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OPA sur l'équipe de France

La désignation du futur sélectionneur ne se limite malheureusement pas aux enjeux sportifs: le foot pro réclame la dépouille de la sélection nationale…
Auteur : Etienne Melvec le 6 Juil 2004

 

Sauf surprise improbable, le choix du prochain sélectionneur de l'équipe de France devrait se faire entre Jean Tigana et Laurent Blanc. On n'abordera pas ici les mérites comparés des deux candidats, vaste et intéressant débat entre le "président" — qui incarnerait une certaine continuité pour la génération de 1998, bénéficie d'une belle aura, mais pâtit d'une réel manque d'expérience d'entraîneur (quoiqu'un sélectionneur n'est pas tout à fait un entraîneur) — et le champion d'Europe 1984 — doté d'une double crédibilité de joueur et de technicien, mais lesté d'une réputation de mauvais coucheur et handicapé par des procédures en cours avec son ancien club de Fulham.

Pour de nombreux acteurs du football national, l'enjeu principal de cette nomination n'est pas forcément d'ordre sportif: c'est bien l'équipe de France en tant qu'institution affaiblie par un échec portugais faisant quelques heureux, qui est l'objet de convoitises renouvelées…


Simonet entre deux chaises et un fauteuil

Après avoir déclaré vouloir choisir le futur sélectionneur "seul et sans influence", Claude Simonet, dans son style caractéristique consistant à s'auto-démentir, a multiplié les appels du pied à droite et à gauche. Le but de ces manœuvres est d'une part de ne pas assumer ce choix délicat à lui tout seul, tout en donnant quand même l'impression que c'est lui le patron.
D'autre part, il s'agit de se ménager les bonnes grâces du monde amateur dans la perspective des élections à la Fédération, en février prochain. Le dossier est en effet empoisonné par les épilogues des mandats des deux précédents sélectionneurs: accusé d'avoir bêtement reconduit le contrat de Lemerre à la veille du Mondial 2002 (ce qui avait conduit au paiement de plus de 500.000 euros d'indemnités), il a "oublié" de négocier avec Santini dans la même situation (ce qui a valu l'annonce du départ de celui-ci à Tottenham quelques jours avant l'Euro). Simonet marche sur des œufs et sur des charbons ardents: le risque qu'il nous fasse une omelette est donc grand.

Dans ce contexte compliqué, la désignation du futur sélectionneur apparaît beaucoup moins comme un choix d'ordre technique — ce qu'il devrait pourtant être — que le produit d'arbitrages politiques entre les différents pôles de pouvoir au sein du foot français. Le président de la FFF a par exemple contré le vice-président de la Fédé (Michel Platini, qui avait exprimé sa préférence pour Tigana), en valorisant la candidature de Blanc, puis sollicité les représentants des clubs professionnels, qui entendaient bien, de toute façon, mettre leur grain de sel.



Le spectre du "Club France"

Déjà manifeste à l'été 2002, l'influence du monde professionnel est en effet encore plus évidente. Significativement, ce n'est pas tant la LFP en tant qu'institution qui s'exprime, que divers présidents de club, à commencer évidemment par Gervais Martel, président de l'UCPF, et Jean-Michel Aulas, président de lui-même, qui n'ont pas tardé à donné leurs "avis" — et n'avaient d'ailleurs pas attendu l'aval de Simonet pour rencontrer Tigana à Lisbonne (car c'est bien l'ancien membre du carré magique des Bleus qui a leur préférence). Martel, qui est le représentant de la Ligue auprès de l'équipe de France, une fonction dont le caractère purement décoratif l'a passablement irrité, n'hésite pas à donner la leçon: "On sort de deux échecs incroyables", assène celui qui sort de deux saisons brillantes avec le RC Lens, s'appuyant sur l'amalgame actuellement en vogue entre 2002 et 2004, qui arrange décidément bien du monde.

Au-delà du choix de l'homme, presque anecdotique de ce point de vue-là, cette ingérence recèle des ambitions bien plus larges. Comme l'écrit le Journal du dimanche (4 juillet), "Les pros veulent restaurer le Club France, importer les méthodes de gestion des clubs. Et réclament un superintendant issu du monde professionnel, responsable du business, des primes etdes contrats". On frémit déjà, le concept de "superintendant" ayant été inventé par Claude Bez (qui se décerna cette fonction), à l'orée d'une période de misère sportive pour l'équipe de France et de chaos politique pour les instances nationales du football.



À qui appartient l'équipe de France ?

