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Sous le sommeil de Mexico

Redescendus des hautes sphères alpines, les Bleus ont battu le Mexique dans la plaine dionysiaque. En voici un riche compte rendu incluant, en plus des rubriques traditionnelles, "le match de Coupet", un "Ça m'énerve" ou "le geste technique de Larqué"...
le 29 Mai 2006

 

Les grognons purent grogner à l'issue d'un match dont le statut ("de préparation", "amical") est lui-même sujet à débat – voir plus bas – et dont le spectacle a été variable (au point de se réduire quasiment à la seule première mi-temps). Sans lui accorder l'importance excessive que lui conféraient les "adieux de Zidane" au Stade de France (alors que c'est à ce dernier qu'il faudrait dire au revoir), il est tout de même possible d'en tirer des enseignements plutôt positifs...


La nalyse : un "six" déjà majeur ?

Les enseignements d'un match tronqué par le contexte et les changements (voir ci-dessous) sont forcément limités – sauf pour les catastrophistes qui n'ont pas besoin de beaucoup de pelote pour tirer le fil. Des points positifs, il y en a pourtant: en première période, l'ensemble du bloc défensif a manifesté une belle solidité et une certaine cohérence. D'une part parce que Vieira et Makelele ont maîtrisé leur sujet devant la défense (coupant un grand nombre de transmissions), ensuite parce que celle-ci a pu faire valoir une belle présence athlétique, et une complémentarité satisfaisante, même si elle reste à confirmer – notamment pour Gallas et Thuram, charnière nouvellement élue (ne serait-ce que par la rédaction de L'Équipe) qui n'a aujourd'hui que cinquante minutes de vie commune.

Le constat est rassurant, d'une part parce que l'on craignait que Makelele et surtout Vieira n'évoluent pas à leur niveau physique et technique supposé, d'autre part parce que l'assise défensive, autour de ces six titulaires probables-là (le doute principal concernant l'alternative Abidal-Silvestre), est un élément indispensable pour justifier des ambitions dans une phase finale. On pourra toujours mettre sur le compte de la médiocrité des Mexicains leur relative impuissance offensive, mais c'est oublier que leur quatrième place au classement mondial n'est pas complètement usurpée et que leur équipe bénéficiait d'une préparation bien plus avancée que celle des Bleus…
Ajoutons que le bilan de la défense est également à créditer d'une bonne animation des couloirs (permettant à toute l'équipe de bien exploiter la largeur), Abidal et Sagnol étant beaucoup montés, et à bon escient.

L'animation offensive a en revanche été beaucoup plus aléatoire, essentiellement parce que Zidane ne l'a pas prise en charge de façon satisfaisante et que Malouda ne pouvait à lui seul assurer la liaison avec les deux attaquants – dont le bilan, apparemment négatif, doit donc être pondéré.
La seconde période n'a pas apporté de solutions à ce problème, puisque le 4-4-2 adopté a mis beaucoup de temps à prendre forme sur le terrain et que l'ultime schéma (après l'entrée de Ribéry) a eu encore moins de temps pour s'exprimer. Sur l'ensemble de la partie, ce sont donc plutôt les initiatives individuelles ou quelques éclairs collectifs qui ont porté le danger devant le but mexicain (ou simplement offert de jolies phases de jeu). On aurait d'ailleurs tort d'oublier les nombreux mouvements dans le camp mexicain, même s'ils n'ont pas tous été gratifiés d'occasions nettes – le but lui-même concluant une longue possession française au cours de laquelle sept joueurs différents auront touché le ballon.

Si le choix des hommes à l'arrière se résume à des alternatives pour chaque poste de la défense à quatre et pour les deux récupérateurs (comme l'ont montré les substitutions opérées par Domenech au cours du monde, poste pour poste), avec une hiérarchie qui semble se consolider pour chacun d'entre eux, il en va autrement dans la section offensive, ou plusieurs questions restent pendantes: un ou deux attaquants? Qui pour flanquer Zidane dans le 4-2-3-1 ou le 4-4-2 "en losange" qui se dessinent? Qui pour constituer le 4-4-2 alternatif "avec milieux excentrés"? Ce n'était manifestement pas le genre de questions auquel ce premier match de préparation pouvait déjà répondre…



Les observations en vrac

> À ce rythme-là, Zizou peut encore jouer une centaine de matches en bleu, avec Platini et Kopa pour l'épauler.
> Cissé a mis une chaussure rouge et une bleue, c'est pour reconnaître sa droite et sa gauche?
> Sur le banc mexicain, le gardien remplaçant s'appelle José Corona. Jacques Chirac a demandé à avoir son maillot.
> Henry est allongé devant le banc de touche. Soit il a peur de s'asseoir dessus, soit il veut montrer qu'il est bien trop petit pour lui.
> Dhorasoo a réussi à se mettre au niveau de Zidane en ratant presque autant de passes que lui.



