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Élie Baup à tâtons

Au cours d'une première partie de saison décevante, l'entraîneur des Girondins a mis son armada offensive à la sauce de nombreux schémas de jeu, avec une efficacité variable. Enquête statistique et tactique sur sa quête de la bonne formule…
Auteur : Nico Paul le 8 Jan 2003

 


Après cinq mois de compétition, le bilan des Girondins en championnat respire la médiocrité. Avec 7 victoires pour autant de défaites et 6 nuls, le club bordelais est très loin des espérances que ses trois premiers matches avaient soulevé (deux victoires à l'extérieur, un match nul). Pourtant, l'habituelle rengaine sur la faiblesse de l'effectif girondin ne peut être évoquée, en tout cas pas en ce qui concerne les joueurs à vocation offensive. Meriem, Dugarry, Feindouno, Savio, Pauleta, Darcheville — oublions Sanchez, dont le temps de jeu reste de l'ordre de l'anecdote — sont autant d'internationaux, d'ex-internationaux ou d'espoirs, à l'exception du Guyanais. Bref, une fois n'est pas coutume, Elie Baup bénéficie d'un potentiel de qualité. Pour autant, le technicien bordelais semble avoir du mal à dessiner les contours d'une composition d'équipe qui tienne la route. "Abondance de bien ne nuit pas", dit-on parfois. Baup pourrait penser le contraire. Acharné du 4-4-2 (bien qu'il ait parfois fait exception à la règle l'an passé) et inconditionnel de l'anti-turn-over, l'homme à la casquette semble ne pas savoir s'accommoder de sa condition de "nouveau riche" et de la variété de ses possibilités offensives. Depuis le début de la saison, il alterne les formules offensives et remplace ses hommes de façon régulière. L'entraîneur a ainsi utilisé trois schémas différents : - son traditionnel 4-4-2, avec deux milieux excentrés sur les côtés et deux attaquants. - un 4-2-3-1 comme celui utilisé par Lemerre à la Coupe du monde 2002, avec un milieu axial, deux milieux/attaquants sur les ailes et un homme en pointe. - enfin, un 4-3-2-1, avec deux milieux offensifs désaxés un attaquant seul devant. Si Baup aime à rappeler que l'animation du jeu prime sur le système, une seule de ces formules a pour l'instant fait ses preuves, tant du point de vue de la qualité de jeu que du résultat… Le 4-4-2 "Dugarry-Meriem / Darcheville-Pauleta" Lille, PSG, Montpellier, Strasbourg

Fidèle au 4-4-2 qui a fait sa réputation (et aussi son succès), Baup a débuté le championnat avec ce quatuor offensif, composé du capitaine et ex-champion du monde Dugarry et du meneur de jeu espoir Meriem au milieu, de la nouvelle recrue guyanaise Darcheville et de l'inévitable Pauleta devant. À l'orée de la saison, c'est bien à ces quatre hommes que le coach girondin a fait confiance pour animer l'attaque girondine. Car si Feindouno a commencé le match face à Lille, c'est uniquement pour pallier le manque de condition physique de son ex-coéquipier lorientais. Il joue également le rôle du cinquième homme lors du match à Montpellier auquel ne peut prendre part Dugarry. Bilan comptable 4 matches : 2 victoires, 1 nul, 1 défaite (7 points soit 1,75 pts/match). 5 buts marqués, 2 encaissés (+3). Bilan général Le bilan comptable est plutôt satisfaisant : il reste néanmoins flatteur par rapport à la qualité du jeu produit. Mis à part une excellente partie en ouverture face à Lille, les Girondins ont ainsi été incapables de mettre en danger les Parisiens à domicile, avant de s'incliner deux semaines plus tard à Lescure face à Strasbourg, seul un éclair de génie de Pauleta éclairant la triste soirée bordelaise. Quant à la victoire à Montpellier, elle a été marquée du sceau de la réussite. L'équipe bordelaise rapidement réduite à dix après l'expulsion de Jemmali a ainsi été totalement dominée, l'attaque montpelliéraine lui offrant les trois points de la victoire par une incroyable maladresse. Le 4-4-2 "Savio-Meriem / Dugarry-Pauleta" Guingamp, Troyes, Marseille

