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La Gazette : 37e journée

La Gazette passe les polémiques au détecteur de galéjades, regarde le classement en relief dans le miroir, replace Cyril Rool au classement du fair play, retrouve les trois points perdus par l'OM et explique le "jeu sans pression"...
le 11 Mai 2006

 

Insuffisamment motivé par la course aux records futiles ou par le maintien d'une équité idéale entre ses poursuivants, l'OL a entaché ses stats d'une lourde défaite à Lille qui a eu le mérite d'entretenir la polémique (voir plus bas). Les Bordeluches ne lâchent pas le morceau, eux, et sont allés remporter à Nantes leur énième "derby de l'Atlantique" – bientôt rebaptisé derby de l'Atlantide si Nantes continue à naviguer en eaux profondes.
Le LOSC prend donc deux longueurs d'avance sur des Marseillais qui sont les derniers à pouvoir leur ravir la place pour le tour préliminaire de la Ligue des champions. Sauf si l'on considère qu'Utaka et Frei pourront contribuer, samedi prochain, à une victoire des Rennais contre les Nordistes sur le score de 13 à 0.
Du coup, c'est la place pour la Coupe de l'UEFA qui semble la plus disputée, Lens pouvant aussi y prétendre moyennant des circonstances très favorables. Un paradoxe, quand on sait avec quel mépris les clubs français abordent une C3 qu'ils semblent résolus à ne jamais gagner.
Et derrière? Et bien, puisque tout est joué, on musarde, on baguenaude, on batifole. On maltraite le panneau d'affichage au Stadium, ou bien l'on joue au relégué doté de la plus mauvaise attaque mais capable de passer quatre buts au vainqueur de la Coupe de France.


classement_37j.jpg

Les résultats de la 37e journée
Lille-Lyon : 4-0
Nice-Metz : 2-1
Toulouse-Monaco : 3-3
Marseille-Strasbourg : 2-2
Sochaux-Troyes : 1-1
Saint-Étienne-Rennes : 0-0
Le Mans-Lens : 0-0
Paris SG-Ajaccio : 2-4
Nancy-Auxerre : 1-3
Nantes-Bordeaux : 0-1



Le dernier déguisement lyonnais
Dans un tribunal, on aurait dit que le faisceau des présomptions pesant sur la défaite de Lyon à Lille – la plus colossale des dix dernières années – est large. Au premier rang, une singulière préoccupation de l’OL pour ses internationaux (Abidal, Govou et Reveillère remercieront Houllier au passage de les avoir mis dans les meilleures conditions pour briller). Ensuite, une consanguinité troublante des actionnaires des deux clubs. Mais aussi : la mauvaise foi d’avant-match, lorsque le coach déclare qu’il est hors de question que les Lillois soient les premiers à prendre six points à Lyon… Ou encore un étonnant revirement tactique entre la démonstration face aux Stéphanois et l’humiliation subie à Lille, lors de matches à enjeux équivalents.
Le mobile serait d’ailleurs facile à trouver : mieux vaut se faire accompagner en Ligue des champions par des Lillois aussi télégéniques qu’une chorale islandaise que par un OM plus à même de leur voler la vedette en prime time sur TF1. Mais que fait la police? Réveillez le Conseil de l'éthique!

Des Verts aux Dogues, ce 4-0/0-4 palindromique ressemble en fait à une pièce de la comedia dell’arte. Grimés en rouge et bleu lors du premier acte, les Lyonnais se sont – avec un réalisme rare – déguisés en Ajacciens lors du second. Et c’est JMA qui résume le mieux la situation: "Je comprends leur position mais c'est une polémique stérile".
L’OL a-t-il faussé le championnat ? Evidemment. Difficile de nier que les Rhodaniens, ont largement facilité la tâche des Lillois. Car au-delà de la composition, c’est le match dans sa totalité qu'ils ont laissé filer. Et vouloir éviter ce débat en tentant de valoriser l’équipe B lyonnaise ou en stigmatisant les maladresses lensoises, marseillaises et rennaises est digne des plus belles circonvolutions d'un membre du gouvernement pris dans les rets de l'affaire Clearstream.
Est-ce grave pour autant ? Absolument pas, car ce genre d’évènement arrive tout le temps, partout, et depuis des années. Ils continueront d’ailleurs à se produire sans qu’on puisse rien n'y faire tant que l’on jouera des championnats en plusieurs journées et que la moitié des équipes n’auront plus rien à espérer de leurs derniers matches. Au mieux, ça s’appelle un aléa du calendrier.
La seule question qui reste est forcément la plus futile : ont-ils fait exprès? Penser que Lyon craint plus une concurrence marseillaise que lilloise est stupide. C’est également ignorer que Lille est le seul autre club Français dont la politique à long terme est en train de porter ses fruits, et que Lille-Lyon est aujourd’hui ce qui se rapproche le plus d’un Clasico hexagonal.
 
