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C1 beau roman : épisode 3

le 26 Oct 2007

 


Les gestes de la journée


• L’enchaînement Jogo Bønitørg de Farnerud au poteau de corner, dos au jeu : contrôle amorti pied gauche, poitrine, jongle puis sombrero retourné qui transforme Källström en Krisprolls émietté.
• Les deux sauvetages de Mandanda dont les bras semblent s’allonger pour dévier les ballons sur son poteau.
• Les passes piquées jumelles de Diego pour le Werder et de Di Maria pour Benfica qui permettent toutes les deux à leur avant-centre d’hériter du ballon seul face au but.
• La feinte de corps de Kaká qui casse les reins des trois défenseurs ukrainiens en laissant filer sur Gilardino, lequel lui remet parfaitement dans la course avant que le Brésilien n’échoue dans l’ultime face à face.



La mini-bannette

L’aveu
Alain Perrin (L’Equipe) : "On n’est pas maîtres de notre destin". Oui, on sait, c’est Lacombe qui décide.

La conduite de balle en état d’ivresse
• Alain Perrin (L’Equipe) : "Il faudra faire souffler quelques joueurs".
• Hatem Ben Arfa (L’Equipe): "Le foot, c’est une usine à émotions".
• Rafael Benitez (L’Equipe): "Liverpool est une autre équipe, je ne sais pas laquelle".
• Bosingwa (L’Equipe): "Prendre un point à Marseille, ce n’est pas si mal".



Porto et reviens vite

Il n'était pas simple d’aborder ce match, pour des Marseillais étonnants leaders de leur poule, mais encore fébriles et toujours en reconstruction depuis l’arrivée de Gerets. Celui-ci reconduit prudemment ce qui commence à ressembler à une équipe-type (deux victoires pour une défaite, ainsi qu’une brillante qualification en Coupe Machin) en fonction des aléas du moment, notamment en défense. Mais c’est le FC Porto qui fait sienne la pelouse du Vélodrome dès les premières minutes. Marseille assiégée, Marseille dominée, Marseille dépassée, mais Marseille immaculée, au tableau d'affichage, à la pause.

Pieds Nickelés ou Ocean’s Eleven ?
La talent de Mandanda et la hargne de Bonnart permettent aux Marseillais de rester dans un match qui aurait dû leur échapper. Heureusement pour les Phocéens, Jean-Michel Larqué a alors agité sa poupée vaudou, habillée du maillot 11 de Mamadou Niang ce soir-là (le public du Vélodrome s’occupant traditionnellement du n°9). Leur association maléfique entraîne un joli but, suite à une des rares présences marseillaise sur le "deuxième ballon" – en l’occurrence une chandelle directement inspirée du dernier Angleterre-Afrique du Sud.
Heureuse en regard du rapport de force technique et collectif, l’équipe orange ne faisait pourtant que respecter un scénario, dit du "hold-up". Mais, bien plus Pieds Nickelés qu’Ocean’s Eleven, l’OM dut concéder le nul après avoir modifié sa ligne défensive, ce à quoi tout entraîneur rechigne habituellement. Givet, cuit comme un bon vin du Haut Douro, laissa sa place à un Taiwo pas aidé par une défense centrale brillante en un contre un mais à la peine sur les placements. Sur l’ouverture trouvée dans le dos de tout ce petit monde, Mandanda y laissa un jaune, un penalty, un but et une note de 10 pourtant quasiment acquise.

Il y a des bons points de match nul, et des mauvais. L’avenir dira si celui obtenu par les Marseillais dans leurs pénates sera utile, mais il les laisse dans la même position qu’avant le match, ce qui n’est pas un moindre mal, à mi-poule.



Stuttgart-Lyon : de France

Si l’on peut bien reconnaître une qualité à Alain Perrin, c’est sa capacité à apprendre de ses erreurs. Ou plutôt, sa capacité à apprendre de ses adversaires. La leçon de tactique offerte par Walter Smith il y a deux semaines à Gerland ne lui a pas échappé. Et plutôt que de se jeter à l’abordage dès l’entame d’un match à l’extérieur qu’il "fallait gagner", l’OL s’est contenté de poster quelques vigies à l’entrée de sa surface et de laisser venir en jouant à fond les contres. Gênés par des Stuttgartistes très bien organisés collectivement à la récupération, Lyon a plié sans jamais céder, un peu comme les genoux de Lorik Cana.

