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Le flop-modèle nantais

Le FC Nantes a connu une des saisons les plus troublées de son histoire, avec pour symbole l'échec de son recrutement depuis plus d'un an.
Auteur : Patrick Slet le 9 Mai 2005

 

Prévisible en début de saison, le grand chassé-croisé des capitales illégitimes de la Bretagne a bien eu lieu en 2004-2005. Et comme annoncé dans la Tribune Armor Luxe), le stade rennais est devenu un club de football ! Bombant le torse, les rouges et noirs du centre administratif pourraient écrire l’avenir du football en Bretagne. À l'inverse, Nantes serait-elle atteinte d’une Rennite aiguë? Revue défective Spécialiste dans la course à l’arnaque offensive, Nantes a vécu, en l’espace d’un an, une campagne de recrutement historique pour un club habitué à carburer sur son centre de formation. De janvier 2004 à janvier 2005, huit nouveaux joueurs sont venus grossir les rangs avec deux latéraux, un défenseur central, deux milieux et trois attaquants. Cette ossature potentielle pour l'équipe n’a convaincu ni les deux coaches, ni les inconditionnels du club. Guillaume Norbert : latéral droit. Jeune spécialiste de la Ligue 2, qui n’a jamais réussi de saisons complètes, a été recruté cet hiver pour apporter d’autre solution que Savinaud / Da Rocha côté droit. Recruter malin à la nantaise, c’est désormais choisir un blessé qui, après deux matchs corrects, repart pour l’infirmerie en touchant les 20.000. Alexander Viveros : latéral gauche, international colombien, a confirmé une carrière en dent de scie. Sa vivacité de limace insomniaque a fait le bonheur de tous les milieux droits du championnat de France. Desservi par une visible surcharge pondérale, il n’aura joué que les deux-tiers du championnat. Julio César Cacérès : défenseur central, international paraguayen, a séché la préparation d’avant saison à cause d’un conflit juridique. Annoncé comme l'un de ces défenseurs centraux de grande classe mitonnés en Amérique du Sud, il n’a rien prouvé sur les douze matches joués et devrait repartir dès cet été. La charnière centrale des bleuets vient de signer professionnelle et sans doute pas pour jouer en CFA bien longtemps. Donald Gilles Yapi Yapo : meneur de jeu, international ivoirien, il est arrivé "pour franchir un palier [...] avant d’accomplir [son] rêve de jouer à Arsenal". Peut-être arrivera-t-il un jour, comme le jeune Norbert, à y passer une saison sans jouer? En dehors des quelques rares matches sur-volés par l’équipe, le présumé génie offensif a souffert et s'est rarement montré capable d’un haut niveau de performance plus de deux matches d’affilée. Aurélien Capoue : milieu gauche ou attaquant, on n’a jamais trop su s’il jouait. Même en mettant les pieds sur le terrain un match sur deux, il s’inscrit dans la tradition des joueurs venus d’en bas qui ne s’imposent pas. On pourrait alors lui prêter un destin "à la Peyrelade" qui, à la suite de sa difficile adaptation nantaise, a fait une carrière honnête. Cependant, déjà exclu du CFA pour retard, il ne semble pas animé des qualités morales qui faisait de ce dernier un "joueur de vestiaire" reconnu. Florin Bratu : attaquant ou milieu droit, on ne sait pas trop non plus. Avec douze petites apparitions et malgré quelques qualités entraperçues, c’est surtout la présentation d’Amisse qui fait encore parler de lui. En évoquant le "mélange de Trezeguet et de Cissé", on sait maintenant qu’il parlait d’un joueur aussi blessé que Trezeguet et aussi buteur qu'Edouard Cissé. Mamadou Diallo : attaquant ou milieu offensif, arrivé au mercato d’hiver, il s’est presque installé comme titulaire. Bénéficiant du médiocre niveau général, il pourrait passer pour une star. Mamadou Bagayoko : attaquant à l’homonymie bien placée, il s’est imposé comme titulaire, ce qu’aucun attaquant nantais n’avait réussi à faire depuis Vahirua. Si ses statistiques de buteurs sont pour l’heure du même niveau, la qualité supérieure de ses prestations, fortement empruntes d’abnégation, démontre surtout le niveau d’ambition nantais cette année : le maintien. La jaunisse, maladie mortelle ? Après ce tableau jaune et vert-de-gris, on entend déjà le chœur des évangélistes canariens brandir le collectif comme future providence des aventuriers du jeu perdu. Bien sûr, on pourra évoquer une série de facteurs endogènes et exogènes pour expliquer cette normalisation du club. Car, c’est bien de cela qu’il s’agit, le FC Nantes est devenu un club normal, banal jusque dans sa lutte pour le maintien, avec ses dissensions privées et ses disputes publiques. Ce recrutement en est aussi le triste symbole. Fâché avec le Président Gripond, Budzynski n’a pas participé à l’opération "escargot lunaire" menée cet été, prétextant notamment un manque de moyens pour tenir les objectifs affichés. Loïc Amisse, brutalement sorti avec tous les déshonneurs, en a fait les frais, endossant le costume gris métal du fusible idéal. Le club a logiquement traversé une saison classique du bas de tableau. Da Rocha et Landreau, les derniers cadres, ont été trop irréguliers ou blessés pour tenir leur rang. Inversement, comme souvent, ce sont les vertus morales des seconds couteaux de ces dernières saisons qui ont brillé dans le marasme ambiant: Quint en phase de rédemption et Savinaud en intermittent du spectacle. Surtout, le club a encore creusé le déficit de la sécu avec une infirmerie jamais vide qui a une nouvelle fois remis en cause la préparation physique. Ainsi, vingt-neuf joueurs auront testé les pelouses de Ligue 1, bien souvent sans convaincre. Bien sûr, il y a toujours un Toulalan exemplaire ou un Keserü de l’espoir. Les ressources d’un club formateur ne sont jamais vraiment taries. Pourtant, cinq vrais espoirs, internationaux en catégorie jeunes, achèveront sans doute leur flirt avec le haut niveau pour rejoindre un relatif anonymat la saison prochaine: Rubil, Hadjadj, Glombard, Ahamada et N‘Zigou. Croisée des chemins Dans ce contexte, l’actuel entraîneur Serge Le Dizet veut effectuer un retour au contrat social nantais. Il souhaite ainsi réduire l’effectif de trente professionnels à une vingtaine seulement. Il claironne la rupture avec la consommation de masse de joueurs informes : recours au centre de formation, et apport extérieur pour l’expérience uniquement. Dans l’attente de pouvoir offrir un grand bol d’air au bateau ivre des bas fonds, le centre de formation a entrepris une mue de printanière forcenée. Récemment interrogé dans Ouest-France, Jacky Soulard, directeur administratif du centre de formation, expliquait que la promotion interne devait redémarrer et que cela passait par le "sacrifice" des plus âgés et moins talentueux... Même si cette stratégie a, par le passé, envoyé Gravelaine en équipe première du SM Caen. Dès lors, deux thèses s’affrontent. L’optimiste verra dans tout cela le signe du renouveau, comme ce fut le cas en 1993 lorsque le club, au bord de la faillite, assista à l'éclosion de sa dernière grande génération en date. La pessimiste se focalisera quant à lui sur la gestion financière et sportive qui, au nom d’une politique de rigueur, bloque le remplacement de Georges Eo (de nouveau promu entraîneur adjoint) par Christophe Pignol au poste de chargé de recrutement. À moins d’une relégation, il faudrait être devin pour décrypter l’avenir de la coopérative nantaise. D'autant que les incertitudes planent sur l'identité du futur actionnaire du club. De lui dépendront les futurs choix stratégiques qui le feront basculer dans le meilleur ou le pire des scénarii...

