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Bleu blanc nul

En concédant le 0-0 face à l'Allemagne, l'équipe de France a clos une semaine intéressante sur une note plutôt terne. Son destin mondialiste reste incertain, mais pouvait-il en être autrement?
le 14 Nov 2005

 

La nalyse
Dans un match dominé physiquement et tactiquement par une équipe allemande qui a en outre bénéficié de la justesse de Michael Ballack, les Bleus ont eu beaucoup de mal à trouver des moyens d'expression satisfaisants, même s'ils sont allés au combat et auraient pu faire la différence en fin de rencontre. Auparavant, le schéma tactique de l'équipe de France a donc tout juste permis de contenir l'adversaire, sans permettre une construction suffisante. Laissée au seul Dhorasoo, peu soutenu, l'animation est restée assez faible, d'abord par la faute d'un pressing très intense dans l'entrejeu : si les défenseurs centraux français n'ont pas été gênés par un premier rideau inexistant, ils ont été privés de solutions de relances immédiates et ont été contraints de faire tourner avant de se résoudre à des ballons longs au destin très aléatoire.

Ces options de Klinsmann ont été d'autant plus pertinentes que les flancs ont été très bien tenus par les Blancs, privant leurs adversaires de débouchés offensifs. Les milieux excentrés ont donc eu du mal à porter le danger, avec un nombre famélique de vrais débordements, et des ballons qui, balancés dans la dense arrière-garde teutonne, n'ont pas réussi à désorganiser celle-ci, malgré son placement approximatif. Les liaisons trop distendues entre les deux récupérateurs, les deux milieux excentrés et les deux pointes n'ont permis ni de tenir le ballon, ni d'assurer une construction suffisante. Entre Makelele, devant la défense, et Trezeguet, à vingt-cinq mètres de Lehmann, il y avait un vide de quarante mètres dont Ballack a bien profité. Ce n'est que dans les dernières minutes que Rothen, Cissé ou Anelka ont réussi à créer des brèches sur les ailes, obtenant de nombreux corners. L'ancien Auxerrois a même failli trouver la solution dans l'axe.
Aligner ensemble Henry et Trezeguet devant sans parvenir les alimenter en ballons était de nature à donner confiance à la défense, pourtant inexpérimentée et pas spécialement connue pour sa solidité. Leurs déplacements n'ont pas été très convaincants : on les a ainsi retrouvés régulièrement sur la même ligne... Compte tenu de la réémergence d'Anelka, on peut craindre un retour du vieux débat sur l'association du Gunner et du Juventino...


coupet_coupe
L'OL veut demander des indemnités à l'équipe de France pour la blessure d'Abidal, mais l'équipe de France pourra infliger une sévère amende à OL Coiffure.


Les gars
Coupet a paru hésiter à effectuer des sorties aériennes qui aurait pourtant été utiles en début de partie. Plus tard, il a réalisé deux interventions décisives devant Schweinsteiger, près de l'heure de jeu.

Thuram et Boumsong ont formé une charnière plus cohérente que la version martiniquaise associant le Turinois et Givet. Les Allemands ont d'ailleurs créé le danger en amont, le plus souvent par des débordements, avant de buter sur les deux défenseurs centraux – bons dans l'impact, comme on dit au rugby.
Gallas réalise toujours un peu le même match : vigoureux dans les duels défensifs, il est emprunté dans la construction vers l'avant, ayant de surcroît eu du mal à combiner avec Malouda. Symétriquement, Réveillère a eu beaucoup de travail sur son côté, alternant les duels gagnés et perdus, peinant lui aussi à collaborer avec son propre binôme (Sagnol), et se voyant souvent contraint de repiquer vers le centre, où il n'a pas non plus fait la différence.

Dhorasoo a effectué une prestation contrastée. Placé plus haut que Makelele, et surtout plus créatif que le Londonien, il a d'abord subi quelques chocs et perdu deux ballons qui ont provoqué des situations dangereuses. Mais il a fait beaucoup d'efforts pour chercher des liaisons avec les attaquants, sans être vraiment aidé par ceux-ci ni par les milieux offensifs. Surtout, au sein d'une équipe qui a manqué de percussion et d'imagination, il est resté un des seuls à éliminer des adversaires et à percuter dans l'axe (comme avec cette pénétration qui a provoqué un coup franc à l'entrée de la surface – 22e). Makelele a beaucoup couru, sans atteindre son volume de jeu habituel ni parvenir à se dépêtrer d'un marquage très serré: peu de récupérations et un jeu vers l'avant limité à sa plus simple expression.
Comme Dhorasoo, Malouda a commencé sa rencontre avec quelques rudes percussions des milieux allemands. Il s'est ensuite résolu au combat, avec conviction (une belle intervention défensive sur Ballack – 39e), mais en renonçant à ses missions d'attaque. Il ne s'est ainsi retrouvé qu'une seule fois en situation de débordement, ratant son centre du gauche.
Dans une position inhabituelle de milieu droit (mais qu'il a déjà occupée chez les Espoirs et au Bayern), Sagnol a d'abord montré beaucoup de bonne volonté, avant de disparaître durablement, délivrant notamment très peu de centres. Ses qualités offensives semblent bien mieux s'affirmer depuis son poste de prédilection, idéalement avec la complicité d'un apport offensif dans son couloir.

