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“Et un, et deux, et trois zéro-zéro”, auraient pu chanter les 79373 spectateurs du stade de France s'ils avaient de l'humour. Les Bleus restent en équilibre précaire sur la corde raide...
le 29 Mars 2005

 

On le sait, les éliminatoires de la Coupe du monde ne sont jamais une sinécure. Presque à chaque fois, la décision se fait lors de l'ultime rencontre, excepté en 89 ou l'élimination fut consommée dès septembre. C'était plus simple en 97 et 2001, quand la France était qualifiée d'office... Ces éliminatoires-là s'annoncent donc comme le chemin de croix habituel, avec en plus une diète sévère après des années d'abondance. Pourtant, l'Irlande, la Suisse et Israël font de leur mieux pour maintenir la tête des Bleus hors de l'eau, en collectionnant également les matches nuls dans les confrontations directes. C'est donc un miracle si les ex-champions du monde ne sont pas décrochés depuis longtemps, et peuvent même encore envisager de finir premiers avec six points perdus à domicile et quatre buts marqués en cinq rencontres. Le point positif, c'est que l'équipe ne prend toujours pas de buts. Et que les “progrès” évoqués par Raymond Domenech depuis sa prise de fonction en août ne sont plus le fruit d'une méthode Coué brillamment utilisée lors du deuxième semestre de l'année 2004: comme contre la Suède, ses hommes ont multiplié les occasions. Le couperet tombera peut-être à Tel Aviv, mais en attendant, c'est la Saint-Cassandre tous les jours. C'est d'autant plus énervant qu'en concrétisant une seule de leurs énormes occasions, les Bleus auraient réalisé un match que l'on aurait qualifié d'aussi parfait que possible, et leurs notes dans L'Équipe auraient toutes été majorées d'un point... Le match L'entame est nettement dominée par les Suisses, qui se créent d'entrée deux occasions franches, tout juste compensées par une volée de Vieira déviée. Les Bleus reprennent petit à petit du poil de la bête, et les plus grosses occasions tricolores interviennent sur des coups de pieds arrêtés : sur un corner de Pedretti, Vieira s'offre une énorme occasion de la tête, puis du pied, avant que Giuly ne manque un contrôle et Trezeguet une reprise à seulement six mètres de la cage adverse. À la pause, on se dit que le scénario de la Pologne et de la Suède est sur les rails. Le premier quart d'heure qui suit la reprise est pour Wiltord, qui se crée trois belles occasions : notons ce joli mouvement, en duo avec Dhorasoo, qui permet au Lyonnais d'hériter d'un bon ballon à l'angle de la surface. Mais sa frappe enveloppée frôle le montant. Visiblement, Zuberbühler a les clés du coffre et n'est pas disposé à les donner, même quand Meriem, qui remplace un Dhorasoo qu'on a peut-être vu trop beau contre la Suède, obtient un coup franc que Platini a dû regarder avec tendresse. Mais Pedretti, curieusement intronisé cette année spécialiste en club et en sélection, le tire au-dessus. On se dit que Trezeguet, que l'on n'a quasiment pas vu, va bien finir par en mettre une au fond sur une demi-occasion. Il hérite en fait d'une véritable balle de match sur une ouverture maligne de Wiltord : seul au point de pénalty, il réussit un contrôle difficile, se retourne, et envoie sympathiquement le ballon dans les bras du portier helvète. Mouillés mais ravis, les Suisses se régalent et en redemandent, comme sur cette frappe de Vieira détournée par le gardien à cinq minutes de la fin. Les vingt-deux joueurs en restent à ce résultat nul et vierge qui semble faire le bonheur des rouge et blanc, qui n'auraont pas eu la moindre occasion en deuxième période.. La nalyse Disposés en 4-4-2, lesTricolores ont subi les affres d'une relative désorganisation au milieu du terrain : placé dans le couloir droit, Giuly a touché relativement peu de ballons, tandis que Dhorasoo, son pendant sur le côté gauche, repiquait dans l'axe pour se pourvoir en munitions. En fait, c'est à Vieira et Pedretti qu'est revenue la charge d'animer les offensives, avec une réussite minimale, et un concours de choix hasardeux dans l'orientation du jeu. La faiblesse des milieux excentrés a au moins profité aux deux latéraux, qui s'en sont donnés à cœur joie dans leur couloir. Sagnol à droite, Gallas à gauche, ont beaucoup couru et plutôt bien centré, et tenté d'apporter le surnombre, en particulier en deuxième période alors que les Suisses commençaient à se réjouir de ce point obtenu au Stade de France. Las, les attaquants n'étaient pas dans un grand soir: les quelques frappes cadrées ont manqué de franchise et de puissance et le gardien suisse n'a finalement pas eu d'arrêts très spectaculaires à effectuer. Les gars Comme souvent en Bleu, mais peut-être plus pour très longtemps, Barthez a assuré, en offrant un intéressant panel d'arrêts: détente horizontale, sortie dans les pieds, etc. La deuxième mi-temps, plus calme, aurait pu le refroidir, mais il a encore sauvé la baraque en fin de match en captant à terre une belle tête piquée suisse. Dommage que Sagnol ne soit pas monté plus tôt. Même s'il a un peu manqué de précision en fin de match, et n'a globalement pas été très influent, c'est lui le spécialiste à droite. Boumsong a montré