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Etoiles et toiles

Non, ce n’est pas un forum sur le PSG, même si le titre aurait sans doute convenu, mais bien sur le cinéma, pour parler de tout ce qui touche de près ou de loin au septième art.

  • Luis Caroll le 21/12/2019 à 23h53
    Ozil, je lui reproche:
    - Les dialogues
    - Un casting raté pour les 2 versions du personnage principal, donc totalement raté.
    - Les couleurs systématiquement saturées qui donnent un effet bonbon à l'image que j'ai trouvé insupportable
    - La surenchère sonore tout au long des 3 films qui fait qu'on ne passe jamais plus de 5 secondes sans un bip ou un zip ou un couic et qui est épuisante
    - Les effets spéciaux ratés. Ca sort à quelques mois de Matrix donc en matière d'innovation ou d'avant-garde ça tombe complètement à plat, (là où celui de 1977 ouvrait une brèche énorme).
    - Globalement je lui reproche de tomber régulièrement dans le grotesque. Star Wars pouvait être maladroit, parfois ennuyeux, ou très enfantin, on pouvait même trouver ça futile, mais il n'y a que cette trilogie qui soit aussi souvent grotesque.

    Ca n'empêche pas qu'il y ait des trucs à sauver, dont certains bien meilleurs que les épisodes 7/8/9, mais des films qui tombent si bas peuvent pas amener leurs hauts très haut.

  • Özil paradisiaque le 22/12/2019 à 08h18
    Je comprends ton argumentation et j'ai l'impression qu'effectivement il y a peut être une question de génération.
    J'avais 12/13 ans au moment de la sortie et je n'ai ni été choqué pr le casting ou le son ou la photo des films.
    A l'inverse j'ai adoré la trame sombre de l'histoire, la musique, tout ce que fait Obi Wan et j'ai retenu des belles séquences dans le 1 et surtout le 3 qui a mon sens est très réussi. J'admets que même à l'époque le 2 a été sauvé par l'immense bataille finale et le combat de Yoda (qui sont une surenchère avec du recul).

  • Classico le 22/12/2019 à 08h24
    Özil paradisiaque
    aujourd'hui à 08h18
    Je comprends ton argumentation et j'ai l'impression qu'effectivement il y a peut être une question de génération.
    J'avais 12/13 ans au moment de la sortie et je n'ai ni été choqué pr le casting ou le son ou la photo des films.
    ———
    Oui voilà, je sais pas pour luis mais j'avais 20 ans à la sortie de sw1, ça explique complètement le différentiel d'indulgence.

  • Sens de la dérision le 22/12/2019 à 08h37
    Özil paradisiaque
    aujourd'hui à 08h18
    J'avais 12/13 ans au moment de la sortie et je n'ai ni été choqué pr le casting ou le son ou la photo des films.
    -----
    Bah voilà, on y vient (wink wink). J'en avais dix de plus et j'ai bien vu les défauts mentionnés plus haut par moi, Classico ou Luis.
    Il y a plusieurs raisons pour lesquelles Star Wars est devenu culte : l'histoire, la nostalgie des gamins des années 70-80 qui sont devenus adultes... Mais il y a des faiblesses absolument évidentes aussi. Exemple perso : la rencontre entre Luke et Yoda est abominable...
    En ce qui concerne les enfants et leurs goûts, les miens ont regardé en boucle Bataille de boulettes géantes, moi j'ai regardé en boucle Les Goonies, je n'irai pas jusqu'à dire que c'est une preuve que ce sont des films essentiels de l'histoire du cinéma.

  • José-Mickaël le 22/12/2019 à 09h24
    BoblaFlamb
    21/12/2019 à 20h26
    > Bah je suis allé me coucher...

    Ah, du coup tu n'as pas vu la fin, qui est quand même plutôt, comment dire, "intéressante"...

  • Aristofan le 22/12/2019 à 10h11
    Star Wars c'est un univers, largement fantasmé. La trilogie originale est cool, et tient simplement sur la mise en image de l'imagination d'enfants qui s'inventent des histoires en jouant aux playmobils.
    Quand on la visionne, on attend des moments clefs, passés dans une dimension plutôt collective, et on ferme les yeux sur les moments ridicules, comme la rencontre Luke/Yoda effectivement, ou le cabotinage insupportable de Ford dans Le retour du Jedi.
    Et tout est sauvé quand Luke soulève un X-Wing avec la force ou quand on allume un sabre laser : c'est du fétichisme, c'est cool, c'est l'enfance.

