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Nous sommes des enfants de Tele Santana.

  • Isaias le 19/05/2022 à 20h48
    Tiens vu que vous semblez être quelques uns à l'avoir vue, je veux bien des retours un peu moins laconique que celui de coach_mimi sur We Own The City !

    Je suis un fan inconditionnel de David Simon (j'ai même tenté de défendre The Deuce, c'est dire), mais j'avais lu quelques critiques pas ouf sur cette nouvelle série, ce qui fait que je ne m'y suis toujours pas mis. Ça vaut le coup ?

  • Lescure le 19/05/2022 à 21h04
    ça vaut carrément le coup, mais la série se mérite tant les timelines s'entrelacent.
    C'est le livre de Justin Fenton lui aussi journaliste au Baltimore Sun sorti en 2021 qui a raconté le scandale de la Gun Trace Task Force révélé en 2017. La série raconte les "racines du mal" à partir de l'arrivée de Wayne Jenkins (Jon Bernthal)
    Quel bonheur de retrouver Jamie "Marlo " Hector à l'écran.

  • Lescure le 19/05/2022 à 21h23
    Une partie de ma phrase s'est perdue dans les limbes des internets :
    "La série raconte les "racines du mal" à partir de l'arrivée de Wayne Jenkins (Jon Bernthal) en 2005 jusqu'au début de l'enquête sur la Gun Trace Task Force en 2015.

  • coach_mimi le 19/05/2022 à 21h37
    Waw j'avais complètement oublié que Bernthal jouait dans Show me a hero !

  • Lescure le 20/05/2022 à 01h35
    Il a un petit mais super rôle en incarnant une légende de la NAACP :
    lien

  • lyes le 20/05/2022 à 16h16
    Je viens de voir le premier épisode et je verrais la suite je pense. Tu as bien pitché le truc merci. J'aime bien le parfum Retour vers le futur meets Code Quantum à la sauce française.
    Le contexte gorges du Verdon petites communes de montagne est top, ça ancre vraiment l'intrigue je trouve.

    Par contre le gros point négatif c'est la voix-off de mon point de vue. Ça se calme assez rapidement mais l'ouverture a failli me faire stopper tout de suite. Les "je me sens tellement seule au milieu de la fête", "on est des poussières d'étoiles", "je comprend rien àl'amour" "c'était le pire jour de ma vie"...
    Vraiment dommage parceque le visuel se suffit à lui-même dans cette intro, les gorges du Verdon, la fête de djeunz, la jeune actrice pas mauvaise du tout. Je n'aime pas qu'on m'explique mot à mot ce que ressent un personnage. Ce côté didactique passe rapidement quand l'intrigue fantastique commence mais j'ai quand même tiqué.
    L'introduction de Retour vers le futur quand on suit Marty McFly par exemple, on comprend que sa famille est un ramassis de losers et qu'il a l'air d'être un garçon spécial mais frustré. Pas besoin de voix off.

    Même chose dans Un jour sans fin, Bill Murray par son jeu d'acteur nous fait comprendre son incrédulité et sa panique. Pas besoin de voix off pour dire oh lala c'est trop bizarre.

    Bon au-delà de ça ce premier épisode m'a bien emballé. Surtout le côté aller-retour entre 2021 et 1991 ça promet des enjeux et découvertes qui évoluent s'entrechoquent façon continuum espace temps. Et le jeune acteur qui jour Ismaël est top, belle gueule, fragile, gracieux, super casting.

    Je referais un point quand j'aurais tout vu.