Impact physique
Faisant preuve d’une belle envie, les Stuttgartois ont commencé par déboussoler les Gones en combinant vite, notamment sur leur aile droite où le repli défensif de Ben Arfa et le placement de Grosso rendaient la tâche plus facile que de l’autre côté, tenu par Govou et Réveillère. Comme souvent dans ce genre de configuration, il s’agissait donc de "jouer les coups à fond", ce à quoi se sont employés Benzema, Gouvou et un Ben Arfa qui fut, une fois de plus, époustouflant en quelques occasions.
Lyon manquait cependant d’agressivité dans la plupart des sens du terme – notamment au milieu – et aurait pu se mettre en plus grand danger si les Stuttgartiens n’avaient fait preuve d’une maladresse coupable à l’approche de la surface adverse. C’est d’ailleurs à force de s’épuiser sur la défense rhodanienne que ceux-ci ont fini par reculer progressivement. Sous l’impulsion également de Fabio Santos, donc l’impact physique finit par faire beaucoup de bien aux hommes d’Alain Perrin, et dont l’influence rappelle à quel point Essien et Diarra ont manqué à cette équipe. Il y avait d’ailleurs du Essien dans la frappe rageuse, puissante, et chanceuse qui débloqua la situation.

Une fois le score ouvert, le match devint facile, et les différences intrinsèques de qualité entre les deux effectives plus visibles. Comme quoi, une tactique infâme et honteuse pour le football quand elle est pratiquée par des Ecossais peut devenir intelligente et efficace quand elle fonctionne parfaitement pour un club hexagonal.



vfb_sparschwein.jpgVfB-OL : d’Allemagne

Le VfB Stuttgart ne s’était pas mis dans les plus belles dispositions pour affronter Lyon. Le club du Bade-Wurtemberg restait en effet sur une triste série de quatre revers consécutifs et d’ampleur croissante toutes compétitions confondues: successivement 1-2 à Rostock, 0-2 au Gottlieb-Daimler-Stadion face à Barcelone puis contre Hanovre, et 1-4 à Hambourg samedi dernier.
Avec les retours de Meissner et Bastürk au milieu, par rapport à la formation qui avait affronté les Catalans, on pouvait s’attendre à plus de mouvement et surtout à une meilleure alimentation de l’attaque menée par le jeune Gomez. Il n’en a rien été: la première mi-temps a certes vu les Allemands avoir la possession, sans pourtant se procurer les meilleures occasions. C’est au contraire le gardien Schäfer, décidément mieux inspiré par la Ligue des champions que par la Bundesliga, qui a le plus brillé – ce malgré sa défense encore une fois instable –, préservant le 0-0

Échecs et maths
En deuxième période, le VfB a reculé, et Lyon a su en profiter pour ouvrir le score suite à un corner mal dégagé (et comme face au Barça, encore avec l’aide d’un "Rouge" – cette fois Osorio). Misant tout sur l’attaque, Armin Veh a alors fait rentrer deux joueurs à vocation offensive, Khedira et Ewerthon, hélas trop tard et sans succès, malgré le trio d’attaquants Cacau – Gomez – Ewerthon alors présent sur le terrain. L’éventuel penalty qu’aurait pu obtenir Gomez pour une faute de Vercoutre dans le temps additionnel n’aurait rien changé à l’affaire…
 
Malgré un début de calendrier favorable, Stuttgart reste donc à zéro point, et pourrait se voir éliminé de toute scène européenne dans quinze jours. Avec cet énième revers, le Meister 2007 réalise un parcours comparable à celui de Hambourg l’an passé. Un HSV longtemps à la peine tant en Bundesliga qu’en C1 (cinq défaites), avant qu’un changement d’entraîneur ne remette le club dans le bon sens. Espérons pour Veh que la solution de la crise actuelle sera tout autre. Le retour de Delpierre en défense, le réveil de Gomez et surtout de Cacau en attaque pour le match à Lyon, peut-être?


