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Libertadores / foot sud-américain

De l'exotisme, du soleil, des tacles rageurs, des techniciens surdoués, des supporters fous: tout le foot sud-américain!

  • Le génie se meurt ? Ah mais l'mage rit le 11/07/2021 à 18h17
    De toute façon l'Allemagne, cette année là, aurait du perdre contre l'Algérie.

  • Danishos Dynamitos le 11/07/2021 à 18h21
    L'Argentine de 2014 était une horreur à regarder, j'aurais mal vécu que cette très belle Coupe du Monde couronne un tel champion…

  • L'amour Durix le 11/07/2021 à 18h37
    Le génie se meurt ? Ah mais l'mage rit
    aujourd'hui à 18h17

    De toute façon l'Allemagne, cette année là, aurait du perdre contre l'Algérie.
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    Pour avoir une guerre civile en France à l'issue du quart de finale ?

  • Le génie se meurt ? Ah mais l'mage rit le 11/07/2021 à 18h58
    ça aurait pu se faire dans le joie et l'allégresse. J'ai toujours l'espoir que ça se passe bien, et cela aurait pu être une bonne occasion de réconciliation.

  • Edji le 08/09/2021 à 14h18
    Cachaco, un petit point sur la situation brésilienne au lendemain de ce Dia da Independência ?
    Il me semble qu'on était loin du raz-de-marée bolsonarien et des affrontements sanglants que nos médias nous prédisaient en amont, non sans quelque complaisance...tu confirmes ?

  • Pascal Amateur le 08/09/2021 à 14h21
    Même question. "Le Monde" je crois évoquait un coup de force réussi de Bolsonaro, puisque... 125 000 de ses partisans ont défilé à son appel. Un coup de force, 125 000 ? Dans un pays de 210 miyons d'habitants ? Les bras m'en tombao.

  • cachaco le 10/09/2021 à 02h17
    Je ne sais pas trop ce qu'il s'est dit dans la presse française, mais pour connaitre quelques uns des correspondants étrangers ce devait être le reflet des appréhensions réelles que tout le monde (hors fascistoïdes) a eues à l'approche de ce 7 septembre. Bolsonaro avait bien fait chauffer la machine pendant les semaines précédentes et cette mobilisation faisait figure de va-tout. Vu que ses suiveurs osent tout (c'est à ça qu'on les reconnait), les craintes étaient légitimes. On parle d'un nostalgique de la dictature qui disait il y a peu qu'il terminerait 2022 "soit en prison, soit mort, soit président".

    Etant justement présent à Brasilia, j'ai pu voir aux premières loges l'afflux des bolsonaristes. Les principales peurs pour ce 7 septembre n'étaient finalement pas tant la prise d'assaut du Parlement, malgré toute la fascination pour Trump et ses partisans que le fan club du Capitão peut ressentir. C'était plutôt les heurts possibles avec le campement des indigènes (protestant contre une loi qui pourrait les déposséder de nombre de leurs terres) installé depuis des semaines à l'endroit du rassemblement prévu. Finalement, à part quelques petites escarmouches et provocations, les deux groupes ont pu être hermétiquement séparés.

    Concernant le succès des rassemblements, on ne peut pas nier l'ampleur du mouvement dans les principales villes du pays. Tout ceci est malgré tout ressorti comme un flop: alors que le président souhaitait montrer un "peuple" tout entier derrière lui, il n'a fait que souligner que seuls les plus hystériques et extrémistes le soutenaient encore. Ses harangues grossières et insultantes, ses menaces même plus voilées contre les représentants de la république, ont provoqué une levée de bouclier d'absolument tout ce que le pays peut compter d'institutions. Le secteur économique ne suit plus face à tant d'instabilité: on a assisté à un dévissement boursier le même jour.

    Ce qui devait être un coup d'éclat montrant sa force s'est finalement transformé en kermesse d'extrême-droite faisant transparaitre toute la fragilité de Bolsonaro. Opposant professionnel, clown d'extrême-droite jamais pris au sérieux, ses rodomontades et insultes gratuites n'ont plus d'effet une fois que lui incombent les responsabilités du gouvernement.

    Confirmation aujourd'hui: le triste pantin qui se rêvait en Mussolini mardi a finalement piteusement baissé pavillon. Ses mots lors de ses discours golpistes ont "dépassé ses pensées, dans le feu de l'action", et il assure de tout son respect les personnes attaquées il y a deux jours. L'ex président Temer (le "successeur" de Dilma Roussef arès le coup d'Etat institutionnel) fut expressément invité à Brasilia pour "prodiguer ses conseils" et remettre de l'huile dans les rouages auprès des élites économiques. La Chine, grand Satan depuis le début de sa présidence, est subitement redevenue le meilleur partenaire du pays et a été remerciée lors du sommet des BRICS pour son aide dans la lutte contre le Covid (oui oui, vous ne rêvez pas, on parle bien du prophète négationniste antivax et pro-chloroquine qui disait que le vaccin chinois transformerait tout le monde en crocodile).

    En conclusion: un très piteux petit personnage s'agitant avec la force du désespoir dans un pays frappé par une crise historique, chef d'Etat plus préoccupé par la protection de ses petits business mafieux familiaux que par le destin de ses concitoyens.

    Comme pour Trump l'an dernier, tout le monde est en apnée et attend patiemment les prochaines élections pour le renvoyer dans une ombre qu'il n'aurait jamais dû quitter, et que sa présidence ne reste pour la postérité qu'une incongruité dissertée dans les livres d'Histoire.

  • Pascal Amateur le 10/09/2021 à 06h39
    Mille mercis cachaco. Autrement dit : golpe, pas glop.

  • Edji le 10/09/2021 à 12h28
    Obrigado cachaco !
    Oui, vivement 2022, même s'il est un peu triste pour le Brésil d'en revenir encore et toujours à Lula, faute de proposer d'autres candidats à la fois à la hauteur et populaires.

  • Gone Going le 11/09/2021 à 20h42
    Plutot bonne nouvelle depuis le Pérou, avec le décès d'Abimael Guzman, fondateur du groupe terroriste du Sentier Lumineux, qui a terrorisé le Pérou dans les années 80s-debut 90. Il est mort en prison, après avoir été arreté et condamné pour ses crimes.