La polémique est effectivement stérile, et l’attitude de Lyon, loin d’être condamnable, est tout au plus maladroite. La seule chose à retenir de ce match, c’est que face à ses cinq poursuivants, l’OL n’aura finalement pris que 11 points sur 30 (Lille: 0, Bordeaux: 2, Rennes: 3, Marseille: 4 et Lens: 2). Mini-championnat qui risque fort d’être finalement gagné par…Lille, seul club a avoir été irréprochable dans cette affaire.



Keep On Roolin' !
À la veille de la dernière journée, alors que le champion est (bien) connu, que le podium en bois a déjà rendu son verdict, et que Paulette apparaît intouchable au classement du meilleur buteur, la question qui nous taraude est la suivante le tee-shirt "Sex, drugs and Cyril Rool" des Cahiers restera-t-il tendance cet été?
Si l'on se contentait du classement des cartons jaunes, la réponse serait oui, et furieusement encore! Cana n'y devance notre héros que d'une unité. Cyril Rool, avec 14 pions, précède sous nos applaudissements Alou Diarra, d'une tête itou. En embuscade pour le titre, il serait déjà assuré d'une place d'honneur sur le podium, les suivants étant relayés à deux longueurs.

rool_gentil.jpg
Risquant de terminer la saison sans le moindre carton rouge, Cyril Rool n'ose plus regarder personne en face.
Mais c'est sans compter sans les viandards du carton rouge. Ces garçons manieurs de crocs de boucher qui usurpent ce classement du fair-play avec une équivalence de trois jaunes pour un rouge. À ce petit jeu, Alou Diarra passe les épaules et score à 19 sur l'échelle du pire, suivi du messin Mehdi Meniri, surgi des entrailles encore fumantes du Graoully (17). Cana se voit contraint de partager la troisième place avec le monégasque Zikos, qui non content de prendre deux jaunes tous les trois matches, bénéficie aussi d'un rouge cette saison. Rool, exempt de toute expulsion cette saison, est alors relégué au pied du podium, chaperonné par une doublette parisienne composée d'Edouard Cissé et Sylvain Armand. Tout reste à faire...



À la recherche des trois points perdus
L'OM n'a pas profité du calendrier favorable de cette avant-dernière journée. Il lui manque trois points pour s'emparer de la troisième place. Les deux perdus face à Strasbourg semblent barrer la route de la Ligue des champions aux Olympiens... Toutefois, l'OM et le LOSC ayant chacun remporté quatre points dans leurs confrontations avec les Alsaciens, ce n'est pas là que se trouvent les trois unités manquantes.

On songe aux méandres de l'Intertoto, sans lesquels l'effectif chamboulé aurait mieux entamé son championnat. La dernière place au soir de la cinquième journée peut sembler abriter les trois points recherchés. Si le championnat avait commencé à la sixième journée, le match nul concédé face à Strasbourg aurait en effet permis à Bordeaux (58 points) de prendre la deuxième place au classement à l'OM (57 points), laissant Lille et Rennes légèrement distancés à 55 points. Mais ce n'est pas dans ce classement amputé de la pire période phocéenne que se cachent ces trois points. La digestion de cette frugale entame fut finalement rapide: dès la onzième journée, Marseille se classait à trois petits points de la troisième place. À la fin des matches aller, les Olympiens étaient devant Lille et le tour préliminaire de la Ligue des champions n'était plus qu'à une longueur…

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Abandonnant toute démarche pédagogique avec Frédéric Déhu, Jean Fernandez a décidé de joindre le geste à la parole.
Avant la dernière journée, le LOSC aura engrangé trois points de plus que l'OM dans la phase retour. Depuis la mi-championnat, Marseille a par exemple perdu beaucoup de points contre les plus modestes écuries de L1 (nuls à domicile face à Toulouse, Sochaux et Strasbourg, défaites à Ajaccio et Metz). Sur l'ensemble de la saison, Lille a gagné sept points de plus contre ces mêmes adversaires. Mais les Nordistes n'ont finalement pris qu'un seul point supplémentaire face aux petits – Troyes ayant équilibré cette comparaison en laissant six points à l'OM pour aucun concédé aux Dogues. L'accumulation de contre-performances contre les mal classés, lors des matches retour, n'aura donc pas enterré les ambitions phocéennes.