  • Pascal Amateur le 21/05/2022 à 12h11
    [En thérapie, saison 2 ***spoilers inside***] Bon, j'avance dans la S2, un peu plus de la moitié, et il faut quand même que je vous dise que ça me met en colère. Les errances de la version américaine (pas vu l'originelle israélienne) n'ont pas été gommées, simplement améliorées (qualité théâtrale des dialogues), et il y a des incohérences qui me déplaisent fortement.
    Oui, il faut que j'en parle.
    Là, par exemple, l'épisode de mi-saison où le psy Dayan explique le Fort-Da de Freud. Dayan raconte que cela signifierait que l'enfant est le "trésor" de ses parents. Oui, eh bien c'est n'importe quoi. Rien de tel n'a jamais été écrit. Il s'agit d'une mise en mots (fooort, daaaa) de la relation à la mère pour en jouer, s'en séparer – symbolisation – et sans doute prendre acte, pour le petit, ainsi soulagé, qu'elle peut aller voir le père (Freud, c'est très papa-maman, époque oblige). Mais rien à voir avec l'enfant-trésor. Freud a assez souvent dénoncé "his majesty baby" pour ne pas tomber dans ce piège tentaculaire du lien à la mère. Dites ça au petit Hans qu'était un trésor, il en a fait des phobies carabinées dont il ne s'est jamais remis.
    Encore : la fin de l'entretien avec sa superviseuse ; alors que Dayan bougonne – "Mon père n'a jamais eu besoin de moi", celle-ci pose la question, se penchant mélodramatiquement vers lui : "Vous en êtes si certain ?" Alors certes, il s'agit d'une question. Mais n'est-elle pas, dans ce moment gênant de complicité, une affirmation ? Qui sous-entend que, peut-être, son père a eu, a besoin de lui. C'est effrayant d'entendre cela ici. C'est à contre-courant, me semble-t-il, du travail d'élucidation consistant à créer la séparation, disons d'avec l'instance parentale. Poser que le père pourrait avoir "besoin" de l'enfant, du fils, c'est globalement hérétique, c'est empêcher toute liberté du lien pour rappeler, dans une morale surprenante, qu'il y a un "devoir" à l'égard des aînés. Sûrement, peut-être, pas forcément, cela dépend des histoires que chacun se construit – mais ce n'est pas cette dette-là qui doit se (re)créer si brutalement dans une cure, fût-elle en face à face. À voir les dialogues qui se joueront dans la prochaine semaine.
    Quant à Dayan, il est tout de même près de son équivalent US ; il n'est plus l'enfant grognonnant de la première saison, dont les attentats justifiaient merveilleusement, réalistement, la déstabilisation touchante – mais il apparaît comme un psy contestable, sauveur en effet, et qui semble mener sa barque au gré des aliénations gros sabots qu'il n'a jamais interrogées. Sa position à l'égard de sa superviseuse a quelque chose de grotesque, il conspue à mi-mots son métier, sa pratique, venant expliquer que parler ne sert à rien. Fouchtra ! Tu m'étonnes que la série ait du succès, ce Dayan est trop papa (trop papa écrasé par ses responsabilités – en ce sens très "moderne" dans la remise en question du père-ancien modèle) pour qu'on ne s'en émeuve pas. Mais quand même, quel gouffre avec la si belle et si juste saison 1 !

  • Aulas tique le 24/05/2022 à 08h53
    Merci Pascal d'avoir mis des mots sur ce qui a modulé à la baisse mon plaisir dans cette saison 2 de "En thérapie". [En thérapie, saison 1/2 ***spoilers inside***] Peut-être avons-nous idéalisé Dayan que la chair avait égaré en saison 1 (ce que l'on pardonne plus facilement que la faiblesse de sa connaissance de lui-même en saison 2).

    Sinon je revenais ici pour remercier Danishos Dynamitos qui a signalé l'existence de la série Netflix "Les 7 vies de Léa". Comme j'aime les histoires de voyages dans le temps et que vous aviez sorti cette série du lot, je me suis empressé de la proposer à ma femme. Habituellement rebutés par les séries françaises, nous avons dépassé ce repoussoir et vraiment apprécié la fraîcheur de la série tout comme ses menus défauts qui n'ont pas coupé court au plaisir de l'ensemble.
    La jeune actrice et ses avatars se débrouillent bien pour donner de la crédibilité aux situations. Ca passe bien.

  • Lescure le 24/05/2022 à 10h57
    Sans spoiler la série il y a de très bons moments et un rendu du début des 90's aux petits oignons.
    Mention spéciale pour le casting impeccable avec notamment le brillant Khalil Ben Gharbia dans le rôle d'Ismaël a qui je prédit une bien belle carrière (découvert dans Skam France, un gage de qualité).

  • Aulas tique le 24/05/2022 à 11h02
    Khalil Ben Gharbia, s'il veut faire un biopic de Julien Clerc dans les années 70/80, ça sera nickel. La ressemblance avec la coupe qu'il a dans les 7 vies de Léa, c'est énorme.