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La Gazette > 11e journée

Auteur : Le Feuilleton de la Ligue 1 le 25 Oct 2007

 

Le podium se déplie et laisse un espace entre ses occupants et surtout une marche pour le Stade rennais, tandis que les Girondins retrouvent leur bien-aimée quatrième place. La ligne des treize points a porté malheur aux trois équipes qui l'occupaient... et l'occupent encore après leurs trois défaites...
Derrière, un lot de victoires (Caen, Marseille, Auxerre) redistribue les cartes. Curiosité : l'AJA est la seule équipe à ne présenter aucun match nul dans son bilan.

classement_0708_11.jpg


Les résultats de la journée
Rennes-Le Mans : 3-0
Auxerre-Lorient : 5-3
Lyon-Monaco : 3-1
Nice-Metz : 3-1
Marseille-Lens : 1-0
Caen-Lille : 1-0
Strasbourg-Bordeaux : 1-1
Nancy-Sochaux : 1-1
Valenciennes-Paris SG : 0-0
Toulouse-Saint-Étienne : 0-2


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Le suspense hitchcockien de la L1 vous salue bien.


Les 5 gestes de la journée

• La fixation de trois défenseurs par Juninho, dans l'axe à trente mètres, avant de décaler Réveillère qui nous fait une Kostadinov.
• Le retourné de Barbosa à deux mètres du but, pour le fun.
• La séquence ouverture le long de la touche de Ceara, talonnade d'Arnaud et passe dans l'espace de Diané – on s'arrête là car Frau rate sa volée.
• La temporisation de Leroy, qui se dégage à coups de râteau de quatre adversaires pour passer à Sorlin qui, après un impeccable contrôle en pivot, envoie Pagis conclure l'action d'une frappe croisée.
• La parade de Landreau sur le coup franc violent de Savidan, qu'il parvient à dévier sur sa barre.


Les 5 antigestes de la journée

• La chute de Govou dans la surface monégasque, Fiorèse d’or de la semaine.
• La passe au gardien contre son camp réussie par Landrin, seul face à Riou après une offrande de Feindouno.
• La chandelle de Kluivert à dix mètres du but vide pour clore en beauté la Coupe du monde de rugby.
• La frappe fantôme de Kader Keita, seul devant Roma, puis son auto-embrouille dans une roulette ratée.
• Le but contre son camp de Tafforeau qui préfère achever Sylva alors que Sorbon n’y parvenait pas sans aide, dévissant deux fois sa reprise, du pied, puis du tibia.



La bannette

La convocation envoyée par fax
Mamadou Sakho (L’Equipe): "C’est encourageant pour les autres jeunes qui doivent comprendre que tout peut arriver au PSG".

La grammaire en short
Rudi Garcia (staderennais.com) : "Le jour où l’on pense entrer sur le terrain et en ne faisant que bien jouer et gagner des matches, eh bien on tombe de haut".

Le joueur qui n'en croit pas ses oreilles
Bafétimbi Gomis (L'Équipe) : "À entendre le coach, on a de l'ambition".
 
Le coéquipier qui ferait mieux de claquer des buts
Karim Benzema (sport24.com) : "Moi ça me fait plaisir qu'un joueur comme Fred m'applaudisse".

Le risque d'embuscade en forêt de Brocéliande
Pierre Dréossi (L'Équipe) : "Beaucoup de matches nous attendent".

Le fan de Judas Priest
Élie Baup (L’Equipe): "L’arbitre qui nous a réduits à dix a enfoncé le clou".

La tolérance zéro virgule cinq
Antoine Koumbouaré (L’Equipe): "Je n’ai pas manqué de respect à l’arbitre. J’ai simplement contesté un coup franc".

Le Breton vexant pour ses voisins nantais
Pierre Dréossi (L’Equipe): "En étant rigoureux, on peut marquer plus de buts qu’en ne pensant qu’au jeu".

Le moment d’égarement coupable
Teddy Richert (L’Equipe): "Peut-être que, pendant un moment, on a essayé de jouer, avant de faire preuve de tempérament".