Les observations en vrac

• Le problème avec Laurent Paganelli, c’est qu’il profite à plein de la jurisprudence Titoff / Patrick Bosso, qui veut que toute mauvaise vanne prononcée avec l’accent du sud provoque une tolérance exagérée chez les auditeurs.
• Benzema perd un second face à face avec le gardien une semaine après France-Lituanie. Et si en fait, la meilleure comparaison, c’était avec Dugarry?
• Ça sert à quoi que Quaresma se la raconte autant, si c’est pour se faire museler par Laurent Bonnart?
• Ca fait bizarre, quand même, de voir jouer Porto sans Vitor Baia dans les buts.
• C’est pas sympa de faire tirer les corners à Valbuena. On voit vraiment qu’il est plus petit que le poteau.
• Cissé qui ferme les yeux pour ne pas couper la trajectoire du seul bon centre de la carrière d’Arrache, c’est parce qu’il espère encore retourner un jour à Liverpool ou c'est juste pour le plaisir de nous entendre hurler devant nos télés?
• Si Kolarov venait à faire le fameux geste du bébé bercé après avoir marqué un but pour la Lazio, dira-t-on de lui qu’il fait son Bebeto show?


arbitre_gel.jpg  
Le pot de gel capillaire découvert par l’arbitre sur le terrain du Vélodrome en plein match est-il tombé de la poche de Quaresma ou de celle d’Helder Postiga?



La course à l’échalote

Suivons les cinq joueurs encore en activité à se disputer le titre de meilleur buteur de l’histoire de la C1. Entre crochets, le nombre total de buts marqués lors de cette édition
58 Raul (+1) [2]
52 Ruud Van Nistlerooy (0) [3]
47 Andrei Chevtchenko (0) [1]
42 Thierry Henry (0) [1]
39 Filippo Inzaghi (0) [1]
(source : uefa.com)



c1_2_rangers.jpgÀ coups de Rangers

Ce devait être le match au sommet du groupe E, ce ne fut qu’un soporifique match amical. Dans l’antre d’Hampden Park, c’est assez logiquement que les boys de Walter Smith et les nois de Rijkaard se sont séparés après un match et un score nul (0-0).
Si le Barça a dominé le jeu, les Blaugranas ont une nouvelle fois mis en évidence les limites de leur système de jeu à l’extérieur, et récolté logiquement leur troisième 0-0 de la saison. Manquant de mouvement et de percussion, les Catalans n’ont inquiété la défense écossaise que sur un coup franc de Ronaldinho qui trouva la barre (23e minute), et sur une frappe du même Gaúcho, mais repoussé par le bras de Hutton (40e).

Au final, les Catalans récoltent un match nul sans gloire, que les Écossais célèbreront comme un triomphe. Pour éviter la déprime, on retiendra que Gudjohnsen a parfois du talent, mais seulement dans les îles britanniques. Et que Puyol, enfin revenu sur le côté droit, a été invaincu dans ses duels et volontaire dans ses montées.



La Samba a mis le temps

Mercredi dernier, après avoir humilié l’Équateur, Robinho et Ronaldinho ont copieusement fêté la victoire de la canarinha dans une boîte très cotée de Rio de Janeiro. Le Madrilène, sorti à cinq heures du matin, et le Barcelonais, sorti six heures plus tard, ont manqué l’avion devant les ramener en Europe, et – par voie de conséquence – le match de Liga du week-end. Il va sans dire que le retour à la compétition des deux fêtards était attendu par une presse prête à les tacler à la gorge.

Robinho en reconquête
Ronaldinho, habitué à ce genre d’écarts et aux critiques, avait pris l’habitude de faire taire ses détracteurs par des prestations à couper le souffle. Jusqu’à l’an dernier… Car le Gaúcho, dont le manque de professionnalisme fragilise sérieusement son avenir en blaugrana, fut fort discret.
En revanche, Robinho est plus sensible aux critiques et avait à cœur de les faire taire. Le numéro 10 du Real a survolé le match de son équipe, provoquant un penalty, marquant deux buts et offrant une passe décisive. Sans parler du festival de dribbles, passements de jambes et autres détails techniques. Convaincant dans son jeu, l’ex du Santos a gagné le pardon du Bernabeu et de Schuster.
Entre les deux joueurs, il y a une ligne: Ronaldinho n’a plus rien à prouver, et en période de critique, le Gaúcho ne cherche plus à convaincre qui que ce soit. Robinho, moins reconnu, doit encore justifier de son rang.