À l'arrivée de Savio en Gironde, à la fin du mois d'août, l'équipe girondine vit un premier changement. Si le système ne bouge pas, les hommes en revanche évoluent, afin de laisser une place au Brésilien. Menacé sur son flanc gauche par le nouvel arrivant, Dugarry affirme sa volonté de jouer aux avant-postes. Le capitaine girondin, qui a la confiance de son coach (lire l'analyse du temps de jeu ci-dessous), obtient gain de cause. Il est replacé en position d'attaquant. C'est donc Jean-Claude Darcheville qui rejoint le banc Girondin. Comme son compère Feindouno précédemment, il remplace cependant l'ex-international lors du match face à Troyes. Lors de la deuxième mi-temps du match à Marseille, Baup inaugure une formule à cinq joueurs offensifs, avec Feindouno en complément des quatre hommes clefs. Bilan comptable 3 matches : 1 victoire, 1 nul, 1 défaite (4 points soit 1,33 pts/match). 2 buts marqués, 2 buts encaissés (0). Bilan général Au niveau du jeu, les deux matches face à Guingamp et Troyes sont marqués par une certaine pauvreté dans l'animation. Pour autant, Bordeaux conserve l'efficacité défensive de la saison précédente: après les matchs sans buts encaissés face à Lille, au PSG, et à Montpellier, voilà deux nouvelles parties sans que Ramé n'aille chercher le ballon au fond de ses filets. Le match contre l'OM constitue en revanche un curieux paradoxe : particulièrement inspirés, vifs, alertes (mais un peu maladroits), les Girondins s'inclinent pourtant 2-1. Baup est partagé entre la satisfaction de voir son équipe produire du jeu et celle de la voir s'incliner en prenant deux buts. Le 4-2-3-1 "Savio-Dugarry-Darcheville / Pauleta" Lens, Bastia, Sedan

Ces trois matches marquent un tournant pour Meriem, qui est placé pour la première fois de la saison sur le banc des remplaçants. Dugarry recule d'un cran et récupère une place au milieu du terrain, que Baup lui préfère voir tenir. C'est donc le retour en grâce de Darcheville, qui change également de poste pour occuper le couloir droit, dans un rôle de milieu offensif inédit pour lui. Pauleta est laissé seul en pointe. C'est le premier bouleversement radical dans le système de jeu Girondin. C'est aussi à cette période que s'effectue le passage de relais entre Meriem et Feindouno, puisque ce dernier, après avoir remplacé Dugarry à la mi-temps du match de Sedan, prend le poste de milieu droit, qu'il ne quittera plus jusqu'à la trêve. Au rayon anecdotes, on note que lors de la deuxième mi-temps du match à Bastia, Baup réutilise la formule à cinq joueurs offensifs éprouvée à Marseille, mais sans plus de succès. Très médiatisée, cette formule n'a donc (mal) vécu que le temps de deux mi-temps. Bilan comptable 3 matches : 1 victoire, 1 nul, 1 défaite (4 points soit 1,33 pts/match). 4 buts marqués, 4 buts encaissés (0). Bilan général Nette progression au niveau du jeu, surtout lors du match face à Sedan, bien que celui-ci s'achève par un résultat nul 2-2. Comme face à l'OM, c'est donc lors d'un match maîtrisé de bout en bout que les Girondins laissent échapper de précieux points. Le 4-2-3-1 "Savio-Meriem-Feindouno / Pauleta" Sochaux

Ce match est singulier à plusieurs titres. C'est d'abord la première fois que ces quatre joueurs sont alignés ensemble. C'est aussi la dernière, puisque par la suite, Meriem ne jouera jamais plus d'une moitié de mi-temps avec les Girondins. Par rapport aux trois matches précédents, l'ex-Sochalien occupe l'axe en lieu et place de Dugarry, tandis que Feindouno s'installe dans le couloir droit, comme à Bastia ou contre Sedan. Pauleta est une nouvelle fois laissé seul en pointe. Bilan comptable 1 match : 1 défaite (0 point), 0 but marqué, 2 buts encaissés (-2) Bilan général Il est bien difficile de tirer des conclusions en se basant sur une seule partie. Pourtant, ce match est un tournant dans la saison girondine. La piètre performance de Meriem lui vaut ainsi une déclaration déplacée de la part du président du club. En termes de jeu, les Girondins apparaissent sans envie et sans possibilités offensives, Pauleta étant sevré de ballons pendant 90 minutes. Ce match constitue sans doute pour les Bordelais le match-référence, dans un sens inhabituel du terme… Le 4-4-2 "Savio ou Dugarry-Feindouno / Darcheville-Pauleta" Monaco, Nantes, Rennes, Ajaccio, Nice, PSG