On voit trop bien ce que signifient ces concepts fumeux dans les bouches de Frédéric Thiriez ("Il faut revoir l'organisation de la maison bleue") ou de Jean-Michel Aulas ("Il faut aller vers plus de professionnalisation"), empressés de dénoncer un nouvel "archaïsme". Il s'agit ni plus ni moins que de mettre l'équipe de France sous la tutelle de la Ligue, dans le contexte de l'affaiblissement souhaité de la DTN, de l'écrasement progressif du football de sélection par les actionnaires des clubs et de la volonté plus prosaïque de capter la manne tricolore. C'est Jean-Claude Plessis, président de Sochaux, qui se montre paradoxalement le plus explicite en reprenant à son compte la vulgate du G14: "Le monde pro paye les joueurs, il serait bien qu'il soit plus intégré dans les décisions. On a besoin d'un regard sur les profits générés par les Bleus" (JDD).

La question est de savoir à qui appartient l'équipe de France, et de quelles instances elle doit relever en priorité. Sans faire de l'angélisme — parce que le business des Bleus brasse énormément d'argent et parce qu'il est nécessaire de s'interroger sur l'organisation de la sélection et sur son éventuelle réforme — il semble indispensable de continuer à préserver le statut d'exception qui font d'elle la représentante de l'ensemble du football français et la dépositaire de valeurs nationales. Une dimension symbolique que seule la Fédération, via la DTN, peut préserver des tentatives d'appropriation ou de "privatisation" par ceux qui ne cherchent qu'à étendre leur propre pouvoir et à imposer leurs intérêts particuliers.


Si le futur sélectionneur, pour être désigné, aura certainement eu besoin de courtiser le Conseil d'administration de la Ligue, on lui souhaite de rétablir très vite le champ de ses prérogatives s'il ne veut pas voir l'équipe de France devenir l'otage d'un lobby un peu trop intéressé. Il aura ainsi tout intérêt à collaborer étroitement avec la Direction technique nationale et à contribuer au rétablissement de l'autorité de celle-ci, dont la mise à l'écart est assez flagrante à l'heure actuelle, notamment parce que ses candidats (René Girard et Raymond Domenech) ne semblent pas en mesure de l'emporter et parce qu'Aimé Jacquet est étonnamment discret ces derniers jours.
L'entraîneur champion du monde avait prévu de quitter ses fonctions en fin d'année, mais aux dernières nouvelles, il pourrait rester en poste. La DTN, malgré ses défauts, devrait pourtant constituer un contre-pouvoir aux tentations hégémoniques de la Ligue…

Réactions

  • loual le 07/07/2004 à 11h55
    "mr_groseille
    Cher Loual,
    "je me permets d'intervenir dans ce petit débat juste pour dire un petit mot qui à mon sens s'impose.
    Je crois, à mon humble avis, que ce que l'on te reproche c'est d'attaquer les CdF sans raison."

    Attaquer si tu veux, sans raison tu rigoles j'espère.

    "Ta phrase, oh combien péremptoire et condescendante, "Ils ont de la boue dans les yeux", n'est pas à mon sens un modèle d'entrée en matière dans un débat régi par des principes démocratiques."

    Je ne vois pas où est la démocratie là dedans mais bon. Il y a surtout un fort agacement de ma part à entendre les mêmes sornettes sur ce site qui s'appelle (en toute modestie) les Cahiers du Football et dont on peut attendre une autre réflexion que celle de Mr tout le monde. Surtout quand c'est réccurent.

    "Ensuite tu peux avoir les idées que tu veux."

    Merci de ta magnanimité.

    "Parfois, elles sont correctes, bien souvent, elles reposent à mon goût, bien sûr ce qui n'engage que moi, sur du vent."

    Tu me dis lesquelles et on en discute?

    "Pourquoi? Si tu as le temps de me lire, laisse moi te l'exposer très succintement."

    Heureusement que c'est succint.

    "Bien évidemment qu'un sélectionneur est un entraineur. C'est à dire qu'il doit s'y connaitre en tactique, connaitre ses joueurs, savoir mettre en place un système de jeu...

    Ce n'est manifestement pas l'avis de tout le monde.

    "(blah blah blih blah blah blah blah -26 minutes et 39 seconde s plus tard)....."

    Ca c'est du grand argumentaire ou je ne m'y connait pas.

    "et surtout, gérer son effectif de manière à tenir compte des personnalités de chaque joueur."

    Comme toute personne en charge d'un groupe d'une équipe etc...