Le plus grand écart relatif lillois aura finalement été réalisé face… à l'OL. En ramenant cinq points de plus que l'OM de ces matches au sommet, les Lillois ont creusé un écart peut-être décisif qui peut faire comprendre le désarroi d'Anigo à la lecture de l'équipe lyonnaise alignée contre eux. Mais cette polémique peut être noyée la semaine prochaine. Il suffirait que Lille ne prenne pas plus de points que les Marseillais face à Rennes (trois points en deux matches), et que l'OM gomme l'écart de performance face à Bordeaux (trois pour les Lillois, aucun pour l'OM)…

Les trois points étaient tout simplement bien cachés à Chaban-Delmas. Il ne reste plus qu'à aller les cueillir, au risque de s'incliner face à un LOSC finalement pas beaucoup plus brillant, mais ô combien plus régulier avec des moyens ô combien moins conséquents… et de s'en prendre à soi-même devant tant d'occasions gâchées tout au long de la saison.



Le jeu sans pression expliqué à ma femme
Mon diamant rose.

Tu t'es extasiée sur ma bonhomie devant le Téléfoot de ce matin et il y avait de quoi. Cette fin de championnat, c'est encore mieux que des vacances de football. Tu sais, la trêve n'est jamais de tout repos avec les transferts dont je t'ai brillamment expliqué les principes récemment (voir CdF# 24). Toute cette saison, j'ai souffert, somatisant les douleurs psychologiques de nos footballeurs de L1. C'est comme ça que j'ai réussi à me faire un claquage devant OM-PSG. Mais comme dit ton père, "En mai, fait ce qu'il te plait" – ce qui se traduit en langage footballistique par "Au mois de l'ascension, joue sans pression"... Après, c'est "À la pentecôte, tu finis sur la côte". Mais ne multiplions pas les théorèmes. Tu as bien entendu, tandis que tu épluchais les patates dominicales, que subsiste encore un mini-suspense, largement exagéré. Car dans le fond, finis stress et dépression, ça joue à la hauteur et sans pression. Pourquoi ces grands nigauds en maillot pleurent-ils, alors, me demandes-tu, candide. Bah, ils coulent leurs larmes d'adieu ou d'émotion, comme toi au mariage de ton frère ou de ton ex mais pas pour les mêmes raisons.

Donc, en cette 37e journée, on a pu être joyeux, voir de beaux gestes, de beaux matches. Même quand l'équipe perd 4-2 ou 4-0 en étant humiliée. Rien à battre, les lignes ne bougeront plus que pour le symbole... Nos footeux s'en désintéressent désormais. Le foot, c'est beau à voir quand ça joue et cette année en France, ce n'est arrivé qu'à Gerland... c'est dire si on s'est ennuyé. Jouer sans pression, c'est juste pour le fun. En fait, C'est un peu comme draguer quand tu sais que tu vas pas conclure parce que tu as mieux à la maison. Enfin, je dis ça, c'est pas pour moi. Non, je te jure, c'est Jean-Claude qui me l'a soufflée, l'idée... Voyons tu me connais... Et voilà, quand il y a trop de pression, je perds tous mes moyens, comme un joueur de L1!



L'envers du championnat
Que de regrets pour les Gones! Il aura fallu attendre la pénultième journée pour que Gérard Houllier aligne enfin une équipe audacieuse, punissant bien trop tard ses habituels titulaires défaillants pour ce qui restera la performance la plus accomplie de toute la saison lyonnaise. À en juger par l'efficacité de cette formation pedrettisée, il apparaît que Gérard Houiller aura mis trop longtemps avant de trouver la bonne formule, exploitant seulement sur la fin le potentiel d'un groupe qui sera resté tout au long de sa saison dans une condition peu enviable de simple spectateur de la lutte pour les places d'honneur. La rencontre pleine de maîtrise de cette équipe rajeunie démontre que Jean-Michel Aulas avait pourtant construit un groupe capable de jouer le haut du classement à l'envers avec un peu plus de détermination…

classement_envers37.jpg

Au sommet, le suspens est désormais terminé. Le FC Metz a écœuré la concurrence en enchaînant un cinquième résultat positif de rang, ne laissant pas le moindre point venir ternir son sprint final d'anthologie. Les Lorrains seront très logiquement sacrés champions en fin de semaine à Saint-Symphorien, et pourront recevoir Paris sans trembler grâce à une différence de buts confortable. Les hommes de Joël Muller s'étaient en effet adjugé avec autorité la tête du classement à l'envers dès la première journée du championnat, au bénéfice d'une différence de buts qu'ils avaient tout de suite soigné en champions expérimentés et prévoyants. Les voici enfin récompensés par un titre qui ne doit rien au hasard, les grenats ayant occupé la pole vingt-deux fois en trente-huit journées, sans jamais la quitter plus de quatre journées consécutivement.

