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La Gazette > 17e journée

Auteur : Le Feuilleton de la L1 le 15 Dec 2006

 

Sedan, qui s’entête à perdre et Lyon, qui s’entête à gagner, continuent d’imposer un stretching au classement en relief. Lens se détache du premier peloton de poursuivants, à la faveur de sa victoire en terre toulousaine, et des matches nuls de ses quatre poursuivants. L’OM se replace en embuscade dans la course aux places d’honneur, juste derrière Saint-Étienne qui émarge à équidistance du leader et de la lanterne rouge.

Comme chez les buveurs de bière, le ventre mou de la L1 se situe très bas, et seuls Lorient et Rennes, uniques formations de la deuxième partie du classement à glaner trois points, ont réussi à s’en extirper. Paris perd une place et voit Nice et Troyes recoller au gruppetto des six clubs désormais concernés par la lutte pour échapper à la première place de reléguable.


classement_0607_17.jpg


Les résultats de la journée
Lyon-Paris SG : 3-1
Lorient-Sedan : 2-0
Marseille-Monaco : 2-1
Troyes-Auxerre : 3-3
Lille-Saint-Étienne : 2-2
Valenciennes-Sochaux : 0-0
Nice-Nancy : 0-0
Nantes-Le Mans : 0-0
Toulouse-Lens : 0-1
Bordeaux-Rennes : 1-2



Les gestes de la journée

> les arrêts de Rémy Riou sur une tête puissante de Jau tout d'abord, puis deux fois en moins de deux secondes sur des frappes à bout portant dans ses six mètres.
> le double contact, le double crochet extérieur et l'ouverture dosée plat du pied de Cyriaque Louvion.
> la feuille morte dans la lucarne de Yann Lachuer, qui a pourtant dû tirer 18.753 coups francs à Cool à la fin des entraînements de l’AJA.
> le coup de patte sur la tête de Gigliotti de Yann Lachuer, à qui il ne manque plus qu'un bandeau dans les cheveux pour aller faire se lever le Nou Camp au mercato avec sa forme du moment.
> le centre en rupture de l'extérieur du gauche de Gaël Danic pour Gigliotti qui conclut, démarqué au point de penalty.
> la frappe en angle fermé aussi soudaine qu'improbable d’Issam Jemaa après un bon dribble extérieur, déviée sur son poteau par Douchez, deux minutes après un tir sur la barre.
> l'appel rusé dans le dos d'Arribagé d’Issam Jemaa, qui conclut ses dix minutes de feu par une reprise un rien dévissée offrant la victoire aux Lensois.
> la volée de Sylvain Marveaux, aussi molle qu'un passing de Santoro, dont Ramé voit finir la trajectoire dans son petit filet.
> l'enchaînement collectif rennais sur leur deuxième but, bonifié par une talonnade puissante de Sylvain Marveaux pour Briand, qui centre sans contrôle pour Utaka.
> l'ouverture high kick frontale de Cyril Rool pour Bellion qui offre un bon centre à Kante lequel smatche une tête miraculeusement déviée sur sa ligne par Olivier Sorin.
> l'ouverture aérienne platinienne de Cyril Rool qui prend pas moins de neuf Nancéens à défaut pour trouver Moussilou, auteur d'une air-volée dont il a le secret.
> la prise de catch d'Olivier Sorin sur Ederson qui était en bonne position pour tirer profit du raté de Moussilou.
> au terme d'une percée mi-football mi-billard, l'ouverture dosée de l'extérieur du pied gauche au ras du sol de Cyril Rool qui prend encore huit adversaires à défaut en une touche de balle, pour Kone qui préfère simuler une faute inexistante plutôt que jouer cette jolie balle de match.
> le une-deux aérien de Mamadou Niang et Djibril Cissé qui fait passer l'international français pour Superman alors que Niang prend la responsabilité de l'essentiel de l'action, et conclut brillamment.
> l'ouverture en aveugle de Mathieu Bodmer sur Odemwingie avec une frappe en pivot à faire pâlir Tiger Woods sur la qualité de son swing.
> le petit extérieur de Peter Odemwingie pour Keita à la réception du ballon de Bodmer, là où 99,99% des attaquants auraient tiré sur Janot.



La bannette

La métaphore mal maîtrisée
Jean-Claude Darcheville (lequipe.fr) : "Si on continue à jouer au yo-yo, on sera vraiment décrochés".

L'atavisme régional
José Pasqualetti (AFP) : "On ne donne pas le ballon pour se faire battre mais le fusil pour se faire tuer".