Réactions

  • Toni Turek le 10/05/2005 à 07h25
    (Tiens, un article sur le FCNA ! Chouette !)

    A propos du recrutement "historique", je signale juste que ce n'est pas la premiere fois que le plantage a eu lieu en beaute. Mais d'habitude, c'etait surtout au niveau de l'attaque que ca posait probleme, surtout au milieu des annees 90 (si je vous dis Siasia, Bustos, Giallanza, Mazzoni, ca vous dit quelque chose ? Rappelez-vous, formidaaaaaaable...). N'Doram, Moldovan, revenez, ils sont devenus fous !


    C'est vrai que cette annee le club a fait vraiment tres fort, mais il fallait quand meme bien essayer de pallier les soldes effectuees par Gripond & sa compagnie, qui pour deux departs (maximum !) annonces, a saigne l'equipe comme rarement (Yepes, Armand, Moldovan, Berson + quatre-cinq autres joueurs moins cotes).
    Le summum a mes yeux (et surement pas seulement aux miens...) concernent les recrutements de Caceres et surtout Viveros, tous deux internationaux (!) pourtant. Et dire qu'Armand se morfond au PSG. L'air de la Bretagne, ca n'est pas vivifiant pour tout le monde, apparemment.


    Reste que Gripond cumule les erreurs en tous genres depuis un moment. "Depart" de Denoueix, un entraineur par an en moyenne (du jamais vu par ici !), multiplication des initiatives inutiles (partenariat avec le Racing reste lettre morte) et des declarations a l'emporte-piece (faire de Nantes "le nouveau Manchester", tu parles !). Ajoutez a cela une incompetence rare et remarquee au niveau footballistique (qu'il partage avec Dassault - cf. les interviews de celui-ci : jamais venu a Nantes, ne connait pas les joueurs, mais veut faire un max de fric avec le club).

