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J'ai raté ma vie...

Ce n'est pas qu'ils étaient mauvais, mais juste qu'au cours de leur carrière, le destin (leur caractère pouvant aider) s'est déchainé contre eux. Célébrez ici leur souvenir...

  • La Metz Est Dite le 15/03/2010 à 21h33
    Mouais...
    Le mec il joue quand même à Lyon fin des années 90 quand ils jouent la C3, participe à l'épopée lensoise en C3 en 2000 (demie contre Arsenal) puis se barre à M'Boro quand ceux-ci sont de vrais outsiders (participation régulière à la C3 et même finale non?). Il fait parti de la sélection camerounaise en 1998 et en 2002. Alors oui, sa fin de carrière est sur une phase ascendente mais bon, le classer dans la rubrique "a raté sa vie", c'est quand même dur.

  • pop le 16/03/2010 à 09h21
    cmb

  • Jeanroucas le 16/03/2010 à 09h49
    non pop, si on avait fini la phrase par c'est gros, oui tu aurais pu dire "comme mon boule"
    (oui je sais, c'est une légende, je vérifierai quand je viendrai à paname)

  • Koller et Thil le 16/03/2010 à 09h53
    Maintenant que j'y pense... N'y aurait-il pas une vague ressemblance, certes pas dans les traits, mais au moins dans la silhouette, l'allure, la coupe de cheveux, entre pop et Jeanroucas ?

  • Dino Dini le 16/03/2010 à 09h57

    (Please wait...Pop loading...please wait...Pop loading)

  • Jeanroucas le 16/03/2010 à 11h42
    Ouais, on me l'a déjà sortie cette ressemblance. Je me demande d'ailleurs si ce n'est pas toi d'ailleurs, Koller.

  • Zubar t'abat le 16/03/2010 à 12h35
    Au niveau des décibels et du débit en tous cas...

  • Mangeur Vasqué le 17/03/2010 à 00h14
    [bande son Faites entrer l'accusé. Hondelatte de dos, pointant du doigt la photo du coupable et commençant son récit…].

    lien


    Omer Riza.

    Ce nom ne vous dit peut-être rien mais ce tueur (turc) de zone de vérité, de calibre international au lourd casier, a sévi de nombreuses années parmi l'élite du grand banditisme de surface avant de dégringoler vertigineusement et de tomber il y a 2 semaines.

    Il vient d'être condamné à une lourde peine au petit mais sinistre pénitencier de 4ème Catégorie, Aldershot (sud de l'Angleterre).

    Jeunesse passée dans la dure et impitoyable banlieue nord de Londres où il se fait rapidement remarqué par le capo local, Arsène Wenger (dit « Arsène le Frog »).

    Après une période d'initiation où doit faire ses preuves parmi la faune locale (mitraillage du But local, dynamitage de surfaces, et autres méfaits – il échappe même à quelques agressions et attentats des stoppeurs des gangs rivaux), il se fait un nom et est jugé apte au service parmi les durs. Il est le petit jeune qui monte dans le Milieu et, à ce titre, est souvent la cible qui faut descendre.
    Et les découpeurs et autres garçons-bouchers ne manque pas dans ce sordide coin de la capitale anglaise.

    Riza intègre officiellement le « posse » local en 1998, le redoutable Gang des Gunners (les Canonniers), qui est un peu comme les Bloods, couleur sang, tout en rouge.
    C'est le gang le plus dangereux de Londres, avec leurs ennemis les Blues, sorte de Crips chicos qui ont la mainmise sur la banlieue ouest.

    Ce faisant, Riza est adoubé par le capo, mais seulement après une cérémonie initiatique tenue secrète.
    Cependant, on sait que toute nouvelle recrue du gang est envoyé dans les maternelles du coin avec pour mission de kidnapper tout suspect qui semble prometteur. Il reviendra avec deux garnements de six ans, mais jugés trop vieux par le capo, il doit s'y reprendre à deux fois.