    "Mais il différe totalement dans son approche. En effet, un sléectionneur ne voit pas au jour le jour son groupe, ce qui est essentiel pour ce même groupe. Il faut donc avoir des qualités qu'un entraineur ne possède pas obligatoirement. Notamment celle de choisir 11 gars au milieu de 35 ou 40 mecs environ, sans les avoir tous les jours sous les yeux à l'entraînement (tu me diras, oui mais il peut les voir jouer, ce à quoi, je te répondrai, surement mais jamais ensemble)"

    Parce que quand un entraineur de club fait son "mercato" il a déjà vu ses recrues jouer ensemble. Ben voyons...Sans compter que Santini a sélectionné des joueurs avec qui il avait déjà travaillé. et puis petit rappel cela faisait deux ans qu'il avait le même groupe avec l'EDF. Alors les histoires de manque temps c'est difficile à avancer dans le cas de Santini. D'autres entraîneurs de cet Euro ont réussi à faire produire du jeu a leur équipe dans les mêmes conditions.

    "et surtout il se doit de mettre en place des schémas de jeu le plus rapidement possible et les faire assimiler en un laps de temps souvent très court,"

    C'est aussi ce que j'ai dit il me semble.

    "contrairement à un entraîneur."

    Tu connais beaucoup d'entraineurs de l'EDF qui se sont fait lourder dans l'année? Si il y a des entraîneurs qui ont du temps devant eux pour préparer leur stratégie c'est bien les entraîneurs nationnaux. Et avec un bien plus grand choix de joueurs qu'un entraîneur de club.

    " Le sélectionneur est donc un rassembleur et surtout doit avoir un pouvoir de conviction différent (plus rapide/moins de chichis/pas le temps de discuter avec tout le monde) de celui d'un coach."

    Un chef scout ou un abbé conviendraient très bien à cette définition. Pourquoi s'emmerder avec un mec qui va demander une fortune pour ça?

    "Il doit y bien avoir d'autres soucis mais je ne suis pas vraiment sélectionneur, donc, je ne peux pas trop m'avancer."

    Moi non plus mais je juge ce qui m'est proposé.
    Quand je vais voir un film je ne me pose pas la question de savoir si le réalisateur a des soucis avec ses acteurs, sa femme son chien le manque de temps ou je ne sais quoi d'autre.

    "Je peux demander à mon ami Bord, si tu le souhaite, qui te donnera plus amples détails."

    C'est quoi Bord???

    "Passons ce point. Je trouve ta bile envers Santini très haineuse et surtout peu justifiée."

    C'est pas un procés que tu peux me faire. J'ai toujours avancé des arguments. Quand à la haine cela ne me concerne pas. Je suis seulement indigné qu'on puisse mettre un mec pareil à ce poste.

    "Santini, même si on peut le critiquer a mis en place un système de jeu pendant deux ans et il s'y est tenu, surtout que grace à celui-ci nous avosn obtenu de très bosn résultats jusqu'au dernier mois. Ce qui me fait me demander si tu n'as pas un contentieux personnels avec icelui (Déro ;-) )."

    J'étais un des premiers à dire que la seule qualité de Santini était de s'en tenir à son 4/42. Ce qui permet de créer un minimum d'automatisme. En revanche le placement des joueurs sur le terrain n'est pas suffisant et on en a eu la démo lors de cet Euro.

    "Du genre, il t'a refusé ton premier contrat pro à Lyon ou à Sainté. Mais, pour diverses raisons, permets-moi d'en douter."

    Comment tu as deviné?

    "Tu te permets de l'appeler Mr Bean, sans véritable raison, et je ne vois pas l'utilité d'attaques personnelles de la sorte."

    Je te jure qu'il ressemble à Mr Bean en moins drôle.

    "Enfin, tu confonds bcp de choses."

    Je t'écoute.

    "Mr Eriksson pour qui j'ai bcp d'admiration, s'est fourvoyé dans une tactique ultra-défensive à chaque fois qu'il menait au score faisant jouer des joueurs de grands talents (Gerrard, Beckham, Lampard) bcp trop bas, étant donné leur potentiel de manieur de balle. Ces trois joueurs jouaient devant leur défense dès qu'il menait ce qui à mon sens est une grossière erreur tactique. Sa tactique a été bcp trop frileuse à mon goût, surtout au regard de l'effectif dont il disposait."

    J'ai dit le contraire moi??? J'ai surtout dit que malgrès une tactique très défensive il savait ordonner le jeu de son équipe avec rigueur un bon placement en zones et un bien meilleur quadrillage du terrain que Santini.

    "Les Grecs au passage ont su montrer que l'on pouvait jouer de manière fermée et ultra défensive sans jouer dans ses 25 derniers mètres (mais c'est un autre débat)"

    Effectivement je ne vois pas le rapport avec la choucroute.

    "En outre, tu loues (al - hihihiihi) le jeu des Danois en affirmant que eux, pourtant, ne sont pas sortis de leur poule. Oui, mais ils sont tombés, à mon avis, dans la poule la plus rélevé de cet Euro."