Des Grecs frits

Plus c’est long, plus c’est bon et il faut savoir être patient avec le Real en ce moment. Comme à Montjuïc, samedi dernier, les hommes de Bernd Schuster ont attendu les ultimes minutes pour concrétiser leur domination. À la différence près que mercredi, les Merengues ont pris trois points.
L’avantage de l’arrêt Bosman est qu’il permet des fêtes de famille imprévues: ainsi, les Madrilènes ont retrouvé dans l’équipe grecque des amis du club (Raúl Bravo, formé au Real), de l’effectif (Nasuti ou Ledesma – arrivés respectivement de Boca et River) mais aussi certains anciens ennemis (Kovacevic et Galletti).

Casillas, sauveur patenté
Il revint au maître de maison d’entamer le festin. But de Raúl, après deux minutes de jeu, profitant des errements de la défense grecque. Cadeau immédiatement rendu par une erreur de Salgado dont profite Galletti (7e minute). Le match changea de tournure avec l’expulsion de Torosidis (12e), qui obligeait les Grecs à défendre sur leur but, en laissant à Lua-Lua le privilège de la solitude en attaque.
C’est Robinho qui fera finalement justice à la domination madrilène. Auteur d’un match remarquable, le Brésilien apportera un concours décisif à la victoire madrilène en égalisant (68e) et en donnant l’avantage aux siens (83e). Après que Casillas eût sauvé son équipe (comme toujours) sur un arrêt à bout portant dans les arrêts de jeu, le jeune Balboa achevait le suspense (93e).



Valence prend froid

Pour sa gouverne, Valence aura appris qu’on ne va pas en Norvège sans casser des œufs. Jouant crânement sa chance, Rosenborg n’a pas éprouvé la moindre difficulté face aux hommes de Quique, efficaces en championnat mais qui éprouvent de grandes difficultés sur la scène européenne. Privés en dernière minute de David Villa, les Valenciens ont sombré à Rosenborg. Prenant le parti de déjouer, les joueurs che ont vigoureusement refusé de déranger leurs adversaires avant la toute fin de match.

Rosenborg, pourtant auteur d’une saison catastrophique (champions à quatorze reprises lors des seize dernières années, le club ne sera même pas européen la saison prochaine), n’a pas tremblé outre mesure. Peu avant l’heure de jeu, Koné (53e minute) et Riseth (60e) ont donné aux locaux un avantage suffisant, avec la complicité d’un Cañizares en proie au doute.
Au sortir du match, Rosenborg apprenait le départ de son entraîneur, Knut Tørum. Quant aux supporters de Valence, échaudés par la mauvaise gestion de Quique Sanchez Flores, ils ne pourront qu’aiguiser leurs critiques envers un entraîneur qui – fidèle à son filon démagogique – préfère incriminer ses joueurs et non leur titularisation.



La C1 vue du forum

Les nez creux de la soirée

=>> kiki2mars - 19:41
Finalement, étant donné que Liverpool va devoir se contenter d'un nul chez les turcs malgré une domination de tous les instants, nous pourrons donc nous contenter d'un nul et conserver notre première place. Par conséquent, je me suis contenté d'un nul sur mon bwin.

=>> Cleaz addict - 21:31
Etant donné que Niang est humilié par Jean-Michel Larqué, il va marquer votre but de la délivrance, c'est écrit....



Séville s’éveille

Le FC Séville veut tourner la page. Toujours affectés par le décès d’Antonio Puerta, joueurs et entraîneurs avaient demandé aux supporters de modifier les hommages devenus traditionnels pour que la présence du défunt soit moins oppressante. Avec ce désir d’exorcisme, les Sévillans ont commencé le match tambour battant, et il ne fallut pas plus de quatre minutes à Kanouté pour ouvrir la marque face à un Steaua complètement débordé.

Schizophrénie
Menés de main de maître par Diego Capel, les Hispalenses ont matérialisé une domination à outrance par le deuxième but de Luis Fabiano, marqué à la dix-septième minute, après que le public eut scandé le nom de Puerta – sans plus respecter l’habituel silence macabre de la seizième minute. Comme un symbole.
Une fois la mi-temps passée, les hommes de Juande Ramos sont retombés dans la schizophrénie de leur saison. Impériaux en première période, les Nervionenses ont battu en retraite pendant la seconde. La réduction du score de Petre, peu après l’heure de jeu, aura tout juste permis de mettre le Sevilla face à ses lacunes défensives.
Le match s’est arrêté là, en raison de l’apathie des deux équipes. Séville, incapable de retrouver le rythme du début de match, n’a pas souffert de la faible qualité roumaine. Avec cette victoire, le double vainqueur de la Coupe de l’UEFA se replace dans la course aux huitièmes... ou à sa propre succession…