de bonnes interventions, placé deux têtes non cadrées. Il a en outre fait état de qualités britanniques, en n'hésitant pas à relancer à l'écossaise quand il le fallait. Givet a été l'auteur d'une tête en chandelle en début de match, une passe en retrait fantaisiste à la 35e et toujours beaucoup d'approximations. Mais il en veut, et les Bleus ne vont pas faire la fine bouche avec un tel combattant. Placé une fois de plus latéral gauche, Gallas n'a pas franchement démérité, même s'il s'est retrouvé en déséquilibre au moment de centrer les quelques fois où il a pu déborder. Il n'a pas semblé à l'aise, alors qu'il occupe ce poste dans une des meilleures équipes d'Europe... On note que cette fois, il ne s'est pas procuré son occasion immanquable (mais il a bien été suppléé dans ce domaine)... On a surtout vu Pedretti sur les coups de pieds arrêtés, notamment des corners qui auraient pu être mieux exploités, et sur un coup franc plein axe à vingt mètres. Des tacles virulents en début de rencontre, probablement pour prouver à Vieira qu'il n'avait pas le monopole de la rugosité. Adepte de la chandelle au coup d'envoi, comme au rugby, pour le plus grand plaisir de Gilardi, on se demande bien pourquoi. Vieira: trois belles occasions de but, beaucoup de ballons ratissés mais toujours aussi peu d'investissement en tant que capitaine. Plutôt lent dans les transmissions... Moins tranchant qu'à Barcelone alors qu'il occupe sensiblement le même poste, Giuly s'est en tout cas entraîné pour le cent mètres, mais on est en droit d'en attendre un peu plus d'un joueur de son talent, surtout à la sortie de ses dribbles. Dhorasoo avait dit que le match contre la Suède était son meilleur souvenir en bleu, la rencontre face à la Suisse ne restera pas dans ses annales personnelles. Moins véloce et moins volontaire, il a néanmoins offert deux caviars à Giuly en première période et Wiltord en seconde. Le genre de parties qui pouvait jadis lui valoir des bordées de sifflets à Gerland. L'entrée de Meriem a été saluée par le public qui aime bien son n°10. Comme pour ses deux premières sélections, il a conservé le ballon avec aisance, mais n'a pas proposé un seul décalage à ses attaquants. Après une première mi-temps volontaire, comme a son habitude, Wiltord s'est créé trois grosses occasions en traversant la ligne de défense suisse. Il avait visiblement laissé son porte-bonheur à Lyon. Remplacé par Govou, toujours aussi discret en bleu, et peu aidé par un temps de jeu limité. Trezeguet a visiblement souhaité humilier Eugène Santa, auteur d'un article laudateur dans le numéro 14 des CdF. Car samedi, sa réputation de goleador en a pris un coup, tant son occasion de la 76e minute semblait sur-mesure. Rageant. Vu des tribunes Finie la diète populaire ! 79 373 spectateurs : le Stade de France a retrouvé samedi des airs de fête, avec une partie haute rouverte au public, qui a salué l'événement en venant plus nombreux que jamais pour voir les Suisses. L'enceinte dionysienne a donc enregistré un nouveau record d'affluence: à la manière d'un Serguei Bubka de la grande époque, on a d'ailleurs l'impression que le SdF efface ses précédents “exploits” cinq ou six fois par an sans qu'on saisisse réellement la différence entre chacun d'eux. Quant aux mauvaises langues, elles prétendront que l'équipe de France attire probablement moins qu'avant les pique-assiettes qui venaient assister aux rencontres aux frais de la fédération et autres institutions publiques. Bref. Si les supporters bleus avaient retrouvé le chemin du stade, ils n'en avaient pas pour autant retrouvé leur voix. Car ce sont bien les Suisses qui ont fait le plus résonner les tribunes, comme les Irlandais avant eux à l'automne dernier. Une partie de la tribune Ouest avait beau chanter “Mais ils sont où les petits Suisses?”, la réponse paraissait évidente: aux endroits du stade ou on entendait du bruit. Le Club Carrefour des supporters avait beau lancer sa traditionnelle ola du quart d'heure de jeu, l'ambiance ne prenait donc pas vraiment auprès des quidams des tribunes voisines, sauf pour scander sporadiquement le nom des demi-héros de la soirée: Barthez, qui signait quelques arrêts de grande classe, ou Wiltord, qui enveloppait un joli tir en seconde période. En fait, il fallait attendre les dernières quinze minutes, et le réflexe bakarien de Trezegol, pour que le public se manifeste enfin par de bruyants quolibets à l'attention du juventino. Avant que l'ensemble de ses coéquipiers ne profitent également de la bronca à la fin de la rencontre. Frustré, les spectateurs rentraient alors chez eux avec la satisfaction d'avoir au moins pu déguster gratuitement une barre de Toblerone, gracieusement distribuée à l'entrée du stade. Merci la Suisse. Les observations en vrac > Fabien Barthez ne s'est pas plaint auprès des autorités, alors qu'il a été sauvagement agressé à l'oeil par un brin d'herbe à l'échauffement. > Guerre des gardiens : c'était Zuberbühler contre super bulleur. > Titres de L'Équipe : "C'est désespérant", "Et c'est pour quand?". On est vraiment revenus à avant 1998. > 12e minute : Jean-Michel Larqué égale son record personnel en répétant six fois "C'est fort". C'est lourd.