Depuis le début du championnat, c'est ce schéma qui a été appliqué le plus longtemps par Baup. Il oscille en fait entre le 4-4-2 et le 4-2-3-1, selon la position plus ou moins en retrait de Darcheville, et plus ou moins centrale de Feindouno, au milieu du terrain. Contre Monaco et pour la première fois de la saison, Feindouno et Darcheville sont associés de façon durable dans l'équipe girondine (ils n'avaient pas joué plus de 57 minutes ensemble jusqu'alors). En faisant reculer le Guinéen d'un cran au milieu de terrain et en plaçant Darcheville devant lui, Baup recrée ainsi le schéma qui prévalait lors de leur saison passée à Lorient (même s'il arrivait alors à Feindouno d'évoluer sur l'autre côté). Dugarry et Savio alternent dans le couloir gauche, principalement au gré des blessures de chacun des joueurs, alors que Baup avait jusqu'ici tendance à les associer. Devant, le duo Pauleta-Darcheville est reconduit, le Guyanais adoptant une position parfois en repli par rapport au Portugais. Bilan comptable 6 matches : 3 victoires, 3 nuls (12 points, soit 2 pts/match), 10 buts marqués, 3 buts encaissés (+7) Bilan général Avec cette animation offensive, les Girondins ont produit un jeu relativement attrayant, en particulier lors du match face à Nice, sur certaines phases contre Nantes, Monaco et le PSG. Au vu du nombre de points pris par les Girondins dans cette configuration, on est tenté de soutenir que c'est sans doute celui qui est le plus adapté à la forme et au profil des joueurs Girondins, même s'il faut relativiser en rappelant que 4 de ces 6 matches ont été joués à domicile. Avec le départ de Dugarry et la méforme de Meriem, il y a fort à parier que Baup reconduira désormais ce système de jeu, à domicile mais aussi à l'extérieur, le schéma défensif pratiqué contre Lyon, Auxerre et Le Havre s'étant avéré improductif (lire ci-dessous). Le 4-3-2-1 "Dugarry ou Savio-Feindouno / Pauleta" Lyon, Auxerre, Le Havre

Lors de trois des quatre derniers matches à l'extérieur, Baup a décidé de tester pour la première fois depuis qu'il est aux commandes des Girondins un système à trois milieux défensifs. Caneira a ainsi été placé entre la défense et les deux immuables milieux de terrain, Smertine et Costa (lire "Ligue 1 : le feuilleton, épisode 14"). Dugarry a tenu le poste de milieu de gauche contre Auxerre, Savio assurant ces fonctions contre Lyon et Le Havre. De l'autre côté, c'est Feindouno qui s'est positionné dans le couloir droit pendant les trois matchs, Pauleta restant seul en pointe. Bilan comptable Trois matches : 3 défaites (0 point), 2 buts marqués, 6 buts encaissés Bilan général Le bilan comptable n'est pas loin d'être catastrophique. Mais contrairement aux apparences, le jeu développé par les Girondins durant ces trois matchs n'a pas été calamiteux, puisque à Auxerre comme au Havre, les hommes de Baup ont eu la maîtrise du ballon la majeure partie du temps. À Lyon, les Girondins se sont également procuré quelques occasions dangereuses et ont développé plusieurs mouvements intéressants. Reste que la domination n'est pas forcément un gage de réussite (la preuve). Et laisser Pauleta seul aux avant-postes, avec seulement deux milieux de terrain pour lui délivrer des ballons dénote une dépendance et une foi extrême dans le talent du buteur portugais. Quant à l'efficacité défensive du système, si elle est réelle (surtout lors des matches face à Auxerre et au Havre), elle n'en reste pas moins susceptible d'être ébranlée sur coups de pied arrêtés: un coup franc de Cissé et un corner face au Havre ont ainsi suffi à ruiner les espoirs Girondins. Le temps de jeu des joueurs offensifs

L'étude du temps de jeu des différents joueurs girondins à vocation offensive ébrèche quelques idées reçues. Tout d'abord, on constate que Meriem et Feindouno ont tous deux eu leur chance au sein de l'effectif girondin. Le parallélisme entre les deux joueurs est d'ailleurs assez saisissant: le premier a joué l'intégralité des sept premières rencontres tandis que le second a joué (quasiment) l'intégralité des dix dernières, chacun faisant de la figuration pendant la période faste de son "concurrent". Désormais, la situation semble néanmoins délicate pour l'ancien Sochalien. Ce n'est plus lui qui tient la corde, mais bien son jeune homologue guinéen, qui enchaîne les prestations de grande qualité depuis sa titularisation face à Bastia. La fin de saison risque d'être difficile pour Meriem, à moins que le départ de Dugarry ne lui permette d'exercer son (grand) talent un peu plus souvent. Deux joueurs ont eu jusqu'à la trêve une totale confiance d'Elie Baup : Dugarry tout d'abord, qui a été aligné systématiquement, que ce soit au milieu ou devant, sur la gauche ou dans l'axe. Il a ainsi été titulaire 12 fois sur 13, ses 7 absences étant imputables à des blessures ou à des suspensions. Le capitaine girondin n'a commencé les matches sur le banc qu'à une seule reprise, face à Monaco, en raison d'un retour de blessure. Il n'a également été remplacé qu'une seule fois avant l'heure de jeu, à la mi-temps contre Sedan, sa sortie face à Paris étant due à une expulsion. Savio présente sensiblement les mêmes statistiques. Titulaire 12 fois sur 14, il n'est jamais sorti avant la 75e minute, et n'a été remplaçant qu'à deux reprises. Les deux hommes ont un temps de jeu moyen par match de 72 et 75 minutes. Que dire de Pauleta ? Jamais blessé, jamais suspendu, le Portugais a été titulaire lors de tous les matches disputés par les Girondins. Il n'a été remplacé que deux fois, aux 84e et 88e minutes, face à Montpellier et Ajaccio… Il a aussi marqué 10 buts et délivré 4 passes décisives. Dans ce contexte, il reste à Jean-Claude Darcheville un délicat rôle d'intermittent du spectacle. En fonction des blessures et des états de forme de chacun, des schémas de jeu et des adversaires rencontrés, le Guyanais a assumé avec beaucoup de courage un statut d'acteur de complément que d'autres (en d'autres lieux et dans d'autres circonstances) refusent avec un peu moins de professionnalisme.

