Et PAF, dans la lucarne !
Nous sommes des enfants de Tele Santana.
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forezjohn le 01/12/2021 à 16h52Ah moi j'avais entendu que sur son album solo le producteur avait appelé un de ses potes pour enregistrer les breaks un peu compliqué qu'il n'arrivait pas à faire.
Bon après il a un son assez reconnaissable et il fait de bonnes choses avec les beatles; comme je dis souvent c'est pas parce qu'on empile 300 notes à la noire qu'on est un bon musicos.
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syle le 01/12/2021 à 16h55En même temps, à part Macca, ils partaient à peu près de zéro.
Et les enregistrements "dans les conditions du live" sont bien retravaillés en studio.
Les Beatles étaient géniaux à bien des titres, mais clairement pas en tant qu'instrumentistes.
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forezjohn le 01/12/2021 à 16h55Sinon vu qu'on est sur des pages qui ressemblent à des années je propose de poster les meilleures séries de l'année correspondant à la page.
Ici 1982 :
Albator
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Josip R.O.G. le 01/12/2021 à 16h58Tu as bien compris que je suis ontologiquement d'accord avec toi et que j'ai déjà argumenté comme tu le fait
C'est probablement un des musiciens les plus complet et influent des soixante dernières années
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Classico le 03/12/2021 à 09h27Midnight mass sur Netflix est un chef-d'œuvre. Mini-série en 7 longs épisodes de l'auteur des The haunt of... sur la même plate-forme, que je n'ai pas encore vues.
On y retrouve cette combinaison très singulière mais jouissive entre série B et auteurisme qu'on avait découverte avec les films des surdoués Peele (Get out, Us), Aster (Hereditary, Midsommar) et Eggers (The wich, The lighthouse), dont on a déjà pas mal parlé ici. Le sujet est comme toujours un lieu commun du répertoire fantastique / horreur, mais traité avec une foi aussi bizarre que radicale en sa nouveauté : mise en scène splendide, montage rêveur et patient, précision amoureuse des situations psychologiques et sociales des personnages, réseau très dense de significations. A cet égard, tout est signifiant dans Midnight mass, jusqu'au nombre des épisodes.
Ici enfin la référence à King est évidente et omniprésente, mais la série est battie sur une histoire originale. La meilleure adaptation de King à ce jour n'adapte donc aucun texte de King.
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magnus le 03/12/2021 à 11h04J'ai été captivé au début puis au fil des épisodes lassé.
Je trouve que c'est un énième exemple de série Netflix qui aurait été mieux en film, ou avec moins d'épisodes, ou tout du moins qu'ils soient plus courts.
Une fois que tous les éléments ont été dévoilés, j'ai trouvé le temps long, les émotions forcées.
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Classico le 03/12/2021 à 12h45Je suis pas totalement en désaccord mais même ça, c'est kingien à fond. Les mises en place, dans ses romans, sont les meilleurs moments, et dès que les éléments fantastiques, qu'on devinait depuis le début, commencent enfin à se déchaîner, les choses se délitent et s'aplatissent. Restent quand même, dans les derniers épisodes de Midnight mass, quelques scènes inoubliables je trouve (la procession dans l'épisode 6 a une charge incroyable par exemple).
"Enième exemple de série Netflix" quand même c'est vache, rien que pour la réalisation formellement éblouissante et la direction d'acteurs. Et la lenteur contemplative de l'ensemble n'est pas vraiment la norme sur la plateforme.
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Di Meco le 03/12/2021 à 13h32----- CE POST CONTIENT DES SPOILERS CONCERNANT MIDNIGHT MASS -----
Pour commencer avec le positif, c'est vrai que la photo et la mise en scène sont très réussis.
Le premier épisode m'a vraiment épaté, notamment l'idée de la vision du "fantôme" éclairé par les gyrophares est très bien trouvée.
Après, j'ai ressenti la même lassitude que magnus au bout de 4 ou 5 épisodes.
Les dialogues concernant la religion notamment, deviennent trop redondants pour ne pas être ennuyants à la longue (on revient je ne sais combien de fois sur la notion de libre arbitre, sur le fait que dans la bible les anges ont d'abord effrayé les hommes).
D'autres dialogues sont amenés de manière artificielle voire ridicule, notamment lors d'un des derniers épisodes :
Un personnage va voir la médecin du village pour lui demander de l'aide. En réponse, la médecin fait un monologue sur une anecdote de l'histoire de la médecine au XIXe siècle.
Scène suivante, la médecin va voir le shérif du village pour lui demander de l'aide. En réponse, le shérif fait un monologue sur son passé, et en profite pour raconter une anecdote concernant les suites du 11 septembre.
J'ai complètement lâché prise à la suite de ce passage. Ce qui est réussi en fin de compte, c'est que dans le final j'avais vraiment hâte qu'ils crament tous.
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magnus le 03/12/2021 à 14h12Classico aujourd'hui à 12h45
"Enième exemple de série Netflix" quand même c'est vache, rien que pour la réalisation formellement éblouissante et la direction d'acteurs. Et la lenteur contemplative de l'ensemble n'est pas vraiment la norme sur la plateforme."
Mais je trouve que ce n'est même pas de la "lenteur contemplative", la mise en scène ne s'attarde pas trop sur des plans ou séquences qui pourraient contribuer à nous immerger, juste que le récit est trop lent, trop bavard pour rien comme indiqué par Di Meco.
Et pourtant durant le 1er épisode j'y croyais, avec la présentation des habitants de l'île. Pour qu'au final les 3/4 se révèlent juste des bigots fonctionnels.
J'ai nettement préféré Godless, seule série sur Netflix qui me vienne en tête qui partage des points communs avec Midnight Mass (récit plutôt lent, une petite ville comme unité de lieu principale).
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beltramaxi le 03/12/2021 à 14h18Au fait as-tu vu le director's cut de Midsommar ? 2h50 qui passent tout seul (bon je dois dire qu'à part une séquence le reste m'a paru un peu disséminé.)
Par contre en le revoyant j'étais surpris par l'écriture du personnage de Christian, tellement lâche et médiocre de bout en bout (ça m'avait paru moins tranché au premier visionnage mais j'étais tellement tripé par les images... ). Vraiment un chef d'œuvre.