Le Top "rumeur infamante"
1. Pierre Déossi (staderennais.com) : "Il faut savoir que Le Mans est une très bonne formation".
2. Nicolas Seube (Caen, sport24.com) : "Nous nous sommes aperçus que nous avions bel et bien le niveau".
3. Benjamin Gavanon (fcsochaux.fr) : "On a eu affaire à une belle équipe de Sochaux".

Le Top "équilibre"
1. Claude Puel (L’Equipe): "C’était un match assez équilibré".
2. Alain Perrin (L’Equipe): "Un match, c’est un équilibre".
3. Ricardo (L’Equipe): "J’ai le sentiment que le match a été équilibré".

Le pavé de bonnes intentions
• Rudy Garcia (L’Equipe) : "Il faut avoir envie de marquer".
• Jean-Marc Furlan (L’Equipe) : "Il faut mettre en danger l’adversaire".
• Ricardo (L’Equipe) : "Pour jouer le haut du tableau, il faut dicter sa loi à la maison".
• Jean-Pierre Papin (L’Equipe) : "Il faut prendre les points, sinon…"



Lacombe et Ménès dans la cour de récré

menes_lacombe.jpgConsternante passe d’arme entre Pierre Ménès et Bernard Lacombe. Le premier reproche au second l’inélégance de l’attaque proférée sur OLtv: "Bondir? Il aura du mal. Rebondir ou rouler, là oui!"
Dans un effort abouti de mise à niveau, le blogueur foot sort sa plus belle plume sur Yahoo! Sport pour mettre son embonpoint au service de l’intimidation à distance: "Pour courir le 100 mètres, je ne suis peut-être pas le meilleur, mais pour venir me casser la gueule d'homme à homme, c’est sûrement plus compliqué. À moins évidemment de venir avec des amis?"

Quand ils seront sortis de la cour de récré, on suggèrera aux joyeux protagonistes d'autres arguments de classe:
- "Ménès, celui qui a inspiré la gestion sportive de l’OL avec l’ascension irrésistible du Stade de Reims, ou l'ancien comique qui se présente aux élections dans le XVe?"
- "Lacombe, celui qui dispute à Houllier le titre de la personnalité la plus antipathique du foot français, ou celui qui a dû raser sa moustache pour qu’on oublie son passage au PSG?"



Sakho, le péril jeune

À défaut de défrayer la chronique par ses performances sportives, ni même par les avanies dont il est coutumier, le PSG a eu le mérite, au cours de cette journée, d'attirer l'attention avec la titularisation de nombreux jeunes – option audacieuse de Paul Le Guen que l'on a voulu interpréter comme une façon de faire passer un message à son groupe. Cerise sur ce gâteau: la désignation comme capitaine de Mamadou Sakho, gamin de dix-sept ans arborant une coupe de cheveux probablement inspirée de son idole (Christophe Landrin).

On ne sait ce qu'il adviendra de la saison de ce jeune homme, et encore moins de sa carrière, mais cette titularisation a eu au moins un effet: la réaction de François Blaquart, membre de la DTN et sélectionneur des moins de dix-huit ans qui s'est déclaré "choqué": "Mamadou n’est pas prêt à assumer autant de responsabilités. C’est trop lourd pour lui. Il a déjà la responsabilité de devenir un bon joueur de Ligue 1, un niveau qu’il est très difficile d’atteindre. Il a encore beaucoup de travail, il doit terminer sa formation. (...) Franchement, je ne comprends pas. J’ai peur pour le joueur. C’est trop demander à un garçon de dix-sept ans qui pourrait payer les pots cassés".
Voilà de quoi relancer le débat sur la "confiance" à accorder aux jeunes, dans un championnat où ils ne manquent pas, mais où l'on préfère les amener à maturité avec moult précautions. C'est justement la tradition française qui rappelle aux vieux sages que Laurent Paganelli et Laurent Roussey ont, jadis, été prématurément grillés... avec des titularisations à seize ans.

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"Tu es sûr que tu n'as rien à voir avec Lamine Sakho? Tu me le jures? Bon, tu seras titulaire et capitaine".