    J'avais aussi 20 ans à la sortie de la prélogie, et effectivement l'erreur de casting d'Anakin dans ses deux versions plombe l'ensemble. Sans oublier que Lucas n'est ni un bon scénariste, ni vraiment un réalisateur, ses films sont lourds, l'intrigue est grossière, la mise en image largement ratée. Aujourd'hui ces films ont très mal vieilli, et sur des téléviseurs de haute qualité ils ressemblent à des téléfilms (les incrustations d'acteurs sur certains fonds sont risibles, par exemple Doku sur sa mobilette).
    Il reste néanmoins Obi Fan qui est génial, du début à la fin, et permet à ces films d'être encore regardable.

    Et je trouve la nouvelle trilogie très réussie. Le 7 m'a fait replonger en enfance, c'est un film d'aventure frais, bien écrit, avec de bons personnages. Porté par un duo d'acteurs (Ridley/Driver) assez exceptionnels. Les décors, l'alternance de temps forts/temps faible est remarquable. Et la fin, qui donne des frissons.

    Le 8 prenait des risques, et s'il rate quelques séquences comme l'axe Fini/Poe qui est risible. Mais le traitement du personnage de Luke est fort je trouve, toutes les scènes sur l'ile sont réussies. Et quelle émotion de retrouver Hamill qui au fond ne peut être que Luke.
    Le film tient aussi sur trois scènes extraordinaires : la destruction du vaisseau en vitesse lumière, le combat dans la salle de Snoke, et la fin sur la planète de sel.

    Pour le 9, j'ai l'impression que Abrams a voulu faire le Star Wars ultime, j'ai bien aimé le film, et surtout la belle continuité de la relation entre Rey et Kylo, ainsi que la dimension visuelle bluffante, et quelques combats de sabre spectaculaires. Sans parler de toute la séquence finale, et jusqu'aux clins d'œil émouvants de la toute fin (la brève séquence de luge).
    Mais le film est un peu trop rempli : le rythme est trop rapide et manque de pauses, et il y en a trop à l'image, tout est surdimensionné.
    J'ai eu l'impression qu'Abrams filmait la légende et pas la réalité, qu'il filmait la version fantasmée des anciens Star Wars, qui ont acquis une dimension mythique alors que ce sont de simples chouettes petits films d'aventure. En un sens c'est émouvant.
    De toute façon les personnages sont réussis, et c'est tout ce que je demande à ce genre de films pour activer la machine à enfance et prendre du plaisir à voir des gens se taper dessus en peignoir à coups de néon.

    Franchement, je vois mal comment on peut soutenir la prélogie et haïr les épisodes 7, 8 et 9.

    Et pour Rogue One, la première fois ça fonctionne, mais je n'ai pas pu aller au bout du second visionnaire. C'est quand même très faible.

  • Le déjeuner sur Hleb le 22/12/2019 à 10h25
    Haha étant dans cette situation, je vais te répondre : la création d'un univers.

    C'est parfois brouillon mais il y a quand même un système politique, un contexte général, des choses en arrière-plan.

    Idem pour Rogue One.

    En revanche, j'ai trouvé le 8 nullissime (je dis bien « j'ai trouvé ») car justement on ne comprend rien, rien n'a de sens, on ne sait même pas vraiment la volonté des méchants à part qu'ils sont méchants... Va savoir pourquoi il reste une « Résistance » à côté d'une République par exemple ...

    Je ne parle même pas du personnage de Maz Kanata qui est pour moi le plus nul de tous les films réunis (et on parle d'une galaxie où existe Jar Jar Binks !).

  • Le déjeuner sur Hleb le 22/12/2019 à 10h51
    En fait, le 7 est un gigantesque easter egg pour lequel le scénario est sacrifié dès que nécessaire.

    Prenons par exemple ce superbe procédé scenaristique de Poe Dameron qui est lancé sur une mission super importante mais rentre finalement trankillou à la maison sans même avoir essayé de la finir. Mais bon coup de chance, des mecs qui passaient par là, on sait pas trop pourquoi, décident de la finir.

    Et les exemples sont multiples...

    Seul point positif : Daisy Ridley et Adam Driver sont effectivement très bons (mention spéciale à la première).