    Heureusement que le FCNA ne s'appelle pas PSG ou OM, sinon le president serait toujours dans les journaux et serait la vedette des emissions comme ORLM. Quoi qu'a la reflexion, si ca avait ete le cas, peut-etre que ca l'aurait fait partir. Parce qu'il veut s'accrocher, et le fait savoir.


    La "future providence" evoquee dans l'article consisterait d'abord et surtout a faire le menage dans les coulisses, a faire partir le president et tous ses sbires (ce qu'a essaye de faire Landreau cet hiver, helas sans succes). Mais pour les dirigeants actuels, il n'est pas question de partir sans recuperer de l'argent. On n'en sort pas.


    Et a propos de "ou est passe l'argent des transferts"? Aucune idee. De toutes facons, ca fait un moment qu'on peut se poser la question de savoir comment les departs sont geres (si je ne me trompe pas, le Ouedec modele 95 Champion de France a ete brade a l'epoque pour la miserable somme de 15 millions de Francs, non ?).


    Quant aux joueurs evoques (Rubil, Hadjadj, Glombard, Ahamada et N‘Zigou), leurs departs ne s(er)ont que le resultat d'un "encombrement" dans les lignes du milieu et de l'attaque (Ahamada doit etre celui qui a le plus joue dans l'equipe premiere, mais il n'a pas franchement montre son efficacite devat les buts)... J'espere simplement qu'ils n'auront pas un parcours "a la Pedros".


    Mais bon, en fait tout ca on s'en fout. On sera Champion en 2007.

  • fennec le 10/05/2005 à 12h48
    Delfarilie : "Si on dit que les énarques sont incapables de gérer des clubs de foot, on les remplace par qui ?"
    Si tu rebondis sur mon post ou je fais allusion aux énarques je tiens à préciser que j'utilise cet exemple car, à mon avis, il représente l'incompétence ou l'ingérence érigée en modèle de gestion. (Cf J6M et Vivendi, et d'autres entreprises dont Air France, le Crédit Lyonnais, ou la SNCF qui ont toutes connues des déboires sous la direction de personnes ayant fréquentés cette école.).
    Cependant je suis d'accord avec toi sur le fait de placer un journaliste sportif (Bouchet) un ancien joueur ou autre personne sur le seul fait qu'il fréquente le milieu du foot n'est pas toujours viable non plus. (A un autre niveau, Cf les CdF n°16 ou Rocheteau s'est éssayé agent de joueur.)
    Un président compétent doit réunir plusieurs qualités (bon gestionnaire, bon manageur, pour faire simple) mais je reste sur mon idée que sans connaitre un minimum le milieu dans lequel il met les pieds il n'a aucune chance, ce qui est le cas de Gripond je pense.

  • babou le 10/05/2005 à 13h08
    @ fennec

    ou à la rigueur il faut commencer très bas. Aulas n'y connaissait rien au foot en arrivant à l'ol, il a recruté à peu près n'importe comment pendant 4 ans avant de commencer à faire les choses comme il faut. Mais comme cela se passait dans une équipe qui moisissait en D2 depuis 5 ans ça a pu passer.
    Le griponp arrive lui à la tête d'une équipe qui vient d'être sacrée championne de france et là quand on a pas un minimum de connaissances on se plante.

  • à caen y'a pas... le 10/05/2005 à 15h40
    Chouette, encore un article où l'on parle du stade malherbe, un jour sûrement l'europe parlera normand...

    @ fennec : ce qui est marrant, c'est qu'en france les anciens joueurs accèdent peu aux plus hautes fonctions des clubs, ce qui n'est pas le cas en Europe, ou Madrid et le Bayern (par exemple) sont remplis d'anciens joueurs (talentueux, certes) et ça fonctionne bien. Bon en même temps, papin président de l'om, ça le fait pas...
    Sauf que les anciens joueurs-président-manager général-directeur etc... ne sont pas actionnaires, mais simple salariés. du coup question subsidiaire : quels sont les actionnaires du Bayern ?

  • pollux.edb le 10/05/2005 à 16h11
    Le caennais:

    "Bon en même temps, papin président de l'om, ça le fait pas..."

    Effectivement à première vue Papin président ça peut faire sourire. Mais d'un autre côté, et quelque soit son QI ça ne pourrait pas être pire que la gabegie de ces dernières années. Je suis presque certain qu'avec Papin président l'OM se couvrirait moins de ridicule que ces dernières années.
    Et puis de ce que j'en sais (ie pas grand'chose) son assoc' à pas l'air mal gérée, ce qui prouve qu'à défaut d'être un grand businessman, il sait au moins s'entourer de gens compétents (ce qui n'est pas le cas de RLD).