    Une terrible épreuve qui le marquera.

    Il s'accroche, veut montrer de quoi il est capable, il monte en puissance dans la hiérarchie des bonnes petites frappes porte-flingues.

    Il monte sur des coups à l'occasion, où il fait office d'artilleur. Il finit ses classes et certains dans le Milieu parlent de lui comme successeur du caïd local, Ian Wright.

    Ce gang des Gunners est chevronné est d'envergure internationale.
    Il compte dans ses rangs la fine fleur de la pègre, tous inscrits au
    fichier européen du grand banditisme de surface, jugez plutôt :

    Patrick Viera (dit « Pat le dessoudeur, ou « Pat l'éventreur »)
    Anelka (dit « Nico le muet »)
    Bergkamp (dit « le stratège »)
    Kanu (dit « Nunu l'asperge »)
    Overmars (dit « le Grilleur ailé »)
    Tony Adams (dit « Tony l'apéro » ou « Le Saigneur »)
    David Seaman (dit « le Queutard au catogan »)
    Ashley Cole (dit « la Faucheuse »)
    Steve Bould (dit « le coupe-jarret »)
    Winterburn (dit « le Boucher de Londres »)
    Lee Dixon (dit « la Savate »)
    Gilles Grimandi (dit « Gilou l' Grimé »)
    Petit (dit « L'écorcheur vif »)
    Luis Boa Morte (dit « le Braco »)
    et David Grondin (dit « David le Belge » – il était pas belge mais on savait pas quel surnom lui donner).

    En 1998, Interpopol signale Riza à Athènes où il participe à un hold-up en LdC.

    A Kiev, les pisteurs d'Interpopol le photographient sur un banc en compagnie d'autres membres du gang cachés sous des couvertures, on pense alors qu'il noue des contacts avec une bande notoire en Ukraine, le GЯадg деж pнозтiднek (le gang des Postiches du Dynamo).

    Mais Arsène le Frog n'a plus confiance en Riza. Il le trouve peu fiable en tireur d'élite sur les grosses opérations délicates. Riza sait armer son tir mais manque souvent sa cible. Par ailleurs, le Frog le trouve fébrile.



    [Changement de plan caméra. Travelling, au comptoir du bar de Faites entrer l'accusé. Dominique Rizet s'accoude au bar en sirotant son Panaché]


    Hondelatte : Dominique, parlez nous de ce Omer Riza à cette époque.

    Rizet : Et bien Christophe, ce Omer Riza est un jeune tueur de surface au sang chaud, un type athlétique et prometteur, très doué pour son âge et redouté car il sait déclencher les hostilités, mais il est très perso. Il la gâchette trop facile, et a tendance à dégoupiller très vite à l'approche de la cible adverse, il confond vitesse et précipitation et parvient mal à maîtriser sa fougue.
    Les psychologues de l'hôpital de la Pitié Salpétrin-Téléfootix qui l'ont examiné disent de lui qu'il présente le profil type du « narcissique pervers psycho-rigide parano refoulé misanthrope à tendance schizo-dissociative dans les trente derniers mètres ».

    Hondelatte : Pouvez-vous expliquer clairement ce charabia d'expert et cette ridicule collection de troubles de la personnalité, on n'y comprend rien.

    Rizet : C'est pourtant clair Christophe.
    « Narcissique » car Riza est excessivement perso et amortit souvent du nombril ; « pervers » car il semble aimer faire souffrir ses propres coéquipiers sur les terrains d'opération ; « psycho-rigide » car c'est un peu un chien fou inflexo-raide au point de ne pas savoir comment brosser ou enrouler ; « parano » car il pense toujours que c'est lui que le chef va engueuler ; « refoulé » car il se fait toujours contrer ; et « schizo-dissociative » car il se prend souvent pour un autre au moment de commettre ses exactions.
    Les experts l'ont trouvé « misanthrope » car il ne soucie nullement de son prochain, il allume et arrose sans discrimination, et les dommages collatéraux dans le public parmi les innocents sont souvent effroyables.

