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World Cup, the road to Doha

Le fil de la Coupe du monde, du Brésil à Doha en passant par Moscou et Saint-Petersbourg.

  • L'amour Durix le 17/12/2022 à 22h41
    Journal d'un père qui ne regarda pas la coupe du Monde. Mais alors vraiment pas.

    EDJITION SPÉCIALE Matches à élimination directe

    HUITIÈMES DE FINALES :

    On entre dans le dur. La routine du boycott depuis maintenant presque deux semaines fait que celui de Pays-Bas – États-Unis et Argentine – Australie n'est pas aussi difficile que je le craignais. Les choses sérieuses commencent avec le France – Pologne du dimanche 4 décembre. Je propose à mes enfants de regarder un film. Ma fille est évidemment folle de joie et mon fils soulagé d'avoir autre chose à faire pendant le match. Non, je ne suis pas un monstre ! Je lui ai proposé dans un premier temps de retourner chez son copain. Mais ce sera « Retour vers le futur ». Si les jeunes d'aujourd'hui, leur impatience et leur soif d'immédiateté tiquent légèrement devant la mise en place de l'histoire un peu longuette à leur échelle, l'œuvre emporte finalement tous les suffrages et je me félicite de ce moment privilégié partagé avec mes deux enfants plutôt qu'avec mon ainé seulement. Vive le cinéma ! La fin du film coïncide presque parfaitement avec celle du match et nous pouvons nous réjouir du résultat, mon fils enchainant très vite avec le résumé.
    Je raterai bien évidemment également le match désignant notre adversaire pour les quarts de finale le soir même.
    Les confrontations du lundi n'éveillent en moi qu'un intérêt mécanique et les notifications s'affichant sur mon téléphone avec le nom du vainqueur me suffisent amplement.
    Le Maroc – Espagne est en revanche une autre paire de manche. Je suis toute la journée en sortie à Marseille avec une partie de ma classe de Terminale, au volant de bon matin d'un minibus avec 8 d'entre eux… dont 7 élèves d'origine marocaine. Comment les conversations pourraient-elles tourner autour d'autre chose que du match ? Ils passent les 2 heures du trajet (c'est fou comme c'est plus loin Marseille, le matin !) à tenter de m'arracher un pronostic, une préférence ou une preuve d'intérêt. Je sens bien qu'il serait tout aussi vain qu'hors de propos de me lancer dans des explications de mon boycott. Si j'ai la conviction que le Maroc peut passer face à une Espagne en mode Russie-2018, je garde cela pour moi et me contente de dire que je ne regarderai pas le match, ce qui est vrai. J'en fais transpirer quelques-uns à grosses gouttes en leur faisant croire que le retour au lycée est prévu à 18h, puis que si celui-ci a lieu plus tôt, alors le cours de mathématiques de 16h à 17h sera bien assuré par mes soins. Ils seront finalement libérés à 15h50, soit juste le temps pour la plupart de rentrer chez eux quitte à piquer un sprint pour ne rien rater du match. De mon côté, je n'hésite pas à trainer un peu en salle des profs, rentre à un rythme de sénateur à la maison et arrive au cœur de la deuxième mi-temps. Je retrouve mon fils, qui supporte également le Maroc en plus des bleus. Son boycott n'aurait probablement pas résisté jusqu'à l'issue du match si nous avions eu Bein, mais il suivra les tirs au but sur un site de scores en direct. Je suis bien content de ne pas bosser le lendemain. Les esprits devraient être un peu apaisés et mieux disposés à l'étude des suites arithmétiques le jeudi. Dans tout ça, le match de coupe Davis Portugal – Suisse passe totalement inaperçu. Ce n'est plus ce que c'était les Helvètes en tennis depuis la retraite de Federer !