L'enfonceur de portes ouvertes
Guy Lacombe (L'Équipe) : "Est-ce que le match n'aurait pas été différent si on avait eu ce penalty en début de partie et si on n'avait pas pris ce but à la 46e minute?"

Le joueur contagieux
Stéphane Dalmat (AFP) : "Tout le monde n'a pas été au niveau de ce que l'on est capable de faire".

L'amateur de paradoxes
Bruno Cheyrou (football365.fr) : "Je n'ai pas besoin de faire de long discours pour dire que je suis très satisfait ce soir".

L'entraîneur qui ne tente pas un coup de poker
Georges Eo (football365.fr) : "Patrick Bruel a eu un meilleur accueil au Zenith que nous à la Beaujoire".

L'entraîneur de rugby
Antoine Kombouaré (L'Équipe) : "Nous avons pris un point en alignant seulement quinze joueurs valides".

L’éleveur de pitbulls
Gérard Houllier (AFP) : "Les joueurs de l'OL ne lâchent rien".

L’entraîneur qui sait ignorer son rival régional
Ivan Hasek (AFP) : "Avant tout, je veux féliciter Lille pour leur parcours en Ligue des champions".

Le service minimum
Ricardo (L'Équipe) : "On n'a pratiquement pas joué".

La statistique de la mort
Jérémy Hénin (Canal+): "On sait qu'aujourd'hui, il faudra gagner un match sur deux pour se maintenir, en sachant qu'aujourd'hui on a gagné un match sur dix-sept".

La continuité dans le changement
Ulrich Ramé (AFP) : "Notre irrégularité est récurrente".

L’équipe qui se fait enfler sur les droits télé.
Bruno Cheyrou (AFP) : "Bordeaux a dû payer son match de Ligue des champions mardi".


Le lundi investigation du samedi soir
Alexandre Ruiz (Canal+): "Pour info, et pour vous les abonnés, un arbitre recevait en moyenne 53.000 euros net par an, engagement pris, de par les fédérations, eh bien de passer à 70.000 euros net par an, les arbitres français veulent d'autres choses, voilà pourquoi ils ont lancé ce mouvement de contestation ce soir."



Cissé pas le Messi

La longue attente du Vélodrome a donc été récompensée : Djibril Cissé a comme prévu enfilé son costume blanc de sauveur tatoué, confirmant qu’il était bien le chaînon manquant à l’OM pour revenir dans la course à la Ligue des champions. En véritable machine à vendre du papier et du temps de cerveau disponible, le Djib’ a retrouvé sa place dans les gros titres un tantinet exagérés et se taille la part du lion dans des résumés franchement avantageux.

Pourtant, on pouvait légitimement émettre des réserves quant à l’apport potentiel d’un attaquant supplémentaire – avec de telles spécificités de puissance et de vitesse – dans l’effectif d’Albert Émon. L’animation offensive semblait effectivement avoir donné satisfaction sur la durée, depuis que Jean Fernandez avait osé déplacer Mamadou Niang dans le couloir gauche et offert à Mickaël Pagis un autre renfort sur le côté droit dans le dernier tiers de la saison dernière. Les Marseillais ne bénéficiant que rarement d’espaces à croquer dans le dos de défenses la plupart du temps repliées, on avait du mal a imaginer Cissé incarner le Zorro olympien. On pouvait même craindre que son intégration pousse Niang (meilleur passeur) ou Pagis (meilleur buteur) sur le banc, au profit d'une attaque à deux têtes.

Reconnaissons à Albert Emon une certaine suite dans les idées, en alignant Cissé aux côtés des deux meilleurs attaquants marseillais. Les 36 "camisos" braquées sur le n°9 de l’OM n’auront finalement à se mettre sous la dent que son une-deux de la tête avec Niang… et une spectaculaire envie de manger du gazon. Et peu importe, après tout, que sa tête fut simple d’exécution ou que Mamadou Niang porte bien davantage la responsabilité du deuxième but marseillais: tout le monde a trouvé le Zorro attendu, le joueur censément décisif. On attendra pour notre part que Cissé retrouve le rythme de la compétition et passe plus de temps sur le terrain pour revenir sur nos doutes originels. Mais force est de constater que son excellente intégration dans le groupe, sa rage de vaincre manifeste et sa faculté à attirer des défenseurs soudain apeurés, confèrent à Djibril Cissé une réelle stature au sein d’un OM qui avait bien besoin d’une telle grinta pour atténuer la perte de deux compétiteurs de la trempe de Barthez et Lamouchi.