Les gars

Barthez est resté imperturbable sous les sifflets et devant les rares tentatives mexicaines. Pas d'arrêt à effectuer, donc pas grand chose à montrer sur un tel match.

Thuram et Gallas se sont révélés complémentaires, au moins pour la capacité du premier à jouer sur son placement et celle du second à s'engager constamment. Pour la relance, on évitera de repenser à Blanc (oublions aussi ce mauvais renvoi du Turinois – 49e). Abidal, absurdement encensé par un Larqué qui tenait manifestement à se faire pardonner un certain lynchage (voir Comment Larqué s'est troué) a impressionné par son activité sur le côté gauche, qui lui a même permis de rattraper ses propres erreurs. Plus approximatif quand il a été replacé dans l'axe. Comme en atteste le nombre de ballons qu'il a touchés, Sagnol n'est pas loin de son meilleur niveau, mais son agressivité envers l'arbitre pourrait lui jouer des tours en Allemagne, et il a concédé deux coups francs dangereux sur le flanc gauche des Mexicains.

Boumsong a eu une entrée un peu délicate avec un sauvetage de corner complètement raté. Il a peiné à trouver l'équilibre avec Abidal pour stabiliser une défense plus souvent malmenée qu'en première mi-temps (à la 54e minute, Bravo n'était pas hors-jeu quand il file au but), mais c'est lui qui fait le ménage au moment où son partenaire a cafouillé. Silvestre a parfois flotté côté positionnement, mais son apport offensif est toujours intéressant quand il parvient à ajuster de jolis centres.

Vieira et Makelele constituent paradoxalement la bonne surprise de la soirée : présents à la récupération comme à la construction, ils ont apporté de la sérénité en même temps qu'une capacité à neutraliser l'adversaire. Exactement ce que l'on attend d'eux, après en avoir un peu désespéré. On a même vu le premier trouver la barre sur sa frappe contrée (15e) et le second tenter une roulette (34e).
Ce n'est pas le premier bon match de Malouda en bleu, mais il a été bien inspiré de le produire en un tel moment. Bien qu'ayant un peu disparu, comme ses coéquipiers, en seconde mi-temps, il a marqué les esprits en même temps que son but (une façon de gommer provisoirement une efficacité souvent pointée comme une de ses lacunes). Pour ses adieux à Saint-Denis, Zidane a produit sa plus mauvaise performance sous le maillot tricolore. On s'en tiendrait au caractère anecdotique de ce constat s'il n'était pas d'assez mauvais augure pour la compétition à venir... Mettons toutefois cette contre-performance sur le compte d'une condition physique à parfaire.

Diarra, en dépit de quelques interventions dangereuses, a exprimé beaucoup de volonté, concrétisée notamment par un tir passé très près du cadre (84e). Il est l'un de ceux qui se sont le mieux tirés de la seconde période, au contraire de Dhorasoo, peut-être troublé par des sifflets dont l'ampleur atteste de la bêtise collective propre au Stade de France. Il s'est lui-même enfoncé la tête sous l'eau en ratant des transmissions faciles. Wiltord a été étonnamment discret après son entrée en jeu, sans prendre beaucoup de responsabilités et en ayant l'air de peiner à se positionner clairement. Ribéry, salué par des acclamations elles aussi sans mesure, a tenté d'apporter ce qu'on lui demande – de la percussion – dans le peu de temps qui lui a été imparti.

Cissé a peaufiné son profil de bouc émissaire, avec une performance désormais traditionnelle: bonne volonté et manque d'efficacité, dans un rôle ingrat d'ailier qu'il renâcle à occuper à Liverpool. Mais, n'ayant jamais baissé les bras, même malchanceux ou maladroit, il peut conserver la satisfaction de son centre décisif, des occasions qu'il s'est procurées (4 tirs au but) et de quelques bonnes inspirations comme cette ouverture vers Trezeguet (36e). D'aucuns persisteront à condamner Trezeguet sur un tel match, malgré une configuration de jeu qui lui rend peu justice. Les deux occasions qu'il a obtenues (dont une tête sur un centre de Silvestre - 65e) pourraient bien aller au fond la prochaine fois.



Le geste technique de Jean-Michel Larqué
31e, à propos du placement de Marquez : "On a un système de pied à coulisse, de trombone".



France-Calais, en trois tiers-temps ?