    Mais on parlait de Nantes, non? Bon à mon avis, la solution c'est de raser purement et simplement le FCNana, parce que franchement ça manquerait à qui ce pseudo-club avec ses pseudos stars type Landreau (tiens d'ailleurs il s'annonce dans quel grand club le fort Mika cette année? Chelsea, Arsenal, Barca?)? (et ne me dites pas aux bretons, Nantes n'a jamais été en Bretagne!)


  • theviking le 10/05/2005 à 17h58
    et nantes n'a jms été en Bretagne:
    c'est vrai qu'on est assez con pour faire la résidence de nos ducs hors de notre territoire

  • Vinnnch le 10/05/2005 à 18h31
    "Nantes n'a jamais été en Bretagne"

    Désolé, je radote, mais s'il faut une fois encore retablir la verite : Nantes etait en Bretagne depuis les environs de la Prehistoire jusqu'en 1941, annee où un fameux marechal (que je ne nommerai pas par egard pour mon clavier) a decrete que en fait, non, ce n'etait pas le cas. Inventant au passage les Pays de la Loire, et un decoupage administratif bizarrement toujours en place depuis.

  • jonaldo le 10/05/2005 à 19h43
    lien - mardi 10 mai 2005 -16h11

    1 "Mais on parlait de Nantes, non? Bon à mon avis, la solution c'est de raser purement et simplement le FCNana, parce que franchement ça manquerait à qui ce pseudo-club avec ses pseudos stars type Landreau?"

    Ce club aux huit titres de champion (on n´a pas essayé d´en inventer d´autres, et on n´a pas l´argent pour en acheter un), trois coupes de France, et formateur de nombreux joueurs de l´équipe de France manquerait a :

    Litteulced, Loustic is back, Jack Malfaizant, Jonaldo, Resist, mollows, barrjo44, The Flying Moustache, Flying Welshman, Trillian, Mister JIm, taivince, prettygirlsmakegraves, rienafoot, richard, georges best, coudrich, Toni Turek, footballeurdudimanche, godet, Qatartic, ndoramforever, Pluton44, bertouille, cartman, Hal Jordan, Big Peplum, Amnesic Cactus, Diagana, José_Touré, Joker de Luxe, Coco and Co, Nico44, Ly, Superpipo, Sacdebile

    2 (et ne me dites pas aux bretons, Nantes n'a jamais été en Bretagne!)

    Au risque de te décevoir, tu n´es pas le premier a croire qu´en fait, le chateau des ducs de Bretagne est un monument a la gloire du peuple kabyle. En fait.
    On a le droit de dire que Nantes n´est pas en Bretagne actuellement, des Nantais le disent. Mais dire qu´elle ne l´a jamais été, c´est du niveau champion du monde. Il me faut tes sources. Alain Decaux peut-etre?

    Pour en revenir au sujet qui nous intéresse, je ne peux que regretter (avec Toni, et probablement d´autres) que l´initiative de Landreau a la treve ait échoué. Meme si la presse (les Cdf y compris, cf numéro 13, "le vestiaire contre le banc"p4) a fait passer ca comme une rébellion contre Amisse, plutot qu´un coup de gueule contre Gripond.
    Quitte a avoir un président incompétent, on aimerait qu´il soit honnete, et pas aussi arrogant envers les supporters (et encore, s´il n´y avait qu´envers les supporters...).






  • fennec le 10/05/2005 à 23h15
    Toni Turek : "(faire de Nantes "le nouveau Manchester", tu parles !)."

    Vas sur le fil "rumeurs de transferts" et lis la dernière page de réactions (p15 il me semble) et tu verras que Griponpon avait peut être raison :-) ...je me marre...

  • Toni Turek le 11/05/2005 à 07h25
    lien >

    Concernant les "pseudo-stars" que tu evoques, a mon avis tu as bien plus de chances d'en trouver dans certains clubs tres mediatises (devine lesquels).
    Parce que si je suis ton raisonnement, je ne vois pas trop qui d'autre tu pourrais citer pour accompagner Landreau dans ta liste.
    En fait, l'unique star que l'on a au FCNA, c'est N'Zigou ; mais c'est normal, car "Star" est son deuxieme prenom.

    Quant a savoir a qui manquerait ce club, il suffit de se rappeler des reactions (joueurs, journalistes, etc...) qui ont eu lieu lorsque l'ASSE a quitte la D1.

    Et a propos de Nantes qui ne serait pas en Bretagne... Documente-toi, ouvre des livres d'histoire ! Nantes n'est administrativement ligerienne que depuis 1941 (a ce sujet : lien). Nantes ("Naoned") est restee bretonne bien plus longtemps. Ce n'est pas simplement un petit probleme d'histoire ; c'est aussi un probleme de culture et surtout d'economie : la Bretagne, c'est connu et reconnu, donc vendeur. Les Pays de Loire par contre...

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