    Hondelatte : Vous dites qu'il a des tendances « schizo-dissociatives », pour qui se prend-il exactement ?

    Rizet : Il se prend en fait pour trois personnes, selon les jours, et selon son degré de délire pathologico-psychotique.
    Les experts de la Pitié Salpétrin-Téléfootix ont dit qu'il lui arrivait parfois de se prendre tantôt pour un grand caïd argentin du nom de Batistuta (dit « Gabby le Rital »), et tantôt pour une terreur de Londres du nom de Ian Wright (dit « Wrightie la flambe »). Et parfois aussi souvent pour une troisième personne.

    Hondelatte : Et qui est sa troisième personnalité ?

    Rizet : Là Christophe, les experts interrogés ne sont pas formels et sont plus partagés, mais ils ont entendu Omer Riza prononcer les noms de Bakayoko et Akinbiyi.

    Hondelatte (éclatant de rire) : Cette dernière piste semble en effet coller aux faits et être la plus plausible. Rappelez-nous qui sont ces Bakayoko et Akinbiyi, des petites frappes de faubourg sans envergure ?

    Rizet : Ne riez pas Christophe, nos experts sont aussi consultants près la Cour d'Appel à tartes du 60 Bis Avenue d' Iéna.
    Pour ce qui est de Bakayoko et Akinbiyi, effectivement, ce sont des jambes cassées en déserrance mais le dossier est sensible et l'affaire est toujours en cours, donc je ne peux commenter.

    Hondelatte : Oui, je vois, ils sont toujours en fuite et ont disparu de la circulation. Au sujet de Riza, que décide de faire le capo Arsène le Frog à ce moment-là ?

    Rizet : Et bien Christophe, Arsène le Frog décide que Riza est devenu un électron libre qui devient trop dangereux pour le gang. Il faut l'exfiltrer.

    [Hondelatte remercie chaleureusement Rizet pour ces détails intrigants et continue].




    En 1999, Arsène le Frog envoie Riza en Hollande où le gang a une planque.
    « Omer m'a tué, il massacre tout », dira Arsène avant le départ de Riza. Il déclare cela lors de sa garde à vue, interrogé par les médias et enquêteurs sur les bavures répétées de Riza.

    Chez les Bataves, Riza monte en puissance, fait un carton et frappe 3 fois dans le mille.
    Evidemment, il est immédiatement recherché par les gangs sérieux mais ses avocats négocient mal et il se retrouve de nouveau en cavale.

    De retour sur ses terres qu'il connaît bien, l'East End de Jack l'éventreur et des Kray Brothers, il fricote avec le West Ham fin 1999, où le parrain local, Harry Redknapp (dit « Harry l'anguille » ou « Harry Teflon »), le prend sous son aile.

    Mais Riza ne parvient pas à pénétrer dans les vestiaires du gang local et à s'incruster, ses raids répétés échouant par manque de préparation.

    Condamné à la réserve à perpétuité, il profite d'une permission de réinsertion pour s'échapper de nouveau vers Barnet, pénitencier londonien de 5ème catégorie, où il signe 4 méfaits en 10 sorties.
    Cependant, pas question pour lui de croupir dans une taule si moisie et il est relâché après une bonne période probatoire.

    Il part se faire oublier en province mais replonge dans le Cambridgeshire, où il manque de peu de prendre gros : un contrat est placé sur sa tête par le gang local, le Cambridge United (un petit poucet qui veut jouer dans la cour des grands).

    Grâce à sa bonne conduite, Riza est transféré (mais temporairement) dans cet établissement de 4ème Catégorie, Cambridge United , et en semi-liberté (acceptant sans broncher une nouvelle peine de « rôle flottant »).

