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L1 :: la Gazette :: Journée 4

le 2 Sept 2008

 


Les résultats de la journée

Nice-Valenciennes: 2-0
Nancy-Le Havre: 2-1
Lille-Bordeaux: 2-1
Marseille-Sochaux: 2-1
Grenoble-Monaco: 1-0
Toulouse-Rennes: 0-0
Saint-Étienne-Lyon: 0-1
Caen-Paris SG : 0-1
Lorient-Auxerre: 0-2
Nantes-Le Mans : 1-4 


Les 5 gestes décisifs de la journée
 
• La passe en retrait pas vraiment aveugle mais presque, disons borgne, réussie par Gervinho au terme d’un débordement très seventies poussé jusqu’à la ligne de sortie de but, pour servir Coutadeur dont Bernard Père n’aurait pas manqué de qualifier le but de "comme à la parade".
• La frappe sans élan expédiée des vingt-cinq mètres dans la lucarne par Fauré.
• L’enchaînement poitrine / demi-volée sous la barre de Revault, réussi par José Touré Brison.
• Les manchettes de Penneteau et Mandanda sur les têtes à bout portants d’Audel et Erding.
• L’ouverture en profondeur sans contrôle talonnée par Dalmat pour lancer Erding seul face à Mandanda.


Les 7 gestes gratuits de la journée
 
• Le contrôle orienté-passe de volée réussi par Le Tallec, les deux pieds décollés du sol, pour alerter Helstad dont la bonne frappe ne trouve pas le cadre.
• La touche nantaise pleine de vice, qui rebondit aux six mètres et manque de lober Pelé dont la détente in extremis sauve son équipe.
• La parade d’Heurtebis sur une déviation à bout portant de son coéquipier (?) Gravgaard, pour l'empêcher de creuser un écart trop important au classement général des antigestes.
• L’aile de pigeon en retrait de Fortuné qui permet à Benjamin Gavanon de sortir l’artillerie lourde en manquant un tout petit peu de précision.
• Le piqué de Lesage qui ricoche sur la barre de Bracigliano.
• La roulette de Niang pour enrhumer Jokic tout en pénétrant dans la surface de réparation avec autorité.
• L’ouverture de Sessegnon glissée de l’extérieur du pied pour une vendange précoce d’Hoarau.


Les  2 antigestes de la journée
 
• L’ouverture brossée superbement dosée par Zenden pour servir l’égalisation sur un plateau à Erding, trente-cinq bons mètres en retrait.
• Le drop d’Hoarau au-dessus du but caennais, au terme d’un service de Giuly, dont le cri de rage doit encore bourdonner dans l’oreille interne de l’avant-centre parisien.


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Hansson, autant pour le foot, c'est pas ça, autant pour le slalom géant, il a un style du tonnerre.


La bannette


Le gardien bien planté sur ses appuis
Grégory Wimbée (L'Équipe) : "On sait qu'on peut plonger après deux défaites". Essaie quand même de plonger avant.

Le pore de l'angoisse
Rémy Mareval (L'Équipe) : "On va tous se réunir et crever l'abcès".

El muñeco vaudou
Benjamin Nivet : "On n'a pas réussi à le contourner". Le fantôme de Gallardo?

Le bonus défaite
Frank Dumas : "Ce soir c'est la déception qui prime".

La descente aux enfers
Antoine Kombouaré : "Le ballon nous brûlait systématiquement les pieds".

Le décathlonien qui fait l'impasse
Antoine Kombouaré : "On n'a pas été à la hauteur".

L'homme de fer blanc
Claude Puel : "Cette équipe a une âme". Prochaine idée reçue à invalider: son entraîneur a un cœur.

Le coup de pompe
Christian Larièpe : "On s'est fait aspirer par une équipe bien organisée".

L'étourdi et orbi
Christian Larièpe: "Quand vous rentrez dans le vestiaire, ça ressemble à tout sauf à un vestiaire de foot!" Tu t'es trompé Christian, c'est la zone mixte ici.