Zenden à dix-neuf contre un

"Zenden n’a pas été soi-même ce soir", déplorait aimablement Éric Gerets au terme du match. L’appréciation du technicien se voit pourtant nuancée par les statistiques diffusées par TF1 lors de son remplacement de la 54e minute.  "Cinq ballons perdus seulement", souligne Thierry Gilardi comme pour éviter de ternir les "Excellent match de Zenden contre Lens dimanche soir" répétés dès que le ballon était dans ses pieds.
La désagréable impression visuelle laissée par Zenden au cours de la rencontre invite à vérifier auprès du site spécialisé scanball.com. Impression visuelle: 1 – Stats de TF1: 0…
 
On n’est pas à un ou deux ballons près dans l’observation statistique. Et les différents critères d’analyse peuvent quelquefois expliquer les écarts observés entre "occasions de buts"  subjectives et "frappes cadrées" objectives. Mais les cinq ballons perdus annoncés par TF1 se transforment étrangement en dix-neuf ballons perdus. Un écart substantiel d’autant plus intriguant que la première chaîne a recours à... Scanball pour ses statistiques. On imagine mal l’intérêt d’une éventuelle manipulation des données à l’adresse de la ménagère de moins de cinquante ans. On déplorera juste ce que l’on imagine être un bug informatique, hypothèse que vient étayer le tableau suivant, signalant Rodriguez, Taiwo et Oruma comme les principaux destinataires des passes de Zenden, alors qu’ils n’étaient pas sur la pelouse.

Réactions

  • Cleaz le 26/10/2007 à 08h13
    Nez creux nez creux, je proteste! Si mandana ne s'était pas transformé en Barthez fauchant tout sur son passage, vous auriez crié au génie!

  • MarcoVanPasteque le 26/10/2007 à 08h59
    Je pense que tu t'offusques à tort Cleaz, Dame Rédac soulignait là que ta prédiction s'était avérée, au même titre que celle de kiki.

  • FPZ le 26/10/2007 à 09h10
    Pour une fois, efectivement, je pense que le titre de "Top nez creux" n'est pas décerné de manière ironique !

  • Roger Cénisse le 26/10/2007 à 09h41
    Une gazette de la coupe d'europe qui ne parle pas d'Arsenal, c'est pô une vraie gazette. Na.

    (oui, je suis grognon ce matin)

  • D. Gullit le 26/10/2007 à 09h48
    Le jet de projectile susceptible-de-tomber-de-la-poche-du-joueur n'est pas nouveau! Je me souviens de téléphones portables lancés lorsque Dessailly était présent sur la pelouse! Il est vrai que le pot de gel a un meilleur cx et qu'il permet d'atteindre plus facilement sa cible! Mais jusqu'où ira t'on? Jets de walkmann, de jantes alu 18 pouces susceptibles d'incriminer Djébril?

  • luckyluke le 26/10/2007 à 10h23
    • Rafael Benitez (L’Equipe): "Liverpool est une autre équipe, je ne sais pas laquelle".


    Si je considère que ce que j'ai lu (certes dans L'Equipe, mais quand même) est vrai, la phrase correcte est "Liverpool et une autre équipe, je ne sais pas laquelle", en réponse à "Qui va se qualifier dans ce groupe?"


    Ce qui n'a plus rien de drôle, évidemment.

    Mais bon, si ça se trouve, je gajardise, comme on dit en face...

  • luckyluke le 26/10/2007 à 10h28
    Et sinon, la "brillante qualification en coupe Machin", c'est laquelle? la qualification pour les 8es de finale de la coupe de la Ligue?

  • nidieunimaître le 26/10/2007 à 10h33
    "après que" est suivi de l'indicatif, contrairement à "avant que". Donc "eut" et pas eût".
    Pour rester dans la langue, on les appelle comment, en français, les Stuttgarteux? (Toni?)

  • axgtd le 26/10/2007 à 10h36
    Pour les stats de Zenden, elles s'expliquent facilement : quatorze passes à des partenaires sur le banc, que les esprits chargins peuvent, certes, qualifier de "ballons perdus".

  • sea 34101 le 26/10/2007 à 12h23
    Juste un petit mot pour dire que votre vanne sur le bebeto show de Kolarov m'a bien fait marrer.

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