf Alfonso) il faut accepter les autres aussi.....

  • ZZ le 25/02/2002 à 08h29
    Totalement d'accord, Bato... Mais reconnais que SI effectivement, Bassir commet la première faute (ce que je n'affirme pas), le pénalty est immérité... C'est un peu comme tuer un mort, c'est impossible...
    Mais, bon, je me répète pour éviter toute polémique, les olympiens n'ont qu'à s'en prendre à eux-mêmes...

  • bato le 25/02/2002 à 08h33
    de toute facon les tirages de maillot sont malheureusement souvent réciproques et une vraie plaie pour le foot....
    de plus une fois que l'arbitre a sifflé , tout le monde sait (sauf les joueurs et dirigeants apparemment ) qu'il ne reviendra pas sur sa décision et c'est tant mieux.
    Au lieu de pleurer, ils feraient mieux d'apprendre à jouer en équipe et fair play (n'est ce pas Guy Roux/Santini....).

La revue des Cahiers du football