Le niveau de la L1 à la hausse ?

On nous bassine depuis des années avec la déliquescence de la Ligue 1. Pour étayer le constat, on ressasse les moyennes de buts inscrits dans les "grands" championnats européens. Un argument massue qui permet surtout d’éviter toute analyse.
À ce compte-là, le prolifique Auxerre-Lorient aurait dû atténuer le sempiternel autodénigrement et les huit buts inscrits être montrés comme l’exemple à suivre. Pourtant, point de dithyrambe, pas de tambour ni de trompette. Et pour cause: essentiellement marqué par l'organisation défensive déficiente des Merlus, le niveau technique du match n’a pu se cacher derrière la forêt de buts de l’Abbé-Deschamps. Malgré les efforts des Auxerrois et des Lorientais, le nombre de buts inscrits ne suffit pas, à lui seul, à juger de la qualité d’un match. Pas plus que la moyenne de buts ne détermine celle d’un championnat.



La minute pathologique d’Alexandre Ruiz

"Entre barbus, je vous cherchais un petit peu, je vous titillais un petit peu (…) Mickaël Pagis, merci, je suis de tout cœur avec vous, là aussi en tant que barbu, je reste fidèle à vos prestations".

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"Oooh la belle inspiration que voilà pour ma petite minute pathologique hebdomadaire!"


Valbuena change tout

Eric Gerets ne s’y attendait peut-être pas, mais le plus ardu des choix qu’il va devoir faire, quelques semaines à peine après son arrivée à l’OM, va probablement résulter du retour de Samir Nasri. Car ce qui avait échappé à Albert Émon est apparu comme une évidence au technicien belge: c’est dans l’axe que Mathieu Valbuena est susceptible de transformer une équipe, alors qu’Émon le considérait plutôt comme un ailier de débordement.

Cela faisait longtemps que le Vélodrome n’avait pas eu l’occasion de voir un joueur aussi mobile, capable de rayonner sur le reste de l’équipe par sa capacité à proposer des solutions, avec ou sans ballon. Car c’est d’abord en tant que première option de relance qu’il pèse sur le jeu. Pas vraiment réputée pour sa capacité à relancer proprement, la défense marseillaise avait pris l’habitude de balancer en espérant trouver Cissé sur un malentendu. Elle dispose désormais en Valbuena d'un relais toujours démarqué, qui sort constamment de sa zone pour appeler le ballon dans les espaces libres. C’est désormais en se déplaçant sur toute la largeur du terrain que Valbuena peut remonter balle au pied ou ouvrir le jeu.
En phase offensive, on remarque également que positionné sur le côté, il ne faisait valoir que ses qualités de dribble. Libéré du couloir, sa vision du jeu et son sens de la passe font merveille, à l’instar d'un Ribéry qui s’épanouit dans ses nouvelles responsabilités en équipe de France.

Le retour de Nasri s’annonce donc comme un casse-tête pour l'entraîneur, même si, dans une configuration différente, le néo-international avait fini par trouver ses marques au côté de "l’électron libre" Ribéry. D’autant que le buteur d’Anfield court beaucoup plus que Nasri... Et beaucoup plus longtemps.



Le sondage vraiment très idiot

Qu’espérait Thomas Guichard en mettant en scène une interview de mascotte muette dans la présentation de Caen-Lille pour Jour de foot, sinon sombrer dans le ridicule?
a) Faire marrer son fils de trois ans.
b) Gagner un pari stupide avec Alexandre Ruiz.
c) Redonner un peu de temps d'exposition médiatique à coach Vahid qui n'a pas trouvé mieux comme reconversion.
d) La pécho.

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"Et moi dire mascotte très importante pour club normand. Mascotte superviser décrassage et séance musculation pour joueurs pas assez travailleurs pour mériter L1".