Le top "bon esprit à la lyonnaise" sur olweb.fr

1. Jean-Michel Aulas : "1-0, c’est le tarif minimum tant nous avons été dominateurs, tant tactiquement que techniquement".
2. Claude Puel : "Je ne regarde pas trop l’équipe adverse. Je me préoccupe plus de notre jeu. Je pensais même qu’ils allaient jouer en 4-3-3 en alignant Feindouno du côté de Kim Källström car ce n’est pas un arrière gauche de métier".
3. Frédéric Piquionne : "Saint-Étienne n’a plus gagné contre Lyon depuis quinze ans, je suis vraiment content d’être passé du bon coté".


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Peter Hansson a un peu tendance à surestimer l'importance du jeu sans ballon.


Le moment Waldemar Kita

La minute "souvenir de Lausanne" de Waldemar Kita
"J'ai l'impression qu'en France, on n'est pas habitué à voir un propriétaire de club essayer de tout bien faire comme il faut. J'ai quand même une certaine expérience dans le monde de l'entreprise où je crois avoir fait mes preuves. J'essaie simplement de gérer le FCN de la même manière". (lequipe.fr)


La minute "auto persuasion" de Waldemar Kita
"Il faut juste que la mayonnaise prenne et que de nouveaux leaders s'imposent au sein du groupe. Ça peut prendre du temps. Si on n'y arrive pas, il faudra que je prenne un entraîneur-leader". (lequipe.fr)


La minute Calimero de Ligue 2 de Waldemar Kita
"Ça fait une semaine que Der Zakarian est parti et on nous parle toujours de ça. À Ajaccio, l'entraîneur (Gernot Rohr) est également parti alors qu'il restait sur une victoire 4-0 (contre Vannes) et personne n'en parle. Vous trouvez ça normal?" (lequipe.fr)


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Chez les Rennais, ce sont les mâles qui couvent les œufs et les protègent contre les prédateurs, parfois au péril de leur vie.



Nancy regagne

On avait quand même cru rêver en entendant les joueurs nancéens expliquer leur mauvais début de saison par leurs difficultés à s'adapter à leur nouvelle orientation offensive. Le couplet de l'audace finissait par sonner franchement faux, tant imaginer Pablo Correa cravachant ses joueurs pour aller de l'avant demandait d'efforts. En revanche, les difficultés des Lorrains constituaient un fait majeur de ce mois d'août, bien que ne défrayant pas une chronique plus attentive au renouveau parisien ou à la récession bordelaise.

Et il est vrai que, loin du "zéro transferts" de l'intersaison dernière, l'été de l'ASNL justifiait un changement de philosophie après les départs de Kim, Puygrenier ou Sauget, ainsi que l'arrivée d'une escouade de jeunes prometteurs (Helder, Calvé, Féret et Sami). Et qui sait, l'entraîneur pouvait être sensible à une routine excessive après trois années de Ligue 1 aux commandes de l'effectif – plus qu'à la nécessité de faire un spectacle dont il a souvent affirmé qu'il se contrefoutait.

Face au Havre, le projet a une nouvelle fois cafouillé durant une mi-temps (0-1), avant que Correa ne lance Calvé et Zerka pour remettre ses joueurs dans le sens du jeu. Une réussite, puisque au cours de la dernière demi-heure, ils ont complètement renversé la vapeur en s'imposant irrésistiblement, notamment grâce à un Brison inspiré (l'égalisation et le centre pour le but d'André Luiz).
Alors, après cette mi-temps qui pourrait tout changer, une AS Nancy-Lorraine tournée vers l'attaque ne sera plus une vue de l'esprit?


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Quand Pablo Correa voyait Sébastien Puygrenier tacler dans une flaque de boue, une force irrésistible le poussait à bondir de son banc et à entamer l'Ave Maria.


La stat futile de la journée

Ce week-end, Guillaume Hoarau a marqué le but le plus précoce de la journée pour le compte du Paris SG, après cinq minutes de jeu. Rennes, Caen et Valenciennes se sont distingués de la même façon lors des trois premières journées de la saison actuelle. Mais quid du passé ?

Penchons-nous donc sans plus tarder sur ces équipes ouvreuses de score (les chiffres présentés ici s'appuient sur les treize dernières saisons, soit les quatre cent quarante dernières journées), celles qui permettent à votre commentateur radio préféré d'annoncer qu'enfin, le compteur est débloqué et qu'une frénésie de buts va s'abattre sur les terrains de France. En fait, on patiente encore un quart d'heure avec des touches à Bonal ou des cartons jaunes à Nungesser...

