Oh mon maillot

Parce qu'on le mouille, on le tombe, on le salit, on le montre, on le brûle.
Parce qu'ils sont esthétiques, innovants, laids, odorants, émouvants, historiques.
Parce qu'on magnifie ce blason des temps modernes telle une œuvre d'art mouvante.
Parce que Jorge Campos. Et pour Grace Kelly.

Gouffran direct le 21/08/2021 à 05h48

Sur les vignettes Panini des années 80 je trouvais que les Strasbourgeois avaient tous de grosses têtes.
Vas-y Mako! le 21/08/2021 à 07h54

Run
aujourd'hui à 01h36
suppdebastille
20/08/2021 à 21h57
"Run
aujourd'hui à 20h04
La grande majorite des equipes de L1 ont des maillots domiciles de couleurs vives, sauf rares exceptions, donc ils jouent en blanc.

Pour une fois que c'est "logique"."

Dans les 70' les Verts jouaient en vert à peu près contre tout le monde pourtant la plupart des foyers modestes disposaient d'un poste noir et blanc.
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Ben ecoute je sais pas mais une chose est sur c'est que dans les 70s et en N&B, ils devaient pas jouer contre des equipes en rouge ou en couleurs vives.

C'est cool les multiples references aux 70s mais comme qui dirait, 2-3 trucs ont change depuis.
….
Contre Liverpool ou PSV Eindhoven, on avait les Verts en vert, contre les autres en rouge ( avec une petite note de blanc sur le short).
Tonton Danijel le 21/08/2021 à 08h44

Dans les 70s, les matchs étaient aussi rarement télévisés, le contraste entre les maillots devait surtout être assuré pour le public du stade (et les joueurs, évidemment).
Danishos Dynamitos le 21/08/2021 à 10h34

Du coup on est d'accord que deux jeux de maillots suffisent amplement non ?
Un coloré et un très clair ou blanc.

Faut arrêter de croire que tout est question de contraste tv, jusqu'à la fin des années 90, les équipes jouaient très souvent (presque toujours) avec leur maillot domicile. L'utilisation du maillot extérieur était assez rare. Et il n'y avait déjà plus de TV en noir et blanc à l'époque.
suppdebastille le 21/08/2021 à 10h46

J'en reviens à St Etienne, les dirigeants actuels devraient même réfléchir au fait que l'ASSE ne serait surement jamais devenu "les Verts" s'ils avaient joué 1 match sur 2 en blanc.
Tonton Danijel le 21/08/2021 à 10h54

Danishos Dynamitos
aujourd'hui à 10h34

Et plus personne ne pourrait jouer en bicolore?

Je me souviens que Monaco avait un maillot domicile rouge et blanc (avec une vraie diagonale), et deux extérieurs, un intégralement blanc, un intégralement rouge. Et éventuellement un maillot bleu pour certains matchs de coupe d'Europe contre MU ou le Spartak qui jouaient aussi en rouge et blanc. Mais les situations où l'ASM devait renoncer à une de ses couleurs historiques étaient plus rares que maintenant.

(Il y avait aussi Auxerre, qui avait un maillot domicile blanc, un extérieur bleu, et qui exceptionnellement avait joué un match de ligue des champions avec un maillot rouge contre le Grasshoper Zurich, dont le maillot domicile était bicolore).
manuFoU le 21/08/2021 à 10h56

Danishos Dynamitos
aujourd'hui à 10h34
Du coup on est d'accord que deux jeux de maillots suffisent amplement non ?

Je ne crois pas que quiconque ait jamais prétendu, ni ici, ni dans les clubs ni ailleurs, que ça n'était pas suffisant. L'inflation de maillots, dans le football comme dans d'autres sports (NBA en tête, soit dit en passant) relève évidement de stratégies marketing et de recherche de revenus supplémentaires. On peut le déplorer, mais il ne sert à rien d'invoquer les années 70 ni l'arrivée de la Tv couleur pour essayer de démontrer que le 3eme maillot du FC Metz n'a aucune utilité pratique.
L'amour Durix le 21/08/2021 à 11h03

Il y a un "3eme maillot du" en trop dans ta dernière phrase, non ?
vertigo le 21/08/2021 à 11h07

suppdebastille
aujourd'hui à 10h46

J'en reviens à St Etienne, les dirigeants actuels devraient même réfléchir au fait que l'ASSE ne serait surement jamais devenu "les Verts" s'ils avaient joué 1 match sur 2 en blanc.
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Ils ont trouvé la parade. Quand les Verts jouent en blanc, Green joue en vert.
manuFoU le 21/08/2021 à 11h08

L'amour Durix
aujourd'hui à 11h03

Saperlipopette, tu as raison. Je m'étais relu, pourtant.