    QUARTS DE FINALE :
    Ça se précise ! En ce vendredi 9 décembre, il est 16h et 30 heures plus tard, le dernier carré sera connu. Il n'y a aucun doute qu'en temps normal, j'aurais pris ma quadruple dose de foot. Enfin triple seulement puisque TF1 n'a même pas les droits pour l'intégralité des quarts de finale. Semi-entorse à mon boycott puisque je m'installe devant l'équipe 21 pour la séance de tirs aux buts de Brésil – Croatie. Après, on est d'accord que les gesticulations absurdes de Yoann Riou avec en double écran une plage de Rio bondée filmée en ssd pour vaguement capter les réactions du public, ce n'est pas du football ? Le Brésil passe donc à la trappe. Quand on n'a pas vu les matches, cela n'est qu'une demi-surprise, les coéquipiers de Neymar n'ayant battu que difficilement une Suisse humiliée ensuite par le Portugal, un peu plus largement une Serbie qui ne passera encore pas les poules cette fois ci et confortablement une Corée du Sud qui devait sa place en huitièmes peut-être autant au calendrier qu'à son niveau. Ce qui est certain, c'est que cette élimination m'arrange. Une demi-finale Brésil – Argentine et plus encore une finale Brésil – France, encore hypothétique mais imaginable en début de journée, auraient été des épreuves potentiellement insurmontables.
    Le soir venu, je me régale de quelques souvenirs du Pays-Bas – Argentine de 1998. Je constaterai plus tard que la confrontation de 2022 fut plutôt inspirée de la bataille de Nuremberg avec les coéquipiers de Messi dans le rôle de ceux de Ronaldo.
    Suspense insoutenable pour le lecteur maintenant ! Vais-je tenir le coup pour le quart de finale face aux Anglais ? Flashback quelques mois en arrière : ma femme m'offre pour mon anniversaire des places pour -M- un 10 décembre à Aix-en-Provence. Je ne réalise alors pas que cela viendra faire concurrence à un quart de finale d'une coupe du Monde que je n'ai pas encore décidé de boycotter. Et quand j'ai pris plus tard cette décision plus tard, je n'avais plus la date du concert en tête. Ce n'est qu'après la qualification face à la Pologne que j'ai réalisé que ma chère et tendre épouse m'avait fait un deuxième cadeau en m'offrant la certitude de ne pas craquer. Il est de plus vital de traverser Avignon avant la fin de Maroc – Portugal donc je raterai aussi à coup sûr la deuxième mi-temps de ce match. Mon fils de son côté commence à flancher sérieusement à l'approche des deux quarts mettant en scène ses deux équipes nationales favorites. Je le soulage d'un poids en lui allumant moi-même la télé avant de m'exiler dans une autre pièce. L'isolation phonique de la maison est ce qu'elle est mais elle aurait pu être meilleure que je l'aurais quand même entendu hurler sur l'ouverture du score marocaine. Je pars pour Aix à la mi-temps, en compagnie notamment d'une guest-star en la personne du cédéfiste villeneuvois le plus fameux (un certain valdo pour ceux qui chercheraient encore). Mon fils m'appellera sur l'autoroute pour m'annoncer la qualification des Lions de l'Atlas. Le match du soir sera donc peut-être le préambule d'un France – Maroc en demi-finale de coupe du monde…
    Mais je m'en passerai, sans trop de peine mais une petite boule au ventre malgré tout. Le début du concert est prévu à 20h et mes textos à valdo pour tenter de le retrouver dans la foule ne passant que très difficilement, je ne me fais que peu d'illusions sur mes possibilités de suivre au moins le score. Tant mieux quelque part, je profiterai ainsi mieux du concert. Première mi-temps, euh !... Première partie pêchue assuré par Ko Ko Mo avec Mattéo Guendouzi à la guitare et un joueur non identifié de l'Ouest du Monde à la batterie (je reconnaitrais le maillot entre mille). À noter une reprise de « Last night a Didier saved my life » lien qui me rappelle une première fois le match en cours. N'est-il pas trop tôt pour chanter les louanges de notre sélectionneur ? Peut-être que la France mène déjà 3-0 ? La salle se rallume et les écrans de portable avec. Des chanceux avec un meilleur réseau que le mien accèdent au site de l'équipe mais ils sont trop loin pour que le score s'impose à moi et je détourne le regard assez vite pour ne pas réussir à distinguer quelque chiffre que ce soit. J'aperçois même sur un smartphone une image du match. Ou plutôt un écran vert avec une tache blanche qui bouge un peu. Je repense à mes échecs d'envoi de SMS et me dit que Free n'a finalement peut-être pas tout compris (et ouais, je balance !).
    Le concert démarre alors et j'oublie presque totalement pendant une heure et demie le match en cours. Plutôt que de voir Français et Anglais s'affronter, je vois deux artistes de ces pays offrir quelques moment magiques : Mathieu Chedid a eu le goût de s'accompagner de la bassiste Gail Ann Dorsey. Alors certes, elle est américaine mais et d'une, c'est un peu pareil et de deux, après 20 ans aux côtés de Bowie, elle doit bien être un peu anglaise. Elle reprend d'ailleurs Life on Mars, ce qui me fait penser aux épopées du PSG qui a connu en ligue des champions la vie en mars mais rarement après. Et donc je repense au match. Plus tard, lors d'un passage de -M- dans le public, c'est un gamin filmé en gros plan avec un vilain survêt (PSG again !) qui fait que j'y re-repense. À l'issue du concert, je reçois un texto de ma femme : « la France est bien partie pour gagner ! ». Je me dis qu'on est vraiment sur un score de 3 ou 4 buts à 0. Allez, peut-être 1 but pour les anglais. Je découvre finalement le score et le déroulé du match et me demande à quel moment elle a bien pu m'envoyer ce message. J'aurai ma réponse le lendemain : juste après le but de Giroud. Note pour l'avenir : ne jamais demander à ma femme de me donner des informations sur un match en cours que je ne peux pas voir. Qu'aurait-elle dit de France Allemagne à Séville en 1982 à la 100ème minute ? « La France va être championne du monde, il ne peut pas en être autrement ! ». En tout cas, à défaut d'avoir su analyser le match et les équilibres fragiles qui l'ont régi, elle l'a vu. La première mi-temps avec mon fils et des bribes de la deuxième seule (je vous ai dit que mon fils était un couche-tôt ?). De retour à la maison à 2 heures du matin, le visionnage du résumé attendra encore quelques heures.
    Je vais pouvoir profiter à nouveau de deux jours sans match.