• Depuis 1996, le premier but d'une journée de championnat intervient en moyenne à la sixième minute de jeu.
• Le champion dans le domaine, Monaco, a ouvert le score de 35 journées. Il devance Marseille (30) et Auxerre (29).
• La plus tardive des ouvertures de score a eu lieu lors de la seizième journée de la saison 2006/07. Il a fallu attendre la trente-septième minute de jeu pour voir ce premier but, marqué par Monaco.
• Les équipes dont les défenses se trouent le plus vite sont Auxerre (37 fois victime du premier but de la journée), Strasbourg (24), Lyon et Troyes (21).
• Le 2ème but est marqué en moyenne à la 11ème minute, pour le plus tardif il a fallu en attendre 42.
• Le champion du 2ème but d'une journée est encore Monaco, décidément roi des débuts de match, avec 29 deuxièmes buts à leur actif.
• Il est arrivé 17 fois qu'une équipe marque à la fois le premier et le deuxième but d'une journée.
• Il est même arrivé qu'une équipe marque les trois premiers buts d'une journée. Il s'agit de ... Monaco, lors de leur victoire 4-1 à Troyes, en janvier 2000. Ils menaient déjà 3-0 à la onzième minute, et aucune équipe n'avait alors ouvert le score sur un autre terrain.

La semaine prochaine, nous regarderons qui serait leader de Ligue 1 si le championnat se jouait au classement alphabétique du gardien remplaçant.

Texte propulsé par Poteau rentrant,  site de stats inédites et décalées sur la Ligue 1.


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"Attendez, j'ai pas rêvé. C'est bien un appel croisé de Bastos pour aller sous la douche que je viens de voir?"



Les observations en vrac

• Grenoble, promu promis à une saison de galère en queue de classement a déjà neuf points. La saison dernière, le FC Metz avait du attendre vingt-trois journées pour atteindre ce total.
• La stat qui tue: Le Mans a cadré quatre tirs face à Nantes.
• Salim Arrache va manquer à Marseille. Surtout à Zenden, qui va se sentir bien seul désormais à l'entraînement pendant les séances de sprint.
• Lorient est la plus mauvaise attaque de ce début de saison. Il a belle mine tiens, le beau jeu de Gourcuff.
• La tradition non respectée: calé à la dixième place, le Stade rennais ne fait ni un bon, ni un mauvais début de saison.
• Selon Gérard Holtz, en occupant les deux dernières places au général, Sochaux et Nantes ne méritent plus leurs maillots jaunes.



Paisible comme Le Mans

La sérénité du président Lagarda n’était donc pas feinte. Les observateurs éprouvaient au mieux du scepticisme, quand ils n’affichaient pas ouvertement leur crainte devant la saignée opérée pendant l’intersaison mancelle. La liste des glorieux partants s’allongeait plus vite que le nez de Pinocchio affirmant que Rudi Garcia resterait au club. Une première journée ponctuée d’une défaite à domicile face aux modestes Lorientais finissait d’assombrir l’avenir du club à court terme, pensait-on.

Et voici qu’après trois succès consécutifs, ils prennent la roue des Olympiques au classement. Si une victoire sur ce Nantes-là n’a en soi rien de remarquable, la façon de procéder l’est davantage. Dominés pendant trente minutes, les Manceaux ont plié sur corner, mais n’ont jamais paniqué, manœuvrant avec la maîtrise d’une équipe rodée pour retourner la marque jaune. Leur jeu direct, à défaut d’enchanter les foules, a le mérite d’être simple à produire, et s’appuie sur une intelligence redoutable dans les déplacements.

Les appels croisés des attaquants servent l’efficacité du collectif, déjà bien aidée par la vista et la jolie technique d’un Stromstad ou d’un Maïga. La réintégration progressive de l’accélérateur de jeu Gervinho, de retour de Pékin sur la lancée de son superbe tournoi olympique, n’est pas le dernier motif de satisfaction pour un président Lagarda – dont on saisit mieux la tranquillité, désormais. Quand on possède une cellule de recrutement capable de remplacer efficacement des Drogba, Bonnart, Basa, Matsui, Sessegnon ou autre Romaric, on doit certainement dormir plus paisiblement.


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"Paul, souris devant les caméras ou je prolonge Pancrate".