Réactions

  • harvest le 09/01/2003 à 12h00
    Une chose que Baup aura au moins réussi à faire ici , c'est augmenter la moyenne du nombre de lignes par post :-)

  • No Fun le 09/01/2003 à 14h30
    Moi non plus je ne supportais pas Dug, mais lorsqu'il est arrivé à l'OM, il a fait des matches de feu. Et pas qu'un ou deux. Il mouillait le maillot et avait la grinta qui faisait défaut à l'époque (Pirès n'avait pas encore musclé son jeu ;o). Je me souviens de match ou je me disais 'comment j'ai pu trouver que Duga est une quiche avec ce qu'il fait en ce moment'. Je pense notamment qu'il est le grand artisan, avec Le Président, du 0-4, 5-4 contre Montpellier.

    C'est vrai que depuis il est retombé dans ses gros travers. Mais on ne peut pas dire que c'est une tanche technique. Sur son coté gauche (à l'OM il jouait en Mil Off G) Il mettait les défenseurs dans le vent très très souvent et créait le jeu.

    Je crois qu'il s'est vu trop beau en retournant à Bordeaux, son 'jardin', et a joué la facilité, ce qu'il ne pouvait pas faire en arrivant à l'OM.

    J'ai d'ailleurs trouvé très injuste l'attitude des supporters marseillais à son encontre au début de la bérézina OMesque. Celui à qui on ne pouvait pas reprocher de ne pas mouiller le maillot, c'était bien Duga.

    A Bordeaux V2, il m'a saoulé comme il m'a saoulé en EdF, ceci dit, c'est un bon joueur.

  • christelou le 09/01/2003 à 18h51
    "...qui empêche les bordelais de bien jouer." El M, "gagner" serait suffisant, la qualité du jeu n'était pas terrible et en fait je crois que c'est ce qui me gêne le plus avec Pauleta.

  • El mallorquin le 09/01/2003 à 21h26
    Je ne comprends rien du tout à ton post Christelou !
    :-o

  • LokomotivDallas le 10/01/2003 à 14h39
    je me souviens des 1ères sorties de Dug en 86 à 17 ans au milieu des vieux grognards de Bez et franchement il était déjà très fort. en fait la "fracture" dans sa carrière à mon avis c'est sa blessure à l'Euro96. juste avant il pesait d'un poids énorme sur les défenses positionné en pointe, il avait signé au MilanAC ou il aurait pu faire sa place aux cotés d'un Weah esseulé à l'avant... au lieu de ça il a mis du temps à revenir, n'a pas pu bien s'adapter, est reparti au Barça en fin de saison, 6 mois avec le despote VanGaal, retour-pari à l'OM replacé mil off gauche, un certain regain, une selection en CdM contestée, la fuite devant les supps OM en folie, un retour au bercail à la fois dillétante et grande gueule... bref il y a eu un mauvais virage à un moment et le gars s'est enfoncé et s'enfonce à Birmingham

  • tikko le 10/01/2003 à 15h37
    Hep, il avait 14 ans en 86 le Dug..
    Enfin, oui, effectivement il était bon jeune mais qd même !

  • eio2 le 10/01/2003 à 17h58
    A Bordeaux, en 96, les travées de Lescure grondaient contre Duga. C'était à l'époque pour stigmatiser son côté branleur et fétard qui expliquait un certain dilettantisme sur le terrain
    . Dès cete époque y'avait déjà cette sensation de gachis sans mauvais jeu de mots.
    M'enfin, y'a un fil spécifique sur Duga qui a meublé les vacances.

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