Suspension avec sursis

Le constat a déjà été effectué au cours d'une Gazette, il y a quelques saisons, mais puisque rien ne change, ne changeons pas de discours. On continue en effet à voir des entraîneurs théoriquement suspendus s'agiter derrière un grillage proche de la pelouse afin de donner leurs consignes aux joueurs. Ainsi de Frédéric Antonetti lors de Nice-Nancy. Le tout sous les yeux des officiels et des représentants de la Ligue – sous les yeux de tout le monde, en fait, puisque les télévisions s'amusent beaucoup de ces images pittoresques.

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Cette tolérance en dit long sur l'autorité de la Ligue en matière disciplinaire, qui ne parvient même pas à (ou plutôt ne souhaite pas) faire pleinement appliquer les sanctions qu'elle édicte. Mais aussi sur la volonté politique de protéger les arbitres contre les agressions verbales, puisque les suspensions en question résultent de tels écarts. On notera aussi que les présidents Rousselot et Urano, suspendus de toutes fonctions officielles pour un mois, ont pu tranquillement s'afficher en tribune... officielle. Seul l'accès... du vestiaires des arbitres leur est interdit!
La simple cohérence et le souci d'obtenir un changement des comportements impliquerait de donner aux suspensions un caractère beaucoup plus dissuasif. Un joueur suspendu ne peut exercer son métier. Il devrait en aller de même avec les entraîneurs: envoyons-les regarder le match à la télé, téléphone à la main pour passer les consignes.



L'OL appuie sur le champignon d'automne

Si les hommes de Gérard Houllier s’étaient déjà adjugés le titre ô combien honorifique – et un tantinet désuet – de champion d’automne au soir de la 15e journée, ils ne veulent apparemment pas s’arrêter en si bon chemin: ils possèdent à deux journées de la fin des matches aller 46 points et une avance royale de 14 points sur leurs dauphins lensois. Il semblerait malheureusement que le principal suspens de la Ligue 1 est désormais de savoir où et quand Lyon sera sacré champion.

Positions à la mi-championnat lors des six dernières saisons
2001-02 : (17 matches joués*), Lens 1er avec 35 poins, Lyon 2e avec 33 points
2002-03 : (19 joués), Marseille 1er avec 34 points, Lyon 4e avec 32 points
2003-04 : (19 joués), Monaco 1er avec 43 points, Lyon 2e avec 38 points
2004-05 : (19 joués), Lyon 1er avec 39 points, Lille 2e avec 36 points
2005-06 : (19 joués), Lyon 1er avec 44 points, Lens 2e avec 32 points
[2006-07 : (17 joués), Lyon 1er avec 46 points, Lens 2e avec 32 points]
*championnat à 18 clubs

Il est surtout impressionnant de constater à quel point Lyon accélère son rythme de saison en saison. La spécialité rhodanienne d’avant était alors de lancer une accélération marcraquilienne après la trêve (notamment en 2003-2004, où le club comptait au terme des matches aller cinq points de retard sur le Monaco de Didier Deschamps et de Fernando Morientes). Ces fantaisies sont dévenues de l’histoire ancienne, et si les Lyonnais continuent à ce rythme, ils pourraient être sacrés avec l’arrivée du Printemps…


Piquionne and only

Au terme de ses années rennaises, Frédéric Piquionne avait l'étoffe d'un candidat au Ballon de Plomb: maladresse chronique devant le but et brouille avec les supporters, sans oublier son célèbre débarquement en tribune pour faire le coup de poing avec un spectateur. À Saint-Étienne, le natif de Nouméa a réussi, en trois saisons, à faire ce que peu de joueurs dans son cas ont réussi: se remettre sur les bons rails plutôt que suivre sa mauvaise pente. Non pas qu'il se soit débarrassé de ses travers: il reste un buteur plutôt parcimonieux (11 puis 6 buts pour ses deux premiers exercices dans le Forez) et entretient certains malentendus avec les supporters. On se souvient de son vœu ironique en mai dernier: que l'ASSE trouve "un meilleur avant-centre que lui". Mais aussi du coup de boulle asséné à un supporter qui l'avait agressé verbalement.

Mais ni le changement d'entraîneur, ni l'arrivée d'Ilan n'ont menacé son statut: Ivan Hasek en a fait systématiquement son titulaire en pointe lors de ces 17 journées de championnat et il émarge brillamment au classement des buteurs avec un temps de passage à 6 réalisations. Sans avoir, pour autant, renoncé à ses talents de passeur: au Stadium Nord, il a délivré deux caviars à Ilan, confirmant sa remarquable complémentarité avec le technicien brésilien (et portant son total de "passes décisives" à 6, en tête de ce classement). Ses deux débordements, irrésistibles, ont même éclipsé la révélation d'en face, Kader Keita – habitué de ce genre de rushes sur le côté – et montré qu'il était parvenu à trouver le juste équilibre entre sa puissance athlétique et une technique qu'il a fait progresser en même temps que sa palette de jeu.