Les questions de la journée

Karim Ziani a t-il appris à jouer au football dans une station de ski pour être aussi appliqué dans le planté du bâton?
• C'est nous qui faisons du mauvais esprit ou ça sent vraiment la saison de la skoumoune pour Erbate?
Claude Puel engueule-t-il ses joueurs parce que les adversaires de l'OL ont quand même réussi à tirer trente-quatre fois au but depuis le début de la saison?
• Monaco recrute Park Chu-Young. C'est lui le nouveau Park des Princes?
• Quelqu’un s’est aperçu que Toulouse participe au championnat cette saison?
• Est-ce que d’ici la fin de la saison, la Ligue autorisera deux équipes à jouer ensemble contre Lyon pour qu’ils prennent au moins un but ?



Le supplice du Zenden

Si vous êtes un brin obsessionnel, noctambule et surtout masochiste, ce nouveau jeu est fait pour vous. Il s’agit de regarder la rediffusion d’un match dont vous connaissez déjà le résultat, idéalement à minuit pour un minimum de plaisir (encore amoindri par le coût de Foot+). Piochez un joueur que vous n’appréciez pas particulièrement, et jouez-là comme Jurietti: on ne le lâche plus d’une semelle. Un carnet et un crayon en main, notez les effets de l’intervention dudit joueur: orientation du jeu, distance de transmission et destinataire, ou perte de la possession du ballon. Ça pique déjà un peu? Le meilleur est à venir.

Un membre de la rédaction préférant rester anonyme, supporter de l’OM depuis 1994, encarté au PS depuis 1995, et qui aime depuis lors remplir ses baskets avec des oursins, surtout pour s’empêcher de trop rigoler quand il prend son petit déjeuner avec son ami Guy Lacombe avant d’appliquer le programme de suivi longitudinal quotidien élaboré par Claude Puel, a testé pour vous cette méthode d’épanouissement personnel en décortiquant la performance de Boudewijn Zenden, samedi soir face à Sochaux. Les râles de plaisir résonnent encore dans les couloirs de la rédaction suite à la synthèse de ses observations:

• ballons disputés : 49
• ballons perdus : 24
• ballon gagné : 1
• passes vers l’avant : 19 (dont 5 réussies)
• terrain gagné : 52 mètres
• passes latérales : 17 (dont 9 réussies)
• passes en retrait : 13 (dont 9 réussies)
• terrain perdu : 148 mètres
• synthèse terrain gagné / terrain perdu : -96 mètres
• frappe dans les fesses de Niang : 1
• chutes balle au pied (ou pas) : 3
• touche en sortie de but : 1
• passe en touche : 1
• contrôles de la main : 2
• ouverture de 35 mètres pour l’adversaire : 1
• dispense pour micro sieste : 5’22 (entre 27’58 et 33’20)
• dispense pour séance d’épilation : 8’28 (entre 58’53 et 67’21)


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"Et c'est depuis que je mets mes chaussures à l'envers que je marque sur tous mes coups francs"

>> Plus d'humour, de cris et de larmes dans le Diapo des lecteurs.



Les petites annonces

• Vieux gardiens has been postulant pour strapontin en équipe de France cherchent défense en papier pour laisser partir seuls au but attaquants sochaliens, stéphanois ou autres afin de briller aux yeux du sélectionneur, et plus si affinités.

• Suite à déménagement, international français d'âge indéterminé recherche conseil en dissimulations de fautes dites utiles, et adaptation à un nouveau contexte culturel. Urgent.

• Cause euphorie ambiante, pharmacie du sud-ouest parisien cherche repreneur en urgence, suite à la disparition soudaine de clientèle. Franco-Polonais s'abstenir. Gros stock de lexomil invendus à céder.



Coaches mini

Il souffle un vent de renouveau sur les bancs de L1. Et cette fois-ci, promis, on ne parle pas de Waldemar Kita. Les remous de la saison passée (1) et le jeu des promotions nous ont offert une fournée d'entraîneurs toute neuve. Le moins que l'on puisse dire, c'est que le manque de bouteille n'est pas un frein à l'embauche.