  • Balthazar le 22/12/2019 à 11h05
    J'ai entrepris de répondre à un message d'Özil publié vendredi, mais comme je mets trop de temps à rédiger, ma réponse redit à certains égards ce que d'autres ont déjà dit et bien dit. Il faudrait réécrire, mais le temps que je le fasse, il faudra réécrire la réécriture… alors tant pis :

    Je me répète et j'insiste, quitte à enfoncer des portes qui devraient rester grandes ouvertes : il y a évidemment un gouffre entre les trois premiers Star Wars qui soient sortis et les autres. Pas le gouffre qui sépare une œuvre majeure, nécessaire, éternelle ou peu s'en faut, d'une œuvre mineure, sans doute, mais celui qui sépare, à l'intérieur de ce vaste domaine qu'est le cinéma de divertissement, une authentique réussite d'un non moins authentique ratage (pour ne pas dire d'une sombre bouse). C'est particulièrement évident lorsqu'on prend la peine, ne serait-ce qu'une fois, d'enchaîner dans un sens ou dans un autre la vision de la première trilogie et celle des suivantes.

    Quand je lis ce que tu as écrit, Özil paradisiaque, j'ouvre de grands yeux pleins de points d'interrogation :

    « la Menace Fantôme est vraiment victime d'une réputation injuste alors que l'histoire est bien, les personnages ultra marquants que ce soit Qui Gon, Dark Maul (qui pourtant est 10mn à l'écran), Obi Wan jeune. La course de Podracer est dantesque, la musique du duel (triel ?) finale aussi. »

    Comme « je mets beaucoup de soin à éviter dans la vie ce qui me semble laid », je ne suis pas un spécialiste de La Menace fantôme, mais je l'ai tout de même vu deux fois. Une fois à sa sortie, et une fois il y a deux ou trois ans, parce que je me disais que mon impression première avait peut-être été excessivement sévère. Eh bien non. Ce film, comme les suivants, est simplement indéfendable. Sans doute peut-on lui trouver des circonstances atténuantes (c'était difficile, il y avait beaucoup d'attentes et patati et patata), mais des qualités, on aura du mal à en trouver.

    Bon, j'avoue que je ne me souviens plus de la musique du truel final.

    Penchons-nous sur tes autres arguments. Non, l'histoire n'est pas « bien », mais c'est loin d'être le problème principal (même si ces affaires de traités commerciaux ou je ne sais plus quoi ne sont pas précisément palpitantes). Mais des « personnages ultra marquants » ? Sérieusement ? Aucun de ceux que tu cites n'a la moindre consistance. En particulier, Dark Maul est une caricature de méchant très très méchant (sans profondeur, sans désirs, sans rien), et Qui-Gon une figure de sage sans sel ni saveur. Ensuite, « la course de podracer est dantesque » ? On ne doit pas avoir la même définition du terme « dantesque ». Ou alors tu trouves la série des Taxi dantesque ? Il manque à cette course ce qu'il manque à presque tout le film : un minimum d'enjeu scénaristique.

    Il est un peu trop clair que Lucas s'est d'abord dit qu'ils allait placer une course quelque part parce que les courses c'est cool, et que dans un second temps seulement (et en consacrant visiblement à cette question trop peu de temps) il s'est demandé comment il allait bien pouvoir s'y prendre pour la justifier.

    Ensuite et surtout, il y a tout ce que tu ne dis pas, et qui suffirait, quand bien même tes arguments seraient justes, à faire de La Menace fantôme un film grotesque.

    Premièrement l'abus d'effets spéciaux, d'images de synthèse, etc., tout ce qui fait qu'on a plutôt l'impression de regarder un mélange de film et de mauvais dessin animé. Par moments on se croirait devant Roger Rabbit. Avec la meilleure volonté du monde, impossible pour moi de croire que Qui-Gon, par exemple, « voit » Jar-Jar Binks ou le personnage volant dont Anakin est l'esclave. Je trouve dingue que ça ne choque pas plus de monde. Et c'est ce truc-là, permanent dans le film, qui me donne une impression de toc et m'évoque la chirurgie esthétique. De ce point de vue, même les films de Disney sont plus regardables.

    Deuxièmement le niveau des dialogues, en particulier dans tous les moments un peu casse-gueule, quand ça doit être solennel ou émouvant. Ce qu'a cité Luis me paraît éloquent.

    Troisièmement les incohérences. Par exemple les midi-chloriens (mon Dieu).

    On pourrait faire un quatrièmement rien que pour Jar-Jar Binks, ou plus généralement pour l'humour calamiteux.