Réactions

  • ludo-rio le 29/03/2005 à 18h32
    Comme quoi José-Mickaël, les grands esprits se rencontrent toujours...

  • gimlifilsdegloin le 29/03/2005 à 21h38
    hobbes - mardi 29 mars 2005 - 11h15
    Gimlifils….je n’ai pas tres bien compris ton post…
    Qui te dit que je n’ai pas lus la constitution? (bon en l’occurrence je ne pretend pas l’avoir lus en entiere) mais suffisement pour me faire mon opinion: et donc la donner

    --> Cher hobbes, je n'ai absolument rien dit à l'égard de ta propre expression d'opinion. Mon post s'adressait à JPdarky qui voulait savoir quoi faire et à qui tu avais déjà répondu.
    J'espère avoir réparé ce malentendu.
    Veuille agréer mes salutations cdfistes.

  • theviking le 29/03/2005 à 22h59
    -->JP Darky
    Si le nationalisme breton est moins critiqué, c'est qu'il est sans doute moins meutrier(1 mort par accident en tout), moins destructeur, et moins mafieux finalement.

  • tessacha le 29/03/2005 à 23h50
    Saco, on dit à peu près la même chose non (bon... sauf que moi, je joue plutôt à 11, mais ce n'est qu'un détail)?

    Avant le retour d'un Rothen flamboyant (que l'on peut toujours attendre), Vikash me semble loin au dessus du lot à gauche (à moins que Cheyrou ne mette tout le monde d'accord d'ici la fin de la saison?...) et Gallas n'a rien à faire sur un côté.

    Donc: Evra - Dhorasoo.

    CQFD?

    Principal Skinner, je n'ai pas assez vu jouer Abidal à gauche pour militer à tes côtés. Par ailleurs, même si j'ai un sens de l'humour au delà de l'imaginable, je n'en ai plus du tout quand on me parle de Govou. Je n'ai jamais dit qu'il ne servait à rien sur un terrain, libre à toi de t'en contenter pour amuser la gallerie à Lyon, je persiste à hurler qu'il n'a rien à faire sous le maillot bleu, et ce n'est pas sa performance d'hier qui me convaincra du contraire.

  • JPDarky le 30/03/2005 à 06h56
    Cher TheViking,

    Vous repondiez recemment a mes interrogations sur le regionalisme :

    "Si le nationalisme breton est moins critiqué, c'est qu'il est sans doute moins meutrier(1 mort par accident en tout), moins destructeur, et moins mafieux finalement."

    C'est fort possible, cher TheViking, mais je parlais de regionalisme et non d'independentisme/nationalisme, je crois que ce n'est pas exactement la meme chose.

    Par exemple, je crois que l'on peut dire que G. Verdez est un regionaliste parisien intra-muros, mais je ne pense pas qu'il serait pret a prendre les armes et le maquis pour obtenir l'independance de Paris par rapport a l'etat francais.