Calculées sur la base d'années à entraîner en première division, quel que soit le pays, les années d'expérience des titulaires de la saison semblent bien maigres. Certes, on retrouve devant un peloton de huit "historiques", dont Paul Le Guen et Claude Puel font déjà partie. Devant, Eric Gerets domine ses collègues du haut de ses 54 ans, mais aussi de ses cinq titres de champion, devant Le Guen (trois) et Puel (un).
À partir de la neuvième place, ils sont douze à compter moins de cinq saisons d'expérience, dont un bon nombre de novices. Pour illustrer le renouvellement, on notera par exemple que les dix derniers titres de champion ont été glanés par sept entraîneurs, dont seul deux officient encore en L1 (Puel et Le Guen, contre Baup, Denoueix, Santini, Houllier, et Perrin). Remonter plus loin n'arrange rien: les précédents sont Leclercq, Tigana, Roux et Suaudeau.

Pendant que les jeunistes crient victoire, il y a probablement un vieux con qui grommelle quelque part.

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(1) Ont quitté leur poste ces douze derniers mois: Elie Baup, Alain Perrin, Frédéric Hantz, Albert Emon, Pierre Dréossi, Jean-Marc Furlan, Francis de Taddeo, et le duo Guy Roux-Jean-Pierre Papin.

Réactions

  • Et ne ris que l'art sonne le 02/09/2008 à 13h51
    " BON MAINTENANT CA SUFFIT AVEC HANSON ! "

    aah mes petits suédois .. je vous aime tiens !
    Je suis resté un quart d'heure a pouffé dans mon bureau .. avec ces vignettes .. merci !

    Pour les stats de Zenden, Il faudrait les comparés avec les stades moyenne d'un milieu de terrain de se match.



  • Et ne ris que l'art sonne le 02/09/2008 à 13h53
    Va vraiment falloir développer une fonction "edit" .. sorry pour l'orthographe *smiley pas content de lui *

  • RabbiJacob le 02/09/2008 à 16h37
    Sympa le petit hommage à Bernard Père !

  • Gentil Ghana le 02/09/2008 à 17h20
    Tant qu'on y est, à ressasser des stats, un seul nul en 10 matches, ça arrive souvent en L1?

    Et puis, pour le classement à l'envers, je soupçonne le lobby graoully (ils sont partout!) de chercher à amoindrir à l'avance l'exploit canari qui se profile pour cette saison, tout ça parce que le FCNA prend (déjà!) le chemin d'un doublé historique...

    Il est d'ailleurs à noter que, si la tendance nantaise se confirme, nos deux rois de l'ascenceur étaient, avant d'entamer leur numéro de yoyo, les plus anciens pensionnaires de L1. Comme quoi, tutoyer les cimes du classement à l'envers, ça demande de l'expérience et de l'abnégation, ce que les Grenoblois ne semblent pas avoir bien compris, enchaînant les erreurs de parcours les plus ahurissantes pour un jeune relégué de l'échelon supérieur. On attendait beaucoup mieux du GF38, même si le club avait semblé manqué d'ambition dans la dernière ligne droite du mercato (Moreira c'est bien, mais pourquoi se priver des services d'Arrache et d'Oruma qui ne demandaient que ça?).

    Lourde déception également du côté du PSG qui ne semble pas armé pour résister à la pression d'une 3e saison au plus haut niveau à l'envers... Mais tout espoir n'est pas perdu du côté de la capitale, avec la venue de Kezman pour empêcher Hoarau de pourrir le travail de longue haleine du staff parisien (des progrès notables ont à ce propos été constatés à Caen ce week end).

    Heureusement que F Gillot semble déterminé à rattraper sa bourde affreuse de la saison dernière à Sochaux (lui qui avait été incapable d'obtenir la promotion en L2 du RC Lens plusieurs saisons de suite, résultat obtenu de haute lutte dès sa première saison par l'inexpérimenté JPP), et permet d'espérer une lutte aux couteaux pour la plus haute marche du podium, même s'il faudra pour ça se débarrasser de l'encombrant Erding.