Si la centième sélection de Zidane n'était en rien la garantie d'un grand match, elle a assuré à la FFF un bon coup médiatique qui lui a permis de remplir le stade de France. Au-delà, on peut s'interroger sur l'intérêt,en pleine phase de préparation, de tels matches officiels – suscitant des attentes contradictoires avec ce temps de mise au point physique et tactique. Compte tenu de l'état de forme des joueurs, de la nécessité de tester des schémas tactiques en situation et de l'importance très secondaire du résultat, une opposition officieuse en trois tiers-temps de trente minutes contre une équipe de club de deuxième ou troisième division semblerait plus adaptée. C'est d'ailleurs ce que faisaient les Bleus dans les années 80 pour préparer les phases finales en Espagne et au Mexique… L'Allemagne de Klinsmann a également choisi de faibles oppositions, qui ont au moins e mérite de ne pas exposer à des défaites malvenues.
Le problème est qu'un match de l'équipe de France, même après la décote de la période 2002-2004, ça rapporte beaucoup d'argent: à la Fédération, à TF1, au Consortium du stade de France et aux sponsors qui ont besoin d'être exposés.



Le match de Grégory Coupet

Aligné sur le banc de touche dès le coup d'envoi dans une composition en 2-4-3-2 dans laquelle il partage les buts avec Landreau, le gardien lyonnais s'efforce de grimacer un sourire à la caméra tout en serrant très fort les gants marqués à son nom (pour ne pas les mélanger avec ceux de Fabien?)
21h33, sur un coup franc de Pardo, Marquez place une tête juste au-dessus de la barre de Barthez qui semble battu. "Vous avez vu, coach? Celle-là, elle est dedans, c'est pareil".
22h06, Thuram est acclamé pour sa sortie.
22h07, c'est le tour de Makelele.
22h09, c'est le tour de Zidane. Barthez récupère le brassard. "Faudrait pas qu'il se froisse l'épaule en l'enfilant, on ne sait jamais".
22h11, "C'est sympa de faire sortir les anciens pour leur dernier match ici, coach. Ce serait dommage de priver Fabien d'une belle ovation".
22h45, l'arbitre M. Daami donne un carton jaune à Barthez pour gain de temps. "Ça, en Coupe du monde, c'est l'expulsion directe".
22h55, Coupet range ses affaires dans son sac, sort en claquant la porte des vestiaires et disparaît dans le couloir. Après un appel de Robert Duverne, il revient sur la pelouse à 23h30 et s'étonne que les projecteurs soient déjà éteints.



En retard sur 98 ?

Le comparatif est forcément sujet à caution: seul le contexte médiatique présente quelques similitudes avec celui qui préluda au titre, il y a huit ans. Ce premier des trois matches de préparation pré-Mondial de Domenech confirme en tout cas un "retard" sur les hommes d'Aimé Jacquet à trois encablures de leur premier match de compétition – en partie parce que le premier a bénéficié de moins de matches amicaux que le second.
Au regard de la composition défensive expérimentée dès l'Euro 96 par Jacquet (Thuram-Blanc-Desailly-Lizarazu), l'inédite titularisation de la charnière centrale apparemment la plus compétitive (Gallas-Thuram), pour 46 petites minutes seulement samedi soir, semble bien tardive. À leurs côtés, seul Willy Sagnol a écarté la concurrence depuis belle lurette, tandis que sur le flanc gauche, le cœur de Domenech balance encore entre Abidal et Silvestre .

À trois matches de la Coupe du monde 98, les Bleus battaient la Belgique à Casablanca sans réellement convaincre, grâce à un petit but de Zidane n'offrant pas plus de certitudes que celui de Malouda contre le Mexique. Mais outre son invincible défense, Jacquet avait aligné ce soir-là les deux récupérateurs des futurs champions du monde (Petit-Deschamps) après les tentatives Makelele (contre la Norvège en février), Karembeu (face à la Russie en mars) et Lamouchi (lors du nul en Suède du mois d'avril), et son animation offensive se dessinait également clairement: Zidane-Djorkaeff en soutien d'une pointe unique, Guivarc'h (puis Dugarry en seconde mi-temps), ne laissant finalement qu'un poste ouvert à la concurrence entre Pires, Diomède et Henry – lequel d ébutera finalement contre l'Afrique du Sud au Vélodrome.
L'association expérimentale de Trezeguet et de Cissé n'a pas permis d'alimenter la réflexion sur les options offensives, même si celle-là n'a évidemment pas pris l'ascendant sur celles d'Henry seul en pointe ou associé à Saha.

Quand on entend le sélectionneur annoncer la mise en place de son équipe type au plus tôt contre la Chine, à quelques jours seulement du rendez-vous avec les partenaires d'Alexander Frei, le retard pris sur la préparation de 98 semble incontestable… Sans être irrémédiable pour autant.