    En fait, je vois deux regionalismes qui ont la cote, le regionalisme a bigouden et kouign aman [j'espere que j'ai la bonne orthographe] [faut dire aussi que c'est bon] et le regionalisme a huile d'olive, lavande, galejade et tape virile dans le dos dans les couloirs de stade. Le regionalisme du Nord a aussi ses bons moments, a l'occasion d'arrivee ou de retour sur la scene mediatico-artistique d'une star locale a vocation en general humorisitque ou musicale.

    Mais quid de l'identite loiresque ? Pourquoi pas plus d'eclairage sur cette bonne Region franc-comtoise ? Et les savoyards alors, en dehors des moi sde vacancs d'hiver, on peut pas dire qu'ils envahissent les ondes.

    Et donc, surtout, j'ai l'impression que le regionalisme a palets au beurre et festival pop au SDF jouit d'un capital sympathie [du moins dans les medias, mais les medias ne representent pas rien tout de meme, pour beaucoup de francaises et de francais] plus eleve que bien d'autres. Et vu que je suis actuellement mandate par le Conseil Regional d'Allemagnie de France pour tenter de donner une image positive de la coiffe en noeud papillon et du gateau sale au sel [le bretzel], j'avoue que j'ai parfois l'impression que y'a vraiment du chemin a faire.

    Blourg.

    JPDarky

  • zozo le 30/03/2005 à 08h59
    Je propose d'utilise Sagnol à gauche.

    Pourquoi ?

    Il a passé toute la 2ème mi-temps à centrer du pied gauche, autant l'utiliser du côté de son "bon" pied afin de mettre un spécialiste du poste d'arrière droite à droite, non ?

    PS : Tess pense à Malouda.

  • cris le 30/03/2005 à 09h55
    Je prends le train en marche,

    Samedi j'étais au SDF, le public était à fond derrière l'EDF, tout a basculé lors de l'occas en or de trézéguet.

    les remarques les + entendues :
    on assure le maintien,
    c'est un bon o-o.
    Prenez pas risque, il pourrait y avoir la victoire au bout.
    l'indulgence du début de match à fait place au fur et à mesure du peu d'engagement et de volonté affichés (ou tout simplement les limites criantes des bleus) à un dépit et une incompréhension devant le jeu affiché.
    C'est un fossé qui se creuse entre le public et l'edf.

    Voilà mes quelques commentaires après une triste soirtée à St-Denis.

  • rhonalpino le 30/03/2005 à 11h08
    redescendons un peu de notre nuage : ca fait 4 ans, depuis la fin de l'euro 2000, que l'edf décline.
    Pourquoi s'interroge t'on maintenant sur le pourquoi du comment ?

    Il ya des bons joueurs dnas cette equipe et des joueurs moyens (Gallas, Evra, Pedretti...), et tout ca ca fait une equipe honnete sans plus.
    Nos adversaires ont une génération assez bonne, notamment l'Eire et la Suisse : ils ont du mieux, nous du moins bien, donc ca egalise le niveau

    Signe raymon Domen....euh.....Rhonalpino

  • shev le 30/03/2005 à 11h09
    Au passage, avant de dire que Govou n'apporte rien, il faudrait peut etre aussi le mettre à son poste qui n'est plus attaquant (et ne 'a d'ailleus été qu'une petite saison à l'OL, meme en jeune il jouait milieu offensif droit)... Mais cela a du échapper à Domenech, tout comme lui a échappé le fait que Gallas n'est pas un latéral gauche et n'a réussi qu'un unique centre de tout le match, que Sagnol ne sert à rien si on ne le laisse pas monter, que Vieira ne sert à rien quand il monte en milieu offensif, qu'exiler Giuly tout seul à droite sans soutien est inutile, que Trezeguet n'est plus vraiment trzegol en edf (depuis 2002 en fait), que Givet est toujours inquiétant, qu'Alou Diarra n'est pas un joueur de foot...

    Enfin, je trouve au contraire que Pedretti a fait un très bon match (surotut en première mi-temps), réduire son match à ses coups de pied arrêtés et à ses ruguosités, c'est oublier le nombre d'ouvertures réussies par benoit. Alors que Vieira nous a hélas prouvé qu'il n'apportait rien dans une équipe de France désireuse de faire le jeu...

  • rhonalpino le 30/03/2005 à 11h17
    Si le but etait aussi large que l'ego de pedretti et Vieira, on aurait gagné 2/0

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