La prestation lilloise de Piquionne était pourtant très attendue, au lendemain de la rumeur l'annonçant comme le premier choix de Gérard Houllier pour pallier, au mercato d'hiver, l'hécatombe qui a décimé l'attaque lyonnaise. On voit le piège... Ne serait-ce qu'en raison de la tendance des dirigeants lyonnais à jouer de ce genre d'annonces comme un outil de déstabilisation. "C'est justement dans ces moments où l'on parle de toi que tu te dois d'être au top", a commenté l'attaquant stéphanois. Dont les propos, n'excluant pas un transfert chez le voisin, pourraient toutefois exciter le ressentiment d'une partie des supporters des Verts, aux yeux desquels une telle mutation serait vécue comme une trahison. Effectivement "au top" à 28 ans tout juste sonnés, Piquionne semble devoir mener, une fois encore, sa carrière sur le fil du rasoir...



L'envers du championnat

Et si les observateurs avaient en définitive cruellement sous-estimé les Sangliers ? Les jeunes leaders du classement – ils n’ont pris les commandes qu’au soir de la 13e journée – semblaient à des années lumière du mythique FC Metz, l’étalon-grenat du championnat à l’envers.

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Après seulement 10 journées, les Sedanais avaient déjà accumulé deux fois plus de points que le champion 2005-06 sur la même période. Toutefois, c’était oublier un peu vite qu’à cette époque-là, le FC Metz alignait une série légendaire en ne commettant pas le moindre faux-pas entre la 7e et la 13e journée, seuls deux petits points passant même au travers des mailles de leurs filets entrela 2e et la 14e journée. Monumental!

Mais le FC Metz lui-même n’avait su tenir une telle cadence, augmentant sensiblement sa célèbre moyenne lorraine pour devenir, malgré tout, le premier champion du millénaire à passer sous la barre des 30 points en fin de saison, laissant une trace indélébile dans la grande histoire du classement à l’envers.

Les Ardennais, eux, sont en progression constante depuis cette funeste 7e journée au cours de laquelle ils passaient totalement au travers face à Rennes pour un accroc qui serait fatal à Serge Romano. Il ne survécut pas plus de trois journées à la tête de l’équipe première. C’est dans ces moments-là que se révèlent les grands présidents: Pascal Urano démontre qu’il est indéniablement de cette trempe en prenant ses responsabilités quand le vieux Carlo hésitait si longtemps à se défaire de Joël Muller, mettant son club en péril au point qu’il fut contraint de batailler jusqu’à l’ultime journée pour décrocher un titre qui lui tendait pourtant les bras.

Pascal Urano peut se frotter les mains: aucun faux-pas pour José Pasqualetti depuis sa prise de fonction. S’il avait démontré sa compétitivité avec Ajaccio la saison dernière, l’entraîneur sedanais se révèle être un véritable parapoint match après match. En l’espace de sept journées seulement, Sedan a rejoint le FC Metz, gommant son écart point par point pour se trouver aujourd’hui avec exactement le même bilan comptable que les Lorrains après 17 journées.

Songez qu’en maintenant une telle moyenne, et ce malgré le parcours mitigé de Romano en début de saison (0,72 point par match), Sedan ne comptera que 22 points de pénalité en fin de championnat, reléguant la performance messine au rang de détail de l’Histoire. Mais plus fort que Beamon, plus fort encore que Neil et Lance Armstrong réunis: si Pasqualetti maintenait sa folle cadence (0,33 point par match), Sedan finirait la saison avec… 17 points. Un pur score de science fiction.

C’est peut-être la France entière qui se prépare à ressortir ses vieux 45T pour un merveilleux revival des seventies, quand on chantait tous ensemble : "Qui c’est les plus forts? Évidemment c’est les Verts!"

Réactions

  • Toni Turek le 15/12/2006 à 05h38
    [Preum's]
    Plus que jamais, j'adoooooore ce classement a l'envers.
    Vous l'avez brevete au moins ?

    Sinon, meme s'il est bien precise apres "[2006-07 : (17 joués), Lyon 1er avec 46 points, Lens 2e avec 32 points]", je constate qu'en haut du classement a l'endroit, vous en avez marre vous aussi de la domination lyonnaise - au point de les bloquer a 43 points. Tres bonne idee, je propose que l'OL reste a 43 points jusqu'a ce qu'un autre club les rattrape ; ca relancerait le suspense.