Henry et Trezeguet ont été coupés du reste de l'équipe durant toute la première mi-temps, devant se débrouiller avec des ballons sur lesquels la charnière allemande n'a pas eu trop de peine à les devancer. Les doigts d'une seule main sont trop nombreux pour compter leurs occasions nettes. On peut regretter qu'Henry n'ait pas plus souvent décroché, ou qu'il se soit pas suffisammnent décalé sur le côté gauche, où il aurait pu prêter main forte à Malouda et Gallas. Entré après la pause, Anelka a justement été convaincant dans ce registre, dans la continuité de son bon match de Fort-de-France. Il a secoué la défense allemande mieux que n'importe lequel de ses partenaires.

Les autres entrants ont contribué à la bonne fin de match des Bleus, comme contre le Costa Rica. Diarra a apporté un impact physique qui avait manqué jusque-là, face aux athlètes d'en face. Il a même failli faire la différence en alertant parfaitement Cissé dans la profondeur (80e). Rothen a confirmé que dans un match comme celui-ci, sa qualité de centre (en premier lieu sur les corners) est extrêmement précieuse. Les détracteurs de Cissé diront qu'il a encore été maladroit et a fait les mauvais choix, ses fans souligneront qu'au moins, il a créé des situations dangereuses avec une fougue que l'on avait peu vue avant son entrée en jeu.


Juin – 200
Le bilan de la rencontre n'est pas très flatteur : être dominé physiquement par une sélection allemande, voilà qui nous ramène vingt-cinq ans en arrière. Mais à l’époque, les Bleus avaient au moins l’avantage technique. Inévitablement, la copie rendue à Saint-Denis va alimenter le procès du sélectionneur, sous l'angle, notamment, d'essais tactiques peu concluants.
Domenech a cependant été soumis à l'obligation de turnover – en raison du match précédent, mais aussi de la nécessité de tester certaines options en l'absence de Zidane – et il n'a pas perdu son temps en accumulant les expériences – y compris les moins réussies. L'invincibilité des Tricolores se poursuit, et elle n'est pas négligeable sur le plan de la confiance : à Saint-Denis, ils n'ont pu exprimer leur potentiel offensif, mais ne se sont pas décomposés face à une rude adversité. Ce constat positif est à ajouter au renversement du score contre le Costa Rica.

Surtout, on connaît trop le caractère illusoire des victoires de prestige dans les matches amicaux (il suffit d'ailleurs de se souvenir du 3-0 infligé à ce même adversaire à Gelsenkirchen, en 2003), pour se lamenter de ce match nul moyennement affriolant et exiger une parfaire lisibilité des choix tactiques. Au-delà de la mise à l'épreuve des joueurs et des solutions de jeu, l'objectif principal de cette semaine résidait autant sur le terrain qu'en dehors, avec la recherche d'un vécu collectif qui pourra s'avérer précieux en phase finale. Condamné aux expédients par la faute d'un calendrier qui lui laisse des temps de préparation extrêmement réduits, Domenech n'obéit pas à une exigence immédiate de résultats ni de présentation officielle d'une équipe-type. Les sept mois qui nous séparent de juin 2006 recèlent trop d'inconnues, à commencer par les blessures, pour pouvoir dégager un projet de jeu accompli dès aujourd'hui. Inversement, le peu de rendez-vous internationaux avant le Mondial rend fatales les improvisations.

Enfin, les frustrations excessives sont sans objet si l'on veut bien se rappeler que cette équipe n'est pas censée présenter un football flamboyant lui assurant une supériorité de principe sur tous ses adversaires. Il serait temps d'enregistrer le changement de statut de notre sélection nationale... Après l'euphorie du mois d'août, les douleurs de la qualification ont justement rappelé que le retour des anciens n'était pas une panacée, voire qu'il posait une nouvelle série de problèmes. Avant une hibernation qui durera jusqu'en mars et à la venue de la Slovaquie au Stade de France, il vaut mieux se résigner à vivre dans l'incertitude.