    DEMI-FINALES
    Deux jours sans matches, mais pas sans foot. Dès le lundi, dans mon lycée ou une majorité d'élèves (ou pas loin) sont d'origine marocaine, le match est dans toutes les têtes et donc dans la mienne. D'anciens élèves m'interpellent dans la cour, dans les couloirs ou au réfectoire pour m'en parler. Étonnamment, je suis identifié depuis quelques années comme un prof passionné de foot. Peut-être à cause de mon t-shirt « VAR partout, football nulle part » que j'arbore de temps à autre. Car oui, je n'hésite pas à me balader devant les élèves avec des citations (inspirées) de Victor Hugo sur le torse. Ça ne peut pas faire de mal pour leur culture générale. Et le premier qui me dit que la VAR c'est la vie, je lui balance un exercice sur la distance que parcourt un ballon entre deux images arrêtées.
    Un devoir surveillé le mardi après-midi me donnera un moyen de me concentrer sur autre chose que le match de mercredi soir. Pour Argentine – Croatie, il me reste un paquet de copies de la semaine précédente que je corrige dans le calme de la maison une fois les enfants couchés. Je sens bien que mon fils, qui n'a pas évoqué l'idée de regarder un bout du match, épargne quelques minutes de visionnage de la coupe du Monde en vue du France – Maroc du lendemain.
    Le moment fatidique enfin arrivé, il négocie avec sa mère (et avec ma bénédiction) le droit de regarder la première mi-temps. Et ça tombe bien, sa mère est également motivée pour la voir avec lui. Ils s'installent devant la télé et moi devant mon paquet de copies, dos à l'écran et bouchon d'oreilles en place. Les deux téléspectateurs à côté de moi supportant les deux équipes, l'avantage est que les effusions de joie et les réactions aux moments forts sont modérées. Je capte malgré tout quelques éclats de voix sur le but d'Hernandez, le poteau de Giroud ainsi qu'une ou deux occasions marocaines, explicités ainsi par ma femme. Mon fils va se coucher comme prévu à la mi-temps et elle en profite pour zapper sur l'interview de Quattenens sur BFM. Chacun ses perversions… Je ne prends donc connaissance du score qu'une fois le match achevé et m'autorise le visionnage dans la foulée du résumé sur le replay de TF1. Sauf que la sélection du résumé de France – Maroc lance… celui de Maroc – Portugal. Je vais donc me coucher sans rien avoir vu du match mais une nouvelle fois le fil bleu des cahiers m'a permis de m'en faire une idée. Je verrai finalement les buts le lendemain soir en regardant le « Vu » de la soirée. Voir les buts en visionnant sur Youtube une vidéo France Télévision. Que n'ai-je eu plus tôt cette brillante idée ?! Je tâcherai d'y penser pour la finale.