    Cinquièmement le manque d'enjeu. C'est un film qui vit à crédit. Sur le crédit des films précédents. La prise de pouvoir par Palpatine aurait peut-être pu être intéressante, et je veux bien reconnaître à la « prélogie » une certaine ambition sur ce point (trop haute, cela va sans dire), mais le fait est que ce n'est pas le cœur de ces trois films. Ce qu'on veut voir et qu'on nous montre, c'est l'évolution du personnage le plus fascinant et le plus mystérieux des trois premiers films, Anakin Skywalker, comme l'indique la fameuse photo du petit garçon dont l'ombre est Dark Vador. Et c'est cette ombre portée par la première trilogie qui fait toute la mince richesse des films de la prélogie.
    Le hic, c'est qu'on sait comment ça finit. Avant même de commencer, il est déjà clair qu'il n'y aura aucun coup de théâtre, aucune révélation aussi forte que celles par lesquelles nous avons appris qui sont vraiment Vador et Leïa, par exemple. Ce ne serait pas grave si Lucas savait faire autre chose que de raconter des histoires, et notamment s'il était un grand psychologue. Malheureusement il est dans ce domaine aussi pataud qu'on peut l'être. Non seulement les raisons alléguées pour le basculement d'Anakin, qui s'avère être une tête à claques sans la moindre épaisseur, sont encore plus convenues qu'on ne pouvait le craindre initialement, mais elles sont amenées avec la délicatesse et la fluidité de mouvement des quadrupèdes de métal qu'on découvre au début de L'Empire contre-attaque.

    En creux on devine quelles qualités je trouve aux premiers Star Wars, et pourquoi, quels que soient leurs défauts, je trouve regrettable qu'on les mette dans le même sac que les autres. Je ne vais pas reprendre les points un à un et en détail. Je vous invite à revoir les premiers films pour constater à quel point les dialogues, sans être des chefs d'œuvre de l'esprit, sont réussis et souvent drôles. Et l'humour de façon générale est d'un tout autre niveau. [Ajout tardif: C3PO? Mais ça n'a rien à voir avec Jar-Jar! Les effets comiques provoqués par C3PO ("nos chances de survie sont d'une sur plusieurs millions..."), qui reposent sur le contraste entre l'émotion et la pure et stupide raison, sont au comique jar-jarien ce que sont les dialogues de Woody Allen aux saynètes de Benny Hill.]

    Mais ce que je voudrais surtout souligner, c'est qu'il y a de l'enjeu dans ces films : la quête de Luke cherchant à savoir qui il est et d'où il vient (sur le modèle, comme cela a été dit et redit, du Vilain Petit Canard) c'est quelque chose à quoi tout être humain normalement constitué peut s'identifier. Dans des films de ce genre, qui ne valent pas par leurs qualités purement artistiques, c'est une chose essentielle. Or il n'y a rien de cet ordre, à mes yeux, dans les épisodes I à III. J'ai vieilli ? Certes, mais en l'occurrence ça n'a rien à voir, puisque je suis encore tout à fait capable de m'identifier comme un gosse à Jon Snow, à Tyrion Lannister, à Daenerys ou à n'importe quel personnage qui poursuit une quête. Là-dessus, je donnerais même l'avantage à Disney. Je m'identifierais plus facilement à Rey qu'à Qui-Gon ou à l'Anakin de la prélogie. Oui, tout cela est parfaitement personnel, et quelqu'un va sans doute me sortir qu'il s'est longtemps pris pour Jar-Jar Binks, mais enfin vous voyez l'idée.

    Pour Anakin, ça aurait pu marcher, mais (au-delà de la question de l'acteur et des dialogues) il aurait fallu que Lucas sente, par exemple, qu'une bonne raison vaut mieux que deux mauvaises, et que la volonté de puissance seule aurait expliqué la chute d'Anakin de façon bien plus satisfaisante que ce mélange de sentiments mièvres où surnage comme un grumeau le désir de sauver Padmé.

    Luke, pourtant, n'a pas grand intérêt en lui-même, mais il a les attributs du héros de conte. C'est un personnage bien moins ambitieux qu'Anakin, mais correctement traité.

    Pour toutes ces raisons, je ne crois pas un instant que les films de la « prélogie » puissent être importants pour un adolescent comme les premiers films ont pu l'être pour beaucoup de personnes de ma génération et de la précédente. Et quand je dis « importants », encore une fois, je ne veux pas dire que ce sont de grands films. Mais qu'ils nous touchaient réellement, que nous n'éprouvions, à suivre les personnages et leurs tourments, pas que des émotions superficielles. Il nous arrivait même de rêver d'eux la nuit. Combien d'adolescents dans le monde ont jamais rêvé de Dark Maul ou de Qui-Gon? Je pense qu'il est significatif, et tout sauf étonnant, que leur empreinte dans la culture populaire soit dérisoire.

  • Le déjeuner sur Hleb le 22/12/2019 à 11h11
    Ce que tu dis n'est pas faux modulo l'Obi-Wan Kenobi joué par McGregor. J'étais adolescent à l'époque et j'aime toujours autant le personnage !