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Le joueur préféré

De Andreï Arshavin à Zinedine Zidane, ce fil est là pour que vous puissiez rendre hommage au joueur qui tient la place centrale de votre Panthéon footballistique.

  • Özil paradisiaque le 08/03/2021 à 20h18
    @Tonton Danijel : ok.
    Mais a aucun moment le doc n'aborde ça.
    Titre racoleur.
    D'ailleurs Platini dans l'interview dit romantique ? Non, Tueur oui.

  • Tonton Danijel le 08/03/2021 à 20h24
    Alors en fait, c'est ce que Mathoux dit en début d'interview: le décès de Maradona a fait prendre conscience d'une génération exceptionnelle de joueurs "romantiques" dont Platini est le dernier survivant, et qu'il serait dommage de n'en garder aucune trace (a fortiori avec son image plus 'sulfureuse' de président de l'UEFA).

  • lyes le 08/03/2021 à 21h26
    Zico n'a pas le même impact mais il est bien en vie non ?

  • Milan de solitude le 08/03/2021 à 21h31
    "Romantique", c'est un mot d'ordre générationnel, non ? En quoi Maradona et Platini seraient-ils plus romantiques que Baggio, Okocha, Ronaldinho...?

  • Jah fête et aime dorer Anne le 08/03/2021 à 21h55
    Franchement, Baggio, en romantique, ça se pose, entre sa grosse blessure dans sa prime jeunesse qui peut-être a réduit son potentiel, ce tir-au-but raté en finale à l'issue d'une CdM où il a porté l'équipe sur ses épaules,finale qu'il regrette encore douloureusement aujourd'hui, son style de jeu en tension avec les courants tactiques italiens de l'époque, sa renaissance dans un club de milieu de tableau, etc. et bien sûr l'élégance de son jeu.

  • Ba Zenga le 08/03/2021 à 22h00
    Baggio, plus que du romantisme, c'était de l'amour. Qu'est-ce que j'aime ce joueur, pour tout ce que tu décris, Jah. Il me semble avoir vu passer que Netflix préparait un documentaire sur lui. J'ai commencé à ce propos celui sur Pelé, c'est pas mal a priori.

  • Gouffran direct le 08/03/2021 à 22h42
    Cette génération italienne qui a rien gagné et s'est fait sortir ou a perdu au tirs au buts en 1990, 1994, 1998 et s'est fait crucifier en 2000.

    Des chats noirs sans nom.
    Baggio, Roberto et Dino, ainsi que Paolo Maldini auraient mérité un titre.
    Un autre que ceux qu'on a gagnés bien-sûr.

    Ils nous ont toutefois privés du bonheur ultime de battre l'Allemagne chez elle en 2006.
    Imaginez une coupe du monde gagnée à Berlin, contre l'Allemagne...
    Ça aurait rattrapé 1982.
    Et hop, retour à Platoche!

  • Mevatlav Ekraspeck le 08/03/2021 à 22h53
    Ah mais Baggio, bon sang...

    Il m'a pété à la figure un jour de Sochaux-Fiorentina, en coupe de l'UEFA. Réduite à 10 très tôt dans le match, il qualifie son équipe à lui tout seul (0-0 en Italie, 1-1 à Bonal).
    Sochaux c'était quelque chose, un sacré morceau pour l'époque.

    Il était... virevoltant. Un sens du jeu, du dribble, hors-norme. Une touche, un contrôle, et paf, trois jaunes dans le vent. Sa Fio s'en sort pas miracle, mais sa simple présence accaparait la moitié du milieu sochalien, c'est comme s'ils n'avaient pas été gênés par le rouge précoce.

    Et en 1/4, il revient à Auxerre, et il nous refait la même : le génie se ballade. Il transforme le défenseur en plomb. Entouré de barbares (Dunga, Buso, Kubik, Iachini...) sa simple présence orchestre tout ce beau monde.

    Le mec a un coup d'avance : il SAIT où sont les autres, il ne lève pas les yeux de ballon et sa passe transperce les lignes pour arriver pile dans la course.

    Les Violets vont en finale, se font éparpiller par une Juve... clinique et italienne, dira t'on.

    Et à la Juve... Il sort le PSG à lui tout seul en demie.

    C'est un boa, immense et étouffant, il s'enroule autour de toi pour te laisser sans vie dans son sillage.

    Après, je ne sais pas ce qu'il a fait aux Dieux du foot pour qu'ils se refusent comme ça à lui : 1990, l'Allemagne la plus triste qui soit laisse son Italie inerte, en 1994 c'est un Brésil moche qui le terrasse, et en 1998 c'est le destin de Zidane et co qui lui pète au visage.
    Même pas une petite ligue des champions pour se consoler.

    Il aura été dans une forme de continuité à la Juve, entre Platini et Del-Piero / Zidane, qui aime à mettre le génie pur sans son entre-jeu.

    Il avait tout : le pied en velours, la puissance, des appuis de feu (d'où les blessures?), et une classe... malgré une coupalacon, on est d'accord.

    Quel joueur merveilleux...

  • Tonton Danijel le 08/03/2021 à 23h25
    (Euh, l'Italie n'a jamais croisé l'Allemagne en 1990)

  • Espinas le 08/03/2021 à 23h29
    Arrête Gouffran, un Allemagne-France 2006 avec Klinsmann comme sélectionneur contre nos vieux briscards, ça aurait pu très très bien tourner pour nous.

    Même quand ils perdent, les Allemands le font soit pour nous priver du plaisir de les battre (98), soit pour qu'on se casse les dents derrière (2006).