    FINALE(S), donc.
    La fameuse petite finale. Fameuse est assez mal choisi comme terme. Je n'ai quasiment aucun souvenir tangible des petites finales précédentes, bien qu'étant pratiquement convaincu de les avoir vues, au moins en partie. Je me souviens à la rigueur du but d'Hakan Sukur en 2002 mais j'ignore le score final et même le vainqueur. Même Belgique – Angleterre, pourtant joué il y a un tout petit peu plus de 4 ans, évoque davantage le match de poule ayant eu lieu deux semaines auparavant. Cette année encore, l'affiche a déjà eu lieu au premier tour. Raison de moins de regarder un match que j'aurai oublié dans 4 ans, voire 4 semaines. Ce n'est donc pas cette rencontre qui me fera plonger.
    Et pas la finale, la vraie, non plus. Demain à 16 heures, je serais sur la route, probablement dans la montée vers les Deux Alpes. J'espère que mon vieux C-Max tiendra le coup car je risque de ne pas voir passer grand monde en cas de panne. L'horaire de départ a été déterminé en partie en fonction de celui du match, avec l'assentiment de toute la famille. J'imagine que mon fils voudra l'écouter à la radio, je lui dois bien ça. Peut-être me fera-t-on remarquer que partir aux sports d'hiver dans un vieux diesel pour un boycotteur qui a fustigé le bilan carbone de la climatisation dans les stades qatariens a une cohérence proche d'un vegan décroissant chez Salt Bae, mais au moins personne n'est mort en construisant les remontées mécaniques. En tout cas pas 6000 personnes.

    La coupe du monde n'est pas encore achevée, mais mon boycott la devance d'une certaine façon. Je ne ressens aucune fierté d'avoir tenu ce boycott plus personnel que militant. Plutôt de l'amertume d'avoir privé mon fils de sa passion (et moi de la mienne). Du soulagement également. Je suis prêt pour une future édition en Arabie Saoudite ou en Corée du Nord.
    Si Edji lit ma prose égotique jusqu'ici (sait-on jamais ?), je tiens à préciser que j'ai parfaitement compris son point de vue qui consistait, sauf erreur de ma part, à ne pas vouloir sacrifier le plaisir qu'il aurait à vivre une coupe du monde avec ses proches. Je suis heureux d'avoir pu partager, dans une certaine mesure, ce boycott avec les miens. Ma mère footophobe est agréablement surprise, je suis fier de mon fils et heureux d'avoir partagé plus de beaux moments avec ma fille que si la coupe du Monde avait eu lieu dans un endroit qui n'aurait pas titillé ma conscience.
    Je ne suis pas un héros, et le foot n'est pas de l'héro. Pour moi qui ne passe pas habituellement une journée sans en voir ou lire à ce sujet, cette coupe du Monde m'a dégagé plein de temps libre et il n'a pas été aussi difficile que je l'aurais pensé de m'en passer, mai spas vraiment aisé non plus.
    Vivement Brentford – Tottenham, Annecy – Saint-Etienne et Ajaccio – Angers ! Et allez les bleus !!