    Tu veux dire quoi là?? J'ai beaucoup aimé le jeu des Danois. On en discute quand tu veux.

    "Voilà. Je sais que cela ne te convaincra pas plus, ni que cela ne fera pas avancer ta réflexion, mais bon."

    Il me faudrait quand même autre chose comme arguments. J'ai déjà entendu ça 100 fois. Rien de nouveau sous le soleil.

    "Fin du débat en ce qui me concerne"

    C'est au moins un débat.

    "Ps à Houbahouba: la quasi totalité des entraîneurs délèguent une majeure partie de leurs entrainements quotidiens à leurs adjoints. Ils s'occupent surtout des exercices tactiques."

    Santini s'est occupé des exercices tactiques? Il faudrait le démontrer surtout quand on a vu cette EDF aussi perdue sur le terrain. J'attend tes observations sur ce sujet.

    Ps El mallorquin: Ca t'ennuie pas de corriger mes fautes d'orthographe, j'ai pas le temps et tu fais ça très bien.

  • loual le 07/07/2004 à 11h58
    "NoNo93 - mercredi 7 juillet 2004 - 10h47
    T'es en train d'arrêter de fumer loual?

    Je devrais. Mais c'est pas ce que je lis qui va m'y aider. ;-))))

  • El mallorquin le 07/07/2004 à 12h12
    Cinq pages de débat pour essayer de convaincre Loual de ce qu'il a déjà reconnu, à savoir qu'un sélectionneur n'est pas tout à fait un entraîneur, c'est quand même ce qui fait la singularité de ce site. :-)

  • Océane le 07/07/2004 à 12h22
    Et encore Mayo, si on le lance sur Scolari, c'est 5 pages de plus dans la matinée...

  • Jesper Olsen le 07/07/2004 à 12h37
    Juste pour ma culture personnelle, ils sont sortis de poule non les Danois ? On m'aurait menti ? Ce sont les Italiens qui sont allés en quart ? Ou sera-ce les Bulgares ?

    NoNo et Gilliatt, vous soulevez là un épineux problème avec l'histoire des doubles pseudos... Et comme de fait exprès, Mayo n'est pas réapparu en ce fil depuis que le pot aux roses a été découvert par votre perspicacité... Continuez à creuser tout en faisant fi de toutes les pressions extérieures, la vérité n'est peut-être pas loin. Courage camarades farouches partisans de la vérité.

  • loual le 07/07/2004 à 12h54
    "Océane - mercredi 7 juillet 2004 - 12h22
    Et encore Mayo, si on le lance sur Scolari, c'est 5 pages de plus dans la matinée..."

    Eh non, j'ai du boulot et il ne m'inspire pas du tout.
    Mais j'attend avec intérêt que son fan club se déchaîne. Et puis si tu remarques c'est surtout le fait de reprendre la prose des autres qui fait du volume.
    J'ai pas tous les tords quand même.

  • Océane le 07/07/2004 à 13h27
    Nous avons déjà discuté du cas de Scolari, loual. Et nous sommes arrivés à la conclusion que nous ne sommes pas d'accord sur sa façon de mener la selection portugaise.
    Comme j'ai horreur d'écrire 10 fois la même chose pour lire 10 fois la même réponse, j'en resterai là, si tu le veux bien.

    Mon précédent post, à forte valeur ajoutée j'en conviens, venait simplement souligner que le débat est difficile avec toi ; c'est une question de forme loual.

  • houbahouba le 07/07/2004 à 13h52
    Henri Michel !
    Pas comme repreneur de l'EDF mais comme sélectionneur viré en cours de saison....en plein éliminatoires du Mondial 90

    Après un échec 1-0 à Chypre qui ne condamnait pas encore l'équipe mias faisait s'abattre la guillotine sur sa tête !

    Depuis tout le monde le prend pour un tocard en oubliant qu'avec lui on a gagné les J.O de 94 et fini 3ème au mondial 86

  • houbahouba le 07/07/2004 à 13h59
    84 les J.O !!! of course !

  • loual le 07/07/2004 à 16h03
    "Océane - mercredi 7 juillet 2004 - 13h27
    Nous avons déjà discuté du cas de Scolari, loual. Et nous sommes arrivés à la conclusion que nous ne sommes pas d'accord sur sa façon de mener la selection portugaise.
    Comme j'ai horreur d'écrire 10 fois la même chose pour lire 10 fois la même réponse, j'en resterai là, si tu le veux bien.
    Mon précédent post, à forte valeur ajoutée j'en conviens, venait simplement souligner que le débat est difficile avec toi ; c'est une question de forme loual."

    Tu as raison. Ce n'est que du foot après tout.
    Toutes mes confuses.

La revue des Cahiers du football