La belle constance messine aura cruellement fait défaut aux Strasbourgeois et aux Ajacciens. Les Alsaciens n'auront pas su profiter d'un calendrier favorable leur offrant deux déplacements largement à leur portée, à Marseille puis Auxerre. Ils doivent mettre un mouchoir sur leurs ambitions alors qu'une superbe frappe de Nasri laissait pourtant augurer une belle soirée pour le Racing. Mais les joueurs de Duguépéroux ont été trahis par la maestria défensive de la charnière centrale de l'OM. La tâche semblait moins aisée pour les Corses en déplacement à Paris "où tout peut toujours se passer" écrivions-nous dans la Gazette de la 36e journée. Ça s'est effectivement mal passé pour les hommes de Pasqualetti. Ils ne peuvent plus viser que la deuxième place au classement, seul enjeu de la dernière journée d'un championnat de bonne tenue technique, mais qui aura somme toute péché par le caractère finalement assez prévisible des forces en puissance.

Réactions

  • Gobi le 11/05/2006 à 16h33
    Ce que personne ne sait, c'est qu'Anigo et Auas ont été dans la même classe au CE2 à St Romain de Popey (69), durant l'année ou le papa de José (agent SNCF) était muté en région lyonnaise. Le petit josé était un vrai tyran avec ce pauvre Jean-Michel qui ne s'est jamais tout à fait remis des tirages de slip dans le pantalon tergal que lui faisait subir le vilain garnement à l'accent chantant à chaque récré... La rancune aujourd'hui se comprend... Du coup : "Je te foire un match avec le frère de mon pote pour pas que t'aille en C(M)1 et je vais faire semblant de te souffler ta vedette (dont en fait j'ai rien à faire vu que j'ai déjà un Malouda) rien que pour te faire devenir tout rouge de colère... Vous voyez le foot ça reste bon enfant !

  • Raspou le 11/05/2006 à 16h49
    Bon, pour changer de sujet, ce qui m'a herisse le poil, c'est la phrase anodine selon laquelle les clubs francais n'ont pas de bons resultats en C3 parce qu'ils ne la jouent pas a fond... Mais tiens donc... C'est fait vraiment trop mal au posterieur d'admettre que, Lyon a part, on est moins bons que les seconds couteaux espagnols ou les premiers couteaux roumains ou russes?

    Didiou

  • ravio le 11/05/2006 à 16h56
    Gobi, ça tient pas debout.

    Au vu de leurs âges respectifs, pour qu'Anigo et Aulas aient été dans la même classe en CE2, il aurait fallu qu'Aulas ait redoublé, au bas mot, une bonne quinzaine de fois avant son CE2.
    Ce qui est tout bonnement impossible. Le contraire, je dis pas (c'est même probable).

  • Jeune Mavuba Vaincu le 11/05/2006 à 17h12
    Raspou, vu que Lille a largement soutenu la comparaison face au futur large vainqueur, je dirai que non, on est pas inférieurs au seconds couteaux espagnols, anglais ou italiens. Mais on ne gagne pas quand même.

  • Gobi le 11/05/2006 à 17h48
    ravio - jeudi 11 mai 2006 - 16h56
    Gobi, ça tient pas debout.

    ---------------------------------------------------

    Yep !
    j'ai du confondre avec un autre Jean-Michel, et si ça se trouve c'était pas Anigo non plus...


    C'est pas grave parce que de toutes façons, cette polémique de 37e journée, ça vaut pas plus qu'une bagarre de cours de récré d'école primaire...

    Attitudes crétines, interjections de pilliers de bar, mots bas d'esprits, digne d'un mauvais mercredi à l'Assemblée...

    Faudrait que les journalistes arrêtent d'interwiewer les présidents de clubs... Leurs avis n'a aucun interet, il sont là pour Gèrer par pour faire des combats de boues... Ou faire avancer leur carrière grace à une exposition médiatique...

    Que quelqu'un me disent en quoi une déclaration d'Aulas, Blayau, Triaud, Diouf ou consorts à jamais fait avancer l'interet du sport qu'on aime tous ici

    Et c'est un Gobi aux écailles ciel et blanc qui s'exprime ici !

  • Gobi le 11/05/2006 à 17h50
    En pour parler C3, il me semble que l'OM n'à chuté qu'au dernier acte face à Valence, avec un plutôt joli parcours...

  • Gobi le 11/05/2006 à 17h50
    En 2004 évidemment... mais ce n'est pas si loin...

    Et le parcours de clubs français n'est pas si ridicule cette année non plus

  • ravio le 11/05/2006 à 18h09
    Gobi - jeudi 11 mai 2006 - 17h48
    Et c'est un Gobi aux écailles ciel et blanc qui s'exprime ici !

    Heureusement, sinon tu serais pas vraiment un gobi...




  • ravio le 11/05/2006 à 18h11
    Ou alors tu serais dans le désert depuis trop longtemps.

  • TheGlide le 11/05/2006 à 20h44
    Personne pour trouver que jean Fernandez imite Brice de Nice quand soit disant il engueule Frédéric Déhu ?
    C'était l'an dernier Fernandez de Metz pourtant !

La revue des Cahiers du football