Les titres auxquels vous avez échappé

> Les Aztèques à la sauce Bleu.
> Le Mondial, ça Mexique.
> Tequila sunrise
> Chiapas ou ça casse.



Ça m'énerve : l'abus de remplacements en match de préparation

En fixant à six le nombre de remplacements autorisés en match amical, la FIFA s'est contentée de limiter les dérives d'une coutume tenace, dont il faudrait probablement pendre l'instigateur pour attentat à l'esprit du jeu. Six remplacements, c'est encore le double de ce qui est permis habituellement, plus de la moitié d'une équipe...
La pratique a cela de stupide qu'elle transforme systématiquement, dès la reprise ou à l'heure de jeu, des parties de football déjà fréquemment soporifiques pour cause d'engagement minimal en ballets ininterrompus de joueurs pénétrant et quittant la pelouse. Et encore : évoquer un ballet suppose une chorégraphie que nos amis à crampons sont loin de maîtriser, eux qui traînassent inévitablement pour récolter quelques applaudissements, ou pour bien faire comprendre à leur coach tout le bien qu'ils pensent de sa décision de les envoyer prématurément sous la douche. Pour tout dire, on a plutôt l'impression d'assister à la criée du samedi matin sur le port de Dunkerque, surtout depuis que les arbitres assistants ont pris pour habitude de manier leur panneaux lumineux avec autant de dextérité que s'ils portaient des gants de boxe.

Le match de samedi n'a pas dérogé à la règle, avec une dernière demi-heure à peine digne d'une cour d'école, tant les Bleus sont apparus désorganisés tactiquement. Si la pilule peut passer pour un match amical lambda, elle s'avère un peu plus amère pour ce type de rencontres un peu trop hâtivement qualifiées de "matches de préparation". Car de quelle préparation parle-t-on quand les joueurs qui sont censés être performants dans trois semaines ne bénéficient que d'une grosse mi-temps pour effectuer leurs réglages? Domenech, qui se plaignait à juste titre il y a quelques mois du faible nombre de rendez-vous réservés aux Bleus pour mettre sur pied son équipe, a commencé par limiter les enseignements du premier d'entre eux. Où est la logique?

Réactions

  • The man with no name le 30/05/2006 à 13h20
    D'accord avec (entre autres) le dernier paragraphe : un jour, on se plaint de manquer de matchs amicaux pour peaufiner les réglages, mais quand vient enfin le macth en question, on l'expédie sans tambour, ni trompette, ni tactique, ni volonté de procéder aux dits reglages : le meilleur exemple étant cette charnière centrale Thuram-Gallas annoncée depuis 1 an comme étant la meilleure intrinsèquement, qui pourtant n'avait jamais vu le jour, et qui a été renvoyée à la douche au bout d'une malheureuse mi-temps. Tant pis, les reglages attendront le 1er tour, comme en 2002 (Candela à droite, Thuram-Desailly dans l'axe, ...).


  • Save Our Sport le 30/05/2006 à 15h49
    Dans le meme temps l article "preche" pour la determination d une equipe-type, de titulaires, en comparant les choix de domenech avec ceux de jacquet.
    Pour cela les changements me semblent obligatoires.
    Paradoxal?
    Pour autant il est vrai que tant de changements, qui de plus rarement place pour place, ne paraissent pas efficaces; pour notre plaisir, et surtout pour la determination de l apport effectif des entrants.
    Apres...hein ! voila quoi...

  • Vidosh Carasoo le 30/05/2006 à 16h14
    D'accord avec (entre autres) le dernier paragraphe :
    -----

    Moi pas. Quoique, j'ai cru y voir un chouïa de 2ème degré, un côté "je dis tout et son contraire, je me contredis toutes les 3 phrases, tout est bon pour avoir l'air jamais content" qui est le fonds de commerce des médias.
    Avoir tout chamboulé le six de derrière en seconde mi-temps, ça ne me choque pas. Domenech voulait faire des essais, ce n'est pas parce qu'un essai est concluant qu'il ne faut pas en faire d'autres. Et d'autant plus si ça peut permettre à Vieira et Makelele d'arriver moins cramés au début de la compétition.

  • rom's le 30/05/2006 à 21h47
    Ouais, critiquer les remplacements quelques semaines après avoir expliqué dans un article que la fraîcheur serait prépondérante et proposé de sélectionner des joueurs ayant peu joué cette saison, c'est un peu contradictoire. Mais Vidosh Carasoo a peut-être raison, peut-être que la rédac tend la perche exprès.

    Sinon, je suis d'accord avec à peu près tout le reste. Et aussi "Ich bin ein BerlineRiberyiste". De plus en plus.

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