Les observations en vrac
> En l'absence de Guy Roux et Thierry Roland, il n'y aura pas eu de rappels de la haine ancestrale entre Français et Allemands. TF1 est entré dans le 21e siècle?
> La statistique qu'il ne faudra pas oublier avant d'affronter l'Allemagne en demi-finale de la Coupe du monde : l'équipe de France ne s'est plus inclinée face à l'Allemagne depuis que Rudi Völler n'est plus sélectionné à la pointe de la Mannschaft.
> Encore des courants d’air dans les tribunes du SDF. Violences urbaines? Absence du Sauveur? Prix excessif des places? Et si on jouait France-Slovaquie à Saint-Denis de la Réunion?
> Jusqu’à samedi soir, les France-Allemagne étaient réputés pour ne quasiment jamais finir sur un match nul, si on excepte Séville, hors catégorie. Encore une statistique qui tombe.
> La dernière fois que les Bleus ont terminé une année sans défaite, c’était en 1995. Barthez, Thuram et Zidane étaient déjà là.
> Mettre Dhorasso face à l'Allemagne en espérant qu'ils aient des scrupules de le tailler en pièce, c'était un peu naïf.
> Henry et Trezeguet sont complémentaires : maintenant, ils arrivent à être mauvais en même temps.
> Avec sa caméra à la verticale du terrain, TF1 a fait peur aux milieux tricolores, qui ont soigneusement évité le rond central.
> On aura beaucoup vu et entendu Nicolas, cette semaine. Mais on ne sait toujours pas à quoi il pense le matin en se rasant le crâne.
> Ayons une pensée émue pour les Irlandais qui n’ont pas perdu contre les Suisses et qui ont évité les barrages à l’équipe de France.
> Made in sport rembourse les nouveaux maillots achetés en novembre si les Bleus ne sont pas champions du monde. Et qui remboursera les malheureux qui ont payé pour voir cinq zéro-zéro à Saint-Denis en quatorze mois?
> Il y a quarante ans, on aurait appelé Makelele et Dhorasoo des demis. En les voyant à côté de Ballack ou de Mertesacker, on comprend pourquoi.


Les titres auxquels vous avez échappé
"Siegfried-Maginot : 0-0"
"De tous petits Teutons"
"Klose de confidentialité"
"Ballack l'aimant"

Réactions

  • bcolo le 14/11/2005 à 16h42
    Effectivement, sauf que Henry a d'abord décalé Dhorasoo, qui n'était absolument pas hors-jeu (contrairement à Henry contre le Costa Rica au moment du tir foiré de je ne sais plus qui), et qui a fait une passe à Trezeguet qui lui était hors-jeu au moment de la passe d'Henry. L'arbitre assistant lève son drapeau au moment de la passe de Dhorasoo à Trezeguet (passe foireuse d'ailleurs, trop près du gardien).

    Conclusion : même situation, interprétation différente.

  • Clivier1 le 14/11/2005 à 16h45
    Je plussune sur Oook. L'arbitre voit Henry hors-jeu. Voilà pourquoi il leve son drapeau. Pas du tout pour Trezeguet.
    En conclusion: erreur d'arbitrage toute bete. Et rien à voir avec le Costa Rica.

  • Vinnnch le 14/11/2005 à 17h03
    Je plussune a mon tour sur Oook, a propos de l'arbitrage sur les fautes allemandes. Les tacles etaient franchement excessifs en premiere periode, c'etait vraiment enervant. Meme le fameux Ballack etait empreint d'une animosite tres limite.


    En meme temps, les allemands n'ont ete bons en coupe du monde que quand on les autorisait a etre violents. Seville 82 en est un bon exemple, mais on peut en trouver beaucoup d'autres. D'ailleurs ils ont remporte la coupe du monde 90, pendant laquelle la plupart des matches ont ete d'une violence inouie. Et depuis le "recadrage" de 1994, ils ont ete moins brillants (je ne prends pas en compte la CDM 2002, je n'ai toujours pas compris comment ils ont pu arriver en finale...)

  • Vinnnch le 14/11/2005 à 17h05
    Flute, les pseudo-balises que j'avais mises a on post ci-dessus ont disparu, je precisais juste que le dernier paragraphe etait volontairement tres excessif. C'etait pour rire, quoi !!!!!

  • vendek1 le 14/11/2005 à 19h04
    (je ne prends pas en compte la CDM 2002, je n'ai toujours pas compris comment ils ont pu arriver en finale...)


    Il y a une énorme raison: Oliver Kahn.
    Dommage pour lui qu'il ait craqué au pire des moments.

