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L'envers du championnat 2006/2007

Voici le chaînon manquant : l'utime épisode du désormais mythique Championnat à l'envers, doté pour l'occasion d'un classement complet, de la vingtième à la première place.
le 16 Juin 2007

 

Une saison passée la tête en bas, ça donne un peu la migraine. À la fin, on ne sait plus guère quoi retenir d’une longue transition entre la consécration du couple féerique de 2006 – Strasbourg et Metz – et tous ces espoirs fous avec lesquels on se projette pour l’avenir, dès que retentit le coup de sifflet de la dernière journée. Les fantasmes sont d’autant plus vivaces que l’Envers du championnat verra, avec un plaisir non feint la saison prochaine, le grand retour des héros de 2006.

classement_env_total.jpg


Si le suspens n’a guère duré plus de dix journées avant d’avoir la confirmation que Lyon n’y arriverait pas plus cette saison que les cinq précédentes. Irrémédiablement scotché à l’arrière-train de la Ligue 1, le club remporte un sixième bonnet d’âne consécutif, et force est de reconnaître que ce résultat atterrant ne fait que confirmer des prestations épouvantables sur le terrain. Malgré une deuxième moitié de championnat un peu plus digne, nul n’a oublié la première partie de saison cauchemardesque des hommes de Gérard Houllier. Au passage, notons que malgré son expérience irremplaçable à la tête des mythiques Bleus de 93, Houllier n’aura su faire mieux que ses deux malheureux prédécesseurs, et quitte lui aussi l’OL sur un double échec. Troublante coïncidence qui ne semble pas faire réagir Jean-Michel Aulas, qui s'entête avec vieux logiciel bloqué dans le monde de la lose.

L'alchimie nantaise
En dehors des Lyonnais, tous ou presque auraient pu prétendre jouer un rôle dans un championnat sans réel ventre mou. Les Nantais l’ont démontré avec brio, eux qui avaient abordé cette saison sans ambition démesurée, se croyant prédestinés à la deuxième moitié du classement avec un effectif inadapté sur le papier. Mais Serge Le Dizet a su créer cette fameuse alchimie, celle qui permet de tirer le meilleur de ses hommes. Bien relayé par Georges Éo qui a formidablement œuvré dans la continuité, puis l’improbable duo Der Zakarian-N‘Doram dont l’inexpérience n’aura pas affaibli le niveau de performance, c’est un travail d’équipe qui est récompensé par un premier sacre pour un premier podium après tant d’années d’attente. On atteignit parfois le pur génie – la trouvaille Barthez, le match perdu contre Toulouse sur le score historique de 0 à 0 – mais au final, c’est un champion au rabais qui est sacré.

Avec cinq points de plus que Strasbourg et Metz la saison dernière, les Lorrains ayant même affiché une défense ô combien plus performante avec dix buts de plus au compteur, les Nantais ne distancent que d’une longueur le dauphin des Ardennes dont les performances de la défense, dignes des glorieux du passé, auront été mises à mal par une attaque inquiétante tout au long de la saison. Pour leur part, les Troyens ont su rester à leur niveau, et les trente-neuf points qui s’étaient avérés insuffisants la saison dernière leur ont permis de gravir la marche vers l’accession en L2. Déplorons toutefois que Sedanais comme Troyens n’ont pas réellement surpassé leurs limites, comme le FC Nantes qui ne connut qu’un réel rival sur ce plan: le fantastique Paris Saint-Germain version Guy Lacombe, qui aura été l’autre grand animateur du classement à l’envers cette saison…

Réactions

  • Si le vin vil tord le 22/06/2007 à 07h28
    Tiens je comprends pas, il y a eu erreur de fil.

La revue des Cahiers du football