  • valdo le 18/12/2022 à 02h46
    Merci pour ce journal et bonne route en direction des 2 Alpes (c'est facile c'est à 13h)

    "le visionnage du résumé attendra encore quelques heures"
    Donc tu regardes les résumés de match et les buts ? C'est autorisé ça dans la charte du parfait Boycotteur ? Je suis surpris. Je pensais que tu avais une éthique, que tu boycottais absolument tout.

  • L'amour Durix le 18/12/2022 à 08h29
    13h, ça dépend comment on est tourné ! En parlant de tourner, j'espère réussir l'épreuve du ticket au péage.

    Trêve de private joke, à chaque boycotteur sa charte. J'ai vu les résumés des matches de la France contre l'Australie, la Pologne et l'Angleterre. Mais promis, je n'ai pas regardé les pubs ! Et s'il y a une pétition contre la coupe du Monde en Arabie Saoudite, je la signe pour compenser.

  • Utaka Souley le 18/12/2022 à 08h44
    Mon boycott à moi n'a pas tenu bien longtemps, je suis un être faible.
    Sinon, j'étais au concert de 'M' à Nice Vendredi et c'était vraiment chouette.
    Allez les bleus !

  • Jay-jay Tolosa le 18/12/2022 à 11h23
    Ah ça fait plaisir de savoir que je suis pas le seul être faible!
    Ma tentative de boycott a tenu jusqu'au matin du premier match des bleus.
    L'argument qu'un gentil forumiste m'a balancé, comme quoi je boycottais la coupe du monde au Quatar mais que je regardais la NBA sur leur chaîne tout de Nike vêtu m'a achevé.
    J'ai honte...

  • suppdebastille le 18/12/2022 à 11h23
    -5 degrés et une température ressentie encore plus basse un matin de finale de mondial.
    Dérèglement climatique !!

  • animasana le 18/12/2022 à 11h40
    Mon boycott se résume à aller faire pipi pendant la pub.

  • José-Mickaël le 18/12/2022 à 11h41
    valdo aujourd'hui à 02h46
    > Donc tu regardes les résumés de match et les buts ? C'est autorisé ça dans la charte du parfait Boycotteur ?

    Regarder les résumés n'entre pas dans les audiences. Si des millions de personnes ne regardaient pas les matchs mais, plus tard, regardaient les résumés, ça aurait pour conséquence une chute des audiences, qui peut être le but d'un boycott. (Moi qui ne boycotte pas - c'est juste que je m'en fiche de cette coupe du Monde (*) - j'aimerais que les audiences soient mauvaises. Je sais, c'est raté.)

    ----
    (*) En fait, quelques jours après ses débuts elle m'a intéressé, et à partir des matchs à élimination directe j'ai fini par voir des bouts de matchs. Mais oficiellement je m'en fiche. La finale ? M'en fiche, regarderai pas. C'est ma position officielle : la coupe du Monde au Qatar, c'est caca, je m'en fiche.

  • nestor ouma le 18/12/2022 à 12h23
    Le titre auquel vous n'échapperez pas : "Romero doit mourir".

  • sansai le 18/12/2022 à 17h22
    Sinon est-ce qu'on peut parler de la qualité des passes argentines, leur dosage, la façon dont ils se trouvent et se mettent dans les meilleurs dispositions pour de bonnes prises de balle.