L’équipe pauvre type

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Pauvres journalistes de L’Équipe ! Cette semaine, aucune grosse cylindrée n’a livré de vrai mauvais match. Aucune possibilité de souligner d’un stylo vengeur l’écart entre la prestation de certains joueurs et leur prix. Aucune occasion de dire à son collègue "Haha, regarde, je vais mettre 2,5 à Micoud". Paul Le Guen leur a notamment coupé l’herbe sous le pied, et l'on comprend que ce soit beaucoup moins drôle de mettre une tôle à N’Gog qu’à Pauleta. Du coup, tout le monde ou presque a eu droit à un 4 mi-figue mi-raisin, et il a fallu compter sur France Football pour départager les titulaires potentiels. Ça n’a pas toujours été possible et le onze type de la douzième journée a donc deux gardiens de but et deux arrières gauches. Ce ne sera pas de trop pour éviter de prendre une veste.



L’envers du championnat

Oh, ce n’est pas franchement une surprise. De fortes présomptions étaient dans l’air ces dernières semaines. Mais la patrie est sous le choc: le divorce est désormais inéluctable. Les initiés faisaient mine de ne pas s’inquiéter d’une situation alarmante, les opposants répétaient qu’on se voilait la face dans l’entourage du club à grands coups d’excuses en carton mâché, mais le communiqué est venu officialiser la séparation définitive entre l’OM et le championnat à l’envers, dimanche soir. Lassée d’un rôle de première dame du podium auquel la belle Phocéenne ne s’est jamais réellement adaptée, la voilà qui s’en va aux bras d’un autre. Un Belge ombrageux a mieux su la valoriser que l’élu du peuple, et, comme il y a deux ans, la coquine s’éloigne irrémédiablement des sommets de la nation.

Gorge nouée et yeux rougis, le Classement à l’envers va devoir apprendre à vivre sans elle. Nul doute que les prétendantes messines, sochaliennes ou même lensoises sauront occuper nos esprits éparpillés. Mais on regarde déjà d’un œil différent cette petite jeune de la capitale au potentiel indéniable. Trois points la séparent encore du Saint-podium, mais on sait bien qu’il n’y a qu’elle qui pourrait nous faire définitivement tourner la page en attisant un appétit que l’on croyait perdu pour toujours. Un peu de patience: le temps doit faire son œuvre avant que demain, peut-être, la passion ne rejaillisse. Différente, forcément, mais pas moins intense pour autant…

Réactions

  • Principal Skinner le 25/10/2007 à 13h21
    Sans parler d'attentat, il me semble qu'on peut deja parler de faute et envisager qu'elle n'est peut-etre pas sans consequence sur la chute de Govou. Non ?

  • Björn Björk le 25/10/2007 à 13h34
    Non PS, on peut décemment pas dire que ça a une influence ;-)
    Govou repose parfaitement son premier appui, c'est son second pied qui se dérobe inexplicablement. D'autant que lorsque tu regardes les images (celles qui bougent), le maillot est effectivement tenu, mais il n'a pas du tout l'air de subir une gravité exagérée. Il réussit d'ailleurs parfaitement son amorti.
    Ca n'empêche pas que tenir un maillot soit interdit, mais le fait qu'il y a une faute n'empêche pas qu'il y ait une énorme simulation.

  • FPZ le 25/10/2007 à 13h50
    Björn Björk
    jeudi 25 octobre 2007 - 13h34
    [...]
    Ca n'empêche pas que tenir un maillot soit interdit, mais le fait qu'il y a une faute n'empêche pas qu'il y ait une énorme simulation.
    ---------------------
    Clapclapclapclap

    ça fait des années que je me bats pour expliquer ça aux gens et que j'attends avec impatience l'arbitre qui sifflera faute du défenseur et qi mettra un carton à l'attaquant pour simulation.

    C'est le cas ici, même si certaines fois c'est encore plus flagrant : tenir le maillot, c'est interdit, mais ça fait pas tomber, si on est normalement constitué.

    [Dans le même genre, le supporter écossais ayant lui-même été sévèrement sanctionné, ça m'aurait pas choqué, bien au contraire, que la suspension de Dida soit beaucoup plus significative...]