    Ouf, se dit-il, pas de contrat, tant mieux, juste quelques mois dans ce cloaque glauque et on s'fait la belle (il ne veut pas rester pourrir ici dans ce trou érudit plein d'étudiants en grec ancien et de philosophes-sociologues de 20 ans).

    Pendant ses permissions, décidées par le taulier, il participe à de multiples hold-ups et commet pas moins de 17 braquages dans les grandes surfaces, en 58 sorties, et fusille une quantité innombrable de gardiens. Il semble avoir retrouvé l'instinct de tueur.

    Il prouve à cette occasion qu'il sait déverrouiller les coffres-forts, dépouiller les gangs sans défense et piller les petits, mais peut-il briller parmi le gotha européen ?

    Blessé à une jambe (balle perdue), il disparaît de la circulation, tout en fomentant ses plans d'évasion.

    Surtout que ça jase dans le Milieu de Cambridge, des rumeurs sur l'arrivée imminente de deux dangereux mercenaires de calibre international sur la région fait grand bruit.

    Riza prépare sa fuite pour l'étranger, juste avant l'arrivée des deux anciens cadors de la French Connection, recherchés dans tous les pays, même au fin fond du Golfe Persique. Du gros gibier.

    Ses indics l'avaient bien renseigné.
    En effet, quelques mois plus tard, Claude Leroy, (dit « l'intello »), cerveau du milieu rouennais, et Hervé Renard, (dit « Goupil futé »), homme main du milieu marseillais, débarquent à Cambridge. Les deux multi-récidivistes notoires sont venus pour prendre le contrôle (lucratif) du trafic de rond central.

    En cavale et à nouveau recherché, Omer Riza fait le mort. On lui délivre son bon de sortie et il est finalement libéré.

    Il est repéré et l'été 2003, il part pour la Turquie, son pays d'origine où il a des contacts.

    On lui trouve un rôle de porte-flingue à Denizlispor, un gang ambitieux de 1ère catégorie qui vient de réussir des gros coups en Europe - Lorient, Prague, Lyon - avant de tomber à Porto les armes à la main, où le gang des Dragões du cacique local, José Mourinho (dit « The Special One ») a leur peau.
    Ça dessoude dur, on compte 8 victimes à 3.

    Le gang des Dragões rafle même le magot cette année-là lors d'un énorme casse à Séville où 75 000 soiffards écossais des bas-fonds de Glasgow envahissent la région en faisant une razzia sur tous les tonneaux disponibles dans un rayon de 50 kilomètres. Un massacre.

    L'un de leurs chefs de file, Dianbobo Baldé (dit « le Casper de la Belle de Mai ») est arrêté par le juge Michel (Ľuboš de son prénom) et condamné aux vestiaires, avec une période de sûreté de 24 minutes, après 96 minutes d'une bagarre mémorable.

    A Denizlispor, Riza signe 18 effractions de surfaces en 39 sorties, sans haine ni violence, pas une trace de sang ni blessure à son actif.

    Du travail de pro s'accordent à dire les hommes de la BAC locale (Brigade Anti Canonniers). Omer Riza ne va pas être facile à arrêter.

    En janvier 2006, sentant qu'il est grillé, il fuit pour Trabzonspor, gang de 1ère catégorie dirigé par le terrible ex-capo du cartel local, Ali Yilmaz.

    Mais les choses se passent mal, il a perdu ses contacts et se trouve placé en concurrence avec les terreurs locales.

    Ses prouesses au Denizlispor font qu'il est devenu l'homme à abattre, bien trop repéré, au point de ne plus pouvoir se déplacer incognito.

    Surveillé de près par les stoppeurs adverses qui ne le lâchent pas d'une semelle, il n'a plus guère de liberté pour concrétiser ses plans destructeurs et ne peut prendre d'assaut l'objectif adverse que 4 fois en 35 tentatives.