    Erding qui doit sans doute à l'épouvantable Mandanda d'éviter le licenciement pur et simple pour faute grave, ou pire, le transfert comme 19e attaquant à Chelsea ou l'Inter, où, non content de ne pas jouer, il n'aurait aucune chance de tutoyer l'ivresse des sommets à l'envers. Vient alors le moment de rendre hommage à la clairvoyance de la direction havraise, qui a su se débarrasser de 2 boulets évidents dans la course au titre à l'envers: Hoarau, qui porte une lourde responsabilité dans la relégation du HAC la saison dernière, mais surtout le cataclysmique Mandanda, dont ils ont su se débarrasser à la va-vite la saison dernière avant que sa réputation de Bakayoko du goalkeeping à l'envers ne franchisse les frontières de la Seine Maritime. Le HAC se place idéalement dans la course au podium à l'envers, renversant avec talent une situation fort compromise sur le terrain de Nancéens qui semblaient pourtant revenus à un standing à l'envers digne des clubs du Nord Est de la France.

    Enfin, comment ne pas souligner la métamorphose accomplie par la légendaire ASSE, sous la houlette d'un Roussey inspiré, qui a su insuffler un véritable esprit Upside-Down dans un groupe qui semblait pourtant lourdement handicapé en la matière. Cependant, pas d'enflammade du côté du Forez, car la place sur le podium ne tient qu'à un fil, ténu. N'oublions pas que les dirigeants stéphanois ne brillent pas par leur constance et que Roussey risque vite d'être privé de l'occasion d'accomplir le parcours exemplaire qu'il mérite, et surtout les verts pâtissent de l'exécrable attitude de leurs supporters, toujours trop nombreux malgré près de 30 ans d'efforts pour s'en débarrasser, trop bruyants pour que les consignes à l'envers circulent bien à Geoffroy Guichard.

    Cependant l'exemple pathétique de leurs voisins lyonnais incitera sans doute les dirigeants stéphanois à plus de raison. En effet, malgré une mesure de bon sens (virer le coach responsable d'une énième relégation en LdC et d'une défaite à l'envers en coupe de France), le mercato mené à la va-vite (pourquoi recruter Puel alors que JPP ou Hantz étaient libres? M Aulas doit des comptes à ses supporters!), ainsi que le piteux début de saison ont démontré rapidement qu'il ne faudra à nouveau rien attendre de l'OL dans cette saison à l'envers...

    De même, qu'il semble loin, le doux temps des Bakayoko, Porato, Wilfried Dalmat et consorts du côté de Marseille... Même la coutume locale de la valse des entraîneurs semble oubliée. Mais qu'est-il arrivé à l'OM conquérant du début de saison dernière??? On ne peut pas accuser la direction qui a conclu son mercato par un coup de maître: se débarrasser du génant Cissé pour 0€! Alors les regards se tournent vers le banc de touche: tant que Pape Diouf n'aura pas pris les mesures qui s'imposent, ne serait-ce que par respect pour l'histoire de son club, concernant le pseudo-technicien belge qui sévit à la Commanderie, l'OM continuera à végéter au fin-fond du classement à l'envers... Gerets démission!!!

  • lemon le 02/09/2008 à 17h23
    superbe

  • 12 mai 76 le 02/09/2008 à 17h40
    Clap clap clap !

  • Bamogo Cadiz le 02/09/2008 à 17h43
    Absolument magnifique !

  • ManU T'aiDe le 02/09/2008 à 17h52
    On attendait beaucoup mieux du GF38, même si le club avait semblé manqué d'ambition dans la dernière ligne droite du mercato (Moreira c'est bien, mais pourquoi se priver des services d'Arrache et d'Oruma qui ne demandaient que ça?).



    Et encore, il y a eu une rumeur Dhorasoo... Mais paraitrait que ce dernier a "oublié" de se présenter au Rendez-vous fixé par les dirigeants grenoblois.

    Ton texte est excellent, j'adore. Dommage que tu répètes un peu trop souvent "à l'envers": t'avais peur qu'on saisisse pas le second degré?

  • visant le 02/09/2008 à 18h00
    J'ai raté un truc.
    Il est parti de Marseille Arrache?

  • Dinopatou le 02/09/2008 à 18h06
    A Reims, hier, en prêt

    (me demande pas ce qu'ils nous ont fait pour mériter ça, j'en sais rien... Ptet que c'est juste qu'ils étaient intéressés par L. N'diaye qu'on leur a prêté aussi, et qu'on leur a dit, ne sachant plus quoi faire de l'autre, que "ok on vous prête Leyti gratos, mais à condition que vous vous tapiez l'autre cornichon aussi" *smiley*)

La revue des Cahiers du football