  • Principal Skinner le 25/10/2007 à 14h03
    Qu'il ne tombe pas immediatement, au premier pied posé au sol, ne veut pas dire que cette faute ne l'a pas ete desequilibré a la reception

    Si tu as vu les images, alors tu as vu que le maillot n'est pas simplement "tenu", il est tiré vers l'arriere... alors que Govou est en l'air
    J'ai tendance a penser que celui qui subit ce genre de faute peut etre desequilibré quand il se receptionne. En tout cas, ce n'est pas a exclure, or la visiblement on exclue totalement cette possibilité pour se permettre de traiter Govou comme le 1er Fiorese venu.

    Enfin, on peut aussi penser que l'arbitre peut l'avoir vu et a sanctionner la faute de Berthod dans la surface.

    Bref, je trouve ce passage sur Govou assez deplacé compte tenu que Berthod a tout de meme bien commis une faute volontaire sur lui dans la surface.

  • funkoverload le 25/10/2007 à 14h09
    Je plusune totalement sur principal skinner.
    Ces attaques répétées sur l'OL et ses joueurs, en particulier l'emblématique Govou, exemplaire footballeur, attaché viscéralement à son maillot (pas comme l'infâme Berthod), fier de ses couleurs, jamais hors-jeu en plus, pas comme machinville, ces attaques donc sont indignes d'une rédaction dont la volonté affichée est de décrypter en toute impartialité le monde de football !
    Honte à toi Rédac !

  • Björn Björk le 25/10/2007 à 14h14
    Personne n'a nié la faute de Berthod. Mais il faut une sacré dose de mauvaise foi pour croire qu'après son premier appui, Govou ne fait pas exprès de tomber. Regarde bien son second appui, c'est celui d'un mec qui n'a plus de ligaments à la cheville. S'il avait été déséquilibré en arrière, il aurait au moins tenté de se rattraper.
    Et si l'arbitre avait vu la simulation de Govou, il lui aurait mis un jaune...

  • Principal Skinner le 25/10/2007 à 14h17
    Amusez vous a -bien- receptionner un ballon par un controle aerien alors qu'on vous tire vers l'arriere dans le dos

    Histoire de savoir si quelqu'un de normalement constitué ne peut absolument pas tomber ensuite, puisqu'apparement cette possibilité vous parait completement fantaisiste.

  • Björn Björk le 25/10/2007 à 14h25
    Y'a un équivalent au point Godwin pour le moment où la mauvaise foi dépasse un certain niveau ? ;-)
    Genre le Point Bernard Tapie ou le point Bill Clinton ?

  • Principal Skinner le 25/10/2007 à 14h26
    Björn Björk
    jeudi 25 octobre 2007 - 14h14

    Quand on parle d'attitude Fioresienne, il me semble quand meme qu'on evoque un joueur qui tombe sans qu'il n'y ait eu la moindre faute !

    Donc on insinue bien qu'il n'y'aurait pas du avoir peno.
    Le peno est pourtant difficilement contestable puisque Berthod s'amuse quand meme a faire une faute tout ce qu'il y a de volontaire sur Govou dans la surface

    Apres y'a debat sur le fait que cette faute ait pu avoir une influence sur la chute de Govou. Moi je dis que ce n'est pas impossible et je trouve exageré d'en exclure totalement la possibilité.

  • Principal Skinner le 25/10/2007 à 14h35
    Quand Bodmer avait fait un tirage de maillot sur un Sochalien qui partait au but, et qui s'etait ecroulé au sol vers l'avant, ca avait fait peno, je n'ai vu personne venir parler de simulation ou d'impossibilité physique de tomber pour une personne normalement constituée.

    Quand y'a un tirage de maillot, qui fait perdre l'equilibre (pas au point de tomber mais lui ne tentait pas un controle aerien non plus) a Ribery contre la lituanie, j'entends aussi parler de peno, pas de simulation.

    La y'a un tirage de maillot sur Govou, au moment ou il est en l'air en train de controler et de s'amener le ballon devant lui, il tombe, pas sur le 1er appuie mais sur le 2eme et voila que forcement, sans doute possible, c'est une simulation a la Fiorese.


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