    Une bavure arrive 2 ans plus tard, il s'embrouille sérieusement avec les grands vizirs locaux. Il s'échappe de cet établissement de 1ère catégorie, et devient hors-la-loi, une fois de plus.

    On l'accuse de fuite en avant mais il clame son innocence et déclare qu'il n'a pas été payé pour ses services. Néanmoins, la justice turque (la FFT) le condamne in absentia, et il écope de 15 mois ferme.

    Il prend alors la poudre d'escampette et se retrouve donc prêt à rejoindre Shewsbury en Angleterre, geôle de 4ème Catégorie mais est toujours recherché par la justice internationale qui bloque ses mouvements.

    Cependant, il échappe aux sanctions européennes, grâce à son avocat Maître Bilger, qui embrouille le Tribunal de Genève et les a tous à l'usure. Bilger obtient la relaxe de son client.

    En fait, le TAS ne supportait plus son zozotement diabolique lors de sa plaidoirie interminable, il donne des cauchemars aux enfants présents dans la salle, et face à ce grésillement insoutenable qui colle le larsen à tous les équipements audio dans un rayon de 500 mètres, le tribunal craque : il libère Riza séance tenante, sans attendre la fin des zozoteries infernales.

    On est en avril 2009. Riza n'est plus poursuivi par la justice turque, et c'est la fin du calvaire pour lui. Il joue les « pentiti » (repentis) pour bénéficier de la clémence de la justice et balance.

    Sur son enfer turc (Riza parle de « torture »), on peut lire dans le Shropshire Star (équivalent du magazine Détective) :

    "The 29-year-old ended what he describes as 15 months of "torture".

    Riza ajoute :

    "After 15 months of what has basically been torture, it was nice to finally get out there on the pitch for Shrewsbury and give them a little bit".

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    On sent dans ces déclarations terribles que Midnight Express n'est pas qu'une légende et que la terrible loi du milieu turc ne pardonne pas.

    Comment ne pas donner raison aux anti « Turquie en Europe » après des déclarations pareilles ?

    Mais comme il est choquant d'entendre un caïd de haut vol tel que lui parler de « carrière »… (propos ci-dessous de Riza) :

    "It's a problem which is still going through the courts but I am back in England now and looking to give my career another kick start"

    lien



    Toutefois, la vie en captivité chez les Shrews ne lui convient guère et il déçoit les caïds locaux qui le payent cher.
    De terreur du milieu turc il est devenu demi-sel chez des caves de province. Les joutes européennes turques sont bien loin.

    Sa réputation d'artificier a sévèrement morflé et il fait plus parler la poudre : sur 10 coups, il n'en réussit aucun.

    Le Milieu local n'est guère impressionné et après les sempiternelles embrouilles de grisbi si fréquentes dans le Milieu, le gang des Shrews se débarrasse de lui.

    Le 25 février dernier, il tombe dans les filets des chasseurs de prime locaux et est transféré de force dans un nouvel établissement de haute sécurité.

    A Aldershot, enceinte de 4ème Catégorie. Grâce un excellent avocat*, il n'en prend que pour 6 mois et devrait être libéré en juin 2010.

    (*Bilger again, en anglais cette fois, le tribunal jette l'éponge et fait evacuer la salle, scènes insoutenables).

  • socratesinho le 17/03/2010 à 00h49
    clap clap clap MV

    Mais attention Ömer Rıza n'est pas d'origine turque mais chypriote turque ce qui est pas pareil.

    Il existe d'ailleurs une mafia chypriote turque à Londres...

    O.Rıza a clairement foiré sa carrière par mauvaise gestion, son embrouille avec Trabzonspor lui aura coûté cher. Sans être fantastique il était capable d'être un attaquant assez efficace et aura participé à l'épopée européenne de Denizli (coucou GALD)...


  • kelly le 17/03/2010 à 00h55
    Clap, Clap et reclap MV. Magnifique. A quand la une du site?