  • frenchwill le 15/12/2006 à 08h35
    J'adore aussi le classement à l'envers. mais le suspens risque d'être aussi ténu que celui à l'endroit, je ne vois pas qui peut rivaliser avec Sedan cette année...
    Sinon, la révélation rennaise de l'année s'appelle Sylvain MarveauX et on n'a pas fini d'entendre parler de lui

  • ocatarinabellatchictchic le 15/12/2006 à 08h40
    ..."une accélération marcraquilienne..." Ouarf, j'ai du la relire celle là ! Excellente ! (mes collègues me prennent de toutes façon pour un dingue à force de ricaner devant vos anneries)

  • Cleaz le 15/12/2006 à 09h39
    Pour le classement en relief, je crois qu'ils ont plus de place pour la msie en page alors ils font comme ils peuvent.


    Sinon est ce que l'agent de Cyril Rool fait partie de la rédactio, ou alors son frère, son cousin, sa fiancée? Parce que ca commence à se voir votre tendresse prarticulière pour ce joueur. Je ne vais plus voir Nice jouer, mais depuis que je lis la Gazette, j'ai l'impression que Rool, c'est le David Beckham de la grande époque....

  • theviking le 15/12/2006 à 09h45
    Pour ce qui est de Djibril Cissé, c'est vrai que j'ai vu les pré-résumés de machs où il était dit qu'il avait été l'homme décisif, et les images le montrant célébrer tout seul, j'ai évidemment cru qu'il avait marqué.. D'ailleurs ça commence à devenir récurrent, des "stars" qui font comme si elles avaient marqué le but, quand elles font une passe décisive, un peu bizarre

  • 5ylV@iN le 15/12/2006 à 09h47
    La chronique du championnat à l'envers est tellement bien faite qu'elle mériterait d'être compilée en fin de saison aux côtés de "l'année du football". La seule vraie chronique de ces années de domination lyonnaise.

  • visant le 15/12/2006 à 09h53
    Deux remarques:
    - Pitié, laissez nous l'ami Georges Eo au poste d'entraineur ennemis dirigeants nantais: c'est notre seul rayon de soleil avec des déclarations hebdomadaires hilarantes. De toute façon, on est foutu alors autant avoir un rigolo à justifier nos 0-0 (et chanter à nouveau Johnny pour fêter la relégation... Et il sait chanter Laurent Blanc hein??)
    - Marre des "pour vous abonnés" (ducon, normal, c'est codé) et des "clins d'oeil au sponsor" des speakerines de Canal

    Sinon, Antonetti en cage: excellent!

  • Portnaouac le 15/12/2006 à 10h44
    Magnifique gazette (et je ne dis pas ça en raison de la présence, parmi "Les gestes de la journée", de chacun des 3 buts inscrits Samedi par l'équipe sur les résultats de laquelle je jette un regard attendri) ; entre la moyenne lorraine, l'accélération marcraquilienne et le "parapoint", je crains que certains de mes collègues de bureau ne nourrissent désormais quelques inquiétudes sur ma santé mentale...

    Même si le faible capital point de l'équipe de mon myocarde pourrait me conduire prochainement à partager le même genre d'expérience, je me dis qu'il fait quand-même bon ne pas être supporter des joyeux marcassins du CSSA...

    D'ailleurs, c'est une des forces des CdF que de réussir à provoquer un peu de compassion envers des gens pour qui on n'a, au départ, que peu de sympathie ; merci les CdF.

  • José-Mickaël le 15/12/2006 à 11h30
    Il y a une chose qui me gène avec le classement à l'envers. Ce n'est pas que je suis jaloux, mais j'en ai un peu assez d'entendre parler du "mythique parcours de Metz" et tout ça. Hé, n'oubliez pas Strasbourg ! Strasbourg avait terminé à égalité de points avec Metz l'an passé ! C'est justement cette lutte au couteau qui leur a permis de se surpasser. Est-ce que Sedan pourra de même compter sur Nantes ? Je ne sais pas...

    Tiens, et puis au passage, à propos de votre "mythique FC Metz"... Vous avez vu où ils en sont : à peine montés en Ligue 2, ils vont en redescendre. Alors, hé, oh, hein, bon !

  • braz_pitt le 15/12/2006 à 12h01
    Enorme cette gazette!!!

    J adore le ventre mou... et tous les autres... donc pas besoin de relever les mini erreurs.




La revue des Cahiers du football