  • Cheyenne le 14/11/2005 à 20h59
    Je pense qu'il serait temps pour la rédac, loin des analyses puissantes d'après matches et des bileries pas toujours ta propos de JPS, de nous proposer (infliger dirons d'autres) une mise en perspective du foot français au travers de l'équipe de France depuis 86.
    Personnellement, ce qui m'afflige et m'énerve c'est la pauvreté, l'indigence technique (tant individuelle que collective) de l'EDF depuis des années. Derrière, hormis un Sagnol et un Thuram, l'affligeance est la norme. Ayons pitié des Boumsong, Givet et Gallas dont le seul rapport qu'ils entretiennent avec un ballon est de nature sado-masochiste.
    Devant, seuls Henry et Anelka ne semblent pas emmerdés par un ballon. On pourra objecter que la maîtrise technique d'un attaquant peut tout à fait être secondaire dans la mesure de ce qu'on lui demande - marquer des buts.
    Le problème le plus gravissime est évidemment au milieu. Je ne m'étendrai pas sur les cas personnels de Viera et Diarra. je n'ai jamais aimé ce genre de profil dont la seule utilité devrait être de jouer contre les Irlandais ou les Allemands. Je m'apitoie en revanche sur Dhorasoo ou sur ZZ, ne trouvant jamais de joueur de classe à proximité, jamais de joueur capable de redonner un ballon propre et rapide, rarement quelqu'un dans un intervalle. LE joueur technique du milieu français n'a a disposition que des récupérateurs tâcherons accompagnés de 2 milieux de couloir, grande imposture du 4-4-2 moderne. Deux milieux de couloir dont la seule mission semble être de doubler les latéraux. Giuly et Rothen sont les deux représentants les plus marquants de ces imposteurs. En définitive ni attaquants ni défenseurs ni bien sûr milieux.
    Evidemment, il semble clair que Raymond a choisi d'abandonner toute idée de pratiquer un football intéressant. Malheureusement, et c'est ce qui fait peur, l'EDF n'est même pas une équipe qui sait attendre en pratiquant un pressing intelligent (déclenché aux moments clés) en jaillissant pour donner des caviar à ses attaquants (excellents).
    L'EDF n'a pas de tactique claire ni bien sûr pas de fond de jeu (à part la passe en retrait du droit de Gallas).
    Avec ça, une seule chose est sûre pour juin : on va se faire chier grave.

  • bob le 15/11/2005 à 13h07
    Il y a du vrai dans ce que tu dis Cheyenne, mais je pense que l'aspect technique n'est pas un handicap de l'EDF par rapport aux autres equipes. A part le Bresil qui me parait vraiment au dessus du lot, peu d'equipes ont d'excellents techniciens a chaque poste.

    Ce qui me fait le plus peur pour l'EDF, c'est plutot l'aspect physique : avec une moyenne d'age proche des 30 ans, quoi qu'on en dise, on court moins vite et surtout moins longtemps, on n'y peut rien c'est la nature. Ca va pas etre facile de bouger un adversaire au mondial apres une saison bien remplie si on est crame apres quatre appels ou trois sprints.

  • Alexis le 15/11/2005 à 14h52
    Cheyenne,

    Mon bisou baveux t'étreint pour l'éternité. Ton post, c'est imprimante, sous-verre, paquet-cadeau et envoi postal pour Noël à la DTN.

    Merci à Larry de m'en avoir averti. Récupérer dix jours de cdfs m'a presque fait loupé ce monument. Mais grâce à la force du 0-8 (oui, c'est comme le neuf-trois, sauf que là-bas, c'est Larry qui brûle son foi).

    Et une goulée bien fraîche. Une.

    (voir deux, voir...)

  • Larry Poste le 15/11/2005 à 16h38
    Une promesse est une promesse, Alexis, j'insère un goulot dans ma bouche comme stipulé.

    Et j'approuve la demande de Cheyenne et confirme que comme lui, je trouve les matchs de l'EdF assez pathétiques. Elle aura eu le mérite d'offrir un scénario hitchk...hichkok...agathachristieque pour sa qualification, à part ça, le jeu déployé m'a jamais fait triper.

    Enfin, m'en fous, la CdM offre la perspective de reluquer d'autres équipes, on se fera peut être pas trop chier, finalement.


  • ARONER le 21/11/2005 à 15h04
    "Il y a du vrai dans ce que tu dis Cheyenne, mais je pense que l'aspect technique n'est pas un handicap de l'EDF par rapport aux autres equipes. A part le Bresil qui me parait vraiment au dessus du lot, peu d'equipes ont d'excellents techniciens a chaque poste."

    A part le Bresil... mais aussi et surtout l'Argentine, sans negliger l'Italie, la Republique Tcheque, l'Espagne, le Portugal voire... l'Angleterre de nos jours, voir le dernier Angleterre/Argentine pour plus de details. Il faut arreter de se faire mal, ou l'on risque de se blesser a force de s'aveugler autant.


La revue des Cahiers du football